Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 120 J'aime
  • 3 Commentaires

Coup de foudre érotique 1

Chapitre 1

Amandine et le livreur

Erotique

— Amandine et le livreur.
Quelle est donc cette alchimie qui fait qu’une femme à l’approche de la quarantaine, bien installée dans la vie, mère et épouse comblée, physiquement attrayante, ressente soudain le besoin urgent d’un rapport sexuel avec un homme qui n’est pas son mari ?
C’est ce qui est arrivé à Amandine, 36 ans, pharmacienne, blonde gracile que beaucoup trouvaient ressemblante avec l’actrice Isabelle Carré. Le choc survint quand ses habituelles livraisons de médicaments furent assurées par un jeune Noir particulièrement athlétique, parangon de virilité masculine, qui eut le toupet de la draguer en transportant ses colis. La drague, Amandine l’avait oubliée depuis le temps de ses années étudiantes et ce ne sont pas ses clients plus ou moins malades qui s’y risquaient, comptant seulement sur elle et ses assistants pour soulager leurs misères. Mais Hugo, c’était le prénom du livreur, éclatait de santé, exposait biceps et pectoraux, et Amandine ne pouvait que comparer ce mâle surpuissant au corps longiligne et frêle de son mari qui se contentait de son devoir conjugal et dominical, et encore pas toutes les semaines. Mais elle en avait depuis longtemps pris son parti et sa libido s’était gentiment endormie au fil des années.
Et voilà que ce mec manifestait clairement l’intention de la baiser ! Car c’était bien le mot qu’il fallait employer. Ce n’était sûrement pas avec ce genre de type qu’elle renoncerait à sa vie bien rangée. C’était du moins ce que lui disait sa tête. Son sexe, en revanche, était d’un avis différent et c’était la grande nouveauté de l’histoire. Dès qu’Hugo se mit à la baratiner dans la pièce arrière de l’officine, dès qu’il se mit à la frôler, dès qu’il osa même lui caresser la joue, Amandine se mit à mouiller. Dès lors, elle dormit mal. Ce fut encore pire quand Hugo lui dit un jour à l’oreille : "j’en ai une grosse, rien que pour toi". Elle avait tellement rougi qu’il avait éclaté de rire, mais elle ne l’avait pas repris, ou même giflé. Elle ne pensa plus qu’à ce qu’il avait entre les jambes, au bonheur purement sexuel qu’il pouvait lui procurer.
Et quand il lui dit un jour de livraison : "je reviens te voir ce soir après la fermeture", elle prévint son mari qu’elle serait en retard, qu’il devrait faire manger les enfants, qu’il lui fallait mettre d’urgence sa comptabilité à jour. Elle mentait, et c’était une première dans sa vie de couple.
Il déboula rigolard et débonnaire, comme pour une livraison banale. Elle ferma la porte derrière lui à clé, tenta de jouer le rôle de la femme honnête, l’épouse modèle choquée, disant "qu’est-ce que vous cherchez au juste", tandis qu’il la repoussait tranquillement vers le fond de l’officine sans qu’elle résiste vraiment. Dans le lieu clos, il l’enlaça, lui prit le visage, l’embrassa et le contact de ce corps puissant sur le sien l’électrisa. Elle devint toute molle, répondit à son baiser, sentit contre son ventre le sexe dur du livreur et n’eut dès lors qu’un désir : être pénétrée. Tout son être le réclamait, de manière impérieuse et autoritaire.
Il la souleva avec aisance pour la poser sur une tablette servant aux préparations. Il la déchaussa, retira son jean et sa culotte en même temps sans se voir opposé la moindre résistance. Il se pencha entre ses cuisses et entama un long cunnilingus qui la fit gémir. Sa langue la fouillait avec précision, elle dégoulinait sur son museau, jamais elle n’avait été aussi bien léchée, et d’ailleurs, elle ne l’était plus vraiment. Quand il se releva, elle lui adressa un regard embué où il lut à la fois de la reconnaissance et du désir. Elle était mûre à point. Il l’aida à se débarrasser de son top et de son soutif, révélant ses seins pointus et dressés. Elle était désormais entièrement nue, exposant sa peau laiteuse de blonde et son pubis fauve soigneusement taillé.
— Je vais te baiser, lui dit-il, mais tu vas me sucer d’abord.
Son pénis surgit de son boxer, tendu, monumental, turgescent. Amandine ne put s’empêcher de pousser un petit cri, la main sur la bouche. C’est cet engin de chair qui allait entrer en elle ! Mais quand il le lui mit à hauteur de sa bouche, elle l’engloutit avec volupté. Elle s’en mit plein les joues, plein la langue, comme si elle dégustait en mets rare. Ses cheveux mi-longs battaient le bas-ventre du Noir tandis qu’elle le pompait avec résolution. Elle ne pouvait en absorber qu’à peine la moitié malgré sa volonté de l’envoyer le plus loin possible dans sa bouche. Et quand il se retira, le gland luisant de salive, elle l’observa fascinée en train de se coiffer d’un préservatif préalablement extrait de son jean. Débarrassé de son tee shirt, il lui offrait la vision de son torse sculptural aux muscles parfaitement dessiné. Et en la fixant droit dans les yeux, il la pénétra debout, elle assise sur la tablette, écartelée.
Quand il fut en elle, sa première réaction fut qu’il allait l’ouvrir en deux. Jamais elle n’avait subi une visite aussi puissante, aussi envahissante. Elle poussa un cri qui se serait entendu dans la rue si les portes n’avaient été hermétiquement fermées. Mais elle était tellement humide que le pénis trouva rapidement sa place, savamment agité pour élargir l’antre intime, creusant lentement mais résolument, de plus en plus profondément. Instinctivement, Amandine colla ses talons sur les fesses du Noir comme pour lui signifier son adhésion et l’empêcher de se retirer. Les coups de boutoir se firent donc de plus en plus rapides, de plus en plus toniques. Cramponnée aux biceps de son mâle, Amandine tentait de lui renvoyer la balle, le corps en ébullition, subjugué par cette bite qui lui procurait un bonheur inexprimable, si ce n’est par des cris gutturaux venus du fond d’elle-même.
Elle était désormais tellement humide que chaque va et viens était ponctué de "floc floc" témoignant de la réalité du coït.
Lorsqu’il la souleva avec aisance pour la prendre debout, elle accrochée à son cou, elle jeta la tête en arrière, hallucinée de plaisir. Puis il la reposa sur la tablette, mais en sens contraire, et la prit par derrière, taquinant son anus rose comme s’il allait la sodomiser avant de revenir à sa fente et la décoller littéralement du sol à grands coups de bite. Puis il se coucha par terre et elle vint s’empaler sur lui pour une nouvelle phase qui lui permit de faire danser sa croupe, de face et de dos, comblée qu’il puisse durer pour lui procurer encore de nouvelles sensations de femelle. Enfin, il l’allongea à même le sol et la prévint :
— Je vais te faire jouir et tu vas me faire jouir.
Jouir, elle l’avait déjà fait plusieurs fois. Elle ne comptait plus ses orgasmes. Mais elle mit toute son énergie dans la bataille pour lui rendre le plaisir qu’il lui avait déjà donné. Pieds au sol, elle rua sous lui en râlant tandis qu’il la laissait venir à lui, bras tendus, des mots crus plein la bouche pour l’exciter.
— Baise, baise, remue ton cul, viens chercher ma grosse queue, tu l’aimes hein ?
Elle fit oui de la tête et sa voix se mua en un gargouillis lorsqu’il prit les choses en mains et l’assaisonna de coups de bite puissants. Il arracha sa capote et gicla sur son ventre luisant de sueur et ses seins aux pointes dressées. Ses yeux se révulsèrent, signes de l’intensité de son orgasme. Et les corps s’apaisèrent.
Ils restèrent ainsi allongés par terre quelques minutes, après qu’elle eut accompagné de la langue le ramollissement de ce pénis de rêve. Puis ils se rhabillèrent et elle lui fit promettre de ne pas se vanter de sa bonne fortune.
— Mais je pourrai te revoir ? lui demanda-t-il.— Je ne sais pas. Peut-être...
Elle était bel et bien piégée et le savait. Quand elle retourna à son domicile retrouver son petit univers familial, elle se sentit changée. Elle avait commis l’adultère. Elle avait joui comme jamais. Mais pas question de renoncer à son couple. Son mari ne se douta pas une seconde de ce qu’elle avait vécu, qu’elle avait bel et bien baisé. Il s’endormit, comme d’habitude, à ses côtés, tandis qu’elle cherchait vainement le sommeil. Ce coup de foudre érotique l’avait prise de plein fouet. Et elle pensa à la prochaine livraison.A SUIVRE
Diffuse en direct !
Regarder son live