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Le corps médical - la radiologue

Chapitre 1

Trash
J’allais avoir 18 ans et je bossais depuis 3 mois quand je fus pris de grosses douleurs au niveau des reins ; ces douleurs étaient tellement fortes qu’il m’arrivait de ne plus pouvoir bouger. Je consultai un médecin. Lorsqu’il m’eut examiné, il me prescrivit une radio de la prostate pour savoir si la douleur ne venait pas des reins. Il m’envoya chez une de ses consœurs en me précisant que l’examen en soi n’était pas douloureux, mais simplement gênant. Je partis du cabinet sans en savoir plus. À l’époque, internet n’existait pas encore ; donc, je ne savais pas à quoi je devais m’attendre. J’obtins un rendez-vous pour le jour même, ayant précisé que je souffrais. La radiologue me dit « Je vais vous prendre entre 13h et 14h ; normalement, le cabinet est fermé. Mais, puisqu’il y a urgence et que je connais bien votre médecin, on va faire comme ça ». Je me confondis en remerciements et lui promis d’être à l’heure.
Comme je n’habitais pas loin, j’arrivai au cabinet de radiologie avec un quart d’heure d’avance.Je sonnai et entrai, comme il était précisé sur la porte. J’attendis cinq minutes, puis une femme d’une bonne cinquantaine d’années ouvrit une porte ; elle était grande (dans les 1m 80 ou 1m 85) et, malgré la blouse qu’elle portait, je vis qu’elle était assez maigre. Son visage était peu avenant. Elle m’adressa la parole sèchement.– Vous êtes le patient du Dr A. ?J’acquiesçai tout en me levant et en tendant la main pour la saluer ; elle fit demi-tour comme si elle n’avait pas vu mon geste. – Suivez-moi ! Je me dis que ça ne commençait pas très bien… Je la suivis ; elle s’effaça pour me laisser entrer dans le cabinet.– Asseyez-vous. Je vous avais dit à 13 heures ; j’étais en train de prendre mon repas. Vous avez le mot de votre médecin ? Elle tendit la main par-dessus le bureau. Je m’excusai d’être arrivé en avance et lui dit que j’aurais pu attendre encore qu’elle finisse son repas et renouvelai mes excuses tout en lui tendant la lettre de mon médecin. Elle la prit et l’ouvrit, visiblement en colère. Après l’avoir lue, elle la posa sur son bureau avec un petit sourire ; enfin… un rictus, car je me demandais si elle savait sourire.
Puis elle me demanda où j’avais mal et si je savais ce qu’était une échographie de la prostate. Je lui expliquai à quel niveau du dos je souffrais et lui répondis que je ne savais rien de cet examen. Un petit rictus déforma à nouveau sa bouche.– Ne vous inquiétez pas : c’est plus gênant que douloureux. Enlevez votre pantalon et allongez-vous sur la table en vous mettant sur le côté gauche. Cela faisait deux fois qu’on avançait le mot « gênant » au sujet de cet examen ; je commençais à me demander ce que cela pouvait signifier… Prenant mon courage à deux mains, je demandai tout en me déshabillant :– Comment ça, gênant ? Elle releva brusquement la tête. – Docteur ! On dit : Docteur ! Je reformulai immédiatement ma question et m’excusai d’avoir eu ce manquement. Elle se leva de son bureau alors que je venais de m’allonger. – C’est très simple : je vais prendre cet appareil et le passer, en appuyant un peu, sur votre anus. En même temps, elle me montra un appareil relativement long et rond. Je commençais à m’inquiéter… – Mais… vous n’allez pas me le rentrer dans les fesses, quand même ? Elle éclata d’un rire rauque tout en reposant l’appareil. Elle déballa un préservatif qu’elle enfila sur l’appareil. – Mais non, ne vous inquiétez pas. Et ce préservatif que je mets, c’est uniquement pour protéger l’appareil. Je vais l’enduire de gel pour améliorer l’imagerie. Puis elle reprit son ton cassant. – Bon. Maintenant, ça suffit ! On a perdu assez de temps. Baisser votre slip et remettez-vous sur le côté.
Fébrilement, j’obéis. – Oui, Docteur.
J’étais à peine allongé sur le côté qu’elle saisit ma fesse droite à pleine main. Elle l’écarta sans ménagement pour poser son appareil entre mes fesses ; c’est là que tout a commencé à déraper. Je poussai un petit cri de surprise car son geste avait été brusque et, de plus, le gel était glacé.– Qu’est-ce qu’il y a encore ? Je n’ai pas commencé ! Je lui répondis que c’était froid. Le temps que je dise cette courte phrase, elle faisait aller et venir l’appareil le long de ma raie en expliquant que c’était pour bien étaler le produit. Le problème, c’est que ce simple geste déclencha chez moi une érection immédiate : mon adolescence m’avait appris à aimer ce genre de choses. Très gêné, je n’osais plus bouger. Elle passa plusieurs fois l’appareil sur mon anus en appuyant, à mon avis, un peu plus que nécessaire, ce qui n’arrangea rien à mon état, bien sûr ! Puis, après l’avoir appuyé encore un peu plus – au point que je crus qu’elle allait l’enfoncer – elle le retira brusquement en disant qu’il lui fallait remettre du gel. Elle se pencha au-dessus moi pour me demander si ça allait, car je ne disais plus rien du tout. Je lui répondis, d’une voix mal assurée, que ça allait. Mais je vis son regard se diriger vers mon entrejambe : il était impossible qu’elle ne voie pas dans quel état j’étais.
À nouveau cette sensation de froid lorsque le gel coula entre mes fesses, puis une très douce sensation : elle l’étalait avec son doigt, très doucement en faisant le tour de mon anus. Elle appuya un petit peu et son doigt m’écarta. En faisant cela, elle précisa que c’était pour avoir une meilleure image. Elle fit tourner tout doucement l’extrémité de son doigt, comme si effectivement elle voulait que le gel soit bien étalé partout. Sous cette nouvelle caresse, ma queue fut prise de soubresauts et je crus que j’allais jouir ; mon gland était en contact avec l’élastique de mon slip et le frottement commençait à devenir douloureux. Mes deux bras étaient coincés sous ma tête.– S’il vous plaît, docteur, puis-je bouger car l’élastique de mon slip me blesse ?Elle retira son doigt d’un coup sec. – Certainement pas : j’ai presque fini. Et puis, si l’élastique vous blesse, c’est à cause de l’état dans lequel vous êtes ! – Ben, c’est indépendant de ma volonté, docteur…
Alors que je sentais à nouveau la grosse boule de l’échographe se poser sur mon postérieur, elle poursuivit la conversation comme si de rien n’était, tout en promenant l’appareil sur ma raie :– Alors, jeune homme, seriez-vous homosexuel ?– Ben non… pas du tout !Elle força sur ma rondelle avec l’appareil. – Pardon, je n’ai pas compris votre réponse.– Non, pas du tout, docteur.La pression se relâcha.– Pour répondre aussi vite, c’est que vous n’êtes plus puceau.Je trouvais que la conversation prenait une étrange tournure…– Non, docteur.– Et depuis quand, jeune homme ?Je me dis que j’allais la scotcher et qu’elle allait arrêter cette conversation : – Depuis quatre ans, docteur.Je sentis que l’appareil marqua un temps d’arrêt sur ma rondelle. Et c’est sur un ton surpris qu’elle me demanda : – Mais vous aviez 13 ans, il y a quatre ans.– 13 ans ½.L’appareil exerça une forte pression sur ma rondelle. – Pardon ; je n’ai pas compris.– 13 ans ½, docteur.– C’est mieux ; vous voyez, quand vous voulez. Racontez-moi ça…J’en fus surpris et très excité. – Que je vous raconte mon dépucelage, docteur ?Elle reprit ses mouvements caressants le long de ma raie.– Oui : certaines pathologies peuvent avoir une origine d’ordre psychologique. Je sentis l’appareil s’appuyer à nouveau fortement sur mon petit trou. – Allons, dépêchez-vous !
Je me mis à lui raconter comment s’était passé mon dépucelage, sans omettre un seul détail (voir « Enfance précoce »). Pendant mon récit, j’ai vraiment cru – à plusieurs reprises – qu’elle allait me pénétrer avec son appareil. Lorsque j’eus terminé, je m’attendais à ce qu’elle arrête et soit un peu dégoûtée ; mais pas du tout !– Eh bien, voilà une histoire peu commune… Je sentis l’appareil se décoller de mon petit trou.– Je vais continuer l’examen ; ne bougez pas.– Oui, docteur.– C’est très bien : je sais maintenant que vous savez obéir.
Cette petite phrase me surprit. Je sentis alors du gel couler à nouveau, mais juste sur mon p’tit trou et, grosse surprise, c’est avec son doigt qu’elle recommença à l’étaler. Mais là, elle appuya franchement et sa première phalange toute entière rentra dans mon cul.– C’est bien ça qui vous excite et que vous aimez, vous faire fouiller le cul avec un doigt. Tout en parlant, elle continua sa pénétration et fit pénétrer son doigt en entier dans mon anus. Là, je ne pus me retenir plus longtemps et je me sentis jouir. J’explosai littéralement alors que son doigt commençait des va-et-vient dans mon cul. Je sentis mon sperme remplir mon slip et couler lentement le long de ma queue. Elle s’en aperçut, mais elle continua son massage.– Bravo ; on ne sait pas se retenir ! C’est dommage, à votre âge…– Je suis désolé.Elle ressortit son doigt et, y accolant un second, elle me pénétra à nouveau. – Vous avez encore oublié le « Docteur » : ce n’est pas bien, et s’excuser ne sert à rien, jeune homme. Mais je doute fortement que vous ne soyez pas homosexuel, maintenant.Je sentais ses deux doigts caresser mes parois anales et que ma queue recommençait à dresser la tête. – Je vous assure, docteur, que je ne vous mens pas.– Eh bien, nous allons voir ça : vous allez vous lever et, pour commencer, nettoyer mon fauteuil d’examen que vous avez souillé !Je descendis de la table, remontai mon slip et pus constater qu’effectivement mon sperme avait coulé sur le cuir. – Puis-je prendre un morceau de papier pour essuyer ?– Certainement pas : je le paye. Par contre, utilisez donc votre langue ; de cette manière, ce sera nettoyé et essuyé.Elle se recula et s’appuya contre son bureau pour me regarder faire. La situation devenait, pour moi, très excitante ; je me penchai pour faire ce qu’elle m’avait demandé. Ce n’était pas la première fois que je léchais mon foutre… Je m’appliquai à bien faire, puis je me redressai. Elle avait ouvert sa blouse. Mais autant, avec sa blouse, elle ressemblait à une personne très sèche et pas excitante du tout, autant avec sa blouse ouverte je la trouvais attirante. Elle portait un chemisier blanc sous lequel il était visible qu’elle n’avait rien d’autre ; d’ailleurs, c’était inutile car elle était « plate comme une planche à pain ». Elle portait une jupe très colorée qui descendait jusqu’aux genoux.– Qui vous a dit de remonter votre slip ?– Ben, je pensais que l’examen était fini, docteur.– L’examen, oui ; mais je souhaite vérifier ce que vous m’avez dit. Alors, redescendez votre slip aux genoux et venez ici !
Je m’exécutai et m’approchai d’elle ; mais, pour que mon slip ne tombe pas, je marchais les genoux écartés afin de le retenir. Elle sourit en me voyant marcher ainsi. J’arrivai devant elle.– À genoux ! Enlevez-moi ma culotte et prouvez-moi que vous n’êtes pas homosexuel, jeune dépravé !Je fis ce qu’elle me demandait et me trouvai face à un sexe velu (oui, oui, je dis bien velu : elle ne devait jamais se raser, ni même se couper les poils). Une fois sa culotte enlevée, elle s’assit sur son bureau. – Lèche !Je fis ce qu’elle me demandait. Martine m’avait appris une chose : dans de nombreux cas de clitoris très développé, la femme se masturbe souvent ou bien elle se le fait dévorer à la même fréquence. Et là, le sien était très développé ! Je remontai ma langue le long de sa chatte et trouvai immédiatement cette excroissance. Alors que je passais un coup de langue dessus, je l’entendis gémir ; elle ouvrit encore plus ses cuisses. – Oui, bouffe-le moi : j’adore ça… Je pris son bouton entre mes lèvres et l’aspirai, d’abord doucement puis, tout en continuant je l’agaçai avec ma langue. Quand il fut bien dur, il était d’une taille impressionnante. Je posai mes mains sur ses cuisses commençai à le mordiller. – Enlève tes mains tout de suite ! Je laissai mes mains retomber ; sous l’action de ma langue, elle gémissait de plus en plus fort et, alors que je forçais ses lèvres, elle me jouit dans la bouche. Je sentis son plaisir m’inonder la langue. Elle m’attrapa par les cheveux et, me forçant à reculer ma tête, elle continua à verser sa jouissance sur mon visage en hurlant de plaisir et en me traitant de salope et de dépravé.Ma queue avait repris de la vigueur, et quand elle me souleva en me tirant par les cheveux, elle put constater que j’avais envie d’autre chose que de lui bouffer la chatte. Ayant repris ses idées et alors que son plaisir coulait encore le long de ses cuisses, elle continua à me vouvoyer, ce qui me surprit. – Je sais maintenant que vous savez donner du plaisir avec votre langue ; mais cela ne veut toujours pas dire que vous n’êtes pas homosexuel, jeune homme. Alors vous allez me prendre et me faire jouir avec votre sexe. Je me dis quelle devait se lâcher très rarement, car le vocabulaire était très professionnel. Je plaçai mon gland sur sa fente pour la caresser en faisant des allers et retours le long des lèvres de sa chatte. Elle intervint à nouveau ; me prenant par les cheveux et me redressant la tête, elle me fixa sévèrement. – Arrêtez de jouer et prenez-moi !
Je décidai de lui prouver que je n’étais homosexuel : elle avait à peine fini sa phrase que, d’un seul coup de reins, je lui enfonçai ma queue au fond sa chatte. Elle resta la bouche ouverte et exhala un long gémissement. Je vis ses yeux d’un bleu intense grands ouverts sur le plaisir que je venais de lui donner. Alors, je commençai à la limer, vite et fort, en ressortant presque entièrement ma bite de sa chatte à chaque fois et en m’y enfonçant complètement. Mes couilles tapaient contre ses cuisses. Je lui défonçai la chatte pendant une dizaine de minutes puis, alors qu’elle avait déjà joui deux fois sous mes pénétrations brutales, je m’enfonçai en elle une dernière fois et explosai au fond d’elle. Elle hurla comme une possédée ; heureusement que le cabinet était fermé ! Puis je ressortis d’elle et la regardai : elle avait posé ses mains en arrière et, les cuisses grandes ouvertes, elle savourait encore sa jouissance que je voyais couler sur son bureau, mélangée à mon sperme.
Elle reprenait sa respiration. Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses idées et là, elle me lança un regard très dur.– Nettoie, saloperie ! Et qu’il ne reste plus rien ! Je me penchai à nouveau entre ses cuisses et léchai tout ce qui coulait de sa chatte, sa cyprine et mon sperme. Après quelques minutes, elle jouit à nouveau puis, posant un pied sur mon épaule, elle me repoussa. Je tombai en arrière ; alors que je me trouvais le cul par terre, elle reboutonna sa blouse, fit le tour de son bureau en ramassant sa culotte, ouvrit un tiroir et la jeta dedans. Elle s’assit et reprit un ton très professionnel. – Rhabillez-vous, jeune homme ; l’examen est terminé. Je m’exécutai et revins m’asseoir en face d’elle. Elle était en train d’écrire ; elle ne leva pas la tête pour déclarer : – L’examen ne révèle rien de spécial ; cependant, je vous dirige vers un de mes collègues proctologue qui fera un examen un peu plus poussé. Je vous fais deux courriers : un pour votre médecin, et un pour mon confrère.Un silence s’installa pendant qu’elle finissait les courriers, puis elle me les tendit en me demandant le prix de la consultation. Je réglai et, alors que je me levais pour partir, elle fit le tour de son bureau et me tendit la main. – Au fait, dans le cadre de votre suivi médical, je souhaiterais que l’on se revoie : je pense qu’une fois par mois serait un bon rythme. Elle ajouta en souriant : – Je veux aussi être sûre que vous allez continuer à aimer les femmes, et surtout à m’obéir… À cette phrase, ma queue redressa la tête. Elle me tendit une petite carte.– Le prochain rendez-vous est inscrit ; comme vous travaillez, j’ai pensé qu’un soir serait mieux. Je vous ai donc inscrit pour le dernier rendez-vous de la journée, dans un mois. Bonne journée, et au mois prochain. Puis, posant une main sur mon épaule, elle me poussa dehors.
Cet examen n’était effectivement pas douloureux et, pour moi, pas gênant du tout : je l’avais apprécié, mais me demandais pourquoi elle me dirigeait vers un proctologue. Je décidai d’ouvrir les deux courriers en attendant le bus, en faisant attention que ça ne se voie pas.Dans le premier, à l’attention de mon médecin, elle le remerciait de sa confiance et signalait que, pour elle, l’examen n’avait rien révélé mais qu’elle me dirigeait vers le Dr M. afin d’approfondir les recherches.Le second était tout autre ; voilà ce qui, en résumé, était écrit : « Mon cher Jacques, j’ai reçu ce jeune homme pour une écho de la prostate. Après examen, il s’avère qu’il montre certaines dispositions ; et pour toi qui aimes les jeunes hommes, je suis sûre que cela te plaira, d’autant que je peux t’affirmer qu’il n’est pas homosexuel, à tel point que j’ai conseillé un rendez-vous mensuel, tellement cette consultation m’a plu. »
Il ne me restait plus qu’à prendre rendez-vous avec le proctologue ; après lecture de la lettre, j’étais quelque peu excité. Je contactai le cabinet en arrivant chez moi et obtins un rendez-vous pour le lendemain soir à 19 heures ; j’en fus d’autant plus surpris que la radiologue m’avait dit que ce serait peut-être long pour en obtenir un. La secrétaire me demanda mon nom, mon prénom, ma date de naissance et déclara : « Comme c’est votre premier rendez-vous, il faudrait que vous fassiez un lavement juste avant de venir » et elle raccrocha, me laissant sans voix. Martine m’avait déjà fait ça pour son plaisir et ce n’était pas ce que j’aimais le plus, loin de là. Je l’appelai dans la foulée et lui racontai ce qu’il venait de se passer. Elle me répondit :– Eh ben, dis-donc, mon p’tit chéri… Tu les attires, c’est pas possible ? Écoute : demain, tu prends ton après-midi et tu viens à la maison. Comme ça, tu me raconteras tous les détails, et avant de partir je te ferai ton lavement ; tu sais que j’aime bien ça…

— à suivre -
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