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Ma correspondante venue du nord

Chapitre 2

Hétéro
La chaleur moite de sa chatte enveloppe mon sexe tandis que je m’enfonce en elle. Le petit gémissement qu’échappe Sarah me fait comprendre que cette sensation est agréable pour elle aussi. Elle mouille énormément, et je me sens glisser sans effort. Je commence des petits allers-retours, d’abord très doux, qui font comme des caresses voluptueuses. Sarah pousse des gémissements de féline, tout en enfonçant ses ongles dans mon dos. La douleur de ses griffures m’excite encore plus et je commence à donner des coups de reins beaucoup plus forts. Tout en accélérant le rythme, j’attrape ses seins que je masse tendrement. Deux seins magnifiques, très ronds, à la peau bronzée. Ses mamelons pointent fort quand elle prend du plaisir, je me penche donc pour les lécher, les titiller de ma langue tandis que je continue mes va-et-vient en elle. J’accélère encore, au point où je sens mes forces diminuer. Je devrais faire plus de sport, moi !
Mais là, c’est impensable de ne pas faire jouir cette femme magnifique. Et d’ailleurs... Elle crie à pleins poumons : « Oh oui, Edouard, continue ! Oh oui, j’aime tellement ta bite ! » Très excitant ! J’ai délaissé ses seins et m’occupe de son clito : elle aime que je la caresse tout en la pénétrant, ça la rend folle. Son pubis est tout poisseux, et rapidement mes doigts sont couverts de cyprine.
Je me retire et décide de la retourner. J’ai envie de voir son gros cul. Comprenant mes intentions, elle se met spontanément à quatre pattes pour que je puisse la prendre en levrette. Je ne me fais pas prier. Je l’attrape par ses hanches, deux hanches parfaitement dessinées, qui lui font ses fesses encore plus majestueuses, j’enfonce mon sexe en elle et la baise de toutes mes forces. Je perds complètement pied. C’est comme si mon esprit entier était détourné par nos ébats. Mon corps se convulse de plaisir, même si je sens que l’instant de la jouissance est encore loin. La vue de son dos est tellement excitante également... Je regarde sur le côté, en direction du miroir que j’ai installé là pour épicer un peu nos ébats.
Quel beau spectacle nous faisons : elle à quatre pattes, le visage tordu de plaisir, hurlant comme une bête sauvage, ses gros seins pendant et voltigeant au rythme de mes mouvements, son cul énorme offert à mes envies de mâle, et moi, à genoux, en train de la pilonner, la tenant tantôt par les hanches, tantôt par les cheveux. Un hurlement plus fort encore que les autres me fait comprendre qu’elle vient de jouir une seconde fois, et la chaleur que je sens dans ma verge est le signal que moi aussi, je ne vais pas tarder...
— Sarah, c’est trop bon, je vais venir ! — Je veux que tu viennes sur moi !
Elle se retire et prend les commandes. Assise devant moi, elle empoigne mon sexe au bord de l’explosion, lèche nos sécrétions mélangées et commence à le branler, ni trop vite ni trop lentement, exactement comme j’aime. L’effet est immédiat : mon corps se contracte, je sens une onde de plaisir se propager de mes pieds à la tête, mes fesses se crispent, ma verge se gonfle, gorgée de sève, prête à tout relâcher... Je pousse un cri rauque en sentant le premier jet expulsé. Je jouis si fort : un second jet, un troisième, un quatrième, mon sperme venant recouvrir le visage que Sarah me présentait. Il dégouline de ses joues, et même de ses cheveux. Quelle bête de sexe, cette fille ! De loin la femme à la plus forte libido que j’aie rencontrée de ma vie, et quelle énergie ! Je retombe sur le matelas, exténué par le plaisir. Sarah lèche consciencieusement le sperme sur son visage, elle aussi essoufflée par l’effort.
— Merci Edouard, c’était absolument magique !— Ah non, merci à toi ! Si tu n’étais pas aussi sexy, je n’arriverais à rien !
Ma remarque la fait rire. Mais elle sait que c’est la vérité. Elle n’a peut-être que 22 ans, mais c’est une vraie diablesse enfermée dans le corps d’une femme sacrément attirante. Elle est sportive, fait très attention à son hygiène de vie, certes, mais elle est surtout gâtée par la nature. Ses seins sont un véritable chef-d’œuvre, qui devraient être classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Au moins. Avant moi, elle a eu énormément d’expériences, et je dois me montrer sacrément à la hauteur pour calmer son appétit sexuel. Souvent, on dit que ce sont les hommes qui ne pensent qu’au sexe : ceux qui disent ça devraient rencontrer Sarah, ça les ferait changer d’avis. Au lit, elle est intenable. Et en dehors, elle sexualise tout : nous sommes tous les deux étudiants en cinéma, son rêve est de devenir réalisatrice, et il faut dire que les courts-métrages qu’elle conçoit sont plutôt du genre très explicites. Pas pornographiques, non : l’école ne l’autoriserait pas.
Mais en tout cas sacrément érotiques. Un peu dans le genre des films de Mandico. Avec le talent en moins, malheureusement, mais ça, je ne peux pas le lui dire, même si c’est normal : à son âge, elle a encore beaucoup à apprendre.
En tout cas, cela fait deux ans que nous sommes ensemble, et nous avons baisé partout où c’était possible : à l’école, au cinéma, dans la voiture, dans la rue... Au début, notre histoire était purement sexuelle : un plan cul comme un autre, avec la fille la plus canon de la promotion. Et peu à peu, des sentiments sont apparus. Et maintenant, même si ça me fait peur de le reconnaître, je crois bien que c’est sérieux.
Enfin... Je le croyais... Si seulement je n’étais pas en train de penser à Aino, là, tout de suite, nu comme un ver et le sexe pendant, encore rouge d’avoir craché tout son jus il y a quelques minutes, avec Sarah à mes côtés, le visage recouvert de ma semence, belle à faire bander un mort. Je devrais être le plus heureux, non ? Je devrais me contenter de cela, mais non : je suis obsédé par cette Finlandaise que je ne connais pas, mais qui me raconte sa vie sexuelle. Au point où, quand Sarah part prendre une douche, je me rue sur mon téléphone pour voir si ma belle Finlandaise ne m’a pas écrit. Non, rien. Dommage. Enfin non, c’est mieux : je suis en couple, maintenant, je ne vais pas tromper ma copine officielle.
Et pourtant la venue d’Aino dans quelques jours bouleverse tout. L’idée de la voir pour de vrai crée en moi des envies que je n’arrive pas à refouler. Cela devient tellement concret, d’un coup. Jusqu’alors, je me contentais de me masturber régulièrement en lisant ses frasques sexuelles. Car oui, la petite a beaucoup évolué depuis ses débuts timides avec son Tomi. Elle l’a revu quelques fois, mais finalement ils ont rompu. Et pour cause : « Est-ce que tu te rends compte qu’il préfère le missionnaire à la levrette ? La vue des fesses d’une femme tendues vers vous n’est-elle pas supposée vous rendre fous ? Pas lui. Au bout de trois ou quatre fois avec lui, je m’ennuyais déjà. » Ça m’avait beaucoup plu de savoir qu’elle n’était plus avec lui. Je n’avais pas encore surmonté ma jalousie de le voir déflorer l’objet de mes fantasmes.
Après avoir rompu avec Tomi, elle a enchaîné les coups d’un soir. « C’est tellement pratique, Tinder. Même les gars qui cherchent du sérieux, quand tu leur dis que toi tu ne veux que du cul, ils acceptent. » Tu parles qu’ils acceptent ! J’ai moi aussi passé un peu de temps sur cette application, et je sais bien à quel point ça peut être difficile de trouver une fille qui s’intéresse à vous. Et quand c’est le cas, la plupart du temps, elle veut une relation sérieuse. Du coup quand un canon vous dit qu’elle est là uniquement pour passer du bon temps, forcément, vous acceptez ! J’ai arrêté de compter après dix de ses mecs. Encore une fois, il y avait un peu de jalousie de ma part. Mais plus seulement : j’avais compris qu’Aino était une chaudasse elle aussi, et que toutes ces conquêtes n’étaient que des pions, des objets qu’elle utilisait pour satisfaire ses envies. Elle aurait eu tort de se priver.
Et moi, dans tout ça ? Je ne sais pas, à vrai dire. Elle me raconte tout, absolument tout, dans les moindres détails. Sans que je ne sache vraiment pourquoi. J’y réfléchis beaucoup et je me demande pourquoi... Est-ce parce qu’elle m’aime vraiment beaucoup ? A-t-elle des envies avec moi ? Tout comme moi je fantasme sur elle, pourquoi ne fantasmerait-elle pas sur moi ? Ou bien me considère-t-elle juste comme un confident ? La première fois qu’elle s’est ouverte à moi, je ne l’ai pas rejetée, je l’ai même patiemment écoutée et rassurée. Bon, je me suis aussi branlé en l’imaginant se faire trousser, mais ça, elle ne le sait pas, naturellement.
Quoi qu’il en soit, elle me raconte toute sa vie sexuelle, ses envies, ses fantasmes, dans les moindres détails, et ça m’excite comme jamais. Dès que je reçois un de ses messages, j’attends d’être seul pour l’ouvrir, je me déshabille, m’installe sur mon lit, et me caresse doucement afin de déjà bander quand je commence la lecture. « Cher Edouard... » Oh oui, bonjour, ma chère Aino. « Hier soir, j’ai recommencé. Je me sentais seule, alors j’ai cherché un plan pour la soirée. Après quelques échanges, j’ai invité un beau brun à venir prendre un verre chez moi. » Petit veinard ! Je continue de me masturber en imaginant la suite. « J’ai voulu lui faire une surprise : quand il a poussé la porte, j’étais complètement nue, assise sur une chaise face à la porte, les jambes ouvertes, en train de me doigter. Si tu avais vu sa tête ! » Oh oui, je peux bien l’imaginer sa tête ! À sa place, je me serais rué sur elle pour lui lécher cette petite chatte rose, titiller de ma langue son clito, glisser mes doigts dans son vagin, petit fourreau de douceur. J’aurais ensuite glissé mon sexe en elle, l’aurais baisée avec ardeur et passion, comme la chienne qu’elle est devenue ! Et à chaque fois, j’explose avant d’avoir pu finir la lecture de son message.
Voilà donc l’effet que me fait cette Aino ! Et sincèrement, je ne vois pas comment elle pourrait imaginer que je réagisse autrement à la lecture de ses récits... Oui, c’est sûr, elle essaie de me chauffer... Et moi, je ne suis pas sûr de pouvoir résister. Enfin si, je vais bien devoir : je ne veux pas tromper Sarah, et puis je ne vois pas où et comment je pourrais passer du temps avec Aino en cachette. Donc non, impossible. Ma Finlandaise doit rester un fantasme.
Sarah sort de la douche, nue, la peau luisante. Pourquoi fantasmer sur une autre quand je peux baiser un tel avion de chasse au quotidien ? Rien que de la voir comme ça, je sens un début d’érection, qu’elle remarque : « Alors mon coquin ? Comme ça tu n’en as pas eu assez ? » Deuxième round en vue ? Ah non, elle se contente de rire et de se rhabiller. Je devrai me contenter de ma main, une fois qu’elle sera partie.
— Au fait Edouard, il faut que je te parle de quelque chose. Tu vas mal le prendre, mais c’est important.
Tiens ? Elle aussi a des petits secrets ? Car oui, je ne l’ai pas précisé, mais Sarah n’est absolument pas au courant de l’existence d’Aino ! Personne ne l’est. C’est mon secret bien gardé...
— On n’avait pas vraiment de projets, mais quand même, ça m’embête... Je dois monter sur Paris la semaine prochaine. J’ai été appelée à la dernière minute pour ce stage dont je t’avais parlé.
C’est vrai, elle m’avait parlé d’un stage de mise en scène, mais je croyais qu’elle avait été refusée. Et en fait, elle m’explique qu’un des participants s’était désisté, et que du coup elle pouvait y aller.
— Mais bien sûr, mon cœur ! Vas-y ! — Tu ne vas pas t’ennuyer, sans moi ? — Non non, ne t’inquiète pas, je suis certain que je vais trouver des choses à faire !
Quelle ordure je suis ! Je m’imagine déjà en train de pénétrer sauvagement Aino sur le lit où je viens de faire jouir Sarah... Si elle pouvait lire dans mes pensées, je serais un homme mort ! Mais apparemment, elle ne le peut pas, car elle vient m’embrasser goulûment.
— T’es vraiment un amour, toi ! Merci de comprendre.
À peine a-t-elle quitté mon appartement que j’allume mon ordinateur, direction pornhub. Recherche : « brunette finnish girl ». Satisfait, je vois qu’il y a plein de matériel... Il faut bien que je m’entraîne pour l’arrivée d’Aino la semaine prochaine...
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