J’ai croisé ce couple en forêt de St Germain. Elle était grande et bien faite. Une robe mi longue, fermée au col, mais d’un tissu tricot qui moulait bien ses formes. Je n’y aurais peut-être pas prêté plus attention si je n’avais vu sa poitrine se balancer ... très librement ... sous la robe.Je me suis retourné discrètement et j’ai vu ... que son compagnon lui massait le cul tout en marchant.Je les ai vu prendre un chemin en sous-bois, et j’ai contourné un fourré pour me rapprocher discrètement. Quand je suis arrivé, ils étaient arrêtés sous un grand chêne...Elle était légèrement penchée en avant, les deux mains appuyées à l’arbre. Sa robe était relevée sous les bras, coincée sur les épaules. En dessous elle ne portait que ses bas et son corps était nu des seins aux fesses.Elle creusait les reins et se tendait en arrière. L’homme derrière avait la main entre ses cuisses et lui caressait le sexe... En fait, il la branlait activement ! Le corps nu tressaillait et les deux globes des seins se balançaient ; elle gémissait.Il a ôté sa main et s’est collé contre elle derrière, ses deux mains lui caressant le corps et soupesant et massant les nichons.Elle s’est mise à frotter indécemment ses fesses contre le pantalon de l’homme. Puis elle a essayé de passer une main entre ses cuisses pour lui tâter la braguette.L’homme s’est aussitôt reculé et lui a fait reprendre sa position, les deux mains appuyées à l’arbre. Il l’a fait pencher plus en avant. Le minou poilu était bien visible entre les cuisses. Il lui a doigté le con encore un moment. Puis il s’est placé derrière elle et a baissé son pantalon.Il portait un slip tanga très moulant, qu’il a baissé devant sous les couilles. Il brandissait fièrement une belle pine raide et dressée.Il s’est décalotté la bite de deux doigts. Le gland était luisant et bien gonflé. Il l’a présenté à l’entrée du vagin de sa compagne et lui a dit ’Vas y !’. Elle a creusé les reins et s’est baisée elle même sur la bite du mâle.Elle ondulait pour se l’enfiler profondément et la faire glisser dans son ventre. Ses seins étaient agités de soubresauts et se cognaient l’un l’autre.Je l’ai vu jouir dans un grand cri, le souffle coupé, le ventre agité de tressaillements.L’homme s’est déconné. Son sexe était plus raide que jamais. Il a aidé la femme à se redresser ; la robe est retombée mais le corsage était largement déboutonné. L’homme a écarté les bords et la femme a sorti ses deux globes indécemment offerts dans le décolleté.Elle s’est mis à genoux devant la bite et l’a essuyée entre ses seins. L’homme donnait de petits coups de reins pour la baiser entre les nichons. Puis il s’est redressé un peu pour lui présenter la pine à hauteur du visage. Elle a incliné le membre vers sa bouche et l’a décalotté entre ses lèvres. Puis elle a commencé à sucer la pine.L’homme prenait son plaisir dans la bouche de sa compagne. J’ai vu la jouissance arriver et le tressaillement à l’instant où il a déchargé son jus dans la bouche amoureuse. La femme avalait à grandes gorgées le lait qui lui emplissait la bouche.PaulB.