Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 13 J'aime
  • 1 Commentaire

Coquine à la plage

Chapitre 1

Hétéro
A quelques temps de là, l’annéescolaire s’achève, et se marque par l’obtentionde tous mes diplômes: les vacances au bord de la Méditerranées’ouvrent à nouveau devant nous. La plage est l’occasionde quotidiennes joutes amoureuses. Bien sur, il faut trouverun coin tranquille mais, à l’époque, ce n’estpas ce qui manque. Une vaste plage déserte, aujourd’huirecouverte de béton, s’étend à l’infini non loinde notre résidence d’été. Un chemin littoral la longe,protégé par un écriteau menaçant : " Danger. Sablesmouvants ". Ce n’est pas ce qui va nous effrayer,non plus que les quelques pécheurs qui hantent ce coin.Il en faut bien plus pour nous décourager et pour caler notreinépuisable 2CV. Nous, nous enfonçons donc hardiment de quelques kilomètresdans les dunes pour nous arrêter dès qu’une zone désertepeut offrir quelques centaines de mètres de solitude littoralepour nous seuls…ou presque. Nous emportons nos maillots,en cas de besoin, mais ne nous en servons guère. Mariem arboretoujours, en cas d’urgence, son adorable deux-piècesrouge si mini qu’il ne peut servir qu’à attirerl’attention du pêcheur de passage. C’est encoretrop pour mon goût qui la préfère totalement nue, abandonnéeau bronzage intégral. Il n’est guère possible pourmoi de rester sage aux côtés de ce beau corps offert, en principeau soleil, pas à moi ! J’aurais sans doute bien chagriné
ma câline poupée en lui permettant de se dorer tranquillement.Le bain de soleil se termine immanquablement par une séancede baise pimentée par l’abrasion des gros grains desable sur la croupe de ma bien aimée. Encore faut-il prendreles plus extrêmes précautions pour éviter d’en entraînerquelques-uns uns dans la profondeur de sa petite personne.Je déteste les moules ensablées ! Un rapide bain de mer nousrafraîchit ensuite…et nous sommes prêts à recommencer.Il nous est arrivé une seule fois de voir s’introduireun peu de variété dans ce rituel, ce qui m’a permis dedécouvrir, du même coup, que l’audace de ma chérien’avait plus beaucoup de limites. Nous apercevons de loin une silhouette grossir sur la plage: ce n’est pas un pêcheur puisqu’il n’a pasl’attirail requis. Quand il se rapproche, je constatequ’il s’agit d’un homme d’un certainâge qui paraît se promener, simplement vêtu d’un maillotde bain. Que fait-il par-là, sinon chercher aventure ?Nous n’en sommes pas encore à pouvoir la lui offrirmais j’aimerai bien que mon adorée, évidemment entenue d’Ève, puisse lui montrer combien elle est belleet désirable. J’avoue être très excité à l’idéede la voir nue, offerte aux yeux d’un passant que nousne connaîtrons jamais. Je m’efforce donc de la convaincrede ne se recouvrir que le plus tard possible…ou même pasdu tout. Ceci ne présente aucune difficulté pour ma petitesalope qui ne fait plus mystère de ses tendances exhibitionnisteset a bien compris qu’elle peut les assumer avec ma totalecomplicité. Elle adore s’exposer et se retourne mêmesur le dos pour présenter une face jugée par elle plus attractive.La plage est quand même assez large pour permettre au promeneurde rester à bonne distance s’il est vraiment innocentet ne souhaite pas nous déranger, d’autant que le naturismen’est pas encore à la mode. Pourquoi vient-il passerà trois mètres derrière nous en ralentissant sa marcheet en dévorant ma vénus des yeux tandis que sa main caressediscrètement un renflement soudain apparu au bas de sonslip ? Nous n’avons pas encore appris la significationde ce geste mais la soupçonnons bien un peu. Nous restonsimpassibles, les yeux mi-clos, mais suffisamment entrouvertspour l’observer. En l’absence de réaction positivede notre part, il passe son chemin, comme à regrets, maisoblique vite vers la dune derrière laquelle il disparaît.Nous feignons de croire le curieux éloigné, alors que nousle savons pertinemment dissimulé non loin de là. ‒ Tu crois que je lui ai plu ? Me demande innocemment Mariem.‒ Il te dévorait des yeux et bandait comme un malheureux.Il a bien du voir que tu ne cherchais qu’à l’exciter.Ça m’a plu, tu sais, que tu te sois laissée admirer.Tu es si belle, ce serait dommage de le cacher, j’aimeque tu te montres… ‒ Tu veux dire que je me suis conduite comme une allumeuse? C’est toi qui me l’as demandé et c’est pourtoi que je l’ai fait. Je sais que ça te plaît et ça ne medéplaît pas non plus, je mouille en pensant qu’il meregardait et n’ignorait plus rien de mon corps. J’aimebien que les hommes bandent pour moi et je veux le faire banderencore plus! Viens me baiser. Il m’a donné envie dejouir. ‒ Comment ? Là, devant lui, tu sais bien qu’il doit êtreplanqué derrière la dune pour nous regarder. ‒ Bien sur que je le sais ! C’est pour ça que je veux faire l’amourtout de suite. J’ai envie de toi et j’ai envie defaire jouir ce salaud qui n’est là que pour me reluquer.Je veux lui montrer comment jouit une belle pute quand onsait s’occuper d’elle. ‒ Fais lui signe, il viendra te calmer ! ‒ Non, pas encore. Ce n’est pas lui que je veux, c’esttoi. Il n’a qu’à se branler en nous regardant !Ça sera bon de jouir dans tes bras et sous ses yeux. Je veuxqu’il nous voie faire l’amour, ça m’excite,je sens que je vais partir à fond, regarde, je mouille déjà! Je l’ai bien entendu dire " Pas encore ", c’estdonc qu’elle ne repousse pas l’idée d’offrirun peu plus que la vue de son corps ! Depuis quelques temps,j’ai le désir secret de la voir faire l’amour devantmoi et de voir un autre mâle la posséder et la faire jouirsous mes yeux, peut-être ne sera-t-elle pas contre. Jeme doute bien qu’elle ait déjà eu un amant, qu’ellene m’avouera que beaucoup plus tard, mais je n’étaispas là pour apprécier sa performance. ‒ Tu es ma salope chérie, j’adore que tu sois aussi vicieuse.Tu vas pouvoir lui montrer ce que tu sais faire. ‒ Viens d’abord entre mes cuisses manger mon petitabricot, je partirai plus à fond et je veux qu’il tevoie tout faire ! Montre-lui combien je suis bonne à déguster,viens me boire. Je n’ai pas besoin d’autre incitation pour obéirà ma chérie et venir, entre ses jambes largement ouvertes,poser mes lèvres sur celles de son minou et ma langue surson pistil. Nous sommes tous deux très excités à l’idéede baiser devant un voyeur et je la sens ruisseler dans mabouche. Elle houle et gémit immédiatement et je ne puisfaire moins que de constater que l’amplitude de sesmouvements et la force de ses gémissements me paraissentun peu excessif. Marie parait bel et bien jouir plus intensémentencore que d’habitude. Se donner ainsi très délibérémenten spectacle paraît l’exciter profondément. Je neveux pas qu’elle explose ainsi et lui demande commentelle préfère me voir continuer. ‒ Attend, je me mets à genoux, prends-moi comme une chienne,ce salaud jouira mieux de te voir me posséder comme ça. Puisqu’elle le veut… je la retourne, lui fait cambrerla croupe et m’enfonce lentement en elle en la tenantaux hanches. ‒ Chéri, ta pine est comme une barre de fer, mets-moi bienà fond! …Ah!, tu me défonces, ça te fait jouir, toi ausside me baiser devant ce type, plus fort, vas-y, fais moi gueulerde plaisir, je vais venir… ‒ Et s’il vient ? Qu’est-ce qu’on fait ? ‒ On baise ! Plante-moi bien à fond ! Je lui obéis et, la prenant aux hanches, la possède puissammenten venant faire claquer mon ventre contre ses fesses. Latête relevée, elle gémit et râle bruyamment à chaque pénétrationprofonde, elle se trémousse comme une possédée et paraîttendre encore plus sa croupe pour mieux se faire saillir.Quelle chienne, doit penser ce pauvre type ! ‒ Ça y est… je viens…fout moi fort…inonde-moi! La description est trop précise et proférée à trop hautevoix pour être destinée à moi seul. Il n’en reste pasmoins qu’elle jouit vraiment comme une reine et s’écroulesous moi en poussant un hurlement de louve. Peut-être unpeu fatiguée de sa démonstration, elle reste anéantieà plat ventre sur sa serviette, comme sa jouissance l’alaissée. Je m’assois à côté d’elle et inspectel’horizon, mais rien ne vient. Si, à ce moment, cetimbécile était revenu vers nous, je suppose qu’ellene se serait pas refusée à lui alors qu’il lui suffisaitde se glisser dans un antre encore ouvert et sans défense,mais il n’a pas su en profiter. Elle devra donc attendreencore quelques temps pour pouvoir comparer ma techniqueà celle d’un autre partenaire. Un moment plus tard,elle émerge en souriant: ‒ Tu crois qu’il est parti ? ‒ Je pense, il n’y a plus rien à voir. Mais qu’est-ceque tu aurais fait s’il était venu vers nous? ‒ Rien, tu lui aurais dis de passer son chemin. Tu n’auraisquand même pas voulu, en plus de lui donner du spectacle,que je lui donne l’occasion de me baiser ? ‒ Pourquoi pas ? C’était à toi de décider, mais si tuen as envie, je ne t’empêche pas de te taper un mec quite plait. Tu étais superbe de t’exhiber ainsi, ça m’avraiment plu, mais je crois que j’apprécierai encoreplus de te voir faire l’amour avec un autre homme. Elle sourit, ne répond ni oui ni non, en tout cas elle ne pousseaucune clameur indignée. Je lui ai déjà laissé entendreque je la laissais totalement libre mais elle n’estsans doute pas encore prête à en profiter devant moi. Cetépisode me conforte pourtant dans l’intention dedévergonder toujours plus ma femme qui présente de tellesdispositions et pourrait devenir avec moi une véritablepetite pute, pour notre plus grand plaisir commun.
Diffuse en direct !
Regarder son live