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cougar et les jeunes

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Ce récit est vrai, seuls le lieux et les prénoms ont changé.
Dans la banlieue nord de Montpellier, disons à 10 kilomètres mon amie Juliette, près de la cinquantaine est une baiseuse active, même si son mari n’est plus là. Elle m’a souvent dit qu’elle avait plusieurs amants. Je m’en étonnais:— Comment tu t’arrange pour baiser à ton âge?— Après la ménopause, j’ai eu un passage à vide. Quand mon mari est mort, je me suis souvenue de nos amours d’antan. Je me suis souvenue des plaisirs qu’il m’avait donné: un jour j’ai senti une envie de me masturber. Je l’ai fait et j’en ai jouis, comme avant en plus profond. Quelques temps plus tard je la vois sortir du laboratoire d’analyses médicales vêtue comme une pute: pantalon collant montrant pratiquement qu’elle était nue dessous, un Genre de gilet qui laissait voir la moitié de sa poitrine. Trois jeunes d’une vingtaine d’années l’accompagnent.— Qu’est-ce qui t’arrives? Tu es malade?— Pas du tout nous venons de chercher les résultats des analyses pour le Sida: nous sommes séronégatifs.— Tu ne veux pas dire que tu te payes ces jeunots?— Bien sur, j’aime les jeunes, ils ont les reins très solides: ils me font bien jouir. Je te raconterais tout un jour.Les semaines passent, je l’avais presque oubliée. D’emblée elle me demande de venir chez moi pour me parler.
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Tu sais j’ai découvert mes trois jeunes par hasard: j’étais Place de la Comédie quand au cours d’une manifestation ils m’ont protégée contre une bande de loubards. Pour les remercier je les ai invités à boire un verre dans un bistrot. Ils ont accepté. Je les ai invités chez moi. Nous avons pris là le tram pour prendre la voiture à la station Occitanie. De là bas à ici il faut moins de 10 minutes. J’avais une idée géniale en tête. Tu sais comment c’est fait chez moi. Je les ai laissés au salon et suis allée me changer: quoi de plus normal en revenant dans notre cambrousse. Je suis descendue en peignoir: tu le connais, celui qui est transparent.Je ne te dis pas la tête qu’ils faisaient. Ils pensaient sans doute trouver une ruine, alors que je suis très bien conservée. Je me suis assise en face sur le fauteuil. Le peignoir s’est ouvert sur mes cuisses. Je les observais: leurs regards étaient fixés sur mes jambes. Volontairement j’ai ouvert les cuisses pour qu’ils remarquent que j’étais nue dessous. Ma foufoune était certainement bien mouillée; ils en profitaient sans pudeur. Je voyais qu’ils bandaient. — Ca vous dirait de me baiser?— Oui beaucoup, a répondu le plus courageux.— Alors venez.Ils sont venus presque ensemble. C’est tout juste s’il ne se disputaient pas pour me toucher, pas caresser, toucher simplement.. J’ai du les retenir, leur apprendre que la moindre de chose était de me caresser un peu partout. Bien sur ils ne visaient que la chatte. Je me suis levée pour laisser tomber le peignoir. Nue maintenant je pouvais leur offrir autre chose. D’abord je leur ai demandé de se déshabiller devant moi. Ils l’ont fait assez maladroitement. Ce que je voulais voir était enfin sous mes yeux: trois bites au garde à vous. Tu ne peux pas savoir l’effet de voir trois jeunes bites: je mouillais comme jamais. Je me suis occupé des trois à la fois: j’en branlais deux et en suçais une. Ils ont joui trop vite: leur sperme partait dans de longs jets. J’avais raisons sur mon choix. J’ai pu les faire bander en un rien de temps. Ils voulaient me baiser de suite. J’ai donner les préservatifs: je les regardais habiller les bites d’un même mouvement. Je crois que l’un deux était encore vierge.Je lui ai demandé de venir sur moi puisque j’étais maintenant sur le divan. J’ai simplement levé la jambe droite pour la faire reposer sur le dossier du meuble, l’autre jambe était presque par terre. J’ai pris sa jeune bite dans ma main pour le branler un peu avant de le mettre à l’entrée de mon vagin. Il a fallu que je lui tapote les fesses pour qu’il commence à me pénétrer. Il fermait les yeux pour bien profiter de moi. Quand il a fait les va et vient: il a tenu le coup mieux que dans ma bouche. J’étais tellement excitée que j’ai joui en même temps que lui. Il s’est retiré en m’embrassant fougueusement sur la bouche. Sans que je demande un autre est venu. Avec lui tout a été rapide. Le temps d’entrer: il a joui. Je me suis tournée pour me mettre sur le ventre. Là le dernier est venu pour m’enculer. Tu sais que j’aime la sodomie: avec lui j’ai été servie: De lui-même il m’a bien mouillé l’anus avant de faire quoi que ce soit. Il me la mise que parce que je le lui ai demandé, sinon imposé. Je me suis réellement régalée quand il me la mise et surtout quand j’ai senti ses couilles contre mes fesses. Il n’était pas tellement gros ni épais, normal tout simplement. Par contre dès que je l’ai senti entrer et forcer à peine pour tout me mettre, j’ai joui. J’ai encore joui en cours de route pour finir quand je sentais son jet de semence dans le fond du cul, même protégé par le préservatif. L’après midi finissait, je les expédiais par bus vers Montpellier. Le rendez vous suivant était pour le surlendemain. Entre temps j’en parlais à ma toubib qui me conseillait de faire une analyse du sida pour me passer de préservatifs. Voilà le pourquoi de notre encontre devant le labo.La suite est simple: du moment que nous n’avions plus besoin de préservatif, ils m’ont baisée autrement, avec plus de sentiment: je leur donnais enfin tous ce qu’ils désiraient avec leurs bites découvertes. moi-même j’étais plus satisfaite: je recevais enfin des tonnes de spermes sur moi ou dans moi. J’aime le goût du sperme et là j’étais bien servie en semence fraîche, mon sexe en était rempli à ras bord, comme mon cul. Petit à petit je leur apprenais tout ce que je savais. Je les pervertissais avec plaisir. J’ai voulu commencer lentement, il savait me la mettre au cul, dans la bouche ou dans la chatte. Ils savaient bien me demander des masturbations que je leur donnais toujours. Un jour j’ai décidé qu’eux aussi devaient se branler devant moi. Alors j’ai demandé au moins membré de me donner sa bite dans le cul. Je l’écrasais presque en étant sur ses genoux. Les deux autres nous regardaient, leur bites étaient bien gonflées, pile ce que je voulais. Sans rien me demander, chacun a commencé sa masturbation. Je les ai arrêté: je voulais qu’ils branlent l’autre. Ils n’ont hésité que quelques secondes avant de prendre la bite du copain dans la main. Ils m’excitaient bien: je jouissais sans arrêt, surtout quand celui qui m’enculait a joui. Je leur ai appris la double pénétration. Je me faisais baiser quand j’ai eu envie d’une bite dans ma profondeur. Couché sur mon amant, je donnais mes fesses à je ne me souviens même pas lequel. Je me souvient parfaitement de la suite: j’étais prise en sandwich en donnant le rythme. Que c’était bon ces deux jeunes sexes dans mon ventre, dans des trous différents. J’avais posé la tête sur l’épaule de celui qui me baisait. Je ne me souviens pas avoir tant joui avec mes deux jeunes. Pourtant il en restait un que je ne satisfaisais pas. J’ai osé lui demander l’extraordinaire: enculer un des deux. Je m’attendais à des protestations: rien du tout. Il est venu derrière celui qui m’enculait pour lui faire subir le même sort. J’étais la maîtresse du jeu: quand je reculais mon cul pour être bien sodomisée, mon amant avançait pour faire aller en arrière la bite de son copain. Si quelqu’un nous avait vu il en aurait sorti sa bite pour se branler. Le plus fort et que nos orgasmes ont presque coïncidé. Pour finir je leur ai demandé de passer au stade ultime, pour moi de la déchéance. Je leurs ai demandé de me fister. Ils s’y sont mit à trois, pas ensemble, à deux au maximum. Il a fallut que je leur apprenne à se servir d’huile spéciale: ils m’ont caressée en m’huilant. Ensuite il a fallu que je mette moi-même leurs doigts en place. Ils n’osaient pas trop mettre leur main en entier. C’est justement ce qui est le plus agréable. J’ouvrais mes jambes au maximum pour bien écarter mes lèvres. Enfin petit à petit une main est entrée dans le sexe. J’ai eu un peu mal au début. Quand ils ont compris qu’il fallait faire aller et venir la main, j’étais à bout de souffle. Je me forçais pour ne pas jouir. Je suis partie d’un seul coup, comme une explosion. Celui qui me faisait jouir voulais sortir sa main. Je l’en empêchais; je tenais à bien jouir. J’ai voulu aller encore plus loin: je me suis fait mettre une main entière dans le cul, en double pénétration. Là j’ai eu mal, ce n’était pas insurmontable, j’ai laissé faire. Combien j’avais raison. Ecartelée comme j’étais, j’avais encore besoin de plus. J’ai joui encore une fois en double. J’ai demandé qu’on me suce aussi. Là c’était plus difficile à cause de la main dans le con. Ils y sont arrivés, alors là j’étais au 7° ciel. Eux, pendant ce temps, ils bandaient simplement, un d’eux se masturbait juste à coté de moi. J’ai voulu les avilir encore une fois. Ils étaient en ligne, bite dans les fesses de celui d’en face, sauf le dernier qui n’avait aucune chance d’être sodomisé. C’est moi qui m’en suis chargée. Le premier, devant devait se contenter de sa main pour jouir. J’étais fière de les avoir convertis à un genre de libertinage plus chaud. J’étais contente de voir les bites entrer et sortir des culs masculin. Les fois suivant je n’ai rien eu à faire quand d’eux même ils se sodomisaient. Il semble même qu’ils préféraient le cul de leur copain au mien. Ils m’ont quitté un jour sans rien me dire. Depuis j’ai repris mes habitudes. Si tu veux même nous pourrions tirer un coup une fois toutes les deux.
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Nous avions le même âge, j’avais un amant fidèle, je me suis trouvée, troublée par le récit de mon amie. J’ai accepté sa proposition. Nous avons fait l’amour pour la première fois. Son baiser était sacrément bon, presque meilleur que celui d’un homme. Quand nous étions nues, elle a commencé à me lécher à peu près sur tout le corps. Elle me chauffait à l’extrême. Ma chatte était mouillée. Quand sa main est venue me branler, je me suis laissée faire. Le clitoris ne suffisait pas à sa voracité: elle m’a doigté un moment pour me faire jouir. A mon tour je l’ai masturbée, je lui ai mis deux doigts dans le cul. Elle a joui. Je l’ai léché un moment pour la faire encore jouir. Nous étions couchée elle au pied du lit, moi à la tête, nos jambes emmêlées, nos clitoris l’un contre l’autre. L’orgasme qui a suivi était le dernier. C’était tout à l’heure. Rien ne dit que nous ne recommencerons pas.
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