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Ce coquin de propriétaire !

Chapitre 23

Divers
Quand je me suis réveillée, j’étais dans un premier temps surprise de me retrouver blottie contre Hector. Puis, doucement, tout est revenu. Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir, pourtant, Marc m’avait déjà fait dépasser les limites dans des orgasmes extraordinaires, mais ce n’était rien à côté de ce que j’avais vécu avec Hector. Je parle bien entendu de la dernière fois, il avait su...
En fait, je ne sais pas trop ce qu’il avait su faire, comment il s’y était pris...Tout cela est inexplicable, indicible. J’étais comme sorti de mon corps, il n’existait plus, je n’étais que sensation et plaisir et je voulais que jamais cela ne s’arrête. Hector dormait encore, je n’osais pas bouger de peur de le réveiller et pourtant, j’avais aussi envie qu’il se réveille et qu’il me prenne encore et encore...
J’écoutais sa respiration, j’entendais ses ronflements et moi qui ai horreur d’entendre une personne ronfler, j’adorais la musique qu’il produisait dans son sommeil. Je ne savais pas quelle heure il était, combien de temps nous avions dormi, je ne me souviens que de ce baiser que je lui avais donné, quand il est sorti de moi, j’avais envie de le garder en moi, qu’il recommence, je l’ai embrassé et je lui ai dit que j’avais encore envie de lui. Il m’a souri, a caressé mes seins puis m’a serré dans ses bras en me caressant le dos. Je ne sais combien de temps nous sommes restés ainsi, et je me suis endormie...
Je ne sais pas si c’était il y a dix minutes ou deux jours, j’ai perdu toute notion du temps...Jamais je n’aurais cru avant que cela m’arrive, ressentir un tel havre de paix et de sérénité ; j’étais blottie contre Hector et je m’y sentais bien et en sécurité. La nature se faisant "dictateur", je me suis finalement levée en essayant de ne pas le réveiller et me suis dirigée vers les toilettes pour y faire une miction devenue trop entreprenante pour me permettre de tergiverser sur son utilité. Quand je suis revenu dans la chambre, Hector était réveillé. Il me déshabilla du regard...
Enfin, l’expression n’est pas correcte, car j’ai entièrement nue.
— Ah voilà enfin mon petit sac à foutre, viens là que je me soulage.
Je lui ai fait mon plus grand sourire et je me suis étonnée en m’entendant lui répondre.
— Oui, je suis là, j’arrive.— Dépêche-toi, c’est urgent.
Il enleva la couverture qui couvrait son corps ce qui me permit de vérifier ses dires ; il avait une bien belle érection ! Je me suis allongée sur le dos, il est venu sur moi et m’a pénétrée sans ménagement. Après quelques va-et-vient, il grogna et inonda ma grotte intime.
— Voilà qui fait du bien !
Dit-il en se dégageant de moi.
— Va me préparer à bouffer, je crève la dalle.
Je me suis levée et j’ai cherché un vêtement à me mettre.
— Reste à poil.
J’ai lâché le vêtement que j’avais pris dans mes mains et je me suis dirigé vers la cuisine. Alors que je préparais le repas, Hector s’est planté dans l’entrebâillement de la porte et me regardait.
— Quel beau cul !
Comme moi, il était nu, comment peut-on imaginer en voyant le bout de chair molle qui pendait entre ses jambes que cette chose flasque ait pu me faire autant jouir ?
— Appétissant, cela me donne faim !
L’avachi recommençait à prendre vigueur, il s’approchait de moi, le sexe encore un peu mou, mais légèrement redressé. Quand il fut à portée de main, il me donna une petite claque sur le cul, suivi d’une caresse. Son majeur dessina des petits cercles sur mes fesses, puis suivit la raie de mon cul sans pour autant pénétrer dans mon anus.
— J’ai faim !
Son sexe avait maintenant une allure bien plus ferme, sans pour autant être encore le fier étendard qui savait tant combler mes envies.
— Viens !
Il appuya légèrement sur mes épaules pour que je m’agenouille puis me présenta son sexe.
— Taquine-le !
De la pointe de ma langue, j’ai exécuté son désir en agaçant le gland au niveau du méat urétral. Ma langue a ensuite léché le bâtonnet qui était d’ailleurs entre-temps devenu bâton plus que convenable pour faire des choses inconvenantes. Quand j’ai voulu le prendre en bouche, il m’arrêta net.
— Stop !
Il me fit mettre à quatre pattes sur le sol et approcha son sexe bien tendu vers mes fesses.
— Le cul est un logis où il fait bon s’y rendre.
Exulta-t-il dans un grand éclat de rire avant de me sodomiser sans ménagement.
— Putain se perdre dans un fondement aussi étroit, quel pied !
Il était maintenant au plus profond de moi, je sentais les contractions de son sexe qui éjaculait autant qu’il pouvait dans mon anus. Quand il sortit, il donna une claque sur mes fesses comme pour féliciter une belle pouliche qui s’est laissé monter sans se cabrer.
— C’est trop bon, trop beau et trop étroit, il me faut finalement laisser ta lopette pour que ce soit toi qui deviennes ma permanente et lui un simple extra... Il faut que j’en parle à Marc, c’est toi que je vais prendre avec moi, c’est toi que je vais emmener et pas cette pédale qui t’accompagnait avant de nous croiser.
M’emmener ? J’écoutais sans comprendre...
— Avec Loïc, bon coït m’avais dit Marc.
Il m’aida à me relever.
— Mais avec toi... Putain comme c’est étroit !
Quand je fus debout, il m’attira vers lui.
— Et plus c’est étroit, meilleur est l’endroit ! susurra-t-il avant de m’embrasser.
Le repas, le vrai, pas celui de la bite d’Hector, allait encore attendre. Il me guida jusqu’à la chambre, nous nous installâmes sous les couvertures et il me fait à nouveau l’amour. Mais comment fait-il pour avoir une telle énergie, avoir ainsi toujours envie ! J’ai joui sans qu’il éjacule, puis je me suis blottie contre lui et nous nous sommes à nouveau endormis.
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