Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 54 J'aime
  • 1 Commentaire

Un couple fait une drôle de rencontre avec un jeune mâle

Chapitre 3

quand le vin est tiré, il faut le boire

Inceste
Le mâle dominant a un rendez-vous avec un couple. Mais pour une fois, ce sera très spécial pour lui. 3

Audrey gifle avec violence Claude mais se repend vite de sa réaction et enlace son fils dans ses bras.Elle sent contre sa cuisse le mandrin gluant se mélanger aux traînées de foutre qu’elle expulse de sa chatte à chaque contraction de ses muqueuses.Tel un phénix, la chose flasque renaît de ses cendres au contact de la peau de sa mère et reprend de la vigueur avant d’être coincée dans son entrejambe.— Mais que...
Suite.— Pardonne-moi maman mais je ne peux rien y faire, tu es trop bandante !Et vlan, une deuxième baffe.Son mari la regarde, il rebande lui aussi.
— Ne fais pas ta mijaurée, tu en crèves d’envie de branler cette grosse bite !Il rajoute à l’attention de son fils, mais lui aussi il a additionné un et un:— Allez salope, dit lui que tu veux qu’il te baise, petite garce, j’attends... Et toi Claude, tu peux faire d’elle ce que tu veux !Audrey a les larmes aux yeux, elle voudrait s’enfuir mais la barre entre ses cuisses agit comme un aimant.
— Au diable les convenances !Elle tombe à genoux et approche sa bouche de la bite filiale, l’ouvre le plus grand possible et gobe le gland démesuré. Elle tète difficilement le chapeau de ce beau cèpe noueux, en lèche la peau si fine, sa langue en agace le frein. La tête du champignon se fraie un chemin dans sa bouche déformée par le colosse de chair.Il grogne de bonheur et entend comme dans de la ouate les questions de son père.
— Tu dois avoir du succès auprès des femmes ? Et depuis quand tu fais le gigolo ?Il répond d’une voix chevrotante tellement sa mère s’active avec acharnement sur son organe.— Pour les femmes, il est vrai que depuis quelque temps, j’ai l’embarras du choix. Pour la deuxième question, j’hésite à répondre... Oh et puis zut ! Au point où on en est ! Un jour Léna est rentrée dans ma chambre, elle vous avait surpris en train de vous envoyer en l’air et ça l’avait tellement chauffée qu’elle a sauté sur mon lit, arraché le drap et tiré sur les jambes de mon pantalon de pyjama. C’est là que j’ai réalisé que j’avais entre les jambes un piège à filles. Elle n’en revenait pas de ce qu’elle avait découvert et elle a voulu savoir si la machine était en état de marche.
En un rien de temps, elle m’a fait bander comme un taureau et je n’ai pas tenu plus d’une minute avant d’envoyer la purée. Je crois que ce jour-là fut celui où j’ai eu ma plus grosse éjaculation, je n’arrêtais pas de me vider. Elle a passé ensuite une partie de la nuit à se doucher, nettoyer le tapis et a essayé de sauver ses habits complètement souillés.
— Décidément le coupe Audrey, on est une sacrée famille de dépravés ! Même ma fille...
Claude reprend ses explications :— Ensuite, on se donnait du bon temps jusqu’au jour où pour se venger de quelques abrutis, elle m’a amené dans cette maison où il y avait un anniversaire et où j’ai tronché toutes les poufiasses présentes devant leur petit ami...Depuis, ma réputation est faite et de fil en aiguille on en est arrivé à cette situation incestueuse. Oh ! Doucement maman... je t’aime !!!Il l’aide à se relever, l’enlace et pose les lèvres sur les siennes, sa langue cherche et se noue à celle de sa mère qui fond littéralement entre ses bras.
— Comme tu es belle maman !Sa bouche cherche les seins et en lèche les bouts qui commencent à durcir, il les tète à tour de rôle comme un nouveau-né cherchant le lait, faisant saillir les mamelons au maximum.Elle mouille comme une folle, déchirée entre la honte et le plaisir mais sait déjà qu’il pourra tout lui demander, tout lui faire.Thomas aime bien voir sa femme se faire saillir par un autre mâle, et là c’est encore plus jouissif.Sa pute de femme va dérouiller sous le joug d’un amant exceptionnellement bien monté et qui en plus est son fils. Le summum de la luxure !!! Il ne peut se retenir :— Maintenant, prends le cul de ta maman chérie, elle adore ça !!!
— Je veux bien, l’encourage sa mère, mais fais gaffe de ne pas me déchirer avec ton engin monstrueux !Claude jubile, victorieux et dominateur, pour une fois ce sera lui qui donnera des ordres et dominera ses parents. Il susurre à l’oreille de sa mère :— Tu vas comprendre ce que c’est que de se faire enculer par son propre fils !Il l’embrasse sur la bouche, lui donne sa langue, la caresse avec amour avant de lui faire faire un demi-tour sur elle-même et commence à lui caresser le cul.Il insinue un doigt puis deux qui ouvrent la voie sans problème entre ses fesses, le mari s’est rapproché et œuvre pour la communauté.Dans la main droite il entretient l’érection de son fils et de la gauche doigte avec ardeur la chatte de sa femme qui lui donne sa bouche à embrasser.Il n’y a plus honte ni gène, il ne reste que l’excitation un peu douteuse de deux hommes devant une belle femme offerte.Claude embrasse les épaules de sa mère pendant qu’il présente son défonce-cul devant l’orifice fripé.Il la tire par les épaules pour qu’elle se cambre pendant que Thomas dirige l’épais bélier vers son objectif. Claude s’enfonce sans coup férir entre les reins de sa maman comme une lettre à la poste.
— Putain maman, on voit bien que tu n’es pas une oie blanche ! Ça rentre tout seul !Il lui a à peine arraché un petit cri qu’elle n’a pu retenir.Elle pleure un peu de honte en réalisant le tableau qu’elle montre à Sophie ; un homme qui encourage son fils à sodomiser sa mère, mais elle aime trop cette énorme bite incestueuse qui la défonce maintenant sans ménagement.Elle ne peut plus se retenir de crier face à son mari sous la violence des coups de boutoir de son fils. Elle jouit devant les deux hommes de sa vie comme la dernière des salopes.
Claude se retire, exténué après un tel exercice et s’assoit sur le bord du lit.Mais Audrey ne l’entend pas de cette oreille, elle s’approche du pic toujours dressé et souillé et pour avoir un peu de rab.Elle saisit à pleine main le gourdin avant de le faire disparaître dans ses entrailles. La cavalcade est difficile car la longueur inusitée de cette teub l’oblige à une sacrée gymnastique pour en astiquer le plus possible.Claude ne peut bientôt plus se retenir :
— Aaahhh ! Je vais jouir... Tu es une diablesse maman !Elle est assise sur lui, l’énorme bite est à l’air libre entre ses cuisses et elle la branle pour en faire sortir le jus.Elle regarde fièrement avec un air de défi son mari qui s’est approché pour assister au spectacle et lui propose comme si cela allait de soi :
— Il est prêt à gicler... Tu ne veux pas en profiter ?Claude n’en croit pas ses yeux et ses oreilles. Pas dégouté du lieu où a traîné la bite, son père se saisit de sa queue prête à cracher et l’engouffre dans sa bouche. Il suce et branle la lance qui ne demande qu’à se vider. Même si Claude voulait se retenir, il ne le peut plus et gicle... gicle...Son sexe raidi envoie une quantité impressionnante de sperme au fond du gosier de son père qui se gave de l’élixir blanc n’en perdant pas une goutte. La semence de sa progéniture (mais il en doute fort), s’écoule dans sa gorge, il savoure le goût suave et légèrement âcre de cette liqueur dont il se délecte.
Un peu plus tard, Audrey est sous la douche. Claude la rejoint et la prend une nouvelle fois, debout. Elle s’appuie à la paroi et le laisse la piner avec ardeur en fixant du regard son mari, que semble exciter la vigueur exceptionnelle de son fils. Comment peut-il encore bander après ses exploits précédents ?Claude ne la ménage pas et accélère ses coups de reins en se retenant pour ne pas glisser des deux mains aux seins de sa mère. Il la traite de salope, de pute, de femme à bites devant son mari qui se branle en la regardant se faire mettre par ce gamin chétif qui cache bien son jeu, mais il admire les capacités sexuelles de ce petit con qui baise comme un étalon.Claude la travaille en rythme, la pénètre au plus loin qu’elle peut en supporter, se retire à la limite des lèvres vaginales avant de replonger à nouveau dans la chatte qui l’a fait naître.Audrey a les larmes aux yeux, elle aime son fils d’amour maternel et de celui d’une amante pour son amant. Elle coule comme une fontaine, ne se préoccupant plus comment elle en est arrivée à une telle déchéance, au péché ultime pour une mère. De la perversité de l’acte mais dont à l’avenir, elle ne pourra plus se passer.
— Maman, je jouis pour toi !A ces mots, elle tourne la tête et admire son fiston qui jouit en elle. Elle l’embrasse pendant qu’il se vide les couilles si généreuses. Elle râle de plaisir et de joie. Quand enfin il se retire, elle serre le périnée pour expulser le sperme de son vagin qui se dilue sous les jets d’eau et finit dans le bac à douche avant de disparaître dans le siphon.
Ils sont prêts à repartir, à rejoindre la maison familiale. Elle ne pense qu’à une chose, à revivre encore une fois cette expérience contraire aux bonnes mœurs. Et au point où ils en sont, leur fille sera si elle le désire, la quatrième roue du carrosse... Vivement ces prochains jours...........................
Diffuse en direct !
Regarder son live