- Histoire érotique écrite par aglayed
- Histoire vraie
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A quelques temps de là, l’année
scolaire s’achève, et se marque par l’obtention
de tous mes diplômes: les vacances au bord de la Méditerranée
s’ouvrent à nouveau devant nous. La plage est l’occasion
de quotidiennes joutes amoureuses. Bien sur, il faut trouver
un coin tranquille mais, à l’époque, ce n’est
pas ce qui manque. Une vaste plage déserte, aujourd’hui
recouverte de béton, s’étend à l’infini non loin
de notre résidence d’été. Un chemin littoral la longe,
protégé par un écriteau menaçant : " Danger. Sables
mouvants ". Ce n’est pas ce qui va nous effrayer,
non plus que les quelques pécheurs qui hantent ce coin.
Il en faut bien plus pour nous décourager et pour caler notre
inépuisable 2CV. Nous, nous enfonçons donc hardiment de quelques kilomètres
dans les dunes pour nous arrêter dès qu’une zone déserte
peut offrir quelques centaines de mètres de solitude littorale
pour nous seuls…ou presque. Nous emportons nos maillots,
en cas de besoin, mais ne nous en servons guère. Mariem arbore
toujours, en cas d’urgence, son adorable deux-pièces
rouge si mini qu’il ne peut servir qu’à attirer
l’attention du pêcheur de passage. C’est encore
trop pour mon goût qui la préfère totalement nue, abandonnée
au bronzage intégral. Il n’est guère possible pour
moi de rester sage aux côtés de ce beau corps offert, en principe
au soleil, pas à moi ! J’aurais sans doute bien chagriné
ma câline poupée en lui permettant de se dorer tranquillement.
Le bain de soleil se termine immanquablement par une séance
de baise pimentée par l’abrasion des gros grains de
sable sur la croupe de ma bien aimée. Encore faut-il prendre
les plus extrêmes précautions pour éviter d’en entraîner
quelques-uns uns dans la profondeur de sa petite personne.
Je déteste les moules ensablées ! Un rapide bain de mer nous
rafraîchit ensuite…et nous sommes prêts à recommencer.
Il nous est arrivé une seule fois de voir s’introduire
un peu de variété dans ce rituel, ce qui m’a permis de
découvrir, du même coup, que l’audace de ma chérie
n’avait plus beaucoup de limites. Nous apercevons de loin une silhouette grossir sur la plage
: ce n’est pas un pêcheur puisqu’il n’a pas
l’attirail requis. Quand il se rapproche, je constate
qu’il s’agit d’un homme d’un certain
âge qui paraît se promener, simplement vêtu d’un maillot
de bain. Que fait-il par-là, sinon chercher aventure ?
Nous n’en sommes pas encore à pouvoir la lui offrir
mais j’aimerai bien que mon adorée, évidemment en
tenue d’Ève, puisse lui montrer combien elle est belle
et désirable. J’avoue être très excité à l’idée
de la voir nue, offerte aux yeux d’un passant que nous
ne connaîtrons jamais. Je m’efforce donc de la convaincre
de ne se recouvrir que le plus tard possible…ou même pas
du tout. Ceci ne présente aucune difficulté pour ma petite
salope qui ne fait plus mystère de ses tendances exhibitionnistes
et a bien compris qu’elle peut les assumer avec ma totale
complicité. Elle adore s’exposer et se retourne même
sur le dos pour présenter une face jugée par elle plus attractive.
La plage est quand même assez large pour permettre au promeneur
de rester à bonne distance s’il est vraiment innocent
et ne souhaite pas nous déranger, d’autant que le naturisme
n’est pas encore à la mode. Pourquoi vient-il passer
à trois mètres derrière nous en ralentissant sa marche
et en dévorant ma vénus des yeux tandis que sa main caresse
discrètement un renflement soudain apparu au bas de son
slip ? Nous n’avons pas encore appris la signification
de ce geste mais la soupçonnons bien un peu. Nous restons
impassibles, les yeux mi-clos, mais suffisamment entrouverts
pour l’observer. En l’absence de réaction positive
de notre part, il passe son chemin, comme à regrets, mais
oblique vite vers la dune derrière laquelle il disparaît.
Nous feignons de croire le curieux éloigné, alors que nous
le savons pertinemment dissimulé non loin de là. ‒ Tu crois que je lui ai plu ? Me demande innocemment Mariem.
‒ Il te dévorait des yeux et bandait comme un malheureux.
Il a bien du voir que tu ne cherchais qu’à l’exciter.
Ça m’a plu, tu sais, que tu te sois laissée admirer.
Tu es si belle, ce serait dommage de le cacher, j’aime
que tu te montres… ‒ Tu veux dire que je me suis conduite comme une allumeuse
? C’est toi qui me l’as demandé et c’est pour
toi que je l’ai fait. Je sais que ça te plaît et ça ne me
déplaît pas non plus, je mouille en pensant qu’il me
regardait et n’ignorait plus rien de mon corps. J’aime
bien que les hommes bandent pour moi et je veux le faire bander
encore plus! Viens me baiser. Il m’a donné envie de
jouir. ‒ Comment ? Là, devant lui, tu sais bien qu’il doit être
planqué derrière la dune pour nous regarder. ‒ Bien sur que je le sais ! C’est pour ça que je veux faire l’amour
tout de suite. J’ai envie de toi et j’ai envie de
faire jouir ce salaud qui n’est là que pour me reluquer.
Je veux lui montrer comment jouit une belle pute quand on
sait s’occuper d’elle. ‒ Fais lui signe, il viendra te calmer ! ‒ Non, pas encore. Ce n’est pas lui que je veux, c’est
toi. Il n’a qu’à se branler en nous regardant !
Ça sera bon de jouir dans tes bras et sous ses yeux. Je veux
qu’il nous voie faire l’amour, ça m’excite,
je sens que je vais partir à fond, regarde, je mouille déjà
! Je l’ai bien entendu dire " Pas encore ", c’est
donc qu’elle ne repousse pas l’idée d’offrir
un peu plus que la vue de son corps ! Depuis quelques temps,
j’ai le désir secret de la voir faire l’amour devant
moi et de voir un autre mâle la posséder et la faire jouir
sous mes yeux, peut-être ne sera-t-elle pas contre. Je
me doute bien qu’elle ait déjà eu un amant, qu’elle
ne m’avouera que beaucoup plus tard, mais je n’étais
pas là pour apprécier sa performance. ‒ Tu es ma salope chérie, j’adore que tu sois aussi vicieuse.
Tu vas pouvoir lui montrer ce que tu sais faire. ‒ Viens d’abord entre mes cuisses manger mon petit
abricot, je partirai plus à fond et je veux qu’il te
voie tout faire ! Montre-lui combien je suis bonne à déguster,
viens me boire. Je n’ai pas besoin d’autre incitation pour obéir
à ma chérie et venir, entre ses jambes largement ouvertes,
poser mes lèvres sur celles de son minou et ma langue sur
son pistil. Nous sommes tous deux très excités à l’idée
de baiser devant un voyeur et je la sens ruisseler dans ma
bouche. Elle houle et gémit immédiatement et je ne puis
faire moins que de constater que l’amplitude de ses
mouvements et la force de ses gémissements me paraissent
un peu excessif. Marie parait bel et bien jouir plus intensément
encore que d’habitude. Se donner ainsi très délibérément
en spectacle paraît l’exciter profondément. Je ne
veux pas qu’elle explose ainsi et lui demande comment
elle préfère me voir continuer. ‒ Attend, je me mets à genoux, prends-moi comme une chienne,
ce salaud jouira mieux de te voir me posséder comme ça. Puisqu’elle le veut… je la retourne, lui fait cambrer
la croupe et m’enfonce lentement en elle en la tenant
aux hanches. ‒ Chéri, ta pine est comme une barre de fer, mets-moi bien
à fond! …Ah!, tu me défonces, ça te fait jouir, toi aussi
de me baiser devant ce type, plus fort, vas-y, fais moi gueuler
de plaisir, je vais venir… ‒ Et s’il vient ? Qu’est-ce qu’on fait ? ‒ On baise ! Plante-moi bien à fond ! Je lui obéis et, la prenant aux hanches, la possède puissamment
en venant faire claquer mon ventre contre ses fesses. La
tête relevée, elle gémit et râle bruyamment à chaque pénétration
profonde, elle se trémousse comme une possédée et paraît
tendre encore plus sa croupe pour mieux se faire saillir.
Quelle chienne, doit penser ce pauvre type ! ‒ Ça y est… je viens…fout moi fort…inonde-moi! La description est trop précise et proférée à trop haute
voix pour être destinée à moi seul. Il n’en reste pas
moins qu’elle jouit vraiment comme une reine et s’écroule
sous moi en poussant un hurlement de louve. Peut-être un
peu fatiguée de sa démonstration, elle reste anéantie
à plat ventre sur sa serviette, comme sa jouissance l’a
laissée. Je m’assois à côté d’elle et inspecte
l’horizon, mais rien ne vient. Si, à ce moment, cet
imbécile était revenu vers nous, je suppose qu’elle
ne se serait pas refusée à lui alors qu’il lui suffisait
de se glisser dans un antre encore ouvert et sans défense,
mais il n’a pas su en profiter. Elle devra donc attendre
encore quelques temps pour pouvoir comparer ma technique
à celle d’un autre partenaire. Un moment plus tard,
elle émerge en souriant: ‒ Tu crois qu’il est parti ? ‒ Je pense, il n’y a plus rien à voir. Mais qu’est-ce
que tu aurais fait s’il était venu vers nous? ‒ Rien, tu lui aurais dis de passer son chemin. Tu n’aurais
quand même pas voulu, en plus de lui donner du spectacle,
que je lui donne l’occasion de me baiser ? ‒ Pourquoi pas ? C’était à toi de décider, mais si tu
en as envie, je ne t’empêche pas de te taper un mec qui
te plait. Tu étais superbe de t’exhiber ainsi, ça m’a
vraiment plu, mais je crois que j’apprécierai encore
plus de te voir faire l’amour avec un autre homme. Elle sourit, ne répond ni oui ni non, en tout cas elle ne pousse
aucune clameur indignée. Je lui ai déjà laissé entendre
que je la laissais totalement libre mais elle n’est
sans doute pas encore prête à en profiter devant moi. Cet
épisode me conforte pourtant dans l’intention de
dévergonder toujours plus ma femme qui présente de telles
dispositions et pourrait devenir avec moi une véritable
petite pute, pour notre plus grand plaisir commun.