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Coquillages et doigts de pieds

Chapitre 1

Inceste
Les vacances d’été venaient de commencer et j’avais quitté l’internat de mon lycée pour rejoindre mes parents qui avaient loué une villa sur la côte d’Azur. L’année passée, j’avais échoué de quelques points seulement au baccalauréat et mon père avait décidé que pour mon redoublement, l’internat me donnerait toutes les chances de mieux travailler. Il m’avait également promis qu’en cas de succès à l’examen et ma majorité récemment acquise, mon permis de conduire me serait offert. Durant cette année d’internat, j’avais non seulement suffisamment bien travaillé pour obtenir mon bac mais j’avais aussi révélé mes penchants bisexuels avec mes camarades de pensions. Plutôt grande et mince, des cheveux blonds coupés très courts qui mettaient en valeurs mes yeux verts, j’avais eu pas mal de succès auprès de mes compagnes de dortoir.Pour l’heure, j’avais du délaisser Nadège, ma dernière petite amie en date. Elle aussi avait dû rejoindre ses parents mais sur la côte atlantique et l’éloignement nous pesait à toutes deux. Nous nous téléphonions plusieurs fois par jour mais j’avoue que ses baisers et ses caresses me manquaient cruellement et je compensais en me masturbant chaque fois que je le pouvais.Cet après-midi-là, mon père était parti pêcher en mer avec un groupe d’amis et il ne devait rentrer qu’en soirée pour ce qui s’annonçait comme un interminable apéritif. Ma mère et moi avions donc décidé de profiter de la piscine clôturée par une végétation haute et de bronzer nues à l’abri des regards indiscrets. Après quelques brasses dans l’eau fraiche, nous avions « tombé » les maillots et allongées tête-bêche sur nos draps de bains, nous regardions le ciel en laissant les rayons du soleil glisser sur notre peau.Je me redressai légèrement pour prendre mes lunettes de soleil et par hasard, je posais les yeux sur le corps de ma mère. Celle-ci était aussi brune que j’étais blonde et, si j’avais pris soin d’épiler ma chatte, celle de ma mère en revanche se couvrait d’un tapis d’ébène au triangle parfaitement entretenu. Innocemment, je lui demandais pourquoi elle ne s’épilait pas :— C’est ton père qui préfère. Il dit que ça conserve mieux les arômes ! »Avec ma mère, nous avions toujours eu une grande liberté de paroles et de ton. Nous évoquions nos sexualités sans détour mais je dois avouer que cet aveu et le manque sexuel qui me tenaillait le ventre depuis des jours, me fit l’effet d’un coup de bâton. L’idée d’une bouche fouillant ce sexe gluant pour en goûter les sucs les plus intimes me donna une envie furieuse de porter la main à ma chatte. Mais je me retins et pour me rafraichir les idées, je proposais à ma mère d’aller nous chercher deux sodas. Elle acquiesça avec plaisir et quelques instants plus tard, j’étais de retour avec deux grands verres. Je posais celui de ma mère près de sa tête et mes yeux glissèrent encore vers sa poitrine lourde aux seins généreux couronnés de larges aréoles brunes, sa toison épaisse, ses cuisses bronzées, jusqu’à ses pieds qu’elle avait minuscules.C’étaient des pieds de poupées aux traits réguliers et à la cheville fine au bout desquels ses orteils faisaient comme de minuscules tétons. Je les admirais un instant car j’ai toujours été attirée par les pieds féminins. D’ailleurs, j’ai toujours pris grand soin des miens, les confiant aux soins d’une manucure, les enduisant chaque matin de crème protectrice, les talquant le soir avant de me coucher. C’est sans doute de là aussi que vient ma passion pour les chaussures. Passion assez ruineuse au demeurant et qui avait englouti une bonne partie de mon argent de poche…Tout en observant ses pieds, je repris ma position mais en me décalant un peu cette fois-ci. Mes jambes étaient repliées presque sous mes fesses et mes orteils se posèrent sur la plante de ceux de ma mère. Elle gloussa au contact de cette chatouille et se releva légèrement pour prendre une gorgée de soda. Chacun de mes orteils s’était animé d’une vie propre, comme de minuscules tentacules qui se posaient, palpaient, tâtaient les pieds de ma mère. Celle-ci avait redressé ses voutes plantaires et, convaincue de l’innocence de mes gestes, les offrait sans retenue à l’exploration que j’avais entreprise. J’en profitais pour insérer à la manière d’un coin dans une bûche, mes orteils entre ses pieds qu’elle avait gardés serrés et d’une douce pression, j’obligeais ma mère à écarter ses jambes. Au-dessus de nos têtes, le soleil irradiait sa douce chaleur. Des milliers de cigales stridulaient autour de nous dans un vacarme presque assourdissant. Nous étions seules au monde à cet instant…Relevant le dos et prenant appui sur mes coudes, je contemplais mes propres pieds en train de danser sur ceux de ma mère mais ce qui me captiva encore plus, ce fut la fente que le compas de ses cuisses avait dévoilé. Large, obscène et ourlée de poils, elle ressemblait à une bouche sur laquelle je rêvais de poser mes baisers et d’enfouir ma langue.Sans que je puisse quitter des yeux ce sexe si tentant, mes pieds remontèrent doucement le long de ses chevilles et s’enroulèrent autour de ses mollets. En même temps et subrepticement, j’amenais par de douces pressions entre ses jambes, ma mère à les écarter encore plus largement. Au milieu de son tapis d’algues sombres, le coquillage maternel commença à bailler et dévoila des nymphes roses-brunes…Mes orteils continuaient leur danse atteignant maintenant les genoux sur lesquels ils se posèrent un instant avant de reprendre leur envol. Les yeux clos, ma mère restait immobile mais sa respiration s’était accélérée et je voyais son ventre se creuser. Ses mains posées à plat sur le carrelage de la piscine se crispaient doucement…Elle replia brusquement ses genoux tout en gardant ses jambes largement écartées, à la manière d’une patiente sur la table de son gynécologue. Son sexe s’écartela encore un peu plus et découvrit l’entrée luisante du vagin, signe indiscutable que ma mère mouillait sous l’effet de mes caresses… Mes pieds parcouraient maintenant la face interne de ses cuisses, là où la peau est si douce. J’effectuais des allers retours langoureux entre le pli de ses fesses et le creux de ses genoux et à chaque fois, ma mère évasait un peu plus le compas de ses cuisses. Sa respiration était devenue un peu plus saccadée et elle avait posé un de ses bras juste sous sa poitrine. Le plus discrètement possible, elle essayait de se caresser un sein et peu à peu son pouce atteignit la frontière sombre de son aréole.Mes orteils maintenant à quelques centimètres de sa chatte, je posai la plante de mes pieds le long de son aine comme pour encadrer le buisson poilu de son pubis. En même temps, j’appliquai une douce pression qui eut pour effet d’écarter encore plus largement sa chatte dont je ne perdis aucun détail. Le clitoris avait fini par jaillir de ses replis de chair luisante, plus bas, le puits de son vagin s’était élargi. Je pris une profonde inspiration et délicatement, je relevais mon pied droit avant de le poser tout doucement sur la fente gluante de ma mère.Celle-ci eut comme un hoquet et en profita pour faire remonter sa main sur son sein gauche et avoir ainsi un accès plus facile au téton qui s’était érigé. Immobile, je me contentai dans un premier temps d’appliquer de douces pressions sur le clitoris de ma mère et de coller ma voute plantaire le plus étroitement possible au con maternel. Cette sensation était totalement nouvelle pour moi. Ma mère semblait l’apprécier tout autant car je sentais son bassin s’avancer au fur et à mesure que je décollai mon pied de sa chatte avant de l’écraser à nouveau sur les replis baveux.Au bout d’un instant, ce furent mes orteils qui frôlèrent son clitoris. Mes doigts de pieds s’enhardirent et se glissèrent plus profondément dans la fente poisseuse, s’amusant à en écarter les replis ou à se glisser entre ses fesses.Dans un soupir, ma mère posa sa main libre entre ses cuisses et agrippa ma cheville. Ce geste signifiait qu’elle n’était plus dupe de la prétendue innocence de mes gestes et qu’elle m’encourageait à continuer cette séance de masturbation. D’ailleurs, ses doigt caressèrent mon pied et jouèrent un instant avec les orteils qui lui fouillaient la chatte. Je repris donc mes caresses de plus belle et ma mère, abandonnant mon pied, saisit ses seins à pleines mains pour les pétrir et en pincer les bourgeons. Le pouce de mon pied trouva l’entrée de son vagin et s’enfonça de quelques centimètres.Ma mère grogna et accompagna cette pénétration d’ondulations de son bassin. Je sentais qu’elle voulait que ça rentre plus loin, que ça s’enfonce plus profondément. Alors, je reculai brièvement mon pied et je joignis mes orteils de manière à ce qu’ils forment le cône d’une fusée. Le pouce reprit sa place dans le vagin maternel mais les autres orteils le rejoignirent aussitôt, écartant les parois, les évasant à la manière d’un entonnoir. Mon autre pied avait pris place sur sa chatte et titillait le clitoris de ma mère. Cette dernière gémissait de plus en plus fort et arquait son bassin comme pour mieux s’offrir. Lorsque tous mes orteils furent fichés dans son vagin, j’appliquais une lente poussée, juste « pour voir ». Mais à ma grande surprise, le con maternel aspira le tiers de mon pied et ma mère poussa un cri rauque. Son bassin s’agita de soubresauts tandis qu’elle atteignait son premier orgasme et une mouille épaisse et grasse s’écoula. Ce lubrifiant naturel suffit à faire progresser mon pied de plusieurs centimètres supplémentaires…Je n’en revenais pas. J’avais déjà souvent entendu parler de fist et de pénétrations hors normes. L’une de mes camarades de dortoir avait même voulu que j’enfile ma main entière dans sa chatte mais je n’y étais pas parvenue. Mais là, c’était tout mon pied qui se retrouvait au fond d’un vagin, celui de ma propre mère de surcroît. Je sentais les parois de son con m’envelopper à la manière d’une chaussette et des spasmes contractaient mes orteils. Ma mère entama des mouvements de va et vient, cherchant à s’empaler plus profondément sur le pied qui lui fouillait les entrailles. A l’intérieur de sa chatte, mes orteils s’étaient animés d’une vie propre et ondulaient jusqu’au tréfonds. Poussant des cris de plus en plus stridents et des « Oui, Oui, Ouuuuiii ! », ma mère fut terrassée par un deuxième orgasme.Je la laissais reprendre ses esprits et je voulus libérer mon pied de sa prison de chairs moites. Mais ma mère agrippa ma cheville pour m’obliger à rester en elle et se redressa. Elle me dévisagea longuement comme si elle voulait s’imprégner de ce qui venait de se passer entre nous. Ses doigts courraient le long de ma cheville et remontaient vers le mollet. Des frissons m’animaient et je tremblais de désir qu’elle progresse encore plus haut, vers mon sexe imberbe et dégoulinant…Au lieu de cela, elle finit par retirer mon pied de sa chatte et le porta à sa bouche pour sucer consciencieusement chacun de mes orteils. Puis, elle déclara :— « Ton père est encore à la pêche pour 2 ou 3 bonnes heures et le soleil risque de nous brûler la peau. Nous devrions rentrer à la maison et profiter de l’ombre et de la fraîcheur de ma chambre… »(A suivre…)
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