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Ma copine, son fils et moi

Chapitre 1

Inceste
Ma copine Catherine de 15 ans est plus jeune que moi. J’en ai 64 et elle, 49, elle est ce que l’on peut appeler une belle femme, 1m64, des seins encore bien fermes, 90C, une cambrure à damner plus d’un prude et des fesses bien marquées, rondes et délicates. Elle a un fils de 18 ans, Gaby, joli garçon, mais un peu timide, qui traînaille souvent, parti le week-end dernier chez des amis pour nous laisser le champ libre, car nous voulions repeindre sa chambre. Le soir, Catherine et moi, nous nous apprêtions à aller nous coucher après une journée de peinture quand soudainement, la porte de l’appartement s’ouvrit. Gaby rentrait, car sa voiture était en panne, ses amis ne pouvant venir le chercher, il était allé dans un bar passer quelques heures et n’ayant pas rencontré des potes, il avait décidé de revenir.
Sa chambre étant inhabitable à cause de l’odeur de peinture, il allait dormir sur le divan qui ne se dépliait pas, quand ma femme et moi nous nous sommes regardés et d’un commun accord, lui ai proposé de dormir dans notre lit où, même s’il était à l’étroit, il serait plus confortable que dans le divan.
Pour une nuit, ce n’était pas la mer à boire comme lui dit Catherine. Après deux secondes de réflexion, il accepta et fila à la salle de bain, un sourire sur son visage qui m’interpella légèrement, Catherine n’ayant rien remarqué ou ne le laissait pas paraître.
Un quart d’heure plus tard, Catherine et moi déjà couchés, nous nous caressions tout en étant à l’écoute de la venue de Gaby. Il arriva et Catherine lui dit de se mettre sur le côté du lit, elle dormirait au milieu, entre "ses hommes", ajouta-t-elle, malicieuse.
Je caressais discrètement les cuisses de mon amie pendant que nous regardions la télé. Gaby était assis dans le lit et à un moment, je le vis jeter un œil par-dessus la couette, sur ma main qui courrait et pour ne rien cacher, le mouvement des jambes de Cathy nous trahissait aussi. Par jeu, je laissais ma main remonter vers l’antre de Cathy, elle écarta légèrement les cuisses, ce qui eut pour effet que celle de gauche vint toucher la cuisse de son fils. Je ne m’en rendis pas compte de suite, c’est en caressant sa cuisse que je trouvais bien chaude, que ma main effleura celle de son fils qui ne fit toujours rien pour la bouger. Il semblait paralysé, peut-être de peur de nous interrompre, il n’aimait pas trop déranger. Je remarquais alors qu’il regardait plus le mouvement de la couette que l’écran.
Par curiosité et aussi excité à la vue de ce regard intéressé, j’embrassais sa mère tout en regardant sa réaction, il ne détournait pas le regard, de la bouche, je descendis dans son cou, elle commençait à miauler légèrement, sa main cherchait mon sexe en érection, dur comme il le fut rarement, tant je commençais moi aussi à être excité par cette situation.
Je passais ma tête sous la couette et lui butinais les seins puis en pris un à pleine bouche. Cathy ruisselait, sa fente était si humide, on aurait pu croire qu’elle venait d’uriner. Elle se tortillait maintenant, le frottement de sa cuisse sur celle de son fils devait se faire plus pressant et Gaby ne bougeait pas, il commençait à être excité, ça se voyait dans son regard qui croisa le mien. Je lui souris, il me répondit de même. Ma main - volontairement - caressa la cuisse de Cathy et celle de Gaby, il ne bougea pas, j’insistais puis ne voyant pas de réaction hostile, il paraissait figé, je pris ça pour un assentiment et je m’aventurais sur ses fesses.
Je n’avais jamais eu de relations homos, n’y avais même pas vraiment un jour pensé, mais le voir là, tétanisé par ce qu’il voyait de par son excitation, de plus il est beau et fin, je commençais à désirer caresser son p’tit cul. Ses fesses se contractaient sous mes doigts puis il poussait avec sur mes mains vers le matelas, comme pour les retenir. Cathy oubliant peut-être que son fils était à nos côtés couinait de moins en moins discrètement. Son fils se colla contre sa mère et sa mère aussi se collait de plus en plus à lui. Ma main retourna vers sa chatte, je caressais son clitoris tendu comme une p’tite bite, j’introduisis mes doigts dans sa chatte, faisant des va-et-vient puis j’en sortit pour retourner sur les fesses de Gaby, écartant son slip, ses fesses étaient délicieusement douces. Je caressais sa raie culière et d’un de mes doigts humides de la cyprine de sa mère, je titillais sa rondelle pour qui, c’était sûrement la première fois.
Il serra pour ne pas geindre, son souffle devint plus saccadé et plus bruyant.
Sa mère s’en rendit compte et se tournant vers lui, les yeux brillants, lui demanda s’il était bien avec nous. Il émit un oui qui semblait dire : je jouis. Puis elle se pencha vers moi et me dit, sois doux. Je pris ça comme si elle me donnait sa permission, à ma grande joie étonnée. Je dois avouer que la situation commençait à être très excitante, pour tous les trois apparemment. Gaby - maintenant - avait le sexe bandé collé à la fesse de sa mère. Elle ne pouvait l’ignorer et la découvrait plus vicieuse que je ne le pensais. Je pris la main de Gaby, il comprit que je voulais qu’il se masturbe, mais je lui mis sa main sur la cuisse de sa mère. Il resta un instant tétanisé et voyant que sa maman ne réagissait pas, du moins négativement, elle émit même un huuuum, il commença à explorer son corps timidement entre la fesse et la hanche.
Pendant ce temps, j’avais une main qui caressait la chatte de sa mère et l’autre qui fouillait de plus en plus chaudement l’antre culier de Gaby, deux doigts - maintenant - titillaient l’intérieur de son anus, chaud et doux, la paroi de son intestin semblait soyeuse.
Je ne pus résister à l’envie de lui faire goûter son propre cul et lui enfournais mes deux doigts dans sa bouche, qu’il goûte son intérieur. Cela ne sembla pas le dégoûter, bien au contraire, il lécha les doigts, puis les suça, me regardant droit dans les yeux, comme une petite vicieuse ferait. Sa mère dit à son fils qu’il devrait se mettre à l’aise. Il souleva ses fesses et sa mère et moi tirâmes sur son boxer. Elle prit alors son sexe en main et commença à le masturber tout en me suçant, de plus en plus frénétiquement, elle aussi était excitée comme jamais. Je me penchais, aimanté par sa bite de jeune homme, elle m’attirait autant que l’abricot de sa mère. Je ne résistais pas longtemps et commençais à la lécher ainsi que les doigts de sa mère qui allaient et venaient sur son mat, empli de vigueur. Gaby releva la tête et se mit à lécher les seins de sa mère.
Sa mère accéléra le mouvement sur sa bite. De ma salive, je mouillais ses doigts pour qu’ils glissent mieux sur sa queue, elle reluisait, tant elle était astiquée.

Je ne tenais plus, je le fis tourner sur le côté et tout en embrassant son cou puis son dos, ma langue dansait sur ses pores, je dirigeais ma bite vers son anus. Je n’eus pas à forcer, il s’offrait avec fébrilité, il poussa de ses fesses sur ma bite pour que je le pénètre plus facilement. Ma bite dans ses intestins semblait glisser dans de la soie. Ma copine prit alors le sexe de son fils en bouche, il sembla disparaître complètement entre ses lèvres. Elle qui n’avait encore jamais voulu avaler mon sperme, avala le jus de son fils et continua à le sucer, jusqu’à ce que j’arrive à la jouissance moi aussi, léchant tout dans son cul dilaté. Il resserrait les fesses comme s’il voulait garder mon sperme pour toujours en son antre. Maintenant, sa mère lui demanda son dû, elle voulait jouir aussi, elle releva les cuisses, les écarta et en se doigtant, demanda à son fils de la lécher.
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