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Coralie découvre la vie

Chapitre 2

Lesbienne
Chapitre 2 : Une chaleur humideLa réponse de Faustine avait provoqué en moi une nette hausse de mon rythme cardiaque. Je ne savais pas si elle faisait allusion au petit plaisir personnel que je m’étais octroyé ou non, mais le doute était difficile. Je ne voyais pas à quoi pouvait-elle penser d’autre. Je n’avais pas relevé sa provocation et m’étais empressé d’évoquer maladroitement un autre sujet. Elle non plus n’insista pas sur le sujet et nous bavardions à présent de tout et de rien. L’eau nous avait bien rafraichis et je décidai de sortir la première de la piscine. Je m’allongeais de tout mon long sur le transat et profitai pleinement du soleil chauffant ma peau. Faustine me rejoignit quelques minutes plus tard, et s’allongea-t-elle aussi sur un transat, à côté du mien. A ma grande surprise, elle se releva, défit son haut de maillot de bain et laissa libres ses seins. Je ne les avais jamais vus de si près, et si dénudés.
Je n’étais pas attirée par les filles, mais je devais admettre qu’après ma petite séance de masturbation, l’excitation n’était pas totalement retombée.
J’étais surprise de leur taille : un beau 95C, bien ronds et rebondis, galbés et effectivement déjà bien bronzés. Mon trouble devait être visible puisqu’elle tourna la tête, et me taquina :
— Tu penses bronzer comme ça ? Ce n’est pas ce qu’il y a de plus sexy les marques de bronzage, tu sais ! En plus, les soutiens-gorge ne sont pas bons pour les seins ! ça rend ta poitrine moins ferme ! Enfin, je dis ça comme ça !
J’étais amusée par son argumentaire, tout autant que j’étais gênée. Je ne savais pas trop quoi répondre et avais peur d’installer un climat de gêne entre nous deux. Après une longue hésitation, je retirai moi aussi le haut de mon maillot de bain, ce qui la fit immédiatement réagir :
— Tu vois, on est bien mieux non ? Puis tu n’as aucune raison de les cacher, ils sont très bien tes seins ! — Merci, mais c’est surtout une question d’habitude. Je bronze souvent avec le haut. Mais c’est vrai que c’est agréable ! — Carrément ! Puis je trouve ta poitrine très jolie ! J’aimerai bien avoir des seins comme toi ! Leur forme me plaît, ils ont l’air plus fermes que les miens ! dit-elle en palpant ses seins.— Oh tu sais, je ne crois pas qu’ils soient plus fermes ! En plus, ils sont plus pe...
Sans que je n’aie le temps de finir ma phrase, Faustine s’était levée, et posa une main sur l’un de mes seins. L’autre sur l’un des siens, elle palpait mon sein droit en faisant mine de comparer leur fermeté. Elle ajouta qu’elle avait raison et que les miens étaient plus fermes. Je ne savais trop quoi faire et m’assis, ce qui fit tomber ma poitrine. Elle en profita pour sous-peser mes seins, tour à tour, puis fit de même avec les siens. Elle ajouta :
— En plus d’être plus fermes, ils sont moins lourds ! Tout est mieux ! Je suis jalouse ! Même tes tétons sont plus esthétiques ! dit-elle en pinçant l’un de mes tétons, ce qui me fit sursauter.— Tu exagères complètement ! Tu en fais des tonnes alors que tu as une poitrine parfaite ! Cédric te le répète souvent, de ce que tu me dis ! Puis ça se voit d’ici ! argumentais-je en rentrant dans son jeu.— Tu n’as qu’à constater par toi-même !
C’est alors qu’elle prit ma main et la déposa directement sur l’un de ses seins, en me faisant malaxer sa poitrine fermement. Je ne pus retirer ma main de ces deux boules bien fermes. L’ambiance était devenue très détendue, et la tournure que prenait l’après-midi m’excitait beaucoup. Elle porta son regard sur mon corps, mes jambes puis s’attarda sur mon entrejambe, ce qui m’intrigua :
— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu ne voulais pas que je prenne ce bas ? demandai-je.— Non du tout ! C’est plutôt le contenu du bas qui m’intrigue ! Tu t’épiles ou tu te rases à cet endroit ?— Oh et bien je m’épile, je trouve ça plus doux ! répondis-je, gênée cette fois-ci. Et ça n’allait pas s’arranger avec sa question suivante !— Ah oui ? Je rase moi, et je trouve ça doux ! J’aimerai comparer, je peux ?
Le trouble était total dans ma tête. Je ne savais pas quoi répondre et j’avais peur qu’elle découvre mon intimité, quelque peu humide à cause de la situation. Puis je n’étais pas attirée par les femmes. Mais cette situation me poussait à accepter, et je feins un « oui », gênée, avec un sourire discret. Faustine s’approcha de moi, et décala mon bas de maillot de bain pour avoir accès à mon pubis. Elle se contenta de caresser le haut de mon sexe et ne toucha pas mes lèvres qui devaient être bien chaudes et humides. Je fus rassurée, puis elle me proposa de comparer aussi. Après une brève caresse de mon intimité, elle se leva, prit ma main, mit de côté son bas de maillot de bain et plaque ma main sur son sexe. J’étais gênée, mais si excitée que mon geste se fit délicat, et je caressai le pubis de mon amie. Il est vrai que la douceur de sa peau était comparable à la mienne.
La sensation de chaleur que dégageait la peau de Faustine me plaisait, et je commençai à éprouver du plaisir de la situation.
Le voyant, la jeune fille prit ma main et la descendit quelque peu, jusqu’à ce que mes doigts rencontrent ses lèvres. Voyant ma surprise, elle s’empressa de justifier son geste :
— Je ne sais jamais si mon sexe est bien rasé, tu en penses quoi ? J’ai peur qu’il soit trop « piquant » !— Euh eh bien ! Je le trouve assez doux ! fis-je, un peu désabusée.
Alors que je m’attendais à ce que Faustine lâche ma main, ça ne fut pas le cas. Au contraire, elle fit glisser ses doigts sur les miens, et exerça une douce pression sur mon index, ce qui le fit glisser sur son clitoris, entre ses lèvres, qui étaient elles aussi, bien chaudes et humides. Plus la situation se réchauffait, et moins je la contrôlais. J’étais un pantin, avec lequel Faustine jouait. Son regard croisa le mien, et, voyant que je n’opposais aucune résistance, elle entama un léger frottement de ma main sur son sexe. Je sentais sa mouille, chaude et visqueuse se déposer sur ma main, et j’aimais ça. Pour la première fois de l’après-midi, le plaisir prenait le dessus sur la gêne et la peur. Ses yeux croisèrent les miens, et elle comprit alors qu’elle pouvait continuer. D’une pression, elle fit s’introduire le bout de mon majeur en elle. Cette fois-ci, il n’y avait plus de doute, Faustine voulait que je m’occupe de sa chatte.
L’excitation était telle qu’elle lâcha ma main, et s’occupa de ses seins, pendant que je continuai à la doigter doucement.
Je n’osais aller plus loin, lorsque d’un mouvement de bassin, elle fit rentrer mon doigt entièrement en elle, et étouffa un petit cri de surprise, laissant place à un sourire essoufflé. Je la doigtai doucement, en massant son clitoris avec mon pouce, pendant qu’elle malaxait ses seins, et pinçait ses tétons. J’entendais son souffle s’accélérer, et je vis Faustine qui commençait à prendre du plaisir lorsqu’un coup de klaxon se fit entendre. Ma mère avait prévu de passer me chercher en rentrant du travail, et d’un rapide coup d’œil en direction du portail, j’aperçus l’Alfa Roméo qui m’attendait. Déçue, Faustine ne quitta pas son sourire et me stoppa. Je récupérais mes affaires et au moment de lui rendre le bas de maillot de bain qu’elle m’avait prêté, et m’arrêtai et me dis :— Ça ira ! Tu peux le garder jusqu’à ce soir, je viendrai le récupérer moi-même !
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