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Le Corps de la Sorcière

Chapitre 2

Pluie d'Automne

Trash
Cinq mois se sont écoulés depuis la mort de Grand-mère Tamara. Je ne suis pas retourné dans sa maison depuis ma rencontre avec ce qu’elle est devenue après sa mort (un revenant ? un fantôme ?). Je repense aux corps que m’avaient offerts la sorcière cet après-midi là, dans la chaleur étouffante de son grenier. Ceux de ma tante Juliette, de mes cousines Claudia et Sylvia. Il ne s’agissait que d’une illusion, je le sais bien, et pourtant je me souviens de leur chaleur, de l’odeur de leur peau. Du goût de leur sueur. De leurs mains sur mon sexe. C’était si effrayant et si excitant à la fois, qu’il m’arrive de me réveiller en sursaut. Comme cette nuit. Dehors, soufflent de fortes bourrasques. L’automne essaie de repousser l’hiver qui vient inexorablement.
— Réveille-toi, marmotte ! Il est presque midi.
Je reconnais la voix de Charlotte et la tiède douceur de sa main sur ma joue. Nous nous sommes rencontrés à la rentrée. Nous venions tous deux de nous inscrire dans le club de lecture de notre bibliothèque. Nous avons sympathisé immédiatement. Et plus, bien vite, avec affinités. Avec elle, comme avec mes précédentes petites amies, ma mère s’est montrée froide. Mais sans oser aller jusqu’à la faire fuir à coups de réflexions odieuses et désobligeantes. Charlotte est la nièce de son pasteur. Alors elle ronge son frein, espérant sans doute que notre relation se brise d’elle-même.
Je m’assieds dans mon lit et me recoiffe maladroitement avec les doigts.
— Excuse-moi, mais je suis tout nu, là.— Je vois bien. Et je vois aussi que tu es monté au Paradis sans moi, vilain mécréant !
Je me suis sans doute réveillé au cœur de la nuit, en proie à une de ces érections nocturnes qui gonfle mon sexe au point de le rendre douloureux. J’ai du me masturber dans un demi-sommeil. Il y a des taches sur les draps. Charlotte les a remarquées. Je l’attrape subitement par la taille, la couche sur mon lit, grimpe sur elle. Elle réfrène un cri. Ses mains courent sur mon corps. Mon sexe se dresse. Elle pousse un :
— OOOH !
Elle embrasse son index qu’elle pose ensuite sur le bout de mon gland. Je connais déjà bien son corps un peu fort et dépose un baiser partout où sa peau est nue. Puis, je présente mon pénis dressé à sa bouche.
— Suce-moi !— Non.— Pourquoi ? Tu ne me suce jamais, Charlotte.
Sans me répondre, elle se met à quatre pattes. Elle me laisse baisser son pantalon, son string.
— Tu me lèche un peu avant de me la mettre ?— Non. Pas de fellation, pas d’anulingus.
— Sale puritain.— Et toi, vilaine grenouille de bénitier !
Nous éclatons de rire. Mon sexe glisse dans son anus gras, qu’elle a probablement lubrifié avant de venir me voir. Elle rit toujours lorsque je commence à aller et venir entre ses grosses fesses. Elle adore le sexe anal. Et elle le cache bien. Comme elle sait cacher toutes ses perversions. Lors de ma première visite chez ses parents, elle m’avait entrainé dans leurs toilettes. Assise sur le trône, elle m’avait obligé à la regarder se soulager. Elle m’avait avoué que la défécation provoquait en elle un plaisir intense, qu’elle cherchait à retrouver dans nos sodomies.
Du rez-de-chaussée montent des odeurs de cuisine. L’heure du repas est proche. Nous avons peu de temps. J’accélère le rythme. Est-elle comme moi excitée à l’idée d’être surprise en pleine débauche, par ma bigote de mère ? En septembre, un dimanche où il faisait encore très chaud, Charlotte était venu me voir sans soutien-gorge. Ma mère avait appelé le pasteur pour se plaindre de ses tétons trop voyants. Ça nous avait fait beaucoup rire. Cet après-midi-là, nous avions fait l’amour dans la forêt. Non loin de la maison de Tamara, ma sorcière de grand-mère.
— J’aimerais vraiment que tu me suces, dis-je en enfilant mon jean.— Pfff…— Je te ferai tout ce que tu veux en échange…— Tu me fais déjà tout ce que je veux, Nicolas chéri.— Tu n’as envie de rien d’autre ? Juste te faire prendre dans le…
La voix autoritaire de ma mère retentit dans l’entrée au rez-de-chaussée. J’entrouvre la porte de ma chambre. Je m’approche de l’escalier. Je la vois en conversation avec une ancienne amie de Grand-mère. J’ai oublié son nom. Enfant, je l’avais surnommée « Porc-épic » à cause des poils longs et durs de sa moustache. Je détestais quand on m’obligeait à lui faire la bise. Elle piquait et sentait le mauvais vin, en plus d’être particulièrement laide. Un physique de sorcière… Je les entends parler de moi. Je tends l’oreille…
— C’est qui, me demande Charlotte en posant son menton sur mon épaule.— Une vieille amie de Grand-mère Tamara.
À table, je tente d’en savoir plus en interrogeant ma mère sur la conversation qu’elle vient d’avoir.
— J’ai cru entendre quelqu’un parler de moi, tout à l’heure. C’était qui ?— C’était la meilleure amie de ta Grand-mère. Elle prétend avoir un message à te transmettre… Un message de l’Au-Delà. De ta grand-mère... N’importe quoi !
— Ah bon ? Et c’est quoi ce message ?— Écoute, Nicolas. J’ai toujours refusé de croire à leurs diableries de sorcières. Et elles n’ont pas leur place dans notre maison. Le Christ seul est notre guide. N’est-ce pas Charlotte ?— Jésus-Christ est notre Sauveur, madame. Je suis bien d’accord.

Pour la première fois, ma mère sourit à ma petite amie. Elle la récompense en lui offrant une deuxième ration de salade de pommes de terre. Quelle générosité !
— Cette horrible vieille folle ne reviendra pas. Ou alors, je lui fracasse le crâne avec le crucifix au-dessus de la porte d’entrée. Je ne comprendrais jamais comment ta grand-mère, ma mère, a pu se lier d’amitié avec une femme aussi… (Elle fait une moue de dégoût). Tu l’appelais « Porc-épic » quand tu étais petit.

Le sol de la forêt est tapissé de feuilles mortes. Les arbres sont nus. Les oiseaux sont silencieux. Les écureuils que l’on peut voir habituellement regagner leur hotte en hâte, se cachent. Lorsque je m’y promène avec Charlotte, nos pas nous ramènent toujours vers la maison de Tamara. La maison de la Sorcière, comme l’appellent maintenant les gens du quartier. Certains disent l’avoir vue derrière ses fenêtres. D’autres l’ont croisée dans la forêt, cueillant ses herbes ou dépeçant le cadavre d’un renard. On dit qu’avant sa mort, elle se vantait auprès de ses voisins d’avoir trouvé le moyen de vivre éternellement après la mort.
— Oh putain. La bouffe de ta mère m’a détraqué le bide. J’en peux plus.
Charlotte baisse son pantalon à la hâte et éclabousse le sol d’une déjection liquide. À l’expression de son visage, je vois bien qu’elle prend son pied.
— Putain, ça fait du bien de chier, dit-elle en riant.
Je ne sais toujours pas si elle cherche à me choquer, ou si elle se sent si bien avec moi qu’elle en perd ses inhibitions. Entre les branches, je peux voir les toits des maisons du quartier de ma grand-mère. Mon regard se fixe sur la lucarne de son grenier. J’y repense souvent. Si je n’y retourne pas, c’est davantage par peur que par vertu. Grand-mère Tamara m’a promis tant de choses et des choses si folles que ma tête semble sur le point d’exploser à chaque fois que j’y repense.
Une sorcière ne meurt pas vraiment. Me donneras-tu encore ta semence ? Je prendrai l’apparence que tu voudras. Nous nous livrerons à toutes les fantaisies sexuelles que tu voudras. En échange, je ferai de toi un sorcier. Et toi aussi, tu vivras encore après ta mort.
J’ai avoué mon goût pour le porno extrême à Charlotte dès le début de notre relation. Je lui ai montré ma scène de bukkake préférée. Ikumi Kuroki y est baisée dans une piscine gonflable, pataugeant dans des litres de pisse et de sperme. Charlotte a haussé les épaules, puis m’a offert son cul. Après avoir joui, j’ai retiré mon pénis. Une virgule souillait mon gland. Charlotte l’a essuyé avec son index. Elle a mis son doigt en bouche et l’a sucé en me regardant droit dans les yeux.
— On a tous nos secrets, m’a-t-elle dit. Ça a un goût de fromage. Tu ne veux pas goûter ?
À ce moment-là, j’étais fou d’elle. Je passais des heures à l’embrasser et à pilonner son cul. Je ne pensais plus au grenier de Tamara. Jusqu’à la réapparition du « Porc-épic ». La vieille amie de Grand-mère a dit qu’elle avait un message d’elle pour moi. Je ne peux pas ignorer Grand-mère si, d’une façon ou d’une autre, elle est toujours de ce monde et qu‘elle a besoin de moi.

Un samedi matin brumeux de décembre, je marche le long de la vieille voie ferrée. Je retrouve des souvenirs, des sensations de mon enfance. Dès mon entrée dans sa maison, je sens sa présence. Je ferme la porte derrière moi, jetant un dernier coup d’œil au dehors avant de la verrouiller. La rue est déserte. Je monte l’escalier du premier. Au bout du couloir, l’escalier escamotable qui mène au grenier semble m’attendre. Je grimpe lentement les marches, nerveux, excité, anxieux. Je sais déjà ce qui m’attend là-haut. J’ai fait mon choix.
Toutes les fantaisies sexuelles que tu voudras.
La piscine gonflable est en place, bleue et pour l’instant, sans trace de liquide d’aucune sorte. Ikumi attend, sagement assise au milieu. Elle porte un chemisier transparent et une petite culotte blanche. Elle me sourit. Sa bouche est sublime. Son regard plein de candeur et de désir. Un groupe de messieurs, disposé autour d’elle, branlant leur sexe dans leurs boxers blancs, semble attendre un signe de ma part. Ils n’ont pas de visage. Ou plutôt, leurs traits sont flous. Ils semblent aussi nerveux et excités que moi. Je sais qu’ils ne sont pas réels. Et je sais qui est la femme, la Sorcière, qui a prit l’apparence d’Ikumi.
Je ne veux pas y penser. Je ne veux pas détruire l’illusion. Alors je me dépêche de me déshabiller. Comme les autres, je garde mon boxer. Je les imite en y glissant une main. Ikumi vient vers moi et hume l’odeur de mon sexe. Elle me dit des mots japonais, certainement très cochons, de sa toute petite voix. Elle lèche ma queue à travers l’étoffe, la taquine du bout de son nez. Dieu, que c’est excitant ! Dieu ? Pardon, Grand-mère. Ikumi suce de ses lèvres chaudes, la bosse qu’il forme dans mon boxer. Ça parait si réel.
J’ai toujours refusé de croire à leurs diableries de sorcières.
Ce n’est pas le moment de penser à ma mère ! Et nom de Dieu (encore pardon, Grand-mère) ! Mais si c’est ça le Diable, alors GLOIRE À SATAN ! Pendant que je me débats avec mes pensées parasites, Ikumi passe d’un participant à l’autre. À chaque fois, elle hume l’odeur du pénis, le lèche puis le suce à travers l’étoffe.
Nos partenaires sans visage passent à l’offensive. L’un d’eux se met à grogner de plus en plus fort. N’en pouvant plus, il extrait de son boxer un sexe court, velu et laid. Il jouit sur la joue et les lèvres d’Ikumi. J’en profite pour proposer mon pénis rasé et bien dressé à mon idole. Pendant qu’elle me suce en me dévorant de ses yeux noirs, un jet doré vient arroser son front. Un deuxième jet, un troisième, puis encore un autre, viennent l’arroser simultanément. Son visage reste impassible sous la pluie dorée. Elle continue de me sucer avec application. Ses lèvres et sa langue expertes m’offrent des sensations que le cul de Charlotte ne peut m’offrir. Ikumi me repousse doucement pour que ma queue cède la place à une autre. Sa gourmandise m’honore et je la regarde avec plaisir, satisfaire mes partenaires anonymes. De temps à autre, l’un d’eux, n’en pouvant plus, vient se décharger sur son visage en poussant des grognements bestiaux plus ou moins étouffés.
Les traits si fins de l’idole nippone disparaissent sous des larmes et des grumeaux de sperme que viennent diluer de réguliers jets de pisse.
Ikumi prend visiblement du plaisir à être ainsi souillée. Elle aussi, a glissé ses doigts fins dans sa petite culotte pour essayer de calmer le feu qui dévore sa chatte avide. Je pense à Charlotte et pendant un instant, c’est elle qui prend la place de la japonaise. Charlotte qui me suce enfin. Charlotte couverte d’urine et de foutre gluant. Je ferme les yeux. Je les rouvre et Ikumi m’attend. Couchée dans une mare jaune, elle retire sa petite culotte trempée et m’ouvre son sexe. Sa petite voix m’appelle. Inutile de parler japonais pour comprendre ce qu’elle attend de moi.
Je la pénètre et la prend sauvagement. Elle me dit encore des mots japonais de sa voix de petite chatte perverse. Je ne comprends rien, mais ça m’excite. Quelqu’un jouit sur son visage. Un jet de foutre entre dans sa bouche et ça la fait tousser. Puis vient un jet d’urine bien orienté. Elle se gargarise, puis déglutit. Bouche grande ouverte et langue dehors, elle me montre qu’elle a bien tout avalé. Elle en est visiblement très fière. Ikumi est une fille généreuse. Dévouée au plaisir de ses partenaires, elle est prête à tout, accepte tout. Sucer, baiser, avaler. Voilà à quoi elle a choisi de vouer son existence de pornstar extrême.

Ikumi se met à quatre pattes. Un autre vient la prendre. Je profite de cette position pour lui faire lécher mon anus. Ses fines mains écartent délicatement mes fesses. Sa langue vient frétiller sur mon étoile rose. Des jets de pisse chaude arrosent mon cul. Ikumi continue de lécher mon anus ainsi arrosé. Elle recrache dessus, l’urine entrée dans sa bouche. Elle articule alors quelques mots en français :
— C’est si bon !
Je suis le dernier à jouir. Je hurle son nom, au moment de l’explosion. Elle ouvre grande sa bouche et récolte toute ma semence. Attendant que je lui offre sa dernière ration de pisse, elle garde sur sa langue mon pénis ramollissant. Je ne tarde guère à me soulager en elle. La bouche pleine de mon foutre et de mon Champagne, elle passe ses bras autour de mon cou et m’offre le baiser le plus pervers et le plus chaud de toute ma vie. Épuisé, je m’écroule sur le fond pisseux de la piscine gonflable. Ikumi vient se lover dans mes bras, murmurant ce qui semble être des mots doux dans sa langue natale, que je regrette de ne pas comprendre.

Le vent frais qui balaie la forêt m’aide à reprendre lentement mes esprits. Je suis heureux, de bonne humeur. Je shoote dans les tas de feuilles mortes agglutinées par l’humidité. Elle m’attend à la croisée des chemins. Je la vois apparaître comme une démone après les incantations d’un dévot. Et « Porc-épic » l’accompagne. J’ai du mal à reconnaître Grand-mère Tamara, car elle a maintenant l’apparence de la jeune femme qu’elle était lorsqu’elle avait trente ans. Elle me sourit, comme une femme épanouie sourit à l’homme qui vient de la satisfaire. À ses cotés, sa vieille amie à les traits tirés. Elle se tient voutée sur sa canne, me regarde par en dessous. Ce qui la rend encore plus laide, repoussante et vieille.
— Tu peux admirer le bien que tu me fais Nicolas, dit Grand-mère Tamara en me caressant la joue comme elle le faisait lorsque j‘étais enfant. Non seulement je vis toujours, mais j’ai rajeuni de cinquante ans !— Comment est-ce possible, Grand-mère ? Je ne comprends pas.— Mon esprit est resté ancré dans ce monde. Ta semence contient les sédiments nécessaires à ma matérialisation. Il faudra que tu me reviennes au plus tard avant l’équinoxe de Printemps. J’avais chargé Nadine, que tu appelais « Porc-épic » quand tu étais petit, de t’avertir que tu devais me revenir avant le Solstice d’Hiver. Je sais que le message ne t’es pas parvenu, mais tu es venu à moi quand même.— J’avais choisi de rester vierge, toute ma vie, rumine Nadine. Je n’ai ni fils, ni petit-fils. Je vais mourir sans pouvoir revenir.— Cesse donc de te lamenter, la coupe Grand-mère Tamara. Tu n’as pas besoin d’avoir d’enfant à toi. Il te suffit de convaincre un mâle fertile de t’ensemencer.— Je n’ai jamais eu de succès avec les garçons, dans ma vie. Ce n’est pas une fois morte que je vais en avoir…— Quelle pleurnicharde, ricane Grand-mère Tamara. Tu as toujours manqué de courage et de volonté. Voilà pourquoi tes sorts et tes charmes ont toujours été moins puissants que les miens. Lorsque le moment sera venu, je ferai ce que je pourrai pour t’aider à continuer à exister. Quant à toi Nicolas, je t’attends le jour du Solstice pour entamer ton éducation de sorcier.
Grand-mère Tamara semble avoir changée. Je ne reconnais plus la vieille dame si douce et attentionnée qui s’occupait toujours de moi avec gentillesse. Elle est redevenue la jeune femme arrogante et cynique qu’elle devait être plus jeune. Elle semble plus égoïste et me rappelle un peu ma mère, sans sa bigoterie bien entendu.
— J’ai rencontré une fille, lui dis-je.— Je sais. Elle me plait bien ta Charlotte, me répond Grand-mère Tamara redevenue soudain bienveillante. Elle pourrait recevoir mon enseignement, elle aussi. Sa déviation sexuelle, son goût pour l’obscène, me laisse à penser qu’elle pourrait avoir les capacités nécessaires pour me succéder.— En quoi sa déviation sexuelle peut-elle faire d’elle une sorcière ?— Tout à l’heure, lorsque tu baignais dans la pisse et le foutre dans mes bras, qu’as-tu ressenti ?— Ce que j’ai ressenti ? Je ne sais pas comment l’expliquer. Je me sentais… ailleurs. C’est comme si seule une partie de moi était encore ici et l’autre… ailleurs.— Voilà. C’est ça. Tu as ressenti ce que l’on ressent lorsque l’on est connecté à l’Autre Monde. Ton goût pour le sexe extrême vient de ton envie inconsciente de te connecter à cet univers. De tous temps, chamans, druides, sorcières et sorciers, ont cherché à entrevoir ou à atteindre l’Autre Monde par des pratiques sexuelles obscènes et déviantes. Penses-tu pouvoir convaincre Charlotte ? Crois-tu qu’elle comprendra ?— Elle m’accepte tel que je suis. Je crois pouvoir lui expliquer notre relation, Grand-mère.
— Venez tous les deux le jour du Solstice. Venez ici, à la croisée des chemins. Nous débuterons votre enseignement. Nadine et moi.

Je retrouve mon quartier. La brume ne s’est toujours pas levée. Je vois les décorations de Noël aux fenêtres de mes voisins. Je me dis que Noël sera bien différent pour moi, cette année.

Mais, ai-je vraiment envie de devenir un sorcier ?
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