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Copulation inimaginable

Chapitre 1

Plaisir cosmique

Divers
Mon cœur battait la chamade, je vomis. Il faut dire que cela faisait presque deux mois que nous naviguions dans l’espace à bord de la navette Endor-IV. Je me nomme Philippe Wilcox et je m’apprêtais à rentrer dans la légende. Je n’avais à l’époque que 26 ans, et après avoir suivi un entraînement physique et mental intense, j’avais été sélectionné pour participer à l’expédition sur Mars. Le métier d’astronaute n’avait jamais été un métier qui me faisait rêver, mais lorsque je voyais les réactions autour de moi, je savais que je devais le faire, que c’était une expérience inédite.
L’entraînement nous avait préparés à manger des plats inodores et sans saveurs, ainsi que le manque de nos proches. Tous les jours, des routines nous empêchaient de devenir dingues. Les communications vers la terre avaient cessé lors de la première semaine due à la distance. Cependant, je pouvais discuter avec le reste de l’équipage et cela faisait du bien au moral.
Néanmoins, quelque chose me manquait plus que tout : le sexe. Cela peut paraître trivial, mais passer deux mois avec des inconnus ni aucune intimité et vos pulsions reprendront très vite le dessus. Il fallait dire qu’avec les astronautes de base, il y avait une équipe de tournage chargée de nous filmer afin de faire un futur documentaire sur "les premiers hommes de Mars". Ces caméras augmentaient notre sentiment d’être observés et de n’avoir le droit à aucun moment libre.
Le plus frustrant est qu’il y avait à bord une femme d’une beauté infinie. Elle s’appelait Dolores, une grande mince aux cheveux châtains. Elle était américaine, et son accent quand elle parlait français me faisait craquer. Cependant comme tous les hommes étaient sur les crocs avec elle, je n’avais jamais eu l’occasion de lui faire la cours et espérer plus.
Un soir, après une soirée festive suite à l’anniversaire d’un membre d’équipage. Je me décidais à aller la draguer. J’attendis devant nos "toilettes" où elle était partie se soulager. Je fis attention que personne ne me voit. Lorsqu’elle sortit, elle s’arrêta devant moi. Sans dire un mot, je m’avançai vers elle et l’embrassai. Elle me rendit mon baiser et nous commençâmes à nous embrasser de manière volcanique. Nos mains touchant nos combinaisons, je commençais à avoir une érection d’enfer. Ses lèvres sur les miennes me rappelaient ce que cela faisait d’être humain. Elle commença à m’embrasser la commissure des lèvres, plus le cou. Mon pénis était au garde-à-vous, probablement déjà en train de baver. Je posai ma main sur son t-shirt et m’apprêtais à regarder cette poitrine qui m’avait tant fait fantasmer.
Soudain, un voyant rouge s’activa, plongeant la cabine dans une ambiance sanglante. Bientôt, une alarme criarde retentit, semblant vomir des hurlements métalliques. Je sortis de ce moment de tendresse, et aperçus les membres de l’équipage "courir" dans tous les sens le visage paniqué. Youssef, un autre astronaute m’attrapa par le col et me secoua les yeux exorbités:
— On a touché un truc, la navette va s’écraser ! on va s’écraser ! On va s’écraseeeeeeer !
Tandis que j’écoutais mon collègue, un long remous vint secouer l’appareil, me plaquant au mur. C’est là que j’entendis quelque chose, comme une mélodie qui pénétrait mon esprit, me faisant oublier tous le reste autour. C’était comme un frottement entre deux morceaux de bois lisse qui se mêlait à un coassement de crapaud. Cette mélopée me contenta, puis nous nous écrasâmes.
Je me réveillai avec une migraine atroce, mes yeux voyaient flous et ma bouche avait un goût de cendre et de sang. Je me levai et regardai autour de moi. Je reposai dans un lit de fortune fait de paille et de granit. La pièce où je me trouvais ressemblait à une grotte, avec des stalactites caverneuses au plafond. Mais le plus incroyable était de faibles lueurs bleues qui se déplaçaient dans les airs et illuminaient la pièce. Je voulus en attraper une, mais elle s’évapora dans mes mains. J’eus à peine le temps de comprendre que j’entendis la voix de Youssef:
— Tu es enfin réveillé! j’avais peur que tu sois mort ! Je n’aurais pas voulu me retrouver ici tout seul !— Où sommes-nous ? — Je crois... je crois... que nous avons atterri sur la planète.— Sur Mars ? Ce n’est pas possible, comment ferions-nous pour respirer sans casque ?
Youssef tourna la tête et me montra du doigt une sorte de limace noire qu’il avait dans le cou. Je tâtais à mon tour mon cou et sentis cette même limace. Je voulu la retirer et Youssef hurla:
— Non ne la retire pas ! J’ai essayé, cela m’a empêché de respirer. Je crois, je crois qu’on nous a mis ça pour survivre. Philippe, il y a d’autres choses là dehors. Je ne sais pas ce que c’est et je ne veux pas le savoir. Il faut qu’on trouve un moyen de partir Philippe, fais-moi quitter cet endroit.— Ne t’inquiète pas, on va trouver une solution.
Nous étions tous les deux nus et impuissants dans cette situation, et je ne savais que faire dans ce monde inconnu.
Soudain, une porte de pierre s’ouvrit, et en sortit une chose monstrueuse. Les mots des hommes ne sauraient décrire une telle horreur dans toute sa complexité et son abomination. Je ne pouvais concevoir qu’un animal, un objet ou élément physique puisse ressembler à cela. La chose reposait sur un amas gélatineux vert, recouvert à quelques endroits d’épais poils. De cette gelée, sortaient deux barres en métal qui se terminaient par des pinces organiques. Mais le pire, et ce qui rendrait n’importe quel esprit malade, était-ce qui semblait être sa tête. Un long cou d’un mètre sortait de l’amas gélatineux pour donner naissance à une sphère pleine de tentacules s’agitant inlassablement dans un bruit liquide répugnant. Le plus effroyable était une excroissance qui poussait au sommet du crâne et portait un immense globe oculaire qui devait lui servir d’œil. Sans cligner des yeux, la chose s’approcha de Youssef qui se mit à hurler. Comment l’en blâmer face à une conception cosmique ?
Le tas gélatineux s’arrêta devant lui, puis en un mouvement brusque lui décrocha la tête avec sa pince organique.
Je restai pétrifié tandis que la tête de Youssef roulait au sol à côté de son corps décapité. La chose s’approcha de moi. Elle devait mesurer 2 mètres ou 2 mètres trente en comptant son œil scrutateur. Allais-je subir le même sort que mon collègue ?
J’eus un réflexe assez stupide et irréfléchi. Lorsque j’aperçus les poils sur la gelée, je fis comme avec mon chien, je les caressais. Puis je repliais mes doigts en grattant la surface. La chose s’était arrêtée, comme figée. J’observais son œil, mon seul point de repère. Ce dernier regardait en haut, signe d’un plaisir évident. Je continuai mes grattouilles, car ma vie en dépendait !
Mes doigts s’enfoncèrent de plus en plus dans l’amas gélatineux. J’avais l’impression de rentrer dans un yaourt. A l’entrée de mes doigts dans son "corps", les tentacules de sa tête se mirent à virevolter plus vite et dégageaient une substance jaunâtre accompagnée d’une odeur de souffre. Je continuais, et compris que je lui apportais du plaisir. Au fur et à mesure que mes doigts la comblaient, la créature me parut de moins en moins repoussante. Je me surpris même à avoir un début d’érection.
Soudain, un tentacule visqueux sortit de l’amas gélatineux et encercla complètement ma queue. J’avais l’impression d’avoir mon pénis dans un Flamby. Puis je sentis autour de ma verge, des centaines de petites pressions. C’était si agréable ! Comme un massage précis qui ravivait mes sens. Je poursuivis ma besogne en rentrant mes poings dans la créature, ce qui semblait tout autant lui plaire. C’est là qu’elle commença ce que je ne pourrais expliquer.
Les points de pression étaient délicieux. Mais l’enveloppe gélatineuse se mit à vibrer, puis les points de pression à se déplacer petit à petit. La créature était en train de me branler ! Mais c’était plus fort que ça, la pression se déplaçait le long de mon pénis puis allait de plus en plus vite, au début à une vitesse classique puis à une vitesse impossible à réaliser. J’avais l’impression d’être à la fois protégé sous ma gaine de peau et d’être décalotté au max. Je n’arrivais presque plus à bouger tant c’était intense et ne pouvait plus satisfaire la chose qui elle poursuivait son office.
La pression dans ma queue était divine, vibrante et enchaînant ma chair dans un va-et-vient cosmique infini. J’eus l’impression que mon corps allait fondre sous l’inondation du plaisir. C’était comme une bouche chaude accompagnée d’un millier de soldats au service de mon désir. Soudain, je sentis l’orgasme monter. Partant de mes couilles. Chaque escalade était terriblement intense et toutes les sensations de mon corps se réunissaient vers mon pénis comme s’il n’existait rien d’autre. Je sentis ma jouissance au niveau de mon gland et l’explosion ultime. Un feu d’artifice incroyable.
Le plus fou était que malgré mon orgasme, le plaisir continuait de monter en moi, comme si mon pénis n’avait pas atteint l’orgasme. En ébullition, mon gland était l’épicentre de ce plaisir qui se propagea jusqu’à mon bas-ventre, mes jambes et atterrit dans ma tête. Mon enveloppe corporelle n’était pas suffisante pour encaisser tout ce plaisir et tous mes nerfs jubilaient et dansaient dans un bien-être et une extase absolue. Je voyageais dans un cosmos lointain où tout allait bien, massage, orgasme, tout était présent. Chacun de mes sens était satisfait.
Après ce voyage astral, je retombai sur mon lit de paille tandis que la chose quitta la pièce. L’esprit encore embrumé, je me demandais quelle allait être la suite des événements. Que m’était-il arrivé? Qu’était-ce que cette chose ? Dolores était elle en vie ? Je devais répondre à toutes ces questions.
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