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Le corps médical - la radiologue

Chapitre 3

Trash
Avant de sortir du cabinet, le proctologue me dit « au fait je m’appel Noël et ma femme que tu as vu tout à l’heure c’est Anne-Marie, bon on va prendre ma voiture et ne t’inquiètes pas je te ramènerais chez toi ». Je lui demandais où ils résidaient et il me donna le nom d’une des communes réputée comme étant une des plus riches du département, et effectivement lorsque nous y arrivâmes, il prit la contre-allée de la route principale et nous longeâmes un mur imposant de presque de 2 mètres de haut et nous arrêtâmes devant un immense portail en fer forgé, ce mur et son portail empêchait quiconque de voir la maison.Noël descendit de la voiture, alla ouvrir le portail et revint, il passa le portail, redescendit, referma le portail puis revint et fit suivre à la voiture une allée qui nous emmena devant une construction moderne pour l’époque, j’étais ébahi par cette maison, tout en plein pied, Noël voyant ma stupéfaction me dit « nous avons acheté ici, détruit la maison qui y était et fait construire ça à la place, tu vas voir l’intérieur est bien aussi ». Nous descendîmes de voiture et nous avançâmes vers la porte d’entrée qui s’ouvrit au moment où nous arrivions devant, Anne-Marie se tenait souriante sur le pas de la porte, elle arborait un grand sourire et portait un peignoir de bain, Noël l’embrassa tendrement puis lui dit « ben tu es déjà prête, c’est bien tu vas pouvoir lui faire visiter la maison pendant que je prends ma douche », Anne-Marie lui répondit « bien sur chéri, c’est pour ça que je me suis dépêchée, comme je sais que ta douche est sacrée, j’ai préparé des salades et des trucs froids pour manger et comme ça on va profiter de la piscine avec le temps qu’il fait ».Noël partit, son épouse me fit visiter la maison, puis nous arrivâmes sur la terrasse qui donnait sur une piscine, c’était la première fois que je voyais ça chez des particuliers, je fus estomaqué et je m’arrêtais net devant cette terrasse entourée de haies verdoyantes, et taillées assez haut, Anne-Marie me regarda avec un sourire et me dit « tu trouves comment ? » Je lui dis « mais c’est magnifique en plus vous êtes tranquille vu la hauteur des haies, vous pouvez faire ce que vous voulez sans être embêtés par les voisins » elle me répondit « tu ne crois pas si bien dire, est-ce que ça te dis de te baigner ? » frustré je lui répondis « j’adorerais c’est sur mais je n’ai pas de maillots de bain » et en moi-même je me disais que si j’avais été chez moi, je n’en aurais pas eu besoin, je me serais foutu à poils et j’aurais sauté dans la piscine.Anne-Marie éclata de rire et me dit « ben grand nigaud pourquoi crois tu que les haies soient aussi hautes, c’est pour qu’on puisse faire ce qu’on veut, et comme j’avais prévu que tu n’aurais pas de maillot, et pour ne pas te gêner je n’ai pas de maillot moi non plus, j’espère que ça ne te gêne pas » elle ouvrit son peignoir et apparu complètement nue, de voir ses formes pleines dans leur nudité me fit bander instantanément et je lui dis « ben pas de maillot ça ne me gêne pas mais de te voir nue, maintenant si » elle éclata de rire et se mettant face à moi en fixant mon érection, très visible sous on pantalon, dit « hum, mais c’est très flatteur ça jeune homme, attends je vais t’aider à te mettre à l’aise, de deux coups d’épaules elle se débarrassa de son peignoir, saisit mon tee-shirt pour le passer par-dessus ma tête, en profitant au passage pour effleurer mes tétons déjà en grande forme, puis s’accroupit et commença par caresser la bosse qui déformait mon pantalon puis levant les yeux elle me dit « bon pas de chichi entre nous je sais ce qu’il s’est passé chez la radiologue et apparemment Noël a déjà vérifié pas mal de choses, donc bas les fringues et amusons nous, de toutes manières, je sais déjà ce qu’il s’est passé chez Fabienne puisque c’est à moi qu’elle la raconté donc je sais tout sauf ce que Noël a découvert ce soir, tu veux bien me raconter pendant qu’on va dans l’eau en l’attendant, le problème avec lui c’est que sa douche du soir est toujours très longue, alors on a largement le temps de faire connaissance » puis baissant mon pantalon, elle rajouta « tu vas me raconter ça dans l’eau » puis voyant mon érection, elle embrassa mon gland, m’enfourna dans sa bouche, fit un aller-retour et se levant elle plongea dans la piscine, je me dépêchais de finir de me déshabiller et sautait dans l’eau derrière elle. L’eau n’était pas profonde, je m’approchais d’Anne-Marie et m’assis à côté d’elle sur les marches pour discuter, elle me dit « allez racontes moi la visite de ce soir », et je lui racontais dans les moindre détails ce qu’il s’était passé au cabinet, quand j’eu fini, je vis qu’une de ses mains était entre ses jambes, elle avait les yeux un peu vitreux et je voyais sa main bouger sous l’eau claire alors qu’elle haletait. Elle s’aperçut que je ne disais plus rien, elle me regarda et sa seconde main se saisit de ma bite déjà bien dure, et elle commença à me masturber sous l’eau sans rien dire, j’avançais doucement une de mes mains vers son entrecuisse quand j’y arrivais, elle enleva sa main pour me laisser la place et je commençais à mon tour à la caresser, je trouvais rapidement son clitoris tout gonflé de plaisir et je l’effleurais puis le titillais, Anne-Marie se mit à gémir et en quelques minutes, je sentis sur mes doigts une douce chaleur, alors que la tête d’Anne-Marie partait en arrière, elle venait de jouir, je continuais à la caresser et au moment ou j’allais introduire mon majeur dans son sexe, elle gémit, se redressa et me dit « non, pas maintenant, attends que Noël soit là, par contre assis toi plus haut j’ai envie de te dévorer la queue », je ne me fis pas prier, sa proposition m’allait tout à fait, dans le sens ou j’étais au bord de l’explosion et que je ne voulais pas risquer de « salir » l’eau.Je remontais de deux marches en reculant et m’asseyais sur la première marche, là Anne-Marie se mettant à genoux sur une marche, se pencha en avant et m’avala avec autant de gourmandise que qu’elle ne l’avait fait une petite demi-heure plus tôt, et commença à faire coulisser sa bouche sur ma bite tout en caressant mes couilles. Je cherchais une meilleure position, j’avançais un peu mes fesses vers elle, puis m’allongeais en arrière sur la margelle de la piscine, je fermais les yeux pour profiter pleinement de la caresse buccale dont je bénéficiais. Sentant que j’étais au bord de l’explosion, Anne-Marie me lâcha, m’attrapa la queue à la base et serra assez fort pour couper la montée de mon plaisir, je poussais un gémissement frustré, elle me dit « attends pas tout de suite, mais tu vas voir je ne sais pas faire que ça » elle posa sa bouche au niveau de mon genoux et sortant sa langue elle remonta très doucement vers mon entrejambe, puis recommença sur l’autre cuisse, lorsqu’elle arriva près de mes couilles, je donnais un petit coup de rein en écartant encore plus jambes, pour qu’elle m’avale à nouveau, dans ce geste, je glissais un peu sur la marche et sans l’avoir fait exprès, j’offrais à son regard toute la raie de mes fesses, elle me dit « hum, superbe vue, j’ai le droit de regarder de plus près j’espère » je lui répondis « tu peux regarder avec les yeux, les mains et même la langue si ça te dit » je n’eu pas à le répéter, elle plaça ses mains sous mes fesses après m’avoir demander de les soulever un peu, puis langue en avant elle plongea vers ma raie qu’elle lécha sur toute sa longueur, lorsqu’elle arriva sur mon p’tit trou, elle joua avec, le piquant de petits coups avec le bout de sa langue « j lui dis arrêtes s’il te plaît », elle releva la tête et me demanda « tu n’aimes pas » je répondis dans un soupir « oh si au contraire, mais arrêtes de jouer, bouffes le moi » elle éclata de rire et me dit « mon p’tit chéri, ici tout se fait bien, et pas à la va vite, je fais comme je l’aime et de plus de la manière dont je le fais, je sais que tu aimes alors tais toi et profites » et elle replongea pour recommencer la douce torture qu’elle avait entrepris de me faire subir, je tentais de donner des coups de reins, pour sentir sa langue, juste là où je la voulais, mais rien n’y fit, ma queue tressautait dans le vide à chaque fois que sa langue m’effleurait et je n’arrêtais pas de gémir. Au bout de plusieurs minutes, elle fit enfin ce dont j’avais envie, elle appliqua sa longue sur mon p’tit trou, le picora de petits coups, puis l’appliqua et poussa dessus comme pour me prendre alors que sa langue tournait autour de ma rondelle, je devenais fou, personne ne m’avait bouffé le cul de cette manière, car jusqu’à présent ont voulait jouer avec, que ce soit Pierre, Martine, Annick, ou Jacqueline, et alors que j’étais très jeune (enfance précoce) ce qu’il voulaient tous c’était prendre du plaisir le plus vite possible et ce servir de ma jeunesse et de ma vigueur le plus rapidement et le plus longtemps possible, alors qu’Anne-Marie, voulait jouer avec effectivement, mais voulait jouer avec mes nerfs en même temps et me donner un plaisir intense. A ce régime, je sentais le plaisir monter et je le lui dis dans un gémissement « arrêtes s’il te plaît je ne vais pas pouvoir me retenir ».Je finissais à peine ma phrase quand la voix de Noël se fit entendre « ce serait dommage, tu en mettrais partout, reconnais que sa langue et sa technique sont magiques, j’ouvrais les yeux et juste au-dessus de moi, je vis Noël, nu, il se tenait jambes légèrement écartées, juste au dessus de ma tête, il était entrain de nous filmer, Anne-Marie releva la tête, ce qui m’arracha un « nonnn » de frustration et lui dit « alors mon chéri si au lieu de regarder tu participais, son plaisir pourrait terminer dans ta bouche et après tu m’en ferais profiter, accroupis-toi, donne lui ta bite à sucer et bouffes la sienne jusqu’à ce qu’il jouisse », le temps que Noël pose sa caméra, et vienne s’agenouiller en 69 au-dessus de moi, Anne-Marie se contenta de titiller ma pastille avec un doigt, dès qu’il fut en position, et alors que sa queue avait commencé à prendre un peu de volume, je l’avalais complètement, avec une main, je lui écartais les fesses et le majeur de mon autre main alla directement titiller son anus, « il ne m’avait pas encore pris dans sa bouche, il gémit et dit « ce gamin est une véritable salope ma chérie, il est entrain de me titiller l’anus » puis il se baissa et me prit dans sa bouche, je sentis la caresse humide de sa langue sur mon gland puis sur toute ma queue, alors qu’il passait sa langue plusieurs fois sur mon méat dans une douce torture, je l’avalais complètement et rentrais mon doigt dans son cul pour commencer à lui branler l’anus, Anne-Marie repris sa caresse mais en l’appuyant de plus en plus, elle m’écarta les fesses au maximum et mon anus s’ouvrant, elle y rentra la langue et la fit tourner et virevolter en la rentrant le plus loin possible dans mon cul.La queue de Noël, au chaud dans ma bouche, avait atteint son développement maximum, et je faisais lui branlait l’anus de plus en plus vite en rentrant mon doigt entièrement dans son cul à chaque fois, Anne-Marie avait repris son jeu et je me retenais pour ne pas jouir, mais quand Noël se mit à aspirer fortement ma bite en passant et repassant sa langue sur mon méat, et alors que sa femme, dans un manège infernal, me pénétrait l’anus de plus en plus vite, je ne me pu me retenir plus longtemps et jouissais dans la bouche de Noël qui plaqua ses lèvres sur mon bas-ventre pour ne rien perdre et continua à m’aspirer comme un dément, je hurlais mon plaisir et je crois que c’est la première fois que je l’exprimais aussi fort, la bouche de Noël remonta doucement le long de ma queue et se referma dès qu’elle la lâcha, il se pencha en avant et alors que je continuais à le sucer et à branler son cul, Anne-Marie releva la tête, remplaça sa langue par un doigt et embrassa son mari à pleine bouche, un peu de mon sperme coula à la commissure de ses lèvres et tomba sur mon ventre, je les regardais faire et je trouvais ce baiser très érotique et excitant. Quand ils séparèrent leurs lèvres, je crus que nous allions faire une pause, mais je me trompais, Noël me dit « continues ma p’tite salope, bouffes moi bien le zob et branles mon cul, on va te faire rebander avant de faire une pause », et je sentis Anne-Marie poser deux doigts sur ma rondelle et la forcer doucement alors que Noël se penchait à nouveau pur me reprendre dans sa bouche, à ce régime, mon jeune âge joua en ma faveur, je rebandais assez rapidement, et dès que je fus à nouveau en érection, Noël se releva, Anne-Marie retira ses doigts tout doucement et ils me dirent « allez, à l’apéro, et à table ». Nous nous assîmes dans les fauteuils du salon de jardin, Noël me demanda de leurs raconter avec des détails croustillants mon histoire, puisque lui et son épouse en connaissaient une partie mais qu’ils voulaient en savoir plus, je me mis à raconter mon histoire en commençant par le début et très rapidement Noël se remit à bander alors qu’Anne-Marie relevant une jambe sur son fauteuil, commença à se caresser distraitement en m’écoutant, la voyant faire Noël repris sa caméra et la filma, puis quand je fis une pause pour boire, il me dit « fais lui du bien avec ta langue, montres-nous ce que tu sais faire », et alors que Noël continuait à filmer, je m’agenouillais devant Anne-Marie, pris la main avec laquelle elle se caressait, et léchais les doigts enduit de son plaisir, puis posant ma langue à l’intérieur de ses cuisses, comme elle l’avait un peu plus tôt pour moi, je remontais très lentement vers sa fente ouverte et humide, quand je l’atteignais, je posais ma bouche dessus et ma langue trouva immédiatement son clitoris gonflé de plaisir, alors que je le prenais entre mes lèvres et l’aspirais, Anne-Marie fut prise d’un spasme et gémit tout en s’écoulant dans ma bouche, ma langue récupéra tout ce qu’elle put et je me régalais de ce plaisir puis je recommençais à aspirer son clito, puis à le mordiller alors qu’elle gémissait de plus en plus, quand je la sentis à nouveau au bord de l’orgasme, je forçais ses lèvres avec ma langue et c’est directement sur cette dernière qu’Anne-Marie jouit en criant son plaisir, elle n’eut pas le temps de fermer la bouche, Noël qui, devant le spectacle, avait repris de la vigueur, mit sa queue dans sa bouche tout en continuant à filmer et me dit « recommences, elle adore qu’on lui bouffes la foufoune jusqu’à plus soif », je le regardais et je lui dis avec un sourire « super, car j’ai encore très soif » et je replongeais ma tête entre les cuisses de sa femme qui jouit encore deux fois sur ma langue avant de me dire « arrêtes s’il te plaît, j’ai le clito en feu, laisses moi, me reposer un peu ». Je me relevais et mon état les fit sourire tous les deux, je bandais et ma queue tressautait à chaque mouvement que je faisais, Anne-Marie déposa un baiser sur mon gland et dit « toi, tu vas te mettre au chaud tout à l’heure alors reste bien comme ça, dure et tendue comme j’aime » puis elle partit vers la cuisine pour faire du café pendant que Noël sortait des alcools, je lui dit que je ne buvais pas, il sourit et me dit « je suis content de cette réponse, il y a tellement de jeunes qui se mettent à boire de nos jours » puis nous attendîmes sagement le retour de sa femme avec les cafés, cette pause nous fit du bien et permis à Noël de reprendre des forces, à Anne-Marie de laisser reposer son p’tit bouton tout échauffé et à moi de discuter d’un ton badin avec eux sur les plaisirs de la vie et ce que j’allais faire maintenant que je bossais.Anne-Marie s’était assise sur un transat tout comme Noël était allongé sur celui d’à côté, mais la position assise d’Anne-Marie était très excitante, une jambe de chaque côtés du transat, elle était carrément écartelée et je voyais sa fente avec ses grandes lèvres ouvertes, une fois que j’eu commencer à la regarder, je ne pu cesser, et n’écoutais plus la conversation, Noël éclata de rire et dit « alors qu’est-ce que je viens de te demander », confus je me sentis rougir et je répondais « euh, excuses moi, je n’ai pas entendu » il rigola en répondant « c’est sur, tu es occupé à mater la p’tite chatte grande ouverte de ma femme, et je suis sur que si tu voulais la regarder de plus près, elle n’aurait rien contre », Anne-Marie posa une main en haut de sa fente et tira doucement vers le haut, ce qui eu pour effet de refermer un peu ses lèvres, puis elle laissa retomber sa main et ses lèvres s’ouvrirent à nouveau en grand, ce geste fit son effet immédiatement, ma queue commença à se réveiller et à grossir, je fis ce que Noël m’avait dit, je me levais et venais m’agenouiller devant ce fruit ouvert et prêt à être déguster, Anne-Marie s’allongea en laissant ses jambes de chaque côtés du transat et me dit « manges moi, fais moi encore jouir avec ta langue » je ne pouvais refuser, je vis Noël reprendre sa caméra et je plongeais entre les cuisses d’Anne-Marie pour lui faire ce qu’elle me demandait, en une dizaine de minutes, elle jouit deux fois dans ma bouche, à la seconde et alors que Noël continuait à filmer elle dit « j’ai envie d’être remplie par vous deux » je levais la tête et la regardais elle dit alors à Noël, chéri je vais venir m’empaler sur ta queue et notre jeune ami, dès que tu seras au fond de moi, va m’enculer », devant cette proposition au combien tentante, je crus que j’allais jouir immédiatement, Anne-Marie se positionna à genoux sur le transat occupé par son mari et avant de le prendre dans sa bouche me dit « prépares moi avec ta langue et tes doigts pendant que je fais le fais durcir » et elle prit la queue de Noël à pleine bouche alors que je me jetais, langue en avant sur son p’tit trou offert, après une dizaine de minutes de dégustation, Anne-Marie gémit et bougea en disant « maintenant, j’en ai trop envie, je veux que vous me remplissiez tous les deux, je veux vous sentir au fond de moi et que vous me défonciez », sans plus attendre elle s’empala avec un gémissement sur la bite tendue de Noël, je me mis à genoux derrière elle, posais mon gland sur son anus, et poussais doucement pour ne pas lui faire mal, elle tourna la tête et dans un gémissement me dit « d’un coup s’il te plaît, je veux que tu me défonces, je veux te sentir en moi d’un seul… » elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, je donnais un coup de reins et m’enfonçais au fond de son cul, elle hurla « ouiiiiiii, c’est trop bon pilonnes-moi, je te sens bien, vas au fond, défonces moi, fais moi jouir », je calquais mes va et vient sur ceux qu’elle faisait sur Noël, comme j’avais jouis récemment, je tins jusqu’à ce que je sente qu’elle allait partir et que Noël fut au même point, Anne-Marie gémit « en même temps, s’il te plaît, tous les trois en même temps » alors j’accélérais la cadence de mes mouvements dans son cul et en quelques minutes nous jouîmes tous les trois en même temps, Anne-Marie hurla son plaisir, alors que Noël et moi restions plus discrets.Après quelques minutes de repos, et alors qu’Anne-Marie en serrant les fesses me gardait prisonnier de son cul, elle dit « putain, que c’était bon, ça fait longtemps que je n’avais pas jouit comme ça », elle se pencha sur Noël l’embrassa à pleine bouche et lui dit « merci mon amour » puis tournant la tête, elle m’offrit ses lèvres que j’embrassais doucement alors que nos langues s’emmêlaient et elle dit me dit « merci mon chéri, c’était très bon, et il va falloir recommencer ça très souvent », d’entendre ça me fit un effet immédiat et je commençais à rebander, me sentant gonfler en elle, Anne-Marie dit « mais c’est pas possible tu es insatiable » puis à Noël « il est entrain de rebander dans mon cul, ce p’tit salaud et je le sens qui grossit c’est super bon », je commençais à donner de petits coups de reins, elle gémit et dit « non, arrêtes s’il te plaît laisses moi reprendre des forces », je m’enfonçais d’un coup en elle et me penchant je lui dis doucement à l’oreille « après » et je recommençais à lui pilonner le cul alors qu’elle gémissait de plus en plus fort et que Noël prenant ses seins à plein bouche les mordillait avec amour, Anne-Marie jouit deux fois avant de me supplier « stop, s’il te plaît, je n’en peu plus, gardes en un peu pour plus tard, il faut vraiment que je me remettes, j’ai le cul en feu », je sortais doucement de son anus qui resta dilaté avant de se refermer doucement, je me reculais et je passais ma langue sur toute sa raie en disant « merci de l’accueil petit trou » en même temps je ramassais avec ma langue un peu de mon sperme qui s’en écoulait. Anne-Marie dit « arrêtes je t’en supplie même ta langue me fait mal maintenant, aides-moi à me relever, mes jambes ne vont pas me tenir » je l’aidais à s’allonger sur le transat voisin, elle poussa un soupir et dit « c’était trop bon, vraiment, merci à tous les deux », je m’asseyais sur le bord du transat de Noël, me penchais sur ses lèvres et l’embrassais à nouveau avec beaucoup de douceur en lui disant « c’est moi qui vous remercie tous les deux, je passe une super soirée avec vous deux », Noël, passa sa main entre mes jambes et saisit à pleine ma bite toujours dressée et dit « et la soirée n’est pas fini, et des moments comme ça, si tu es d’accord il y en aura d’autres » je le regardais me caresser et lui dis « je suis partant quand vous voulez ».Anne-Marie se redressa et dit « je vais prendre une douche, il y en a vraiment besoin » ce faisant elle se leva et un peu du sperme que Noël avait déversé dans son sexe coula le long de sa cuisse, je ne pus m’empêcher, je me penchais et le léchais en remontant doucement jusqu’à la fuite, sa chatte était pleine du sperme de son mari et d’un grand coup de langue j’en ramassais le plus possible, l’avalais et les regardant je dis « humm, très bon, ça aurait été dommage de perdre ça au fond de la douche », Anne-Marie se pencha m’embrassa et dit « décidemment, tu es incorrigible et j’adore tout ce que tu fais, allez je file à la douche » et elle nous laissa en tête à tête Noël et moi.Après quelques minutes de silence, Noël dit « tu sais aujourd’hui, tu nous a donné beaucoup, cela fait longtemps que je n’avais pas vu Anne-Marie jouir comme ça et moi non plus d’ailleurs, et pourtant nous pratiquons l’amour à plusieurs depuis quelques années maintenant, d’ailleurs à ce propos, je vais te faire visiter la maison et surtout un endroit très particulier que je veux que tu vois et dont nous parlerons avec Anne-Marie dès qu’elle reviendra » et il se leva en me disant « suis moi », quand il se leva je me dis que j’avais de la chance, j’avais de nouveaux amis et avec qui j’allais certainement bien m’éclater, et je me demandais si je n’allais pas leurs présenter, au moins, Martine.
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