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La coquine fille de ma voisine

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
J’ai toujours préféré la campagne à la ville. Certes j’ai grandi à la campagne et y ai mes plus beaux souvenirs, mais j’ai aussi vécu en ville pour mes études, et malgré tous les commerces à proximité que je perdais, je n’ai jamais été aussi reposé que quand je posais mes valises chez mes parents, en pleine cambrousse.
Nous sommes donc, au moment de ce récit, un week-end. Un samedi pour être plus précis. Je viens donc chez mes parents pour décompresser de la semaine bien chargée que je venais de subir. En parlant d’eux, ils étaient absents, ayant eux choisi de décompresser, le temps d’un week-end, chez des membres de la famille habitant dans le sud. Cela m’allait très bien. J’aime beaucoup mes parents, mais la perspective d’un week-end entier seul dans une grande maison s’avérait alléchante. En ce samedi matin (il devait être autour de 11h), j’ignorais encore si mon programme allait s’orienter sur une grosse fête alcoolisée ou un week-end tranquille, à glandouiller devant la télé et les jeux vidéo. Les deux possibilités me plaisaient beaucoup. En réfléchissant, je buvais mon café matinal sur le banc de pierre devant la maison, vêtu d’un caleçon et d’un simple t-shirt, au vu de la chaleur déjà écrasante de ce mois de mai.
Car oui, un des avantages de la campagne, c’est de pouvoir bénéficier d’une grande cour et surtout de pouvoir boire son café en extérieur sans entendre de klaxons ni même de moteurs.

La cour de mes parents était entourée de vieux bâtiments, comme toutes les habitations construites sur des bases de vieilles fermes. Il n’y avait donc pas trop de problèmes de vis-à-vis. La cour n’était visible que d’un voisin, ou plutôt une voisine. Corinne était la meilleure amie de ma mère, du moins elle l’était devenue après avoir emménagé, quelque vingt-cinq ans plus tôt. Elle et son mari étaient devenus proches de mes parents, encore plus lorsque ma mère tomba enceinte à trois mois d’intervalle de Corinne. Leurs enfants pourraient donc jouer ensemble, être amis. C’est ce qui arriva. Corinne eut une petite fille : Laura. Quant à ma mère, elle m’eut, moi. Laura et moi fûmes très amis, meilleurs amis mêmes, et cela est devenu de plus en plus ambigu en grandissant. Il y eut des baisers, mais on ne s’est jamais vraiment avoué de sentiments. On était jeunes, on ne savait pas ce que c’était. Le père de Laura est décédé lorsque nous avions une dizaine d’années.
L’arrivée au collège scella la fin de notre complicité d’antan, puisque nous rencontrions d’autres personnes, plus qu’à l’école primaire. Nous nous retrouvâmes dans des lycées différents, et aujourd’hui, à 20 ans, on ne se parlait plus, si ce n’est un « joyeux anniversaire » envoyé sur les réseaux sociaux une fois par an.
Pendant que je réfléchissais à mon programme de la journée, mon esprit fut ramené à la réalité par un bruit de portière de voiture. Je tournai la tête vers la seule maison que je pouvais apercevoir : celle de Corinne. Cette dernière démarra sa voiture et franchit le portail automatique, qui se referma derrière elle. Je pensai qu’elle devait certainement partir travailler, étant infirmière, elle devait travailler de l’après-midi. Je repris donc le fil de mes pensées en comparant une bonne série à une bonne soirée avec quelques amis. Mon cœur balançait. Tout en réfléchissant, je bus ma dernière gorgée de café et tourna à nouveau la tête. Laura était sur sa terrasse, et comme moi, ne pouvait voir qu’un seul autre terrain : le mien, enfin, celui de mes parents. Nous étions donc condamnés à soit regarder des murs, soit nous regarder. Nos regards se croisèrent.
Elle avait eu la même idée que moi, et sirotait son café (ou son thé, je ne pouvais pas savoir) sur une chaise en plastique, le soleil lui réchauffant le visage. Elle semblait être levée depuis seulement quelques minutes. Elle avait ses longs cheveux châtains en bataille, ses magnifiques yeux bleus-verts encore à moitié fermés, et comme pyjama un simple top de sport et une culotte. Il est vrai qu’il faisait chaud, et puis les seules personnes dans le voisinage qui pouvaient la voir étaient mes parents, et je me doutais qu’elle se fichait pas mal qu’ils la voient dans cette tenue. Son regard, d’abord interrogatif, puis surpris, puis « l’air de rien » montrait qu’elle ne s’attendait pas à me voir, et ne semblait pas vouloir faire la conversation. En même temps, qui veut discuter avec une vieille connaissance dès le réveil... ? Je décidai donc de faire comme si de rien n’était moi aussi.
Puis mon esprit me rappela, malgré son trouble de voir à quel point Laura était devenue mignonne, qu’il fallait que je décide du déroulement du week-end. C’est à ce moment que j’hésitai à demander à Laura si elle était libre et si elle souhaitait venir chez moi le soir même, si sa mère travaillait, elle serait peut-être seule tard ce soir. Mais je me heurtais à trois principaux problèmes : on ne s’était pas parlé depuis des années et elle ne semblait pas vouloir que ça change, je suis une personne très timide et troisième argument, elle était assez canon. Je ne savais pas quoi faire. Mon cerveau semblait surchauffer de devoir gérer une situation de crise si tôt le matin. Une goutte de sueur perla sur mon front, j’ignorais si c’était à cause de la chaleur ou de Laura. Le regard dans le vide devant moi, je respirai doucement afin de me calmer. Je me trouvais absolument ridicule, donc je pris mon courage à deux mains, me levai et me tournai vers la maison de ma voisine.
Mon courage s’écroula aussi vite qu’il était arrivé. Non pas que je changeai d’avis, ça non. La raison est bien plus inattendue : Laura était toujours à sa place, sur sa chaise en plastique, sur sa terrasse, néanmoins elle était désormais seins nus, son top posé à ses pieds tout aussi nus. Elle continuait à boire son café, les yeux posés en face d’elle, dans le vide. Elle ne me regardait pas et faisait comme si de rien n’était. J’étais tétanisé. J’avais déjà vu quelques paires de seins avant cela, mais aucune ne m’avait fait autant d’effet. Cela était peut-être dû au fait que je ressentais des choses fortes pour Laura, au final. Une érection extrêmement puissante et soudaine vint déformer mon caleçon. Ses seins étaient fabuleux, merveilleusement proportionnés par rapport à son corps, en légère forme de poire. Je ne pouvais pas les quitter des yeux, jusqu’à ce qu’elle me regarde en souriant.
Je sentis mon visage tourner au rouge écarlate, malgré tout le sang réquisitionné vers mon entrejambe. Elle me fit un signe que je ne compris pas de suite. En fait, elle me faisait signe de faire comme elle. La situation me paraissait insensée, mais je m’exécutai, et enlevai mon t-shirt blanc, que je laissai tomber par terre. Elle sourit de plus belle. Elle me fit signe d’enlever le bas. « De toute façon, attends un peu et mon érection le déchirera » pensai-je. Je fis non de la tête. Elle sembla déçue, et fit une grimace exagérée de tristesse. Je lui fis des signes pour lui dire « toi d’abord, enlève le bas ». Son sourire réapparut de plus belle. Je contemplai son corps pendant qu’elle enlevait sa petite culotte, qu’elle jeta sur le top au sol. Puis elle tourna sa chaise face à moi et écarta les jambes. Sa chatte était tout aussi magnifique que ses seins. Son corps était évidemment digne d’une jeune femme de vingt ans. Laura était fine, mais possédait des formes très aguicheuses.
Sa chatte présentait un fin rayon de poils parfaitement entretenu. Elle commença à se caresser tout doucement de sa main droite, qui avait bien vite abandonné la tasse de café (ou thé) sur le sol de la terrasse, tout en me faisant un signe de tête signifiant « à toi ». Je dois avouer qu’à ce moment, je n’en pouvais plus, ma queue commençait à devenir douloureuse à force de mener un combat contre mon caleçon. Je décidai donc de la libérer, et jetai mon caleçon dans l’herbe, quelques mètres plus loin. Je pus facilement distinguer l’excitation de Laura, qui se mordait les lèvres tout en se caressant avec plus d’insistance. Je commençais donc à faire de lents va-et-vient le long de mon manche. Je bandais comme un fou, et une goutte de semence perlait à l’extrémité de mon gland. J’étais en train de me branler, debout dans ma cour, en face de Laura qui se touchait sur sa terrasse.
Elle y allait avec de plus en plus d’entrain, je pouvais voir ses seins rebondir doucement en suivant ses petits mouvements saccadés. Elle s’arrêta soudainement et se redressa sur sa chaise. Est-ce que quelqu’un l’avait vue ? Impossible. Est-ce qu’elle regrettait et voulait stopper cette folie ? Probable. Je m’arrêtai donc aussi, prêt à tout moment à ramasser mes affaires et rentrer. Mais il n’en fut rien. Laura se leva, et marcha droit dans ma direction. Ses seins étaient à nouveau contraint de danser en suivant le mouvement, et cela donnait un spectacle aussi gracieux qu’excitant. Nous arrivâmes à la limite de nos deux terrains, représentée par un grillage à maille très large, pouvant par exemple, laisser passer un chat ou un petit chien. Nous étions nus, chacun d’un côté de cette frontière métallique. Je voulais dire un mot, mais elle ne m’en laissa pas le temps, agrippa ma nuque et m’embrassa à pleine bouche. Je sentis sa langue jouer avec la mienne, et nos salives se mélanger.
Ce contact inattendu renforça mon érection et m’étant rapproché du grillage, ma bite passait à travers et mon gland caressait le pubis de Laura, plus petite que moi. Tout en continuant de m’embrasser, elle saisit ma queue droite comme un i et commença à me masturber. Elle colla ensuite son front sur le mien, en me regardant dans les yeux. Son regard bleu-vert était perçant. Je passai le bras à travers la grille afin de caresser son clitoris. Je commençais à expirer de plus en plus fort, à cause de l’excitation, et quelques secondes après, elle en fit de même. Elle sourit et, sans prévenir, se mit à genoux et engloutit la longueur de mon sexe dans sa bouche. Sa tête fit quelques aller-retour, en s’accélérant, avant de ralentir et d’aller le plus loin possible. Je sentais mon gland frotter le fond de sa gorge. Elle suffoquait, je ne la retenais pas avec ma main, qui était simplement posée sur le haut de sa tête, elle restait comme cela, volontairement, comme une pro, pensai-je.
Après une gorge profonde des plus divines, Laura me regarda, sans avoir lâché son sourire malgré ses yeux humides dus à sa performance orale, et se retourna avec grâce, en se cabrant. Elle me chuchota « Baise-moi ! ». De dos, elle était tout aussi parfaite. Je saisis ma bite, l’orientai en direction de son vagin, et agrippai ses hanches. Mon sexe coulissa doucement et sans effort dans sa fente humide. Je fis quelques mouvements lents, avant de commencer à accélérer. Curieusement, l’idée de ne pas utiliser de préservatif me traversa l’esprit uniquement à ce moment, mais cela rendait le tout plus excitant encore (dans ce genre de moment, on ne réfléchit plus vraiment). Les claquements de mes couilles sur ses cuisses étaient seulement accompagnés des couinements de plaisir de Laura, qui était maintenant complètement penchée en avant et que je tenais par les bras (qu’elle tendait en arrière), toujours à travers le grillage.
Ses cheveux longs ondulaient en accord avec mes coups de reins, tout comme ses seins, je présumais. Les couinements de Laura se transformèrent en cri, peu discret (car même si d’autres voisins ne pouvaient nous voir, ils pouvaient nous entendre). Laura me criait de ne pas arrêter, puis elle se raidit, trembla et se faisait plus lourde, comme si elle tombait, alors que je la tenais pas les bras. De la cyprine dégoulinait en abondance sur ma queue, mes couilles et mes cuisses. Laura, après quelques secondes, s’avança afin de retirer mon pénis de sa chatte. Je m’attendais à ce qu’elle parte, mais là encore elle fut surprenante : tout en restant de dos, elle saisit mon chibre, trempé de mouille, et l’orienta délicatement vers son anus. Je n’avais jamais essayé la sodomie avant cela. L’entrée fut plus difficile que précédemment. J’hésitais à appuyer plus fort mon gland contre cette petite porte, quand Laura mit la main sur mon membre et recula, ce qui eut pour effet de l’aspirer en elle.
Elle se redressa, afin de porter son visage au niveau du mien en le tournant sur le côté. « Vas-y, encule-moi et gicle en moi ! ». Je ne répondis pas, et commençai à enculer ma complice, cette fois sans vergogne, violemment. Laura eut un spasme (peut-être de douleur, au vu de la soudaine rudesse de mes mouvements) puis commença à nouveau à pousser de petits cris. Son trou serré me procurait un plaisir immense. J’étais en train de l’enculer sauvagement. Cette fois, mes couilles claquaient sur les lèvres de son vagin. J’attrapai la tignasse de Laura qui me narguait depuis le début, et lui tira la tête en arrière. Son cul aspirait mon sexe et je sentais la jouissance arriver. Je balançai plusieurs giclées de sperme dans son cul. Elle ralentit elle aussi la cadence de son déhanché, sentant probablement mon sperme chaud lui envahir le rectum.
Nous restâmes ainsi quelques secondes, puis je me retirai. Laura se redressa vers moi, m’embrassa à nouveau et sans un mot, partit en direction de sa maison. J’étais usé et j’avais chaud, mais ça en avait valu la peine, et peut-être bien que je resterai tranquille et seul à la maison ce week-end, des fois qu’une autre occasion se présente avec Laura.
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