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Couchsurfing gay. Marti

Chapitre 2

Gay
Tout en godant mon hôte, Barti, je lui raconte, à sa demande, le dernier mec avec qui j’ai couché :
Un rendez-vous sur un site gay. Une grande inquiétude exprimée de ma part devant son descriptif de mec costaud de près de deux mètres avec une queue de vingt centimètres de long pour cinq de large. Bien trop imposant pour mon petit cul de bi ! Rassuré par la promesse qu’il me prendra en douceur et que je pourrai dire stop à tout moment, je me suis rendu chez lui. Ou plutôt dans sa garçonnière qu’il utilise entre deux locations. Nous nous sommes déshabillés un peu gênés. Il a apprécié mon jockstrap qui lui a donné l’occasion de peloter mon petit cul que je lui offrais, appuyé face à la cloison, bassin reculé. Sa verge que j’avais vue molle est devenue ce braquemart imposant qui m’a aussitôt fait peur. Il m’a rassuré en me disant qu’il est très doux, ce que j’ai constaté quand il a fini par me mettre entièrement à nu, tout en caressant sensuellement chaque parcelle de ma peau.Face à face sous la douche, mon inquiétude l’a fait sourire. D’abord parce que la racine de son sexe était à hauteur de mon nombril. Différence de taille oblige. Ensuite parce que quand je me suis mis sur la pointe des pieds et que lui s’est abaissé pour tenir en main nos deux phallus, la différence de taille était criante ! C’est toujours vexant de constater qu’on n’a pas la plus grosse…Il a fait couler l’eau. Sous la douche nous nous sommes longuement caressés, branlés, puis sucés l’un l’autre. D’abord juste son gros gland dans ma petite bouche. Et peu à peu son sexe est rentré plus profondément. Sans faire une gorge profonde intégrale, il m’a félicité de réussir à gober la moitié de son braquemart, ce qui est rare. Lui n’avait pas de mal à avaler entièrement le mien !J’ai découvert un garçon ultra-sensible des tétons, des couilles gobées ou léchée, du frein que ma langue a aimé parcourir. J’ai passé plus de temps avec son sexe en bouche que lui avec le mien, mais le plaisir bucco-génital était néanmoins partagé.Au bord de la jouissance il m’a prié de m’arrêter. C’est lui qui a séché mon corps, se réjouissant de passer et repasser la serviette entre mes fesses. Des fesses qu’il a superbement échauffées en appuyant sur ma rondelle !Secs, nous jetant sur le lit, nous nous sommes alternativement sucés. Jusqu’à ce que je grimpe tête-bêche sur son corps immense, en 69, me sentant vraiment petit garçon jouant sur le corps d’un géant. Mais trop heureux d’exhiber mes fesses, ma queue et mes couilles sous son nez. Et trop heureux de le sucer et de le lécher encore.Occupé avec son dard en bouche, j’ai fini par me rendre compte qu’assez vite il avait cessé de dévorer mon sexe et mes couilles et qu’il marmonnait sans cesse des « ce cul ! Putain ce cul ! ». Mon cul qu’il a peloté en tous sens, qu’il a fessé sans violence. Ecartant mes fesses il a craché sur mon anus, l’a lubrifié, et enfin s’est mis à le doigter. Un régal ! Fesses relevées devant son visage, ma queue frottant son torse poilu, ma tête plongée sur son ventre.Un lubrifiant a remplacé la salive. Je rêvais qu’il m’offre un anulingus, mais il s’est abstenu. Frustrant certes, mais rassurant quant à son hygiène sexuelle…Jamais je ne m’étais fait doigter aussi longtemps, m’abandonnant au chaud sur son corps puissant. Un doigt, entièrement. Puis deux doigts, de gros doigts, de gros doigts agissants. Un régal me faisant couiner comme jamais je n’avais couiné. Et toujours ces mots très crus d’appréciation de mon petit cul placé sous son nez…C’est moi qui ai fini par bondir pour me coucher sur le dos en relevant les jambes et en le suppliant de me prendre. Il a pris son temps. Il m’a offert son sexe à sucer une ultime fois. Un énorme braquemart généreusement baveux ! Il m’a tendu un préservatif à dérouler sur son sexe. Il a lubrifié abondamment et mon conduit, bien profondément, et son braquemart, bien emballé. Et il s’est mis en position.J’ai eu le souffle coupé quand son gland a passé l’anneau. Une intense douleur m’a saisi. J’ai gémi. Il a proposé de ressortir. Je lui ai dit de rester. Il a souri, heureux de ma détermination.Il m’a laissé le temps de m’habituer en pinçant mes tétons, en jouant avec mon sexe et mes couilles. Mais à chaque poussée je me suis crispé davantage. Après un long moment, il est ressorti. Pour aussitôt me reprendre, d’une poussée sèche. J’ai gémi. Il a recommencé. Plusieurs fois. Jusqu’à ce que la chaleur s’associe à la douleur. Quand il est ressorti de mon cul en le laissant orphelin, je l’ai supplié de revenir en moi, remuant mon cul en levant plus haut encore les jambes. Alors quand il m’a dit de me mettre en levrette pour trouver un autre angle d’attaque, j’ai bondi et obéi, me cambrant le plus possible.Il a aimé ma position, me caressant et me claquant les fesses, disant à haute voix combien ma position l’excitait. Et moi j’en rajoutais ! Je remuais lascivement mes hanches. Je ne me reconnaissais plus… Et lui disait que mon anus grand ouvert au milieu de mon « joli petit cul de mignon » était une merveille. Il a remis du lubrifiant partout, a reculé mes cuisses pour me positionner juste au bord du lit, et son gland s’est repositionné contre ma rondelle grande ouverte. C’est moi qui ai reculé mon bassin pour m’empaler à nouveau. Et cette fois ce n’était que du plaisir !– Attend ! me dit Barti en feu, fasciné par mon récit. Prends ton gode ! Enfonce-le dans mon cul ! Je n’en peux plus de ton histoire ! J’ai besoin d’être empli !– Mon gode ou ma queue ?– Ton gode ! D’abord ! Vite ! C’est totalement impudique de se goder mutuellement ! J’adore ! On se prendra après !– Mutuellement… murmure-je tout en lâchant son sexe pour me relever et aller vers ma valise. J’avais bien senti que mon histoire l’excitait particulièrement. Ses branlades de plus en plus frénétiques. Sa main qui serre fortement ma queue. Sa langue allant de plus en plus fréquemment chercher la mienne. Mais je n’avais pas perçu que son besoin était tout autant anal… Tout en remuant à mon tour mon petit cul salacement sous ses yeux, déclenchant des gémissements d’impatience, je fais semblant de chercher le gode dans ma valise. Je reste penché en avant pour prendre mon tube de lubrifiant. Et c’est en reculant, penché, dos à lui que je retourne m’assoir.Comme je l’espérais il s’empare de mes fesses, les écarte, et plonge son visage entre elles afin de m’offrir un délicieux anulingus. Trop bref pour moi, mais délicieux !
Cela m’ouvre néanmoins la possibilité de lui rendre la pareille. Dès qu’il a terminé et commence à relever ses jambes, je fonds entre ses fesses pour venir dévorer son anus qui, effectivement, est une merveille de souplesse soyeuse. Il grogne et couine en allant à la rencontre de ma langue avec son anus en feu. C’est totalement indécent. C’est incroyablement beau ! C’est merveilleusement bon…Il reste un bon moment à offrir sa rondelle à mes coups de langue. Le salaud, je préfèrerais inverser les rôles ! Mais il finit par se dégager, foncer vers une armoire à côté, en sortir une serviette et un autre sextoy, légèrement plus fin que le mien, mais vibrant…Il étale la serviette sur le canapé, se remet en position d’offrande anale. J’enduis le gode de gel et commence à l’enfoncer. Alors que, comme pour moi, je m’imaginais que la pénétration serait très progressive, je suis étonné de constater que son rectum aspire d’un coup le gode en lui, jusqu’à ce que les couilles de latex heurte les siennes.Il lit dans mes pensées en disant :– Un cul de pédé c’est bien plus souple qu’un cul de bi ! Je te l’ai dit… Continue ton histoire ! Je veux savoir si tu as pris les vingt centimètres dans le cul !– Et ton gode ? Je n’ai pas le droit de l’avoir en moi ?– Seulement quand je te raconterai ma dernière enculade ! Mais prends ton temps ! On a toute la nuit…– Cela va être chaud…Tout en jouant à entrer et sortir le sextoy d’entre ses fesses, entre deux baisers, titillements de tétons et coups de langues, je poursuis mon récit.Car « taureau Normand » continue à prendre son temps pour s’enfoncer entre mes fesses. Je ne vois rien. Je ne devine rien. Je ressens juste une chaude douleur dont je vais à la rencontre en tentant de m’empaler le plus possible. Je n’ai aucune idée de combien de centimètres de cette queue de taureau j’ai en moi. Je sais juste qu’elle s’enfonce de plus en plus pour mon plus grand plaisir.Dès que mon taureau pousse un peu trop fort, je me crispe. Aussitôt il s’arrête, me pelote le cul, parfois le fesse, me palpe la queue ou les couilles en s’excusant. Son attention à mon plaisir ne faiblit pas ! Il pourrait s’enfoncer tout entier en moi, d’un coup, je serais incapable de lui résister tellement il est costaud et en posture favorable. Mais c’est à cela qu’on reconnait un bon amant : il prend son temps, il n’abuse pas de sa position dominante, il scrute et respecte les réactions de son partenaire…Les minutes s’égrènent divinement. Je me cambre de plus en plus, je vais chercher sa queue en me reculant, je provoque moi-même les va et vient. Je suis aux anges ! Et j’entends pareillement son contentement qu’il continue à marmonner sourdement de manière très crue.Quand je lui demande s’il est bientôt entièrement en moi, il me répond « Presque. T’inquiète. ». Je lui demande s’il n’est pas trop frustré de ne pas me posséder complètement. Il me répond que j’encaisse mieux que la plupart des petits culs qu’il prend. Dans un sens cela me flatte. Dans un autre cela me vexe : pour lui je ne suis qu’un cul à ramoner…Nous finissons par arrêter. En titubant je me remets sur les pieds en lui demandant de me prendre debout, ma position préférée. Il remet du lubrifiant. Je me mets en position, cul en arrière, mains tenant fermement une table. Il me reprend. Il me pénètre à nouveau en me faisant hululer de bonheur. Et il s’enfonce davantage encore. Au point de commencer à me limer. Enfin !Je sue à grosses gouttes. Lui aussi. Il a du mal à tenir mes hanches. Mais il me lime, et il n’y a que cela qui compte !M’a-t-il pénétré jusqu’à la garde ? Lui seul le sait. En tous cas jamais je n’en avais pris une aussi longue et grosse que la sienne ! C’est lui qui s’arrête d’un coup, se disant au bord de la jouissance, incapable de résister davantage. Je me retire de lui en le suppliant de tenir encore un peu. Le visage douloureux il fait refluer son plaisir. Je le repousse de dos sur le lit. Je vois un sourire sur son visage. Il a compris ce que je veux…Je grimpe sur son corps. Je lui propose ma queue lourde et molle à sucer mais il refuse. Elle est trop baveuse pour lui. Le garçon est prudent jusqu’au bout ! Alors je n’ai plus qu’à lancer mon bras en arrière, attraper son braquemart, le placer sur ma rondelle que je touche au passage. Je blêmis : je réalise que mon cul est grand ouvert ! Mes doigts font le tour de sa circonférence. C’est énorme ! Mais j’en ai trop envie…Je m’empale sur son épieu. Jusqu’à quasiment m’assoir sur son ventre. Et je lève mes bras derrière ma nuque.Le souffle court, sa main s’empare de ma queue et se met à la branler pour la faire durcir. Moi je me contente de balancer légèrement, de droite à gauche, de haut en bas, le cul rempli, de grosses gouttes de sueur coulant dans ma toison pubienne, la queue astiquée par mon puissant taureau Normand.Elle est à nouveau dure quand il éructe qu’il n’en peut plus. Je n’ai plus qu’à prendre mon courage à deux mains pour m’extirper de cette queue qui m’a si magnifiquement comblée. Un sentiment de vide m’assaille alors que je retire la capote. Et aussitôt je me mets à le branler pour le finir.Cela ne tarde pas. Il éjacule une impressionnante quantité de sperme sur mon torse, mon cou, mon ventre. Je suis impressionné par son orgasme. Jamais je n’ai joui aussi abondamment, même à mes quinze ans. Cela ne s’arrête pas. C’est géant à admirer, d’autant que la musique de ses râles de plaisir est sublime et que son corps danse, secoué de spasmes.La dernière goutte. Je le tripote encore un peu avant de me coucher contre lui et d’étaler sa crème mâle sur sa peau. J’espère un baiser. Il ne vient pas. Par contre il ne tarde pas à se redresser, à me remercier, à s’emparer de ma queue et à me branler à son tour pour me finir.Je m’abandonne entièrement à ses encouragements. J’ai abandonné mon cul à sa queue, je lui ai été totalement soumis, alors mon orgasme… Je peux bien le lui offrir !Il semble l’apprécier, bien que je jute deux fois moins que lui. En garçon attentionné il accompagne mon orgasme par des caresses et des encouragements. Avant que le réel ne surgisse sous la forme de mouchoirs en papier qu’il pose sur mon ventre. Dommage. J’aurais aimé plus de tendresse post-coïtale… Mais ce n’est vraiment pas son genre.Avec un mal au cul certain, je le précède vers la douche. Il me pelote à nouveau le fessier en me disant que j’ai vraiment un bon petit cul, que je suis un bon coup, que je suce très bien… Le pense-t-il vraiment ou me flatte-t-il ?C’est lui qui me lave, sans beaucoup de suavité. Rapidement. Je comprends que son coup étant tiré, il est pressé que je parte. Cinq minutes plus tard, je suis dehors en essayant de marcher dignement… Barti a le corps en feu. Je n’ai cessé d’activer le sextoy dans ses jolies petites fesses.– Waouh… Que j’aurais aimé être à ta place ! Allez, va te laver. Je vais te goder à mon tour en te racontant mon dernier coup.D’un coup ma fièvre retombe. Retour vers la réalité. Il me demande si je sais me servir de la canule. Comme je bafouille, il vient avec moi. C’est lui qui l’introduit entre mes fesses mais il me laisse agir pendant que je m’affaire.A peine suis-je retourné sur le canapé que, le voyant avec son gode en main largement lubrifié, je relève les jambes. L’introduction est délicate, lente, délicieuse. Je suis incapable d’aspirer d’un coup ce jouet merveilleux. Il prend son temps pour me pénétrer peu à peu en me laissant le temps de m’habituer. Il en profite pour me sucer, m’embrasser, me caresser. Ce n’est que quand le jouet est tout au fond de moi qu’il le met en vibreur. Un délice qui traverse tout mon corps ! Puis il commence à raconter son histoire.Mon plaisir anal est si puissant que je n’en retiens que peu de chose. Un soir dans son cruising-club. Barti est en jockstrap. Il a un intense besoin de comblement anal. Il commence pourtant par sucer un gars, puis deux, puis un troisième. Il se fait mettre par un autre tout en suçant. Il reconnait adorer les trios, surtout quand c’est lui qui est au centre.Moi qui n’ai pas connu cela, je lui dis que j’adorerais. Cela le déchaine. D’abord en me godant de plus en plus activement, faisant des vibrants va et vient. Ensuite en détaillant par le menu les autres gars qu’il suce, et surtout les quatre gars qui le prennent tour à tour.Je finis par le supplier d’arrêter car je vais jouir. Son histoire m’enthousiasme. Je m’imagine si bien à sa place ! Mais je veux prolonger encore cette partie fine.Il accepte de passer aux choses sérieuses. Je rigole : nous sommes tous deux à poil, un gode dans le cul, bandant comme des ânes ! Pour moi les choses sérieuses ont commencé depuis un moment !– Allez, tu es mon invité. C’est toi qui choisis. Tu me prends en premier ou tu veux que je te bourre le cul ? dit-il.– Si c’est toi qui m’encules en premier, je vais jouir immédiatement. Reprenons un verre et je m’occupe de ta rondelle…Chacun avec le gode en nous, lui devant le maintenir d’une main alors que le mien, plus fin, tient tout seul maintenant que j’ai arrêté les vibrations, nous nous resservons un verre. La dernière goutte. Depuis combien de temps nous amusons-nous ? Assez de temps pour s’enfiler une bouteille complète de blanc. Avant de s’enfiler mutuellement.Cette pause nous fait le plus grand bien. Nous nous enlaçons et nous roulons des pelles tout en reprenant possession du gode enfoncé chez l’autre. Dans une sorte de danse lascive, nous agitons chacun le jouet entre les fesses amantes. Doucement. Lubriquement. Sensuellement. Nos regards pleins de flammes disent tout de notre plaisir. Nous jouons. Pure luxure. Indécence absolue. Une merveille !Barti finit par se placer en levrette, dos cambré, au milieu de la pièce. Le gode qui ressort de ses fesses alors que son sexe raide resplendit autour de ses jolies couilles bien basses n’a rien d’indécent. Bien au contraire. L’accessoire est rangé dans son fourreau naturel, à sa place. Même sa posture me semble être plus ludique que lubrique.Je le laisse nettoyer mon dard baveux avec sa langue tandis que je sors une capote de son étui. C’est lui qui la déroule sur mon membre. Lui encore qui la lubrifie. Avec des gestes si délicats qu’ils hérissent mes poils pubiens. Ce garçon est infiniment respectueux de la virilité masculine…Je palpe ses couilles d’une main tout en retirant le gode de l’autre. A peine est-il sorti qu’il me supplie de le prendre. Son anus grand ouvert est un appel au coït. C’est d’un coup que j’entre en lui, déclenchant un gémissement aigu qui sort de sa gorge relevée vers les cieux.Je m’accroche à ses hanches. Il se cambre davantage encore et mes va et vient démarrent. Telle une locomotive à vapeur je monte progressivement en puissance, le faisant roucouler joyeusement. Il aime cela, se faire enculer ! C’est une évidence ! Comme je le comprends ! Il resplendit de bonheur…C’est en sentant le gode sortir à moitié de moi que je réalise qu’il est encore dans mon cul. Cela fait plusieurs minutes que je le ramone et j’ai oublié sa présence ! A croire que ce sextoy est fait pour mon conduit, que c’est sa place… J’en glousse joyeusement tout en le remettant en place. Barti me demande ce qu’il se passe. Il éclate de rire en comprenant mon tracas anal.Je ris d’abord avec lui. Avant d’imaginer que, peut-être, il est en train de se moquer de moi. Je le lui demande. Il confirme, me demandant de prendre mon téléphone pour faire un selfie de nous deux avec vue arrière. Amusé, j’attrape mon appareil et je tente la photo. Le résultat est nul, on ne voit qu’un bout de ma fesse, du gode et une de ses épaules, mais cela nous fait encore marrer. Sans que cessent mes coups de boutoir.J’en conclus que je dois le punir. Alors je déchaine mes coups en le sodomisant sauvagement, sans plus aucune retenue. Ses gémissements deviennent râles sourds. Il déguste. Il encaisse. Il me supplie de continuer…Sauf que, d’un coup, ayant donné un coup de queue encore plus puissant, le gode sort brusquement de mon cul, expulsé par mon enthousiasme pour aller rebondir à l’autre bout de la pièce.A nouveau nous éclatons de rire. Tellement que je m’écroule sur lui et qu’il s’écroule sur le tapis, tous deux secoués de rires incontrôlables. Je décule rapidement. Tout en me bidonnant je lui donne une fessée, sévère, joyeuse. Avant que nous nous accordions sur le renversement des rôles.Je suis heureux de me coucher sur le dos pour coincer mes jambes sur ses épaules. Après avoir enfilé une capote, il entre en moi, délicatement, malgré la fièvre coïtale qui émane de tous les pores de sa peau. Il prend sensuellement possession de mon cul, l’apprivoise, le détend, le rassure, l’enflamme. Sa sodomie est rapidement aussi bestiale que ses baisers et ses caresses sont civiles. Dur entre mes fesses, soyeux sur mes lèvres et mes tétons. Le tout enrobés du parfum de notre engagement physique. Un parfum animal qui fait tourner nos têtes.Malgré notre long préliminaire ludique, il est d’une belle endurance. Je suis persuadé que très vite je vais libérer ma jouissance. Curieusement c’est la capote qui enrobe encore ma queue (dans notre fébrilité nous n’avons pas pensé à l’ôter) qui s’échappe par un petit saut en avant de tomber sur mon ventre. Mon éjaculation, elle, ne vient pas. Et Barti finit par crier grâce.Il décule fébrilement, arrache la capote et, à ma demande, approche son sexe de mon visage. Quelques coups de poignet et, enfin, sa chaude libération vient percuter ma joue, mon cou, mon menton. Un superbe jaillissement séminal qui régale mes yeux, mes narines, et bientôt mon palais car je suis incapable de réfréner ma gourmandise…Je lui laisse le temps de se remettre en caressant sa croupe moelleuse en nage. Quand il rouvre les yeux c’est pour m’offrir un magnifique sourire, avant de s’abaisser pour me lécher la face en nettoyant son égarement. Quelques baisers savoureux, il s’attache à me laisser tout propre. Avant de se jeter tête-bêche sur moi pour gober d’un coup ma queue tout en me présentant en gros plan sa grosse molle, ses couilles brusquement moins grosses, son anus encore largement ouvert.Un « donne-moi tout ! » me fait comprendre son désir. S’il le veut, pourquoi ne pas lui donner sa nourriture mâle ? Je le laisse me pomper en m’abandonnant, gobant ses testicules ou avalant sa verge amollie tout en écartant ses fesses pour admirer ce que mon jouet puis mon sexe ont ouvert de son joli petit cul.Mon orgasme est si puissant que je perds quasiment conscience. J’entends vaguement ses grognements satisfaits, le bruit de succion de sa bouche dévorant mon sexe, ses petits cris aigus d’affamé qui en voudrait plus.C’est sa langue se frayant savoureusement un chemin entre mes lèvres qui me sort de mon état cotonneux. Je n’ai pas senti sa bouche abandonner mon sexe, ni son corps se retourner. Mais je sens sa langue qui s’agite contre la mienne comme pour la réveiller. Je souris. Je réponds à ses assauts buccaux.Nous restons un long moment à nous dévorer la bouche, à palper nos membres flasques et gluants, à caresser nos épidermes trempés. L’avoir sur moi, bouche à bouche, en pétrissant ses fesses me réjouit comme rarement. Un mec. Mon mec. Pour moi. Pulpeux. Joyeux. Offert…Je suis parfaitement conscient qu’entre lui et moi ce n’est que du sexe. Mais du super sexe débridé et jouissif comme jamais ! Nous nous débarbouillons ensemble sous la douche, les lèvres et les mains insatiables. Nous mangeons une mauvaise pizza surgelée sans cesser de nous cajoler. Et très vite nous allons au lit.Il est aussi gourmand de tendresses en tous genres que moi. Sensualité endiablée, chairs exaltées : nous mettons un long moment tendre avant de nous endormir.Une trique puissante et douloureuse me réveille en pleine nuit. Je ne peux que la lui offrir en me collant dans son dos. Très vite il relève une jambe, attrape gauchement ma queue, vient la placer entre ses fesses, donne un coup de rein en arrière. J’entre à nouveau en lui. A cru. C’est la première fois que cela m’arrive. Je m’inquiète : c’est incroyablement bon ! Ne pas en devenir accroc !Il remue son petit cul suffisamment pour que je sois aux trois quarts en lui. Et il se rendort. Et je me rendors. Unis par ma queue en lui. Heureux.Plus tard c’est à mon tour de sentir son sexe contre mon anus. Il pousse lascivement. Il m’échauffe. Et à mon tour j’autorise l’intromission. Oh, juste le gland, et à peine plus. C’est délicieux. Son sexe est dans son étui, dans mon étui, à sa place.Je me rendors. Comme un bienheureux. Un bienheureux bien pris… Le réveil est particulièrement agréable. Aux douces caresses reçues et offertes succèdent des mises en bouche réciproques de nos sexes à nouveau bandés. J’ai tout mon temps pour déguster mon hôte ; et lui ne semble pas plus pressé. Je revis notre soirée de la veille. Rarement partie de jambe en l’air aura été pour moi si déjantée et si crue. Le vin aidant, toutes mes hésitations sont tombées et j’ai joué à ces jeux de garçons avec une liberté corporelle. Une liberté rarement atteinte auparavant. Merci Barti ! Merci le couchsurfing !Il me regarde, mon sexe entièrement en bouche, en grognant son plaisir fellatoire. Je lui souris. Lequel de nous deux est le plus gourmand de queue en bouche ?Il refuse ma tentative de 69. Par contre il s’autorise à me donner une délicieuse fessée tout en pétrissant vigoureusement mes fesses qu’il aime à écarter. Aucun contact avec mon anus. C’est cela qui me met en feu ! Mon besoin enculatoire m’obsède de plus en plus. Il tourne autour de mon anus. C’est un malin. Il me frustre. Tant mieux. Il peut me prendre quand il veut…Les douceurs épidermiques s’arrêtent brusquement quand il bondit sur ses pieds en disant qu’il est temps de prendre le petit déjeuner. Il me propose un café et un bol de céréales que j’accepte bien volontiers. Notre ébat de la veille m’a donné faim. Ce n’est pas la pizza qui m’a rassasié.Alors qu’il s’affaire pour le repas je joue avec ses petites fesses que je pelote, son beau sexe raide que je branlotte, son cou que j’embrasse, ses couilles que je masse. Il s’en amuse. Il me tend plusieurs fois ses lèvres. Il semble apprécier mon inclination pour son corps nu.Je mange une bonne partie de mes céréales alors que Barti est à quatre pattes sous la table en train de me sucer. Il me dit qu’il adore se mettre aux pieds d’un mec pour jouer avec son sexe. Il n’hésite pas à reconnaitre qu’il apprécie de se soumettre à un mâle dominant, dans l’espoir d’une prise en main sévère. Je ne doute pas qu’il se donne totalement dans ces cas-là ! Etrange mélange de sauvagerie et de douceur chez ce garçon…Je suis tranquillement debout à boire un café devant la fenêtre en regardant les toits de Paris quand il vient se coller dans mon dos. Son membre se cale dans ma raie et s’y frotte de haut en bas, ce qui me fait roucouler. Ses doigts s’emparent de mes tétons et les maltraitent joyeusement. La tasse dans la main tremblante, je me laisse faire.Jusqu’à ce qu’un doigt vienne s’engouffrer dans mon conduit. La sensation est si délicieuse, elle me rappelle tant de bons moments que je gémis, je me penche en avant, j’écarte les cuisses, je me soumets complètement après avoir reposé la tasse. Le doigt s’active, vigoureusement. Ma gorge essoufflée chante son plaisir. Hululement ou minauderie, je ne sais. Je m’en fous. C’est trop bon !Un second doigt rejoint le premier. Dans un coup d’œil arrière je remarque que le flacon de lubrifiant est sur la table, ouvert. A côté d’un étui de préservatif…L’éclat qu’il lit dans mes yeux ne laisse aucun doute : mon cul est à lui, autant qu’il veut ! C’est accroché à la poignée de la fenêtre que je sens son braquemart me pénétrer sans coup férir. Mon chant monte dans les aigus. Une fois entièrement en moi je recule encore mon bassin, j’assure mon assise, et je déclenche moi-même son assaut en m’avançant puis en reculant sèchement. L’enculade est forte, active, intense. Je m’accroche. C’est merveilleux. Je ne ressens aucune douleur. Après ce qu’il m’a mis la veille, je m’ouvre à nouveau pour la plus fabuleuse des sensations charnelles.Après un long moment de mitraille, alors qu’il a glissé hors de moi, je le repousse jusqu’au canapé pour le forcer à s’assoir, puis à lui présenter mon dos en m’abaissant pour m’empaler. Nous jouons un petit moment dans cette position décadente, avant de m’extirper pour me retourner et me réempaler face à lui. Il me bourre le cul crûment tout en m’embrassant exquisement. Le mélange de sensualité et de brutalité me fait gémir de plus belle !Quand je me retire pour me mettre à ses pieds en levrette, il comprend mon besoin. Il file derrière moi pour me reprendre et me pilonner tout en remarquant :– Mon petit bisexuel veut être pris dans toutes les positions possibles ? D’accord ! Je vais montrer à ton joli petit cul tout ce qu’un bon pédé peut offrir à un bi en manque !Je ne suis pas déçu !Pendant vingt minutes il alterne les positions les plus scabreuses possibles pour m’enculer. Les différences d’axe d’attaque me font découvrir de nouvelles sensations. Ma totale soumission à ses ordres me réjouit profondément. Je lui donne et lui redonne mon cul, quand et comme il veut !Ma totale docilité l’amuse, le met en joie, le met en feu ! Autant que mon corps qui rayonne de plaisirs. Si nous ne trouvons pas immédiatement l’harmonie dans une position hasardeuse, notre motivation à vivre une sodomie de folie est commune. Nous réessayons, insistons, tentons de nouvelles postures. Chacun est dans son rôle. Je lui suis extrêmement reconnaissant d’avoir choisi le sien, actif débridé, et par conséquent de m’avoir, à coups de queue, imposé le mien, passif encaissant.Nous ne cessons de monter dans des postures toujours plus obscènes. Jusqu’au moment où l’éruption devient incontrôlable. Je le lui dis. Il me fait tomber à terre, glisse sous mes jambes qu’il relève et me reprend en déchainant ses coups alors que je m’empare de ma queue pour en libérer mon jus bouillonnant en me branlant. Nous éjaculons quasiment en simultané. J’en envoie partout sur lui et sur moi alors que sa capote, elle, récupère un vrai bombardement séminal. Nous râlons comme des fous notre orgasme. Il éructe un « on s’en fout des voisins ! Ils sont comme nous… » au cas où je chercherais à me contrôler vocalement. Il se trompe : j’en suis bien incapable et mes cris doivent s’entendre dans tout l’immeuble…Revenu à moi, j’attrape sa capote bien pleine qui glisse le long de sa queue amollie pour la nouer. J’admire la belle quantité de sperme et l’en félicite. Il objecte qu’avec un bon cul comme le mien, c’est normal… Et il essuie mon ventre avant de me pousser sous la douche.Notre toilette est nettement moins sympa que la veille. Il m’informe qu’il devrait déjà être au boulot. Il me dit de prendre mon temps mais lui fonce, à poil, vers son ordinateur et son téléphone pour bosser. Il est en ligne quand je sors de la salle de bain. Il me fait signe de reprendre mon petit déjeuner là où je l’avais laissé. Je termine de déjeuner en tournant stupidement dans son petit studio, regardant sa déco, feuilletant ici ou là un livre ou un magazine. Je suis frustré : j’ai encore besoin de m’exhiber nu devant ce garçon avec qui je me suis si bien envoyé en l’air.Alors que je suis à portée de main, il écarte mes fesses et me dit que cela va, que mon cul se referme. C’est bien la sensation que j’en ai. Sauf qu’elle est légèrement douloureuse.Je lui demande s’il fait des visios pour son boulot. Il me dit que cela lui arrive régulièrement. Et, me montrant une chemise à portée de main, me dit qu’il fait partie de ces mecs qui n’ont rien en dessous quand ils sont en visio. Je rigole. Il continue en affirmant que c’est super bon de se tripoter librement la queue tout en bossant face à un mec mignon apparu sur l’écran…Je me décide enfin à refermer ma valise puis à m’habiller. Quand je suis prêt il se lève et me rejoint pour me rouler une pelle en me disant que c’était très bon. Je lui demande si je peux revenir lors de mon prochain séjour Parisien. Il me glace en disant froidement que non. Lui, c’est un mec d’un coup. Jamais il n’accepte de deuxième séjour. Il fait du couchsurfing pour découvrir des gars, pas pour trouver un mec.Je hoche la tête en guise de compréhension plus que d’assentiment. J’aurais pourtant bien remis le couvert ! Il me conseille de réserver chez d’autres hôtes comme lui. Il me glisse quelques prénoms du site que j’oublie aussitôt.Un dernier bisou, chaste, il ouvre la porte et me pousse dehors. Un homme, la quarantaine, sort au même moment de chez lui. Barti ne craint pas de se présenter nu pour le saluer. L’autre nous salue tous deux en nous disant qu’il ne posera pas la question de savoir si notre soirée a été bonne : tout l’étage l’a constaté…Dans l’ascenseur il me dit que Barti est un super gars, un super coup, un super voisin. Je lui dis que je n’en doute pas mais que je mettrai quelques jours pour m’en remettre ! Barti, son prénom je ne suis pas près de l’oublier ! Surtout en marchant dans la rue après avoir salué le voisin amusé, le corps émerveillé, ma pulsion mâle soulagée, le cul sérieusement irrité… Vivement ma prochaine visite parisienne !Fin
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