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Coralie découvre la vie

Chapitre 4

Hétéro
Chapitre 4 : Une nouvelle vision du coupleAprès une nuit des plus agréables aux côtés de Faustine, je me réveillais doucement et émergeais difficilement de mon sommeil. Elle n’était pas encore réveillée et je sentis son corps adossé au mien. Sa peau était douce et chaude, ses fesses rebondies étaient le point d’orgue d’un dos délicat et musclé à souhait. Je ne pus m’empêcher de la contempler durant quelques minutes avant de m’assoir au bord du lit. Je repensais à ce qui s’était passé la veille et n’arrivait pas à savoir si j’en étais heureuse ou honteuse. Lorsque je me levai du lit pour trouver de quoi m’habiller, les jouets sexuels de mon ami étaient posés au bord du lit. Je n’avais pas imaginé une seconde que ceux-ci étaient de si grande taille. L’alcool ayant certainement joué un rôle dans mes sensations, je pensais simplement qu’ils étaient de taille très raisonnable. Je pris quelques habits et filai à la salle de bain, nue et pressée de prendre une bonne douche.
J’entrai sous le jet d’eau chaude et la sensation de chaleur me fit sortir de l’état de sommeil dans lequel je me trouvais.
Je pris le premier gel douche que je vis, et découvris une petite poire posée à côté. Étonnée, je connaissais ce genre d’instrument : ces poires de lavement sont utilisées pour préparer une pratique sexuelle anale. Je constatais donc que Faustine était encore plus ouverte d’esprit que ce que je pensais. En revanche, une fois sorti, je remarquais également qu’aucun produit masculin ne se trouvait dans la salle de bain. Je doutais fortement de la présence de son frère, et fus certaine de son absence lorsque je vis la chambre d’amis vide, avec un lit parfaitement fait. Je rejoignis la chambre et rencontrai Faustine qui se réveillait :
— Salut toi ! Bien dormi ? fis-je, d’un air enjoué.— Très bien ! J’ai fait des rêves très coquins cette nuit ! Peut-être dû au début de nuit que nous avons partagé !— Possible ! D’ailleurs à ce propos, je crois qu’on devrait en rester là, même si c’était génial ! Je ne veux pas gâcher notre amitié ou avoir des histoires avec Cédric ! Tu sais que je vous adore les deux et je ne veux pas vous perdre... rétorquais-je, un peu gênée.
Faustine ne répondit pas immédiatement et écrasa un long bâillement. Elle me dit après quelques secondes qu’elle comprenait et que c’était un coup de folie engendré par l’alcool. Elle m’assura également que Cédric ne m’en voudrait jamais, ni à moi ni à elle de profiter.J’avais compris il y a quelque temps qu’elle et Cédric étaient un couple très soudé, mais qu’ils ne fermaient pas la porte à des expériences libertines au sein de leur couple. Faustine m’avait d’ailleurs raconté une fois où une fille avait ouvertement dragué Cédric en boîte de nuit, et Faustine n’avait opposé aucune résistance. Je n’avais pas de doute sur ça, mais je souhaitais surtout ne pas reproduire ce qui s’était passé cette nuit. J’avais peur des conséquences qui pourraient s’en suivre. Nous descendions à présent pour prendre le petit-déjeuner avec les autres. Une fois seule avec mon amie, je regroupais mes affaires et Faustine me rejoignit dans la chambre pour discuter un moment :
— Tu sais Coralie, je comprends que tu ne veuilles plus de ce qui s’est passé hier, et ce n’est pas très grave en soi. J’ai pris beaucoup de plaisir, et je suis très heureuse d’être ton amie. On pourrait se faire un petit resto un de ces jours histoire d’oublier ça, et de reprendre nos activités de copine ? ça te dirait ?— Je suis contente que tu le prennes ainsi, et ça serait super oui ! Nous n’avons qu’à dire mercredi soir ?— Très bien ! me répondit Faustine avant que je quitte la maison pour rentrer.
Quelques jours étaient passés et j’avais mis de côté cet événement. Je dinais ce soir avec Faustine, et ça nous permettrait sûrement de rétablir de la sérénité entre nous. Il était 18h, je me préparais lorsque mon téléphone afficha un SMS de ma copine :
« Coucou ma belle, je suis malade, impossible pour ce soir ! Mais Cédric est rentré, tu peux dîner avec lui si tu veux ? Tiens-moi au jus »
Cette nouvelle me rendit un peu triste, mais passer la soirée avec Cédric, que je n’avais pas vu depuis quelques moi m’enchantait, et j’acceptai cette proposition. Je connaissais Ced depuis l’enfance. Nous avions grandi ensemble, mais il ne s’était jamais rien passé entre nous. Au lycée, il quitta notre village et avait radicalement changé. Il était brusquement devenu un homme, et avait beaucoup changé physiquement : des yeux bleus, un sourire Colgate, un bon mètre 80, et un physique d’athlète qu’il entretenait avec des heures de sport incalculables. C’est là que j’avais secrètement espéré qu’il se passe quelque chose entre nous, mais qu’il avait finalement choisi Faustine.

Il était maintenant 20h, et j’attendais le jeune homme devant le restaurant réservé. Il arriva avec cinq minutes de retard. Bien que je n’aimasse pas le retard, je ne pus lui faire la moindre réflexion tant il arrivait d’un air enjoué et charmant : pantalon beige, haut blanc décontracté, et mocassin ajustaient parfaitement sa carrure sportive et son teint hâlé. Il me prit dans ses bras et me fit la bise avant que nous allions rejoindre la table indiquée par le serveur. Le dîner se déroulait sans accroc et était des plus agréables. La douceur estivale rendait le ciel rose et la température clémente. Nous avions bu une bouteille de rosé durant le repas, et Cédric m’invita sans que je ne lui demande quoi que ce soit. Nous avions passé le repas à discuter de tout et rien, comme au bon vieux temps. Nous avions rejoint le parking arrière du restaurant, et l’heure tardive fit que nous n’étions plus que deux ici.
Après quelques minutes de bavardage, nous allions rentrer chacun de notre côté, et je m’approchai de lui pour lui faire la bise.
Sa tête fit une légère rotation, ce qui eut pour cause de transformer cette bise en un baiser délicat et soudain. Je ne sus comment réagir, mais je n’eus pas le temps de gamberger : Cédric attrapa mon bras et me tira contre lui.
Sa respiration chaude se mêla à son doux parfum, et je ne pus résister une seconde de plus. Oubliant tout, je me ruai sur sa bouche et un baiser langoureux s’engagea. Mon cerveau n’interprétait plus rien, et je ne contrôlais plus rien. Je ne voulais plus qu’une chose : qu’il me baise, ici, maintenant. Et je n’allais pas être déçue. Il ne se fit pas prier pour me retourner, et me plaquer contre le capot de sa voiture. Je mis mes mains dessus et lui offrais maintenant mes fesses. La jupe courte que je portais facilita son accès à mon intimité. Il ne voulait visiblement pas traîner ! Dégageant mon string de mon petit trou, il entama un anulingus divin ! Sa langue jouant avec mon petit trou avait le don de me détendre et m’exciter. Son pouce fouillait ma chatte déjà bien humide, et je sentais que je n’allais pas avoir à attendre beaucoup pour obtenir ce que je voulais :
— Baise-moi ! lui dis-je, avide de sexe, et réalisant enfin ce fantasme.
Mes mots ne firent qu’un tour dans sa tête et je l’entendis détacher sa ceinture. Je n’avais jamais vu mon ami nu, et ne savais pas à quoi m’attendre, même si Faustine m’avait vanté ses mensurations. Je l’entendis ouvrir un préservatif et l’enfiler. Je n’attendais plus que son sexe vienne remplir ma chatte, affamée. Je sentis une douce pression contre l’entrée de mon vagin, et la première pénétration de son gland me fit frissonner. L’épaisseur du membre était idéale. Ni trop fine, ni trop épaisse. Il n’avait pas décidé d’être tendre à mon égard et d’un grand coup de reins me pénétra entièrement. En effet, sa bite devait bien faire une vingtaine de centimètres, et me remplissait parfaitement. Je prenais mon pied et le risque de se faire prendre sur ce parking augmentait mon plaisir. Je prévins Cédric de me dire lorsqu’il jouirait, ce qu’il fit après dix bonnes minutes, et après un orgasme intense.
Je me dégageai facilement, et sentis sa bite, lourde, gonflée de désir sortir de mon vagin.
Je me retournai et m’accroupis, retirai le préservatif, entamai une fellation des plus rapides. Je voulais qu’il finisse dans ma bouche, sentir son sperme bien chaud dans ma gorge. Sa bite était belle, veineuse, décalottée, avec un gland légèrement violacé, gonflé de désir. Je jouais avec lui. Ma langue glissait sur la longueur de sa verge. Après une gorge profonde, je sentis quelques spasmes dans son sexe et redoublais d’intensité. Les jets de semence atterrirent au fond de ma bouche. Je me délectais de ce nectar sucré, visqueux, que j’avais reçu en grande quantité, et avalais la totalité du sperme. Je nettoyais sa verge et nous nous rhabillâmes rapidement.
— Et bien ! Depuis le temps que j’en avais envie ! Merci ma belle !— Je crois que j’en avais très envie aussi ! Tu restes quelque temps ici ? On pourrait se revoir un de ces jours avec Faustine ? questionnais-je innocemment.— Oui, je suis là, 2 semaines. On pourrait se voir une journée les trois, ça serait certainement très agréable... répondit-il, avec un sourire malicieux, avant de disparaître dans sa voiture.
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