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Corinne la future salope

Chapitre 2

Erotique
Corinne la future salope 2
Corinne après mûres réflexions, se décide à s’inscrire sur un site de rencontres en ligne en qualité de femme seule. Le plus long est de choisir un pseudo, pas trop vulgaire, mais qui laisse quand même comprendre que le but est de libertiner. Elle se décide pour « Vénus56 ». Pas très original, mais sans équivoque sur le but de sa recherche. Sur son annonce sa description physique, et pour agrémenter son annonce une photo de ses petits seins en poire et de ses jolies fesses rondes enveloppés de dentelle. Il est évident que les demandes sont abondantes dur de choisir. Déjà éliminer les morts de faim, les trop vulgaires et les hommes mariés dont la femme n’est pas selon eux portée sur le sexe. Ce qui en élimine plus des trois quarts. Corinne ne regarde pas trop l’âge, ni le physique, ce qu’elle veut un ou des hommes performants.
Après quelques dial avec plusieurs hommes, Corinne accepte petit à petit de chauffer l’ambiance, au début elle montre juste ses seins qu’elle caresse, pince les mamelons pour les ériger. Puis son joli cul bien rond, par contre elle refuse de montrer sa chatte désirant garder un peu de mystère. Elle est ok pour une masturbation sur Skype en gardant sa petite culotte, ce qui finit toujours par une culotte trempée quand l’homme qui se masturbe éjacule. La jeune femme adore cela exciter les salops en direct.
Trois demandes retiennent son attention. Après quelques dial très chauds.Un jeune de vingt-deux ans, métisse assez mignon, surement très peu d’expérience. Un trentenaire d’allure sportive, qui lui semble un peu égocentrique et un cinquantenaire, qui a l’air d’être assez vicieux bien que très galant, utilisant quand même beaucoup de sous-entendu grivois. L’intérêt du cinquantenaire, c’est qu’il reçoit chez lui les deux autres proposent l’hôtel.
Corinne ne sachant lequel prendre se dit qu’en leur donnant un espoir à tous, si elle est déçue par un elle pourra toujours voir avec les autres plus tard. Donc, elle n’en décourage aucuns. Elle fait fi de son aversion pour l’hôtel, et se décide pour le jeune, se persuadant que cela lui rappellera son adolescence quand elle découvrait les prémices du sexe. Corinne se met d’accord avec sa collègue pour prendre un après-midi de repos. Rendez-vous pris pour boire un verre dans un bar donnant sur le port de Vannes. Corinne pense que d’arriver en retard, fera monter la pression dans le pantalon du jeune homme. La jeune femme opte pour une petite robe légère, un string et se décide de ne pas mettre de soutien-gorge. Avec une demi-heure de retard, elle arrive à la terrasse du bar, elle repère le jeune homme, Rudy est bien là, regardant sa montre, Corinne se dirige vers la table, et se penche pour lui faire la bise. Il sent bon les Iles.
Par ailleurs, il est bien comme sur la photo, un bon point pour lui. Le teint mat, cheveux frisés courts, de beaux yeux sombres. Rudy fait un peu plus jeune qu’elle ne le pensait, Corinne est tentée de lui demander sa carte d’identité pour être sûre qu’il est majeur, mais n’ose pas. Il devine son inquiétude à son regard. À son étonnement, il la vouvoie alors que lors de leurs dial un peu chauds, il la tutoyait.
— Vous voulez prendre un verre Corinne, je sais, je fais un peu plus jeune que sur mes photos et un splendide sourire ultra blanc éclaire son visage.
Corinne le trouve à son goût et ne regrette pas son premier choix. Le garçon apporte le coca commandé par Corinne, lui fini son demi. Corinne et Rudy échangent des banalités, se racontent un peu leur vie, la jeune femme qui a pensé à retirer son alliance lui avoue qu’elle a eu plusieurs propositions, et qu’elle ne regrette pas son choix. Profitant des aveux de Corinne, Rudy lui prend la main et la porte à ses lèvres. Corinne frissonne, elle meurt d’envie qu’il lui propose assez rapidement de lui faire l’amour. De tromper son mari ajoute à son excitation. Son nid d’amour commence à humidifier son string. Rudy l’invite à se balader un peu le long du port rempli de touristes. Ils se lèvent et Rudy passe son bras autour des épaules de la jeune femme. Rudy est bien plus grand qu’elle. En passant devant une porte cochère, il l’attire dans la petite cour et l’embrasse fougueusement. Comme Corinne ne s’y oppose pas, il glisse sa langue dans sa bouche.
Corinne le prend par le cou pour lui rendre son baiser, envahissant à son tour la bouche de Rudy de sa langue. Ils restent ainsi un petit moment à se bécoter comme deux ados. Corinne sent une main quitter sa taille pour remonter vers son sein. Alors, elle lui arrête la main. Devant son insistance, elle laisse la main progresser et s’emparer de sa petite poire. Rudy sent qu’elle est sans soutien-gorge, il pince doucement son téton. Corinne frémit et ose passer sa main sur la bosse qui remplit le jeans de Rudy. Corinne reprend ses esprits puis lui demande franchement.
— Tu as envie que l’on se rende à l’hôtel ou ailleurs, c’est comme tu veux ?
Rudy lui avoue avoir un petit studio, toutefois en désordre si cela la tente.Corinne lui rétorque qu’elle ne fera pas attention à son ménage que ce n’est pas le but de leur rencontre.Rudy habite dans un petit immeuble de Vannes du côté du stade de La Rabine, ils s’y rendent en dix minutes à pied en s’arrêtant pour s’embrasser et se caresser furtivement. L’envie grandit au fur à mesure qu’ils approchent de chez Rudy. Le jeune homme est très excité, nerveux, il se trompe deux fois sur le code de la porte, Corinne lui dit.
— Calme-toi, tu es tout tremblant, tu as peur de moi ou je t’excite ?
Il ne répond pas se concentre et tape le bon code. Plus que trois étages à monter, car il n’y a pas d’ascenseur dans cet immeuble vieillot. Le temps de l’ascension, il ose une main aux fesses de la jeune femme qui ne s’en offusque pas et continue de monter en tortillant un peu plus de sa petite croupe. Arrivés devant la porte du studio Corinne sent son ventre se contracter, peur, envie ? Un peu les deux. Il est trop tard pour reculer, en a-t-elle vraiment envie ? À peine entrés chez lui, la porte claquée, ils se jettent dans les bras l’un de l’autre, s’embrassent, se palpent, se déshabillent mutuellement. Corinne découvre le corps fluet et lisse de Rudy, la première fois qu’elle caresse un corps de couleur elle le lèche, imprègne sa langue du gout de sa peau. Elle s’attarde sur ses tétons. Puis, elle lui ôte son jeans et à son grand bonheur découvre qu’il ne porte pas de boxer. La queue longue et fine jaillit, gland turgescent vers le plafond.
Corinne se permet de caresser, flatter, décalotter, se familiariser avec le pénis frémissant. Rudy lui retire sa robe, découvre ce qu’il a palpé, ces admirables petits seins ressemblants à deux poires, bien séparés l’un de l’autre, durs et dressés fièrement. La robe choit sur la vieille moquette tachée, il découvre le string trempé, devine son envie, lui descend, elle lève les pieds pour s’en dégager. Il le porte à son nez et respire les effluves de cyprine. Nue devant lui, elle le voit l’explorer du regard allant de bas en haut.
— Tu es encore plus belle que je ne le pensais, j’ai envie de toi.
Corinne ne demande pas qu’on l’adore, mais qu’on la baise. Une fois nus tous les deux, ils se mettent en position de soixante-neuf sur le lit défait et se dévorent leurs sexes respectifs. Rudy ne tient pas longtemps et submerge la bouche de Corinne, elle subit de longues giclées qui cinglent sa gorge, stoïquement elle avale tout. De son côté Rudy a bu à la source de petits jets de cyprine odorants. Ils explorent leur corps de longues minutes, le noir de la peau de Rudy tranche avec la peau laiteuse de Corinne. La jeune femme sent renaître dans sa main le désir de son jeune amant. Sa queue durcit, lui sur ses doigts sent s’écouler une douce liqueur qui laisse présager une demande d’accueillir un sexe. Rudy se couche sur elle et frotte sa queue contre son abricot. Frénétiquement Corinne élève les jambes en entourant la taille de son partenaire, ensuite d’une violente poussée la bite congestionnée force le rempart accueillant de la jeune femme.
Corinne sent la bite écarteler sa chair, s’enfoncer en elle très loin une coulée de transpiration lui trempe aussitôt les reins, elle pousse de grands soupirs.
— Oui, oui, oui, plus fort, mets-moi ta verge entière mon chéri.
Dans son corps brûlant la verge gonfle encore démesurément elle l’emplit complètement la jeune femme se sent prise de convulsions violentes. Elle crie encore. Corinne imprime à ses hanches un puissant mouvement de balancier et serre les fesses, comprimant la bite comme si elle cherchait à la broyer. S’ouvrant toujours plus la recevant comme pour l’attirer, pour l’enfoncer dans le plus secret endroit de son sexe. Son bassin bouge au rythme de son désir grandissant, l’homme enfouit en elle bouge d’abord doucement, plus fort, encore plus vite. Bientôt, le coït est si violent que la jeune femme hurle prise d’une souffrance à peine supportable. Ce feu en elle la dévore toujours plus fort, de sa fente son jus abondant coule comme une source. Sa main entoure la base de la bite gonflée et détrempée par le miel de sa jouissance. Elle bloque son éjaculation, il souffre à son tour de ne pas pouvoir remplir sa jeune maitresse.
Ainsi, elle le retient encore un petit moment puis libère la queue qui tel un tuyau plié est soudain relâché. Le sperme jaillit au plus profond de son être, inondant le vagin, noyant l’utérus, bouillonnant en elle. Corinne ne se souvient pas d’un tel flot de sperme entrant dans son ventre. Elle déborde, la raie de ses fesses canalise le jus sur les draps. Rudy s’écroule de plaisir sur sa compagne. Leurs deux corps ne font plus qu’un. Corinne vient de tromper son mari pour la première fois, elle n’a aucun remords tant son plaisir a été grand. Corinne vient de franchir le pas de l’adultère et désormais plus rien ne va l’arrêter, elle a trop de temps à rattraper. Son site va la mener à la débauche.
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