Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 291 J'aime
  • 19 Commentaires

J'ai couché avec mon fils

Chapitre 1

Inceste
Moi c’est Julie et j’habite près de Bordeaux. J’ai la quarantaine passée et cette histoire m’est arrivée il y a quelques mois. Je suis divorcée et vis seule avec mon fils Stéphane, 20 ans. Il m’arrive d’avoir des aventures d’un soir, mais depuis mon divorce, je ne me suis plus jamais engagée pour une relation de longue durée ; j’ai pris goût à ma liberté sexuelle. Je suis brune, cheveux courts, 1m65 pour 55 kilos et des formes assez généreuses et naturelles.Un samedi soir, Stéphane avait invité sa petite amie du moment, Marine, une jolie jeune fille avec quelques formes là où il faut. Tous les deux sont étudiants en sciences et j’avoue qu’ils forment un joli couple. Fatiguée après une dure semaine de travail, je suis partie me coucher vers 23 heures, laissant les 2 tourtereaux au salon. A peine couchée, je me suis aussitôt endormie. Vers 1 heure du matin, je me suis réveillée, assoiffée. Ma bouteille d’eau au pied du lit étant presque vide, j’ai dû me lever et descendre à la cuisine. Arrivée au bas de l’escalier, je vis à travers la porte vitrée du salon mon fils et sa copine en plein coït sur le canapé. Ils ne s’étaient pas rendus compte que j’étais revenue. Surprise et un peu en colère qu’ils fassent l’amour au salon au lieu d’aller dans leur chambre, je restais à les regarder sans bruit, oubliant ma soif. Marine était couchée sur lui et remuait son bassin tout en lui roulant des pelles. Mon fils se contentait de lui caresser le bas du dos. Ma surprise passée, j’ai commencé à prendre goût au spectacle donné et sentie l’excitation monter en moi. J’ai passé une main dans ma culotte pour me titiller le clito. C’était une vision très érotique. Leurs vêtements étaient étalés sur le sol. Le dessous de Marine était sur la table basse entre les verres que nous avions utilisés plus tôt. J’avais sûrement loupé des préliminaires très chauds. Ils étaient vraiment sûres d’eux pour s’adonner à pareille occupation alors que je dormais à l’étage au-dessus et risquais de débarquer à tout moment. Le couple a fini par changer de position et mon Stéphane a pénétré sa compagne en levrette. Il enfonça sa jolie queue protégée d’une capote dans le vagin de Marine qui, appuyée sur l’accoudoir du canapé gloussait à chaque fois qu’il lui rentrait dedans. Je devenais folle et commençais à m’imaginer à la place de cette coquine. Moi, prise par mon propre fils, c’était une chose à laquelle je n’avais jamais pensé, loin de moi cette idée jusqu’à ce soir-là. Je décidais finalement de les laisser terminer leurs jeux d’adultes et regagnai mon lit. Avant de m’endormir, je me suis caressée et octroyée un orgasme comme jamais, en pensant à mon fils me faisant l’amour, puis m’endormis satisfaite, les doigts trempés de mouille. Le dimanche se déroula normalement. Marine déjeuna avec nous. Chacun faisait comme si rien ne s’était passé. Eux, comme s’ils n’avaient rien fait et moi, comme si je ne savais rien. Marine nous quitta en fin d’après-midi. Vers 22h30 je suis montée me coucher. Une nouvelle semaine de travail s’annonçait dès le lendemain. Nue sous ma couette, je lisais un roman quand Stéphane toqua à ma porte. Il vint s’asseoir près de moi sur le bord du lit en caleçon et t-shirt. On discuta un peu de banalités, puis la conversation prit une nouvelle tournure, son visage changea d’expression, devenant presque grave.— Maman, je sais que tu nous a vu hier soir. Je t’ai aperçu en train de te caresser en nous matant.— Oui... c’est vrai."Répondis-je un peu honteuse."- Tu es belle Maman."Sa main passa sous la couette et se posa sur ma hanche. L’excitation m’envahit. Il tira la couette et me découvrit entièrement nue. Il ôta ses vêtements. Il bandait comme un taureau.Sans un mot, je me mis à le sucer avec envie. Stéphane avait fermé les yeux et me caressait les cheveux. Puis il me fit m’allonger pour me lécher. Je regardais le plafond et voyais plein d’étoiles, sentant la langue de mon fils qui me faisait du bien, et gémissais de plaisir. Puis il se positionna sur moi. De la main, je guidais son sexe vers mon ouverture. Il s’enfonça en moi doucement. Je refermais mes jambes, enlaçant son bassin. Les yeux dans les yeux, on s’embrassait à pleine bouche. Je le sentais entrer et sortir. On changea de position et je vins le chevaucher, assise sur sa queue. Je remuais tandis que ses mains parcouraient mon corps. C’était bon. Enfin, il me prit en levrette. A quatre pattes sur le lit, je m’accrochais à un pan de la couette, bousculée par la fougue de mon propre fils, je lâchais mes cris :"- Aaaah ! C’est bon ce que tu me fais mon chéri ! Continues comme ça !"Ses bourses tapaient contre mes cuisses, mes seins qui pendaient au-dessus du matelas, ballotaient dans le vide. L’orgasme tout proche, mon bassin se contracta :"- Oui mon amour ! tu vas me faire jouir !— Moi aussi Maman, je viens !"Stéphane explosa en moi dans un râle de délivrance qui envahit la pièce. Je sentais son sperme chaud remplir mon ventre. Ses vas-et-viens cessèrent et il se retira de mon emprise avant de se laisser tomber de tout son long sur le lit à mes côtés. Nous étions tous les deux hagards, le souffle haletant. Je finis par rompre le silence :"- Et bien mon chéri, c’était génial. Elle en a de la chance Marine.— C’est vrai, tu trouves vraiment ?— J’avais plus connu une telle sensation depuis ma nuit de noces avec ton père."On s’embrassa et on dormit ensemble. Enfin, dormir est un bien grand mot. On remit ça deux fois de plus pendant la nuit. Le réveil du lundi matin fut un peu difficile physiquement, mais c’est avec un large sourire que je partit au bureau.
Diffuse en direct !
Regarder son live