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Le corps médical - la radiologue

Chapitre 2

Trash
Le lendemain après un après-midi très chaud avec Martine qui avait décidé qu’il fallait que je sois « propre comme un sou neuf » et pendant lequel elle m’avait rasé le bas ventre, les couilles et la raie tout en insistant bien sur les bords de mon anus, je me présentais, toujours avec un quart d’heure d’avance à mon rendez-vous chez le proctologue. La secrétaire, une petite femme bien en chair, m’accueillit et prit tous les renseignements pour créer ma fiche, puis elle se leva et commença à ranger ses affaires et me tendant la fiche qu’elle avait rempli elle me dit : « Mon mari vient de se libérer, il ne va pas tarder à vous recevoir, et moi je rentre à la maison, vous lui donnerez votre fiche ».
Je pris la fiche très surpris et pas trop rassuré, surtout avec le mot qu’avait fait la radiologue la veille et qui était bien au chaud dans ma poche, quand je l’avais lu, j’avais pensé immédiatement que le destinataire était homosexuel et certainement pas qu’il était marié. A peine sa femme était-elle partit que le docteur ouvrit la porte du cabinet, et la mauvaise surprise, autant la radiologue était grande et mince, lui était petit et gras, vraiment grassouillet. Il portait une tenue comme dans les hôpitaux, une blouse blanche ouverte à moitié sur un torse velu, un pantalon bleu en toile (comme les infirmiers et docteurs des hôpitaux et des sabots blancs en caoutchouc, les doigts de la main qui tenait la poignée de la porte étaient boudinés. Alors que je me disais qu’il allait bien avec sa femme, coupant court à mes observations il me dit : « Allons-y jeune homme, c’est à vous, ma secrétaire vous a laissé la fiche ? ». Je m’avançais et lui tendais la fiche en répondant : « Bonsoir docteur, oui votre épouse me l’a laissé » et il répondit : « Ah, elle vous a dit que nous étions mariés, bon allons-y venez et asseyez-vous ». Je fis ce qu’il me demandait et m’asseyait dans un fauteuil très confortable, il commença par me poser des questions sur les traitements que je prenais actuellement puis me dit en se levant et en se dirigeant vers une table de consultation :
« Vous ôtez vos chaussures, votre pantalon et votre slip puis vous vous allongez là-dessus et vous posez vos pieds sur les étriers »
Je le regardais un peu inquiet, il sourit et dit :
« Ne vous inquiétez pas, vous êtes chez un spécialiste qui doit voir correctement l’objet de sa spécialité en l’occurrence vos fesses et je vais examiner de près votre, anus, votre prostate et vos sphincters, ce sera un examen complet, peut-être un peu gênant, mais je vais tout faire pour que cela se passe le mieux du monde, je vais commencer par un toucher rectal, puis, et là ce sera peut-être le plus gênant, je vais introduire dans votre anus un anuscope, le tout me permettra de faire un diagnostic complet. »
Pendant qu’il retournait s’asseoir à son bureau, je me déshabillais donc et une fois nu de la taille aux pieds (je n’avais gardé que mon teeshirt), je m’installais comme il me l’avait demandé. Il se leva et vint vers moi en disant : « Descendez un peu pour me libérer l’accès et de plus ce sera mieux pour vous. » puis voyant que j’étais totalement rasé, il dit « Eh bien rasé complètement cela vous va très bien, au fait vous avez fait le lavement que ma secrétaire a dû vous demander lors de la prise de rendez-vous ? » je répondis que oui et là, nouvelle question, « Vous vous rasez tout seul, cela ne doit pas être pratique et le lavement n’a pas été trop dur ni à faire ni à supporter ? »Je lui répondis que le lavement et le rasage avait été fait par une amie qui avait pensé que ce serait mieux pour l’auscultation, il répondit « Je vous confirme, votre amie a eu raison, et de plus ça me change du spectacle habituel. » puis il me dit « Bon alors ne vous inquiétez pas, afin que tout se passe bien, je vais sangler votre bassin sur le fauteuil et vos cuisses aux barres des étriers, car il ne faut pas que vous bougiez pendant l’examen sinon je pourrais vous faire mal, ce que je ne souhaite pas bien sûr. »Et il fit ce qu’il venait de dire, me sanglant au fauteuil juste au-dessus du pubis et les cuisses juste au-dessus de mes genoux, je m’aperçus alors que tout le bas de mon corps était immobilisé.S’asseyant sur un tabouret à roulettes, il enfila un gant et me dit :
« Bon regardons si tout va bien, et surtout si je vous fais mal vous me le dites, de toute manière je mets du gel sur mon doigt pour qu’il rentre mieux et sans vous blesser. »
Et il commença par poser son doigt sur mon anus et à étaler le gel en appuyant un peu pour enduire les bords de mon p’tit trou. La conversation, son physique et ses gestes très professionnels firent que je restais de marbre face à cet attouchement, puis je sentis son doigt glisser en moi, sans mal et très facilement. Intérieurement, je remerciais Marine qui m’avait préparé l’après-midi même, mais qui elle n’avait pas pu s’empêcher de limer mon cul avec deux doigts. Le docteur pratiquait avec douceur, une fois que son doigt fut rentré, je le sentis qui me palpait l’intérieur, et en même temps, j’entendais la respiration du docteur qui s’était un peu accélérer et surtout je sentais son souffle chaud envelopper mes couilles.Je décidais de penser à autre chose pour éviter que l’érection que je commençais à sentir ne grimpe. Il me dit après quelques minutes de palpations, qui soit dit en passant ne furent pas désagréables :
« Bon maintenant, je vais retirer mon doigt doucement, à chaque fois que je dirais hop, serrez les fesses, comme si vous vouliez empêcher mon doigt de sortir pour voir si vos sphincters fonctionnent bien. »
Et il commença à faire glisser son doigt en arrière, tellement doucement que cela ressemblait plus à une caresse qu’autre chose et que je commençais sérieusement à être perturbé par l’examen. Au premier hop, je serrais les fesses avec l’arrière-pensée qu’effectivement s’était pour retenir en moi ce doigt qui me faisait du bien. Au second hop je recommençais, et là le docteur me demanda :

« Au fait j’ai oublié de vous demander, vous avez un courrier de ma consœur qui vous a envoyé vers moi ? »
Confus je répondis : « Je suis désolé mais je l’ai oublié chez moi. » La réponse qu’il me fit, me figea, pour autant que ce fût possible, « Ce n’est pas grave, quand j’ai vu votre jeune âge, et comme ce n’est pas vraiment la tranche de ma clientèle, je l’ai appelé et elle m’a expliqué pourquoi elle vous avait dit de venir me voir. »
J’ai dû rougir au moment même où il levait les yeux pour me regarder, il sourit et dit « Bon ça ne va pas trop comme ça, je ne sens pas bien la contraction de vos muscles. » Et il sortit complètement et doucement son doigt en reprenant la parole, il dit : « Eh bien effectivement le lavement a été bien fait, mon gant est propre, votre amie est aide-soignante ou infirmière peut-être ? » Je lui répondis que non et il me dit « Bon ben c’est très bien, ça va me faciliter les choses. » Et alors qu’il finissait sa phrase, j’entendis qu’il enlevait son gant, puis tout de suite après je sentis son doigt se poser à nouveau sur ma rosette alors qu’il me disait « On recommence mais j’ai enlevé mon gant comme ça je sentirais mieux les contractions de vos muscles » et le temps qu’il finisse sa phrase il avait de nouveau enfoncé son doigt très doucement au fond de mon cul. La réaction fut immédiate, devant tant de douceur à laquelle je ne m’attendais pas, ma queue commença à dresser la tête tout doucement, je la sentais qui durcissais et devenait de plus en plus dure. Le docteur dit « Eh bien voilà une charmante réaction. » Sachant qu’il avait eu la radiologue en ligne, je me dis qu’il ne devait rien ignorer de ce qu’il s’était passé la veille, et puis son doigt me faisait du bien, il le faisait tourner doucement en poussant avec sa main ce qui faisait que je le sentais bien en moi.
Je lui dis avec une respiration un peu saccadée « Je suis désolé. », il répondit « Mais ce n’est rien, vous n’êtes pas le seul à avoir cette réaction, sexuellement parlant l’anus est une zone érogène que ce soit pour une femme ou pour un homme, allez on recommence l’exercice, à chaque hop, serrez les fesses. » Et il commença tout doucement à retirer ce doigt qui me faisait maintenant beaucoup de bien. Au premier « Hop » il me dit « Voilà, c’est mieux comme ça, je sens mieux vos contractions musculaires, et vous ça va, je ne vous fais pas mal ? »Dans un souffle je lui répondis : « Non, docteur, ça va très bien ». Après deux « hop » supplémentaires son doigt, à ma grande frustration, sortait complètement de mon cul, il se leva, et je sentis son regard se poser partout sur moi et je vis qu’il fixait avec insistance mon érection puis il me dit :
« Bon c’est pas mal, mais si ça va et que cela ne vous dérange pas, je recommencerais bien l’exercice pour… ». Je lui coupais la parole « Ca va très bien docteur, vous pouvez recommencer ». Je me dis que j’avais été trop vite à répondre mais que de toute manière, j’avais vraiment aimé et que si de le refaire pouvait éviter d’autres actes cela ne serait pas plus mal vu la position dans laquelle j’étais, c’est-à-dire tout à fait la merci de ce vieux salaud car j’en étais sur maintenant c’en était un. Il resta debout et toujours entre mes jambes, se mit de côté en me disant :
« On va faire autrement pour que je constate bien que tout est ok. » Il posa alors le majeur de sa main droite sur mon anus et alors qu’il poussait doucement pour le faire rentrer, il posa, comme par inadvertance, sa main gauche sur mes couilles et la retira tout de suite et, passant au tutoiement, me dit : « Excuses-moi.», je lui dis « Il n’y a pas de mal docteur » et je ne pus m’empêcher de rajouter « Vous avez les mains très douces. » Il était rouge comme une tomate et avait la respiration haletante d’une personne forte en pleine excitation, il me regarda et dis « je peux reposer ma main alors ? ». Et en même temps je sentais son doigt au fond de moi qui commençait à bouger imperceptiblement. Je souris et dis : « Ben oui, je reconnais que j’ai aimé la chaleur de votre main sur mes couilles » Il posa à nouveau sa main et commença à me masser les couilles alors que son doigt commençait des va-et-vient très lents, mais surtout très excitants. Puis il dit dans un grognement « Petit salaud, tu m’excites, tu vas voir. » Et là j’eu un peu peur, mais cela ne dura que le temps qu’il se rasseye sur son tabouret, penches sa tête entre mes cuisses et avale ma bite d’un coup. Je poussais un cri de surprise, me lâchant, il redressa la tête et me dit « Quoi, je te fais mal ? » Je lui répondis dans un souffle : « Non, non, au contraire, continuez docteur » et avant de me reprendre en bouche il dit « Décidemment ma consœur avait raison, tu es une vrai petite salope. »Et il m’avala à nouveau, me rentrant en entier dans sa bouche et faisant virevolter sa langue sur mon gland et le long de mon chibre, tout en continuant allègrement à me limer le p’tit trou avec son doigt. Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme et lorsqu’il aspira ma queue de toutes ses forces je poussais un gémissement. Il me relâcha à nouveau « Ça ne va pas ma p’tite salope ? » Je lui dis « Si mais si vous continuez je vais jouir », il rigola et dit « Mais tu n’as pas compris que c’est ce que je veux, je veux ton foutre au fond de ma gorge. » Et il me reprit en bouche tout en accélérant les mouvements de son doigt dans mon cul et quand dans un dernier geste du poignet son doigt atteint le fond de mon cul, je jouis dans sa bouche, et il avala tout en gémissant.
Après avoir repris nos esprits et pour lui ce fut très rapide, il se leva et me dit « Merci ma salope, j’ai adoré ton foutre maintenant il faut continuer l’examen de ce p’tit cul, je vais te glisser l’anuscope et après on verra, en tout cas je suis content que ma consœur ait pensé à moi, nous avons fait nos études ensemble, ça rapproche, au fait tu fais quelque chose ce soir ? » Encore à ma jouissance, je répondis « Non rien du tout » il me proposa alors de venir dîner chez lui en me demandant si cela ne me dérangeait pas une partie à trois avec sa femme, me disant que cela n’était encore jamais arrivé avec un gamin de mon âge, qui plus est une véritable salope. J’acceptais l’invitation. Il m’avait excité, fait jouir, mais j’étais encore excité et cette partie à trois m’attirait.Il alla à son bureau en disant « Je l’appelle tout de suite pour lui dire. » il composa un numéro puis la discussion fut la suivante.
Lui : « Ma chérie, tu sais le jeune homme que tu as accueilli tout à l’heure, et bien il serait très content de venir dîner ce soir et de jouer avec nous, c’est une véritable petite salope. »...Lui : « Oui ma chérie on a presque fini, il me reste à lui mettre l’anuscope et à terminer l’examen. »Lui : « Oui je sais ne t’inquiètes pas, je vais t’en laisser, je sais que tu aimes être remplie de foutre par tous les trous. »Lui : « Ok on se dépêche, je pense qu’on en a pour 30 à 45 minutes maxi. »
Puis il raccrocha, me regarda et me dit « Bon je te prépare pour le moins drôle. » Prenant un accessoire sur la table à côté de lui il me le présenta en disant : « Voilà, l’anuscope, je vais te le rentrer dans ton p’tit cul puis après je regarderais dedans, à mon avis tu n’as rien mais tant que tu es là autant bien faire les choses. »Je regardais apeuré l’engin qu’il me montrait, en fin de compte cela ressemblait à un sexe d’homme avec un trou à chaque bout et une espèce de poignée. Il sourit et dit :
« Ne t’inquiètes pas je vais faire le plus doucement possible, et puis si je me débrouille bien, tu vas peut-être aimer. » J’en doutais un peu vu la taille du machin. Il le reposa et me dit « Alors voilà, je vais te préparer pour l’introduction, puis une fois qu’il sera en place, je vais te laisser tranquille un peu et ensuite je regarde par le trou, je l’enlève de ton cul, on s’habille et on file chez moi où ma femme nous attend déjà et je suis sûr qu’elle est déjà chaude à point. »Il se rassit, fit rouler le tabouret pour être bien entre mes jambes et se pencha en avant, je me demandais ce qu’il allait faire quand je sentis sur ma raie une caresse magique. Il était en train de me bouffer le cul et avec gourmandise encore. Il releva la tête et me demanda « Alors elle te plaît cette préparation ? » je gémis un « Oui. » et m’abandonnais complètement à sa langue qui était retournée sur mon p’tit trou.Après quelques minutes, il releva la tête et me dit « Bon allez, il faut continuer sinon je vais me faire engueuler et quand madame n’est pas contente ça fume. » Puis il prit l’anuscope et commença tout doucement à me l’introduire. Au début pas de problème, mon p’tit trou bien lubrifié était prêt, mais c’est sur la longueur que ça n’allait plus et je le lui dis : « Arrêtez, s’il vous plaît vous me faites mal. » Il stoppa net et en se levant me dit « Bon on attendre un peu avant de le rentrer plus, mais il va falloir le faire pour cet examen ma p’tite salope. En attendant si tu veux que j’arrête un peu, il va falloir que tu fasses ce qu’il faut. » Puis s’approchant de ma tête, il ouvrit sa blouse, défit le cordon de son pantalon, le baissa et entrepris de sortir sa bite. J’attendais avec impatience, déjà pour l’occuper et qu’il arrête de m’emmancher avec son accessoire et ensuite, ben franchement j’avais très envie de voir sa queue. Une fois qu’elle fut sortie, je souris. L’expression « Petite bite » me vint immédiatement à l’esprit. Il se rapprocha de ma bouche et me dit : « Suce, ma salope, fais-moi bander » Je pris dans ma bouche ce petit bout de sexe, un peu déçu, je m’attendais à mieux, et je commençais à le pomper et à l’aspirer pendant que lui donnait des coups de reins comme s’il voulait me baiser la bouche. En quelques minutes je sentis que je n’obtiendrais pas plus que la dizaine de centimètres que j’avais dans la bouche. Je m’appliquais un peu déçu à lui donner le plaisir qu’il me demandait et il quand sa respiration s’accéléra et qu’il me dit « Attention je vais jouir » Je plaquais ma bouche à son pubis en l’avalant complètement et en aspirant sa bite comme si je voulais boire avec une paille. Il cria « Sale pute, tu veux mon foutre et ben tu vas l’avoir. »Dans un grand cri, il se vida les couilles au fond de ma bouche. Autant il avait une petite bite, autant son réservoir à foutre était lui de grande capacité. Il n’arrêtait pas de se vider et j’ai dû ouvrir la bouche pour respirer tout en continuant à avaler ce qui coulait de sa bite. Le goût n’était pas désagréable et son sperme était épais. Franchement je me régalais. Il me dit : « Putain, tu es une véritable salope, ta bouche est un vrai sac à foutre, et maintenant nettoies-moi la bite. » Je fis ce qu’il me demandait, puis il finit d’investir mon cul avec l’anuscope, fit l’examen et conclut que tout allait bien.
Il me dit de me rhabiller et après avoir passé un coup de fil à ma mère pour lui dire que je rentrerais tard, nous prîmes la direction de sa maison.Mais la suite est une autre histoire.
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