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Ma copine, son amie et moi

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Chapitre unique.
Nous sommes ce qu’il est convenu d’appeler des gens de la nuit.Mon amie Ludivine est barmaid dans un cabaret de Montmartre où je suis videur... En fait, je suis à l’entrée et j’éloigne les importuns et curieux.Nous nous connaissons depuis plusieurs années et après quelques fins de nuits et matinées passées ensemble, nous avons décidé il y a quelque temps de prendre en colocation un petit appartement pas très loin de notre lieu de travail. C’est un peu cher, mais cela offre d’autres avantages !
Depuis que nous sommes ensemble, nous nous sommes quelque peu calmés, car auparavant, nous étions libertins et nous menions une vie assez dissolue en fréquentant les clubs coquins de la capitale nos soirs de repos... Mais tout a une fin... même provisoire ! Nous ne chassions pas sur notre lieu de travail même si Ludivine était souvent sollicitée...Mais nous aimons toujours autant le sexe... Il ne faut pas en promettre à Ludivine et de mon côté, dans le milieu de la trentaine, je dois avouer que je suis assez performant ! Mais ça, c’est une autre histoire.

Ludivine est ce qu’il est convenu d’appeler une BELLE PLANTE. A trente ans à peine, elle a une silhouette longiligne de danseuse, mais sa taille (presque un mètre quatre-vingt) l’a empêchée de continuer dans cette voie... Elle a eu quelques contrats, mais l’âge venant, elle a été remplacée par des filles plus jeunes... mais ainsi, elle est plus disponible et ne saute plus d’un avion dans un autre comme elle le faisait jadis avant notre rencontre... Elle a de longs cheveux blond cendré et de grands yeux verts. Sa bouche étroite aux lèvres ourlées appelle le baiser. Sa poitrine est plutôt menue (elle taille 85 B) et sa taille est mince et souple. Ses fesses sont en rapport avec le reste de son corps, fermes et bien galbées.
De mon côté, je suis un peu plus âgé... De mes années de rugbyman amateur, il me reste une haute stature : 1m,92 et un corps musclé aux épaules larges... Mes cheveux sont légèrement crépus (ascendance noire à plusieurs générations) et ma peau est un peu ‘café au lait’. Après avoir enchaîné des petits boulots et tourné quelques séquences dans des films pour adultes, j’ai été embauché dans ce fameux cabaret de Montmartre comme vigile chargé de filtrer les entrées et éloigner les indésirables... Nous avons assez de clientèle avec les agences de voyages qui déversent plusieurs fois dans la soirée leurs groupes de touristes avides de découvrir le Paris by Night !

A la suite de la défection d’une barmaid, le patron de la boîte a recruté Anita, une fille originaire d’Amérique du sud, très typée, brune de peau avec de longs cheveux noirs toujours noués en queue-de-cheval ou nattés dont l’extrémité arrivait au creux des reins...Elle secondait Ludivine et un barman (qui faisait aussi office de videur quand le besoin s’en faisait sentir).

Au bout de quelques mois, Anita nous a pris à part à l’issue de notre service... Elle nous a expliqué qu’elle avait été convoquée par la police pour faire le point sur sa situation... Elle n’avait qu’un visa de tourisme et pour obtenir un visa temporaire lui permettant de travailler officiellement, elle devait justifier d’un domicile autre qu’un hôtel...D’un bel ensemble, Ludivine et moi, nous avons répondu :
— Mais bien sûr... on peut te fournir une adresse...— Même mieux... en nous serrant un peu, tu peux venir loger chez nous... Tu auras le divan si tu veux t’en contenter.— Mais c’est génial...

Sur le coup, j’ai été surpris de la proposition de Ludivine, mais après tout, avoir deux femmes à la maison, pourquoi pas...Cela ouvrait éventuellement des horizons !
Anita s’est installée chez nous... elle avait peu d’affaires personnelles, car l’essentiel de sa garde-robe (comme celle de Ludivine) se trouvait dans les vestiaires du cabaret. En fait, c’était une garde-robe très sexy...

Plusieurs semaines avaient passé... Nous étions installés dans une routine qui désormais était bien réglée. Au retour du cabaret, les deux filles passaient successivement dans la salle de bain où elles se douchaient et dès qu’Anita avait terminé, je rejoignais Ludivine dans la chambre après être passé sous la douche... Au réveil, Anita et Ludivine s’habillaient pendant que je flemmardais un peu dans la douce chaleur du lit...En journée et deux à trois fois par semaine, les filles partaient faire du shopping pendant que j’allais à la salle de sports du quartier pour entretenir ma forme et revoir certaines prises qui pouvaient être utiles... Mais les 17h00 étaient vite arrivées, car le spectacle sur scène commençait à 20 heures et entre temps, il fallait compléter le stock de boissons du bar et revoir l’agencement des tables qui avaient été poussées par l’équipe de nettoyage.

C’est au retour d’un court voyage en province pour un événement familial que j’ai découvert le pot aux roses...J’avais voyagé par un train de nuit et je comptais faire la surprise à Ludivine en apportant les croissants du petit-déjeuner...Lorsque je suis entré dans la pièce à vivre, j’ai vu que le divan sur lequel dormait habituellement Anita n’avait pas été découvert ! Quand je suis entré dans notre chambre, j’ai trouvé les deux filles endormies dans les bras l’un de l’autre... En s’éveillant, Ludivine a dit, tout étonnée :
— Oh... déjà là ?— .......— Génial... des croissants pour le petit-déj’ !
Devant cet accueil mitigé, je ne savais trop quoi faire et penser, mais ma copine a poursuivi :
— Anita avait froid toute seule et elle est venue me rejoindre... Nous nous sommes réchauffées mutuellement !— Réchauffées... Tu veux rire ! Vous avez joué à la bête à deux dos !— Tu ne crois pas si bien dire et en plus, j’ai eu une fameuse surprise !— Dis voir !— Comment dire... Anita n’est pas celle que nous croyons... elle a un magnifique ‘service trois-pièces’ entre les jambes et elle sait s’en servir ! C’est une ‘shemale’ !— Tu m’en diras tant ! Autrement dit, elle t’a baisée ?— Oouuiiii ! Et j’ai utilisé mon gode ceinture pour la sodomiser ensuite !
En entendant notre conversation, Anita s’est éveillée et elle s’est mêlée à nos propos :
— Depuis le temps que tu reluquais mes seins et mon cul, tu vas en profiter ! J’espère que tu as les couilles pleines ?— Oui... J’ai été parti quatre jours et j’ai été sage... les enterrements ne sont guère propices à la gaudriole !— Gaudriole ?— Baiser si tu veux...— Alors, rejoins-nous... deux heures avant l’heure habituelle du lever... ce sera suffisant !
En moins de deux minutes, j’étais aussi nu que les deux filles ( ? ) et je me suis glissé dans le lit !J’ai subi un double assaut en règle : pendant que Ludivine m’embrassait, Anita s’est penchée sur mon bas-ventre et a embouché mon sexe en disant qu’elle allait me faire du bien... Elle a joué quelques minutes avec mon gland puis elle a avalé ma bite jusqu’au plus profond de sa gorge... Elle s’y est prise en plusieurs fois, car (sans me vanter...) je suis assez bien monté !Que sa bouche était chaude et sa fellation savante, car en même temps, elle triturait mes couilles... Soudain, Ludivine s’est écriée :
— Arrête... je pense qu’il est mûr ! Mets-lui une capote et place-toi en levrette... Je suis sûr qu’il va se laisser tenter par ton joli cul !
Etant bisexuel comme Ludivine, sodomiser Anita serait encore meilleur que de prendre le cul d’un mec !
— OK... c’est quand tu veux et comme tu veux !— Pendant que tu me prendras le cul, je boufferai la chatte de Ludivine... Cela va achever de la réveiller !
Ludivine s’est allongée sur le dos et Anita au-dessus d’elle en 69. Cette dernière avait les fesses levées au maximum, car Ludivine avait glissé un oreiller sous sa tête pour amener sa bouche au-devant du sexe d’Anita qu’elle prit en bouche aussitôt. Je n’avais plus qu’à investir le boyau étroit qui s’offrait à moi, à moitié ouvert et palpitant d’impatience...
— Vas-y... N’hésite pas... mon cul est bien ouvert !
Effectivement, mon sexe est entré dans le sphincter d’Anita sans que j’aie à forcer, comme s’il avait été plein de gel... J’avançais doucement, centimètre par centimètre, jouissant de cette pénétration qui a amené mon pubis contre les fesses. J’étais bien dans cette gaine chaude et étroite et Anita savait y faire, car rapidement, elle a profité de ce que mon sexe était bien ancré en elle pour commencer à masser l’extrémité avec les muscles de son sphincter !
Pendant ce temps, Ludivine suçait la bite d’Anita et caressait nos couilles emprisonnées dans les couilles de l’une et de l’autre...Pas besoin d’aller dans un club coquin... J’avais à ma disposition deux êtres qui ne demandaient qu’à s’offrir...Après quelque temps, j’ai commencé le va-et-vient dans le boyau étroit d’Anita... J’avais mes mains au niveau de la taille et je voyais mon vit apparaître et disparaître dans le sphincter... Mes deux partenaires m’encourageaient à tour de rôle avec des termes de plus en plus crus même en portugais de la part d’Anita.
Et je sentais monter dans mes reins une jouissance forte que je freinais, car je voulais faire jouir Anita en premier... et lorsqu’elle a commencé à jouir, je me suis lâché au fond de la capote...Nous nous sommes affalés sur le côté, bras et jambes emmêlés, mais Ludivine n’avait pas joui !
— Pauvre Ludivine... Tu es restée en rade !— Oh... ce n’est pas grave, car je sais et je sens que nous n’avons pas fini !— Décidément, tu n’en as jamais assez !— Non... maintenant que tu es rentré, j’aimerais qu’Anita et toi, vous me preniez en double !— Le tourne broche ?— Non... un dans ma chatte et l’autre dans mon cul !
Moins d’un quart d’heure plus tard, Ludivine me faisait une fellation pour me remettre en forme... Oh... il ne lui a pas fallu longtemps et elle m’a enjambé pour glisser ma bite dans sa chatte qui était humide... Anita l’avait bien préparée !Elle me faisait face et je voyais ses petits seins se balancer sous mes yeux, les tétons sortis et bandés comme la phalange d’un petit doigt... Elle est montée et redescendue plusieurs fois et lorsqu’elle s’est sentie bien empalée, elle s’est allongée sur mon buste, collant ses seins contre les miens !Placée ainsi, elle s’offrait à la pénétration d’Anita qui avait déjà couvert son sexe qu’elle avait masturbé pour le faire raidir... La bite d’Anita n’était pas très grosse, mais d’une longueur appréciable, très fuselée et elle est entrée dans le sphincter de ma copine sans forcer...Désormais, Ludivine avait deux pines en elle, la mienne dans sa chatte et celle d’Anita dans son cul !
— Allez-y... lâchez vous ! Faites-moi du bien... ça fait quelques mois que je n’ai pas connu une telle pénétration !— Oui... je sais, j’ai vu comment les deux mecs qui t’ont bien prise dans le club...
Mais ce n’était plus le moment de bavarder... Nous avons commencé les mouvements en nous accordant pour que Ludivine ait ce qu’elle voulait, et Anita et moi par la même occasion... Ce n’était pas ma première double, mais celle-ci était des plus érotiques et chaude...Lorsque Ludivine a commencé à jouir, j’ai accéléré mes mouvements en agitant mon bassin pour que mon sexe ramone bien celui de Ludivine qui se pâmait, ayant encore la bite d’Anita dans son cul ! Mais Anita était arrivée elle aussi au point de non-retour... Je l’ai sentie se dégager et dès qu’elle a ôté la capote, elle a pris sa bite en main, l’a masturbée quelques instants et à craché son foutre sur le dos de Ludivine qui s’est exclamé :
— Waouh... vous m’avez bien envoyée en l’air ! Merci !

Désormais, Anita n’a plus besoin de se cacher au moment de prendre sa douche... D’ailleurs, cela m’arrive de la prendre en même temps qu’elle... et ces nuits-là, c’est parti pour un trio bien chaud.Quelques semaines plus tard et après l’accord du propriétaire de l’appartement, nous avons troqué notre lit pour un ‘king size’ de deux mètres de largeur...
C’est lors de l’inauguration que nous avons eu une partie à trois qui a dépassé de loin celle faite à mon retour... Nous étions restés relativement sages pendant une petite semaine et à voir les mines de chattes en chaleur de mes deux amies, je subodorais qu’elles préparaient quelque chose...
C’était un jour de relâche... Nous n’avions pas besoin de nous presser pour aller au cabaret...Ayant plus que transpiré à la salle de sports, j’avais pris une seconde douche dès mon retour à l’appartement et Ludivine était venue me retrouver pour me frotter le dos... Il est évident que nous nous sommes lutinés avant de nous sécher et de nous préparer pour une soirée pyjama !
Pendant que nous étions dans la salle de bains, Anita avait préparé quelques en-cas sur la table de salon et nous avons commencé à regarder un film récent sur Netflix.Bientôt, nous en avons eu assez et nous sommes passés dans la chambre et je n’ai pas tardé à être la victime consentante des manigances de mes compagnes... La préparation d’une partie triangulaire venait de commencer... je vous passe les détails, mais quand Ludivine s’est couchée en chien de fusil au milieu du lit, Anita m’a soufflé à l’oreille :
— Ludivine a envie que tu lui prennes le cul !— Tu crois ?— Regarde sa position... tu as juste à lui écarter les fesses et entrer... Elle vient de mettre du gel dans son sphincter !— Effectivement... c’est tentant !— Alors, vas-y ! Tiens... je te déballe une capote !
Dès que j’ai été couvert, je me suis allongé derrière Ludivine et je lui ai dit quelques mots tendres à l‘oreille :
— Tu sais ce qui t’attend ?— Oh oui... j’ai envie de sentir ta bite dans mon cul. Celle d’Anita n’est pas assez grosse et les godes, ça va bien un temps !
D’une main, j’ai écarté les fesses de Ludivine et lentement, je me suis introduit dans son antre secret qui était accessible... Alors que je commençais à la sodomiser, Anita est venue derrière moi et j’ai senti qu’elle m’injectait du gel dans mon fondement ! J’avais compris... elle allait me prendre le cul en même temps que je me ferais celui de Ludivine ! Je n’étais pas contre !Nous avons accordé nos mouvements et au bout d’un quart d’heure (nous avons laissé retomber la pression plus d’une fois...) nous avons joui tous les trois dans un concert d’onomatopées et de râles de plaisir...A peine désunis, nous nous sommes endormis, les corps imbriqués les uns dans les autres.

Anita n’a plus besoin divan puisqu’elle partage notre lit en permanence.Ça durera ce que cela durera !
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