Mon mari revient à la charge : — J’aime les femmes, mais je ne suis pas contre une belle queue de temps en temps, et la tienne est exceptionnelle. — Vous voulez l’essayer ? –— Bien sûr que je veux me faire mettre un tel engin dans le fion, je sais que je vais adorer.
Suite :Je fais mettre mon mari à quatre pattes sur un tapis épais de la chambre et lui enduis la raie de gel lubrifiant puis introduis un doigt dans son anus, ce qui l’excite sérieusement, je fais de rapides va-et-vient pour détendre son sphincter. Claude se dirige derrière Thomas, et pose sa bite sur les fesses de mon homme. Je m’en saisis et la badigeonne elle aussi avant de la diriger entre les fesses masculines. Claude donne un grand coup de reins et enfonce son gland d’une traite dans l’anus. — Oh putain le morceau ! s’exclame Thomas.
Mais il n’a pas le temps d’en dire plus, car Claude, d’une fantastique poussée, fait disparaître au plus profond de ses entrailles sa grosse verge. Il donne de furieux coups de reins, ne ménageant pas mon mari. La poutre entre et sort de son cul à un rythme infernal puis s’active plus lentement avec des mouvements très amples.La scène est surréaliste, Claude est accroché à Thomas et le sodomise, mais on dirait un teckel qui « couvre » un doberman tellement la différence de taille et de poids entre les deux est énorme ! Mon mari fait bien 25 centimètres et 30 kilos de plus que cet ado qui est pourtant le Mâle dominant dans cette affaire. Pour ce qui est des bites, c’est inversement proportionnel... Le plaisir monte doucement pour Thomas et il rebande tellement son cul fait remonter des messages de plaisir. Claude doit lui stimuler la prostate, lui procurant une sensation indescriptible.Je me saisis de sa bite raide et le masturbe doucement. Jade n’a pas perdu le nord et s’est couchée devant lui pour qu’il puisse lui dévorer la chatte.La combinaison de la matraque de Claude dans son cul, de ma lente masturbation et des effluves de la chatte de Jade l’amène doucement à l’extase pour la troisième fois, ce qui est un exploit pour Thomas qui s’écrie :
— Je vais jouir !
C’est le moment que choisit Claude pour lui donner un énième coup de reins d’une puissance folle. La légère douleur déclenche l’orgasme de Thomas qui éjacule dans ma main.Claude pourrait se vider dans ses entrailles, mais en brave petit soldat, il retire son glaive toujours aussi dur que j’essuie rapidement avec une serviette avant de le reprendre en bouche.Je ne devrais pas le faire voir à Thomas, mais je suis complètement hypnotisée par ce dard et en ferais bien mon quotidien.Mais Claude ne veut pas que je monopolise sa queue et ordonne : — A vous les filles... À plat ventre sur le lit, et fissa !
Je me rends soudain compte qu’il a pris le pouvoir ! Normalement, ce devrait être à Thomas et à moi de mener la danse, mais nous obéissons tous les trois aux ordres de ce « Mâle Dominant » malgré son jeune âge. Mais je réalise avec horreur que j’adore ça !Nous nous empressons de lui obéir et pendant une dizaine de minutes, il passe de l’une à l’autre, posant la paume de ses mains de chaque côté de nos corps pour nous pourfendre le plus profond qu’il peut avec son sabre au clair. Mon corps explose de plaisir dans cette succession de coïts et pleure de chagrin quand il me délaisse pour saillir Jade au corps aux courbes féminines impeccablement dessinées digne d’une statue grecque, sans une once de graisse en trop, tout comme son visage aux traits harmonieux comme le sont souvent les métisses. Il nous demande de nous mettre en levrette. Je découvre ébahie une énorme tache, là où se trouvait Jade. Elle a dû avoir plusieurs orgasmes pour libérer autant de cyprine ! Claude présente son gland lubrifié un peu plus haut pendant que ses doigts inquisiteurs écartent les fesses de Jade, exposant son œillet palpitant aux regards de Thomas et de moi, un peu remise de son traitement. Quand elle réalise qu’il pose le gland dilaté sur son anus, elle s’empale elle-même jusqu’à la garde. Surpris, il la saisit par les hanches et lui ramone aussitôt le conduit anal. Je sens des phalanges s’aventurer entre mes fesses, massant mon anus qui ne demande qu’à connaître le même châtiment.Il change de cavalière et je lui fais comprendre en poussant mon cul contre son sexe que je suis prête, faisant rentrer en moi le gland mafflu. Claude réagit par un coup de reins pour faire avancer sa queue le plus loin avant de bouger en moi. A mon tour, je suis submergée par une succession d’orgasmes, je crie mon plaisir. Des vagues de chaleur montent du plus profond de moi, envahissant tout mon corps. Après d’ultimes coups de reins, Claude se retire et se branle avec vigueur. Nous nous retournons et approchons nos bouches grandes ouvertes espérant la manne habituelle de cet étalon caché sous le cuir d’un poulain trop vite monté en graine. Je ne peux me retenir et déclame : — Putain ce qu’il nous a mis, ce petit morveux ! J’espère qu’il a encore les bourses pleines !
Thomas s’est approché et d’un doigt, lui a pénétré l’anus, à la recherche de sa prostate.Jade et moi avons forcé Claude à lâcher sa lance et nous le masturbons jusqu’à lui faire cracher de multiples jets de sperme.Le premier jet de sa semence jaillit à peine quelques secondes plus tard et macule le visage de Jade, la faisant rire sous l’abondance. Les marques blanches contrastent avec la peau foncée de la fille.La queue n’en finit pas d’éjaculer et je l’attire vers moi pour profiter de ses largesses. — Putain ce qu’il envoie ! Je suis couvert de sperme ! s’exclame Thomas.
C’est mon mari qui gueule. Il s’était mis derrière nous et quand j’ai amené à moi la verge en pleine vidange, lâchant des jets de sperme dans tous les sens, les saillies de Claude ont atteint Thomas pourtant à presque un mètre de lui. Plusieurs ont atterri sur mon avant-bras et de ma main, mais j’ai pu quand même profiter des dernières gouttes dans ma bouche.Nous nous relevons et je constate que mon mari avait beau être debout, des traînées blanchâtres couvrent sa poitrine et son ventre. Je me précipite pour effacer les traces délictueuses que je lape avec une mine gourmande à grands coups de langue aidée de Jade.Claude s’est laissé choir sur le lit, les yeux fermés et le souffle court. Nous le laissons tranquille quelques minutes, le temps pour nous trois de prendre une douche pour redevenir présentables. Quand je reviens, je vois nos deux jeunes partenaires blottis l’un à côté de l’autre. Jade a posé sa main sur le sexe de Claude. Même s’il n’est plus aussi dur que quelques heures plus tôt, il n’a pas vraiment débandé. Je suis troublée par le tableau. Les femmes me laissent assez indifférente, mais j’apprécie cette jeune fille, ses expressions, ses regards... Je m’approche d’elle et fais tourner ma main sur son sexe, n’utilisant que mon index pour frotter un clitoris que l’on devine à peine. Elle se met à geindre. Nous jouons ensemble, guettant de temps en temps du côté du bas-ventre de Claude qui nous observe.Au bout d’un long moment, nous assistons à un nouveau miracle. Sa queue est redevenue le manche de pioche prêt à fendre les terres en friches. J’ai envie de la prendre dans ma main, de la masturber au même rythme que celui que j’impose à Jade. J’attends avec impatience que ces deux jeunes se décident de nouveau à faire ce pour quoi on les a invités...Je n’ai aucun doute... la journée n’est pas encore terminée... Fin.
