Deux semaines plus tard, Sophie annonce à son mari en rentrant le soir que leur fille vient passer quelques jours chez eux à l’occasion de ses vacances — Exceptionnellement pendant le séjour de Justine, tu resteras habillé dans la maison. Pas question de t’enlever la cage bien sûr, tu continueras à occuper la chambre d’amis. Jeudi et vendredi soir tu dormiras ailleurs, je veux pouvoir profiter de ma fille sans son cocu de père. Tu n’auras qu’à prétexter un voyage professionnel. De toute façon ta fille ne sera pas dupe, elle comprendra vite la situation et ne t’avise pas de faire le malin. Si toi, tu n’as pas été fichu de cacher une caméra pour me mater avec mes amants blacks, moi j’ai dissimulé dans toute la maison des mini-caméras indétectables et j’ai de nombreuses images de toi nu, avec ton petit bout encagé, et surtout les heures que tu passes le soir sur ton ordinateur dans ta chambre à mater des sites pornos de cocus et de black bien membrés. Ce serait dommage que ta fille découvre la vraie nature de son vicieux de père. A ce propos, tu ne peux plus accéder à ces sites. J’ai activé le contrôle parental sur le wifi. Heureusement que tu es encagé sinon tu aurais encore laissé baver ton bout mou que tu n’arrives même pas à contrôler, espèce de minable. Quand Sophie retrouve sa fille, elle la trouve radieuse, en pleine forme, et de plus en plus jolie. Elle se fait la remarque qu’elle est sa copie conforme avec quelques années en moins, avec en plus un côté sexy. Des jupes aussi courtes que les siennes, des petits shorts moulants et des leggings qui mettent en valeur ses fesses et ne laissent aucun doute sur la forme de ses lèvres intimes, comme celui que sa mère porte le matin — Maman, quel changement ! Tu es superbe, lui dit Justine, minijupe sexy, talons hauts, ça me fait plaisir de te voir heureuse. Qu’est-ce qui se passe, toi qui avais l’air si triste la dernière fois. Voyant sa mère rougir, Justine continue en lui demandant si c’est un nouvel amant qui la fait revivre. — J’ai 19 ans, et je ne suis pas aveugle. Je suis devenue une femme et j’ai vu l’année dernière, sans le vouloir, mon père nu dans la salle de bain. Je me doute bien qu’il ne peut pas te rendre heureuse la nuit, pour rester soft. En plus, l’an passé je t’ai aperçue au tennis dans les bras d’un des professeurs. Je te l’ai dit au téléphone, je me suis séparée récemment de mon copain, car lui aussi ne me convenait pas, je n’ai pas besoin de te donner de détails, tu m’as comprise. Sophie décide de dire la vérité, mais pas toute la vérité à sa fille. Elle lui avoue qu’elle a un amant qui la comble et qu’elle a l’impression de revivre.La soirée entre filles est détendue, même si Sophie fait attention, car avec sa minijupe et l’interdiction de garder les cuisses jointes, elle ne veut pas que sa fille découvre l’absence de petite culotte. Elle porte un soutien seins qui laisse pointer ses tétons sous son chemisier, en espérant que cela ne se voit pas trop. Le lendemain matin, en l’absence de son cocu, Sophie reprend son habitude de descendre nue sous une nuisette, se doutant que sa fille va aussi s’apercevoir qu’elle est épilée intégralement. Justine n’est pas plus habillée pour le petit-déjeuner et sa mère s’aperçoit qu’elle aussi est épilée intégralement. Elle trouve que sa fille’ a une très jolie chatte, aux lèvres fermées. Les filles décident d’aller faire une journée de shopping ensemble, Sophie voulant offrir un cadeau à sa fille.Justine entraîne sa mère dans un magasin de lingerie et choisit de la lingerie très sexy en dentelle qui ne va pas cacher grand-chose de son intimité. Elle ne semble pas étonnée que sa mère ne choisisse rien. Alors que Sophie est devant la cabine d’essayage de sa fille, Justine lui demande de rentrer pour lui donner son avis. — Que penses-tu de ce string sexy ? lui demande Justine. Et s’approchant de son oreille, lui dit tout bas qu’elle n’a peut-être pas d’avis, elle qui est nue en permanence sous sa jupe. Tu vas devoir m’expliquer ce soir en rentrant, tu ne m’as pas tout dit hier soir ! Je ne suis pas choquée, bien au contraire. Ton amant a bien raison de te dévergonder. Ca te va bien. Et si on allait choisir pour toi un soutien-gorge ? Tu sais ceux qui ne cachent rien et qui laissent les tétons accessibles, lui dit sa fille en passant son doigt justement sur son téton bien visible sous son chemisier. Au dîner, les deux femmes parlent de choses et d’autres, ni l’une ni l’autre n’ose engager la conversation. Justine se lance la première. — Je ne savais pas comment t’en parler, mais après cet après-midi, je ne veux rien te cacher. Nous avons toujours été proches et je suis totalement décomplexée pour en parler. Comme je te l’ai dit, j’ai quitté mon précédent copain, car il ne me satisfaisait pas sexuellement. Certaines copines de médecine me racontaient leurs sensations, leur plaisir et leurs orgasmes. Moi, rien. J’avais plus de plaisir avec mes doigts, quand je me masturbais, qu’avec lui. Je sais maintenant qu’il n’était pas doué, mais aussi qu’il avait un pénis trop petit et qu’il éjaculait trop vite. Aujourd’hui j’ai un copain qui me satisfait pleinement. A chaque fois ou presque, j’explose de plaisir. Il est très bien monté comme on dit, vingt centimètres, et il sait parfaitement s’en servir. Il sait comment me faire grimper aux rideaux. C’est un grand black, très gentil, très doux. Il est en 3ème année de droit donc un peu plus vieux que moi. Sophie embrasse sa fille pour la remercier de sa confiance et lui dit qu’elle veut aussi lui parler en toute franchise sans rien lui cacher. — Depuis plusieurs années, j’ai des amants. Ton père était au courant même si on en parlait jamais. Lui aussi n’a pas été gâté par la nature. Tu l’as vu, il a un micro pénis et il ne m’a jamais fait jouir. Je simulais pour ne pas l’humilier. J’ai compris ce qu’était un orgasme avec mon premier amant. Comme j’aime ton père, je n’ai jamais voulu m’attacher. C’était juste des coups d’un soir, jusqu’à ce que je rencontre Halim dans une soirée. Il est aussi plus vieux que moi, et black. Dès notre première rencontre, il s’est montré dominateur. Il a libéré quelque chose en moi et mon plaisir a été décuplé. Avec lui, je ne me reconnais plus. Je fais des choses que je n’aurais jamais cru accepter et à chaque fois il m’entraîne plus loin avec mon consentement, quand ce n’est pas moi qui lui ai confié mon fantasme. Il m’impose des contraintes qui m’excitent. Je suis devenue accroc au sexe. Je dois toujours être nue sous mes jupes ou robes, les tétons accessibles, je n’ai pas le droit de mettre des pantalons. Je dois lui donner accès à tout mon corps quand il veut, où il veut, au risque d’être punie, fessée. Je suis soumise. Une fois que sa fille lui ait indiqué qu’elle n’est pas choquée et qu’elle aussi a parfois ce fantasme, Sophie répond à sa fille sur son père. Elle lui explique le choix qu’il a fait. Ce qui explique qu’il dorme dans la chambre d’amis, sans oublier la cage de chasteté. — Je lui ai demandé de nous laisser toutes les deux, ces deux soirs. Il rentre samedi matin pour profiter de ta présence et j’ai allégé ses contraintes tant que tu seras là. J‘ai reçu juste avant le dîner un message d’Halim, qui nous propose d’aller dîner ensemble tous les 3 demain soir. Il me laisse le choix de refuser. La seule chose que tu dois savoir, c’est que le Maître de ta mère ne va pas se gêner de te draguer. Je suis certaine que tu lui vas lui plaire. Si tu le repousses, c’est un gentleman. Il ne te forcera pas, mais si tu le laisses faire, il ne va pas se gêner. Il va te faire vivre tes fantasmes. A toi de décider. Je lui donnerai la réponse demain matin. Le lendemain matin, comme Sophie s’y attendait, sa fille lui dit qu’elle souhaite connaître le Maître de sa mère. Les deux femmes se préparent avec soin en fin d’après-midi. Sa fille décide de s’habiller très court. Comme elle, Justine oublie de mettre un soutien-gorge sous son chemisier qu’elle ne boutonne pas complètement, mais sur les conseils de sa mère met un string. — Si tu as envie de le satisfaire, il te demandera de l’enlever y compris en public, et si tu refuses il comprendra que tu ne veux pas continuer. Sophie s’habille comme d’habitude. Nue sous une minijupe moulante, soutien seins sous un chemisier ouvert, qui laisse ses seins et tétons visibles et accessibles, hauts talons bas et porte-jarretelles. Quand elles arrivent au restaurant, Halim est déjà présent. Sophie a le cœur qui bat surtout quand elle voit qu’au premier regard sa fille et son Maître sont déjà connectés. Elle comprend que sa fille n’attend qu’une seule chose, que son Maître lui fasse vivre sa première expérience de soumission dont elle a avoué, la veille, avoir le fantasme.Halim propose à Justine de s’asseoir à côté de lui, et à sa soumise de s’asseoir en face d’eux, après que Sophie l’ait salué respectueusement par un « Bonsoir, Maître ».
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