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Coup de pied au culte

Chapitre 1

J'aime pas les Amish

Zoophilie
En soupirant de soulagement, je me suis assise dans le bus gris juste avant son démarrage. Direction Las Vegas, deux jours et huit heures de route. Ça y est, je me suis échappée ; non sans mal, j’ai déjoué les recherches de mon père et de ses amis. Quand l’autobus à moitié plein quitte Philadelphie pour Norristown sur l’Interstate 76, je m’autorise à regarder les gens autour de moi sans détecter de gens louches. Parfait. Je m’appelle Jennifer Strauss, Jenny pour mes amis. Ma famille, originaire d’Allemagne, est installée depuis presque deux siècles dans une petite ville de Pennsylvanie, Ennemish. Vous connaissez sûrement les Amish ? Ce ne sont pas nos amis, ceux-là, au contraire. Comme vous le savez, ils ont un mode de vie très austère, radicalement opposé à celui des Ennemish. Pour simplifier, ce qu’ils ne font pas, nous le faisons. Ils sont rétrogrades et coincés du cul alors que nous vivons pleinement au XXIe siècle dans une sexualité débridée. Dans nos maisons surchauffées nous circulons nus (pour les femmes, les bas résille sont quand même tolérés avec des talons hauts), et il y a des télés dans toutes les pièces avec des films pornos à volonté. Nos véhicules sont tous des pick-up américains bien polluants, équipés de pare-buffles et peints de couleurs criardes. Bref, nous, les Ennemish, rigolons bien plus que ces trouducs d’Amish. Mais voilà, tout n’est pas rose dans notre communauté ; oh non, loin s’en faut. Papa a décidé de me faire épouser Adolf pour se rapprocher du maire de notre ville. Ils ont bricolé ça dans leur coin sans m’en parler, alors que j’ai presque dix-neuf ans. Les mariages organisés, c’est encore un truc qui me broute grave, surtout que je me retrouve à devoir épouser quelqu’un qui me débecte. D’abord, qui s’appelle Adolf, de nos jours ? Et je n’ai pas très envie (pas du tout, en fait) d’épouser ce berger allemand. Et qu’il soit le chien du Maire n’y change rien. Il pue de la gueule et passe son temps à se lécher les roubignolles ou à courir après le facteur. Gros débile ! — Tu comprends, Jenny, m’avait expliqué papa, c’est pour unir nos familles et être plus puissants. Il faut que tu te maries avant tes vingt ans, d’abord. Les coutumes des Ennemish recommandent en effet aux filles de se marier avant cet âge. D’accord, mais avec Adolf ? Il n’a que deux ans, après tout. — Papa, je ne l’aime pas. D’accord, il a une belle bite, mais il n’a aucune conversation. À part me sauter trois fois par jour, il va faire quoi ? Pisser sur les roues de ma voiture puis se lécher les burnes pendant que j’entretiens la maison, passe l’aspirateur et la serpillière, fais la cuisine et la vaisselle, lave le linge puis le repasse, etc. ? — Mais, ma chérie, c’est ce que font toutes les épouses du monde. Ta mère, par exemple, elle fait tout ça sans rechigner… La seule différence, c’est que je ne suis pas assez souple pour me lécher les couilles. Et que je ne la baise plus trois fois par jour ; même pas une, en fait. Et si tu crois qu’en te mariant à un bon Ennemish tu vas lui faire passer l’aspirateur et faire la vaisselle, c’est que tu es folle.  La modernité, chez les Ennemish, s’arrête au partage des tâches et à l’égalité des sexes, vous voyez. L’égalité des salaires, pareil. Rien de bien nouveau sous le soleil de Pennsylvanie. Les hommes de la communauté sont machos, fachos, et très attachés à leurs privilèges. — Ouais, ben moi, je veux pas ! Tu m’aurais dit d’épouser Kata... — Parce que tu crois qu’il va faire le ménage, ou qu’il a plus de conversation qu’Adolf ? — Peut-être pas, mais il a une énorme bite de plus d’un pied de long, plus épaisse que mon bras, et il aime s’en servir. — Déjà, tu n’as pas les bras très épais, a-t-il rétorqué en ronchonnant. Et puis je ne savais pas que tu baisais avec lui.— Ben oui, même qu’il me l’a souvent mise jusqu’au fond de l’utérus. Je l’ai bien sentie passer à chaque fois. Et je me la suis souvent prise dans le cul jusqu’aux couilles, même qu’après j’avais du mal à marcher, et surtout à m’asseoir ! Et puis quand il éjacule, je te raconte pas : c’est une vraie lance à incendie. Il me remplit de bonne crème, Kata l’âne.  Ben oui ; chez les Ennemish, on peut épouser un animal. Et même si je ne suis pas amoureuse de l’âne, je n’ai aucune envie de me marier à un clébard débile qui s’appelle Adolf. Sans compter que je serai veuve à trente ans.   Papa a poussé un soupir désolé, mais j’ai bien vu qu’il n’en démordait pas. Plus têtu que Kata, il tenait à me faire épouser Adolf, point barre. Alors je suis partie. J’aurais pu aller dans un groupe religieux genre les Morgons en Utah, mais ils passent leur temps à picoler du gros rouge. Ou chez Skippy le Grand Gourou, mais il a quitté les USA pour l’Australie (le grand bond en avant, qu’il a appelé ça). Alors je me suis décidée pour Las Vegas, Sin City (la ville du péché). Pour devenir actrice. Oh, pas dans des grand studios ; je crois plus au Père Noël depuis longtemps. Je suis petite et menue, avec un joli minois et une belle paire de seins bien ronds (pour ceux que ça intéresse, mes soutien-gorge sont de taille WENX 180 selon la nomenclature ennemish) ; je risque pas de devenir top model ou starlette. Mais pour tourner du X, je suis parfaite : blonde et bien roulée, les yeux bleus, la peau très pâle. Et Las Vegas, détrônant L.A., est devenue La Mecque du porno. À moi les beaux mâles bodybuildés montés comme des ânes (pauvre Kata, je vais te tromper…). Je vais devenir La nouvelle actrice porno, celle qu’on s’arrache parce qu’elle est plus chaude que la braise. Je rêve surtout de me faire baiser à couilles rabattues par les gros Blacks à bite énorme que j’ai vus dans des films, à la maison. Les Ennemish sont originaires d’Allemagne et de Pologne ; cheveux clairs, yeux clairs, peau claire. Des Caucasiens bon teint. Alors des représentants d’ethnies différentes, je n’en ai vus qu’à de rares fois, quand l’école nous conduisait à Philly pour visiter un musée ou aller au stade. Autant dire que je n’ai jamais fréquenté de Blacks de ma vie. En plus, comme je l’ai souligné, les Ennemish sont pas mal racistes. Alors, me voir dans des films me faire défoncer tous les orifices par des Noirs, des Chicanos, des Portos, ça va leur trouer le cul (métaphoriquement) à tous ces blondinets.  Rien que d’y penser, j’en mouille d’avance, là, assise dans le bus.Patience, petite Jenny : oui, tu l’auras, ta revanche.
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