Hector enfilait les bières et Loïc l’accompagnait au même rythme. Ils buvaient et parlaient, mais Hector n’avait tenté aucune « approche » et n’avait eu aucun geste déplacé à l’égard de celui qu’il appelait « la petite salope à Marc ».Si l’attitude physique n’était nullement invasive, les mots étaient crus et directs. Loïc était de plus en plus mal à l’aise, mais rassuré de voir que finalement, il ne s’en sortait pas trop mal.Enfin, rassuré, le terme n’est pas vraiment bien approprié, plus Hector était loin de lui, mieux il se portait, mais il n’avait aucun doute sur les intentions de son interlocuteur qui étaient d’ailleurs très explicites à son sujet et sur ce qu’ils feraient. — Tu verras ma petite fiotte, je vais te faire couiner comme une truie comme égorge. Lui disait-il par exemple.D’autres fois, il s’amusait de manière plus « littéraire » — Je te savais par Marc introverti et de ce qu’il m’a dit depuis qu’il t’a introduit, tu es devenu inverti. Mais le temps passé, les bières s’enfilaient et les vessies se remplissaient. Hector se leva pour se diriger vers les toilettes afin de se vidanger un peu et laissa Loïc seul dans le salon.Quelques minutes plus tard, il entra en braillant : — Pour « l’orifice de Lucifer » qui, « porte de l’enfer », va m’offrir le Paradis, assez de discutaille l’encaldossé, c’est l’heure de t’empapaouter. Il s’approcha de Loïc, lui prit la main pour l’obliger à se lever. — Va faire pleurer ton inutile avant que j’inonde ta cave à merde ! Il conduisit le mari de Chloé jusque dans les toilettes et le regarda faire. — Eh bien, l’inutile est si futile qu’il me faut bien le fixer pour le voir… ta chieuse doit se faire chier au lit avec si petit ustensile ! Quand Loïc eut terminé, il sentit la main d’Hector qui lui pelotait les fesses.
— Bon maintenant que t’as tout vidé, à mon tour. Loïc s’écarta pour lui laisser la lunette des WC. Hector éclata de rire. — Non pas ainsi, allez, vient ! Il le conduisit jusqu’à la chambre et le déshabilla. Loïc n’osa intervenir, ni en parole, ni en geste et se laissa tout simplement faire. Hector se mit à son tour nu et s’allongea sur le lit. — Vient saluer Totor, le copain d’Hector ! Lui dit-il en prenant son sexe en main. Loïc hésita, mais s’approcha du vieil homme. Il caressa timidement le sexe de son compagnon. — Ne fais pas ta timide ! Loïc branla son ami avec plus de détermination. — Voilà, c’est mieux, lubrifie-le avec ta salive. Afin de lui obéir, il cracha sur le gland et étendit la salive sur la hampe avec sa main. — Non pas comme ça, avec ta bouche. Loïc le regarda d’un air apeuré. Il avait bien compris ce que son partenaire lui demandait, mais il n’avait nullement envie de sucer la queue de ce bedonnant personnage. — Merde, t’est lourd et dur à la comprenette… suce moi ! L’ordre avait été donné sèchement et Loïc sans réfléchir commença à prendre dans sa bouche la queue de son partenaire.Il le suça un bon moment, Hector se laissa faire passivement dans un premier temps, puis de sa main droite, il commença à tripoter les bourses de son comparse. L’effet fut quasi immédiat, le sexe de Loïc se dressa fièrement. — Et bien ma chochotte, on dirait qu’on aime ça ! Il prit la tête de Loïc entre ses mains et l’approcha de la sienne, puis il colla ses lèvres contre celle de son amant et laissa sa langue forcer le passage pour venir inviter celle de Loïc à tournoyer ensemble.Le mari de Chloé avait cherché à résister en serrant ses lèvres, puis, quand le passage fut franchi, il essaya de fuir le baiser, mais abdiqua rapidement et le rendit même à la fin avec un réel enthousiasme.Le baiser était maintenant passionné et les mains d’Hector malaxaient énergiquement les fesses de son béguin. Loïc s’abandonna complétement dans cette étreinte pédéraste et se laissa naturellement mettre sur le ventre par son partenaire. Ce dernier glissa l’oreiller sous le ventre de son compagnon pour lui offrir un meilleur angle et commença à lui lubrifier l’anus en lui pratiquant une feuille de rose.Puis, il se positionna sur son partenaire et d’un coup sec il pénétra sa rondelle. Loïc ne put retenir un cri de douleur, mais il ne chercha pas à fuir la charge ni à expulser l’intrus.Hector s’activait, sa bite perforait l’anus de son amant avec une telle frénésie que la brulure était intense pour Loïc. Hector ne prenait aucune précaution et ne cherchait nullement à adoucir ses assauts. Il pilonnait en enfonçant à chaque fois un peu plus son pieu. Loïc hurlait de douleur, mais ses cris excitaient son partenaire et le stimulaient encore plus. Comment cela fut-il possible, le canal étroit s’habitua à l’agression et les fesses victimes devinrent de plus en plus consentantes et même demandeuses… Loïc n’aurait jamais cru prendre autant de plaisir et pourtant, tout son corps était maintenant aux prises d’étranges sensations. Son sexe était tendu, cela était aussi douloureux qu’agréables… ses muscles frissonnaient et son cerveau étaient ivres, shootés par un feu d’artifice d’endorphine… l’extase faisait place à la souffrance et Loïc ouvrait ses fesses autant qu’il pouvait pour mieux accueillir ce visiteur qui pourtant il y a peu, n’était pas du tout désiré.Quand Hector s’abandonna dans le cul de son amant, l’inondant d’un puissant jet de sperme, Loïc oublia toute honte et toute crainte et éjacula comme jamais il ne l’avait fait. Hector s’écrasa de tout son poids ensuite sur le Frêle corps de Loïc. Pourtant, ce dernier ne chercha pas à se libérer, il ne s’était jamais senti aussi bien. Il planait et avait qu’une envie, revivre cette expérience. Quelques instants après, Hector s’écarta de Loïc. — Alors, on dirait que ça t’a plu !— Oui ! Répondu Loïc sans feindre une quelconque réticence… — C’était… trop … vraiment trop bon ! Hector s’approcha de Loïc qui s’était remis sur le dos, posa ses lèvres sur celle de son amant et l’embrassa avec fugueur. Loïc s’étonna à lui rendre sans aucune gêne ce baiser, non seulement il laissa la langue de son amant venir taquiner la sienne, mais l’invita dans une danse endiablée. Hector en l’embrassant avait pris en pleine main le sexe de son ami et commença à le branler doucement. La douceur de ses gestes tranchaient avec la rudesse du coït qu’il venait de lui offrir.Ils restèrent ainsi longtemps. Loïc se prélassait sous les caresses de son amant et oubliait presque son cul endolorit.Ils allèrent ensuite prendre une douche ensemble et Loïc prit l’initiative de non seulement sucer Hector, mais aussi et surtout de le faire jouir dans sa bouche et de tout avaler en le regardant droit dans les yeux.Pour Loïc, une vraie fellation, il fallait que sa partenaire le laisse jouir dans sa bouche et qu’ensuite elle avale en le regardant dans les yeux. Il était persuadé que cela devait être le fantasme de tous hommes et il voulait donc, par ce geste, remercier son amant de l’avoir si bien baiser. Il avait été la femelle d’Hector et il avait aimé cela.Ils se glissèrent ensuite tous les deux dans le même lit. Dans la nuit, comme Loïc n’arrivait pas à dormir, il s’est blotti contre son amant et a commencé à le masturber. Celui-ci apprécia la caresse et son sexe fut rapidement au garde-à-vous. D’un petit geste il fait comprendre à Loïc de se mettre sur le ventre, ce qu’il fait sans plus attendre. Hector le prit, cette fois, doucement… l’absence de lubrification ne sembla pas poser problème à la pénétration, le pieu bien raide amorcer de délicats va-et-vient, Loïc ne manifesta aucun son quand celui-ci perfora la rondelle, pourtant la douleur était là, mais Loïc savait qu’ensuite ce serait une sensation paradisiaque.Cette fois-ci le rapport dura longtemps avant que la cave ne soit inondée, mais quand Hector éjecta sa semence dans le trou du cul de Loïc, le plaisir fut d’une intensité comparable à la précédente fois.Loïc s’endormit ensuite blotti dans les bras de son amant.
