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Un couple modèle

Chapitre 1

Le mari découvre qu'il est cocu par un black TTBM

SM / Fétichisme
Notre couple est vu par nos amis, nos voisins ou notre famille comme un couple modèle sans histoire. Mes amis m’ont toujours envié d’avoir une femme comme Sophie. C’est vrai que c’est est une très jolie femme, pleine de charme. Elle attire tous les regards masculins et parfois féminins. Un mètre soixante quinze, cinquante trois kilos, blonde avec de longues jambes, de très belles fesses fermes et des seins en forme de poire avec des tétons érectiles, je peux même dire que c’est une bombe. A quarante ans, elle s’entretient en faisant du sport, en salle et sur les courts de tennis de notre club. Quant à moi, Luc, cadre supérieur dans une grande entreprise, un mètre quatre vingt, musclé et sportif sans exagération, brun aux yeux verts, certaines femmes ne sont pas insensibles non plus à mon charme.
Notre fille Justine de dix neuf ans ans, après un baccalauréat obtenu avec mention, est en deuxième année de médecine dans une ville voisine et ses premières notes la placent dans le peloton de tête. Bien qu’ayant autour d’elle de nombreux amis et amies, elle est restée très proche de sa mère. Nous habitons une belle maison dans une banlieue aisée, et nous recevons assez souvent amis et famille le week-end.

Une famille parfaite, enfin presque...J’ai connu ma femme quand nous étions tous les deux étudiants. J’ai été son premier homme et il est certain que si elle en avait connu un autre avant moi, elle ne m’aurait pas épousé. Dès l’adolescence, j’ai été la cible de moqueries sous les douches du vestiaire de l’équipe de rugby à laquelle j’appartenais. La nature m’a oublié en me dotant d’un sexe très en dessous de la moyenne, on peut même dire que j’ai une très petite queue, qui ne dépasse pas dix centimètres en érection. En voyant les autres copains nus, j’ai vite compris ma différence. Ma femme n’ayant pas connu d’amants avant moi, n’a pas pu comparer. Je l’aime et elle m’aime.
A l’approche de la quarantaine, j’ai vu ma femme changer sans que l’ambiance de la maison en pâtisse. Petit à petit, j’ai remarqué qu’elle s’habillait un peu plus sexy, avec des jupes et robes beaucoup plus courtes, abandonnant petit à petit pantalons et collants pour des bas avec ou sans porte-jarretelles et de la lingerie recherchée et même très coquine.
J’ai compris assez vite qu’elle avait trouvé le plaisir auprès d’amants sans lendemain, surtout après l’avoir aperçue un jour après son cours de tennis dans les bras de son jeune professeur qui l’embrassait intimement, la main sur ses fesses.
D’un certain côté, je la comprenais. Je n’osais plus la toucher, quasi certain que je n’avais jamais réussi à la faire jouir en la pénétrant, me contentant de lui donner du plaisir en la léchant, pratique qu’elle appréciait. A la maison, elle était, certains soirs, très enjouée, sûrement après avoir été comblée par un amant endurant. L’aimant toujours, nous y trouvions chacun notre compte. Et rien ne me laissait croire que tout allait changer.
Ce jeudi en fin de journée, je rentre plus tôt d’un voyage d’affaires de trois jours, sans la prévenir, pour lui faire une surprise et lui proposer d’aller dîner dans un restaurant qu’elle apprécie particulièrement. En arrivant, je suis surpris de voir une voiture inconnue garée devant la maison. Je me dis qu’une amie est venue la voir, et ne voulant pas les déranger, je rentre sans faire de bruit par le garage. J’entends immédiatement des bruits inhabituels au premier étage. Très vite, je comprends que ce sont les gémissements de ma femme et une voix masculine que je ne connais pas. Je monte les premières marches sans faire de bruit et ce que je découvre me laisse sans voix.
La porte de notre chambre est grande ouverte. Sur le lit, ma femme est nue à quatre pattes, le dos cambré offrant ses fesses à un grand black placé derrière elle, qui la besogne sans ménagement. Son ventre claque à chaque va et vient sur les fesses de Sophie. Il lui intime l’ordre de répéter ce qu’elle vient de lui dire, en la fessant avec la main droite.
— Oui je suis une salope, une salope mariée qui aime se faire baiser comme une chienne. Ouiiii continue de me démonter, je vais jouir. Ta salope t’offre son cul, encule-moi, remplis-moi de jus. Je suis ta salope, tu as tous les droits.— Et ton mari, salope ?— Il est cocu, il a une petite bite ridicule. Je t’appartiens, fais de moi ta pute mais baise-moi, baise-moi s’il te plaît. Ne t’arrête pas...

Je n‘ai jamais entendu Sophie utiliser de tels mots. Il a dû la droguer, ce n’est pas possible. Elle, si élégante, si polie, comment est ce possible ? Comment peut-elle se traiter de salope, et lui demander d’être sa putain ? Et tout ça dans notre lit ?J’en ai assez vu et entendu. Je suis abasourdi. Je redescends sans faire de bruit. Je reprends ma voiture pour aller réfléchir ailleurs. Après voir bu deux verres d’alcool fort dans une brasserie, je laisse un message sur le téléphone de Sophie où je lui indique que je suis à l’aéroport en attente de mon bagage et que j’arriverai à la maison dans un peu plus d’une heure.Sophie m’accueille comme à l’habitude avec un baiser sur les lèvres en me demandant ma semaine s’est bien passée.
— Oui, même si les réunions ont été intenses. Nous avons fini tard chaque soir, tout s’est très bien passé. Et toi ?
Elle me répond par l’affirmative. Elle est enjouée, maquillée et coiffée avec élégance. Comme d’habitude, la maison est rangée. En montant à l’étage poser ma valise, je m’aperçois qu’elle a changé les draps et allumé une bougie parfumée dans la chambre, ce qu’elle n’a jamais fait. Certainement pour dissimuler les odeurs de sexe.
— Tu as eu une bonne idée en allumant une bougie parfumée, je trouve cela très agréable, tu devrais le faire plus souvent.— J’ai eu l’idée en allant chez Marie (une de ses amies), en rentrant du tennis. J’ai trouvé comme toi que c’était très agréable.
Nous en restons là, même si j’oublie l’idée d’un dîner au restaurant.  Elle me trouve un peu fatigué. Je prends l’excuse du voyage et de l’âpreté des négociations avec le fournisseur.Les semaines suivantes, je ne remarque rien de particulier, sauf un soir. Une nouvelle fois une bougie parfumée est allumée dans la chambre. Je me dis que pour ne pas éveiller les soupçons, elle a préféré continuer à allumer une bougie, et que ce black était un amant occasionnel, comme les autres, même si ses paroles et son image en levrette se faisant défoncer restent imprimées au fond de moi. Je me surprends à avoir une érection sous la douche en y repensant.Tout est calme jusqu’au vendredi suivant...
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