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Le couple de Lituaniens

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Il fait un froid de canard. D’habitude je ne sors pas trop en cette période mais ce célibat que je traîne depuis plusieurs mois commence à me peser. Alors plutôt que de passer la soirée seul devant un match de foot ou une série, je me suis motivé et je suis sorti.
Il y avait du monde mais le bar n’était pas bondé non plus, loin de là. J’ai un ami qui travaille ici, lorsqu’il n’y a pas trop de monde on discute et on boit un verre ou deux ensembles.
Quand j’arrive mon pote est en train de discuter avec un couple, qui à en juger par le nombre de verres en face d’eux, semble avoir bien pris le temps de découvrir la carte des vins. Je fais un signe de la main pour les saluer puis je m’assoie au bar un peu plus loin.
Mon ami barman a l’air de bien s’entendre avec eux, et de fil en aiguilles on finit par se retrouver tous les quatre à boire une bière accoudés au bar.
Je fais ainsi la rencontre d’Éric et Elsa. Un couple de lituaniens venus en France pour la saison. Ils travaillent aux remontées mécaniques de la station qui se trouve à une bonne demi-heure d’ici. On fait connaissance en anglais, et nous dépassons rapidement les banales présentations pour finir par discuter de choses bien plus personnelles. En bref : on parle de cul.
Chacun y va de sa petite anecdote et rapidement vient mon tour. J’avoue ne pas être super à l’aise en anglais. Alors j’essaye de faire court, simple, et c’est comme ça que je raconte ma rupture de frein lors de ma première fois.
J’ai sans doute un peu refroidi les deux mecs... Mais Elsa a beaucoup ri !
Plus tard le bar a commencé à se remplir, mon pote devait s’occuper des clients alors on a fini par ne discuter plus que tous les trois, moi et le couple de Lituaniens.
L’alcool n’améliore pas mon anglais ! Après notre énième verre je crois que je ne comprends qu’une phrase sur deux. Je réponds par des « yes » et des « ok » à tout ce qu’ils me disent.
Il n’est pas tard mais je crois comprendre qu’ils souhaitent sortir, alors je les raccompagne à la sortie pensent les y laisser. Mais une fois dehors ils me proposent de venir me balader avec eux. Le ciel est toujours magnifique ici, mais les températures sont largement négatives dans toute la vallée. Ce n’était pas un temps à balader !
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai accepté.
J’ai l’air minuscule à côté d’eux. Éric fait bien une demi-tête de plus que sa copine Elsa, qui elle-même fait une demi-tête de plus que moi. Le tout accentué par le fait qu’ils portent tous deux des sortes de rangers à la semelle épaisse.
On est parti s’installer sur un banc givré, à côté de la rivière. En m’asseyant dessus, le froid du plastique me traverse le corps des fesses à la tête en refroidissant toute ma colonne vertébrale.

Eux ne semblent pas dérangés. Elsa s’est assise sur les genoux de son copain qui se réchauffe les mains en les glissant sous le pull de la jeune femme. Les jambes d’Elsa s’étalent de part et d’autre du bassin d’Éric, et je vois la fumée sortir de leurs bouches pour se mélanger au-dessus de leurs têtes.
Le haut de mon corps se recroqueville pour garder ma température corporelle à trente-sept, mais ce n’est pas gagné ! Je serre mes poings dans mes gants, laissant l’espace des doigts vide pour espérer réchauffer un peu ces extrémités. Ma tête s’enfonce dans mon écharpe et mon bonnet me recouvre la tête jusqu’aux yeux.
Elsa me remarque puis rigole, entraînant Éric avec elle.
« Tu veux venir boire un thé à l’appartement ? » Me proposent-ils en accompagnant leurs paroles de gestes pour m’aider dans ma compréhension. Je ne veux pas les déranger alors je leur réponds que je vais sans doute rentrer chez moi pour me coucher.
« Mais non vient ! On habite la rue d’à côté ! »
Ils n’ont pas eu à insister très longtemps, pressé de retrouver un peu de chaleur j’ai accepté l’invitation.
***

Ils louent un petit appartement mansardé du centre-ville. Là où la plupart des gens auraient mis un canapé, on trouve un simple hamac en face d’une table basse fait de bois de récupération.
Je m’installe dans le hamac après que l’on me l’ait proposé, pendant que Éric nous prépare une eau chaude.
J’ai petit à petit réussi à retirer mon bonnet, mes gants ainsi que mon manteau d’hiver. Éric lui est déjà en débardeur. Elsa s’est éclipsée, il me semble qu’elle est allée prendre une douche, j’entends l’eau couler. Je me dis que je ne vais pas tarder : « je finis mon thé et je file. » Pensé-je.
Avec Éric on discute, il me parle de son boulot, de son pays et tente de bidouiller quelques phrases en français. J’ai du mal à finir mon thé, et puis le hamac est super confortable alors j’avoue que je traîne un peu.
Soudain Elsa revient dans le salon en pleine forme, amenant avec elle un peu de la vapeur d’eau sortie de la salle de bain. Elle ne porte sur elle qu’un body en velours qui recouvre son long buste, ainsi que des chaussettes de ski en guise de pantoufles. Elle réclame son thé, Éric le lui tend et il est remercié d’un langoureux baisé.
Plutôt que d’aller s’installer sur les genoux de son copain, Elsa décida de me rejoindre dans le hamac. Gêné je tente de me redresser et de me faire petit afin de lui laisser de la place. Mais le hamac n’est pas le siège idéal si l’on veut garder une tenue correcte. Alors on finit avachie l’un sur l’autre, ce qui fait beaucoup rire les deux Lituaniens.
À cette gêne s’ajoute le fait qu’ils commencent à converser dans leur langue natale. Je n’ose plus bouger. Le thé a sans doute eu le temps de refroidir.
Puis étrangement, le ton monte. Enfin pas tout à fait, disons qu’il devient plus grave. Les phrases d’Éric ressemblent de plus en plus à des ordres ; Elsa ne dit plus un mot ou presque.
Soudain, je sens la main d’Elsa sur ma cuisse. Je lève alors les yeux mais elle ne me regarde pas. Son regard est plongé dans celui d’Éric, qui est toujours sur sa chaise en face de nous, à quelques mètres à peine.
La main de la jeune femme se répand des genoux jusqu’à mon entre-jambes. Tout en regardant son homme, elle commence à déboutonner mon jean. De mon côté la gêne est encore trop présente pour me permettre une quelconque érection. C’est donc un pénis mou qu’Elsa commence à malaxer, ses mains recouvrant l’entièreté de mon sexe.
Je reste figé, incapable de prendre une décision. Je souhaiterais partir je crois mais... Je n’en suis même pas sûr. Ils sont sympas... Et beaux c’est vrai...
Après quelques interminables minutes, je me décide à tenter un premier contact. Je passe alors ma main sur son body puis dessous. Elle ne dit rien, regarde toujours son homme.
Un hochement de tête de la part d’Éric semble servir de signal. Elsa me tire hors du hamac puis me mène à sa chambre en me tenant par le poignet. Le copain suit le mouvement mais en gardant toujours une certaine distance.
J’arrive sur le lit avec mon amante du soir qui m’allonge dans le sens qui l’arrange, puis elle se place sur moi dans le sens inverse.
À la vue de son fessier tendu en direction de mon visage, je retrouve ma vigueur.
Elle détache son body pour me donner accès à ses lèvres vaginales, et engloutit mon sexe dans la foulée.
Elle me suce à un rythme qui semble dicté par Éric. Il ne lance plus que des mots brefs, comme s’il s’adressait à un cheval. Certains de ces mots font ralentir Elsa, quand d’autres la font accélérer.
Les minutes passent. J’ai tapissé ses lèvres et son anus de ma salive, et un son roque sort de sa gorge à chaque fois que mon sexe s’y enfonce.
Éric ne dit plus rien maintenant. Il s’est saisi d’un bâton posé sur la table de chevet, et l’appui sur l’arrière du crâne d’Elsa pour l’empêcher de libérer mon sexe. Les lèvres d’Elsa frôlent désormais mon scrotum et mon gland est compressé à chaque fois qu’elle déglutit.
L’homme s’est mis calmement à enlever sa ceinture. J’ai pensé qu’il voulait se joindre à nous, j’étais vraiment naïf. Il utilise l’accessoire pour fouetter les fesses de sa compagne. Le cuir est passé à deux centimètres de mon visage ; je ne suis pas serein.
Je me défais alors de la position à laquelle on m’avait assigné. J’appréhende un peu la réaction d’Éric j’avoue, mais il ne me prête plus d’attention que ça. Ses yeux sont plongés dans ceux d’Elsa qui semble le supplier du regard.
Un deuxième coup de fouet retentit. Les fesses de celle qui les subit étaient déjà rouge écarlate. Au troisième coup de fouet, Elsa demande à Éric d’arrêter mais celui-ci ne réagit pas. J’hésitais à m’interposer, mais Éric anticipa ma réaction comme s’il avait vécu la situation plus d’une fois. « Ce n’est pas comme ça qu’elle doit demander. » m’affirme-t-il.
Elsa me jette un sourire d’entre les larmes qui coulent sur ses joues, puis s’agenouille en face de moi.
Éric tient maintenant sa compagne en laisse. Il agrippe sa ceinture refermée autour du cou d’Elsa, pendant que celle-ci continue de lécher mon sexe entre deux suffocations. Ses larmes font dégouliner le peu de maquillage qu’elle a sur ses yeux, balafrant son visage de longues coulées colorées.
Je peux voir les artères de son coup devenir saillantes et ses yeux rougir. Pour autant Éric ne réagit toujours pas et je me surprends à profiter de la situation.
D’un coup sec, Éric tire sa compagne afin de la remettre sur ses pieds. D’un nœud habile il lie les poignets d’Elsa dans son propre dos avec le reste de la ceinture. Ensuite, il lui ordonne de poser son buste sur une commode, les fesses en arrière.
Il m’invite ainsi à pénétrer Elsa, me laissant même le privilège de me saisir de la ceinture, qui servait alors de gouvernail, à sa place.
Grisé par la situation je ne me fais pas prier. Les jambes d’Elsa s’écartent afin de positionner son bassin à hauteur du mien. Aussi, elle n’a pas d’autre choix que de se cambrer si elle ne veut pas étouffer.
Je m’en donne à cœur joie.
Quand le moment semble opportun, Éric me demande de me retirer de sa compagne pour la libérer.
Elsa s’écroule.
La pauvre a toussé pendant un bon quart d’heure avant de retrouver son souffle. Ses poignets et son coup étaient brûlés par la ceinture.
Éric, qui lui avait aussitôt quitté la pièce, m’appela au loin. « Je t’ai sorti une serviette, tu peux aller prendre une douche si tu veux ! » Je n’osais mais il insistait alors je suis allé à la douche.
Quand j’ai fini ma douche, Elsa était toujours allongée, nue. Elle semblait s’endormir. Dans le salon Éric buvait un thé en lisant le journal.
Je n’avais rien dit qu’il me lança « Salut, à la prochaine ! »

Il ne la touche qu’avec des objets.
Mon sexe disparaît entre ses paumes.
Les seins de la femme sont percés d’un anneau que le mari vient alourdir..
Les marques sur sa peau, elle les voyaient comme des tatouages. Elle se sentait mieux avec que sans. Comme en pleine possession de son corps.
Ne subissent pas la gravité.
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