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Un couple modèle

Chapitre 4

Justine rencontre le maître de sa mère

Trash
Dans les épisodes précédents, Sophie est une femme mariée de quarante ans, sportive et pleine de charme. Tous les amis envient leur couple qu’ils considèrent comme modèle. Mais la réalité est toute autre. Très vite, Sophie a compris que son mari ne la comblait pas sexuellement. Luc, son mari, s’en est aperçu et ne voulant pas la perdre, a laissé Sophie enchainer les amants, sans lui montrer. Sophie s’est vite lassée de ces aventures sans lendemain. Elles ne lui apportaient pas le piment qu’elle attendait jusqu’à sa rencontre avec Halim, un grand black dominateur qui lui a révélé une nouvelle sexualité et des plaisirs qu’elle ne soupçonnait même pas.Sophie, totalement soumise à son Maître, soumet à sa demande son mari, et décide de ne plus cacher sa nouvelle vie à sa fille Justine, dix neuf ans. Mère et fille n’ont plus aucun secret l’une pour l’autre et Justine indique à sa mère qu’elle souhaite rencontrer ce nouvel amant dominateur qui la rend si heureuse.
Sophie est habillée comme son Maître l’exige. Nue sous une minijupe moulante, soutien seins sous un chemisier ouvert, qui laisse ses tétons visibles et accessibles, hauts talons, bas et porte jarretelles.Comme elle, Justine a « oublié » de mettre un soutien gorge sous son chemisier qu’elle n’a pas  boutonné, mais sur les conseils de sa mère elle a mis un string.
-      Si tu as envie de le satisfaire, il te demandera de l’enlever y compris en public, et si tu refuses il comprendra que tu ne veux pas continuer.
Quand elles arrivent au restaurant, Halim est déjà présent. Halim, propose à Justine de s’asseoir à côté de lui, et à sa soumise de s’asseoir en face d’eux, après que Sophie l’ai salué respectueusement par un « Bonsoir, Maître ».Halim ignore totalement sa soumise Il développe tout son charme sur Justine, l’interrogeant sur ses études, sa vie, plaisantant avec elle, tout en lui mettant au bout de quelques minutes, sa main sur la sienne. Justine ne la retire pas. Très vite, alors qu’ils en sont encore à l’apéritif, Sophie s’aperçoit que la main de son Maître a quitté la table pour passer dessous. Justine ne montre rien. En fait, quand la main d’Halim s’est posée sur sa cuisse et a remonté jusqu’au bord de sa robe, Justine l’a laissé remonter à l’intérieur de ses cuisses, lui facilitant le passage en les écartant légèrement. Elle n‘ose pas les écarter totalement pour ne pas passer pour une salope. Arrivé sur la peau nue, au dessus des bas, elle le regarde dans les yeux en écartant un peu plus les cuisses comme pour lui dire « Continuez, je suis à Vous si Vous en avez envie ». Halim a bien compris le message, et glisse un doigt par le bord du string. Il trouve une fente mouillée et caresse les lèvres avant d’insinuer plus profondément son doigt.A ce moment là, devant sa mère qui se demandait à quel niveau la main d’Halim caresse sa fille, Justine ferme les yeux et bascule doucement la tête en arrière, de plaisir. Sophie a sa réponse.
-      Enlève ton string et pose le sur la table, pour montrer au Maître de ta mère que tu t’offres à Lui.
Justine n’hésite pas une seconde. Elle lève ses fesses de droite à gauche pour laisser descendre le string sur ses chevilles avant de le ramasser et de le poser sur la table. Sophie baisse les yeux, elle a livré sa fille à son Maître, elle doit assumer.
-      Il est trempé ce string, tu es encore plus chaude que ta mère. A ton âge, ça promet.
Halim porte le string à ses narines et félicite sa nouvelle recrue pour son odeur intime. Un peu différente de celle de ta mère, mais aussi agréable, lui dit il. Avant de s’interrompre pour l’arrivée du premier plat par la serveuse, qui voyant le string sur la table, rougit et manque de renverser le plat.
-      Je t’interdis de jouir, jusqu’à ce que je te le dise. Si tu ne m’obéis pas, je serai obligé de te fesser comme je le fais avec ta mère. D’ailleurs, si tu désobéis, vous serez punies toutes les deux.

Tout le diner, Sophie reste muette, le regard baissé dans son assiette. Halim  décide la provoquer.
-      Tu ne dis rien, soumise ? Tu livres ta fille à ton Maître, tu es vraiment une belle salope. Qu’en dis tu ?-      Maitre, je souhaitais Vous faire plaisir et Vous honorer comme une bonne soumise. J’accepte Votre punition devant ma fille, si j’ai fait une erreur.
Le diner continue, et plusieurs fois Justine est obligée de s’arrêter de manger par la montée de l’orgasme, stoppée par le Maître. Elle émet à chaque fois un feulement de frustration.
-      Tu as quelque chose à dire, petite salope ? Alors que je ne t’ai pas autorisé à parler ? Tu veux être fessée ?-       Non, Maître. Je n’ai rien à dire. Je Vous présente mes excuses.
Sophie note que pour la première fois, sa fille l’appelle Maître. La soirée et la nuit vont être longues pour toutes les deux.Arrivées à la voiture, le Maître invite Justine et Sophie à s’asseoir à l’arrière.
-      Je vais conduire, indique le Maître, et toi petite salope, tu te fous à poil.-      Tu attends quoi, la salope ? Tu veux une fessée ici, pour ne pas être déjà nue ?
Le Maître prend jupes et chemisiers pour les mettre dans le coffre avant de démarrer.
-      Petite salope, ta mère ne t’a pas dit. C’est cuisses toujours écartées pour montrer que ta chatte est accessible à ceux qui veulent te mater. Caressez vous sans vous faire jouir. Et ne trichez pas. Petite salope, si tu oses, caresse ta mère. Elle va te caresser pendant ce temps là.
Justine n’hésite pas un instant, elle met ses doigts entre les cuisses de sa mère et caresse ses lèvres trempées.
-      Elle est comment la chatte de ta mère ?-      Trempée, Maître.

Sophie hésite avant de caresser sa fille. Elle transgresse tous ses tabous. Elle est écarlate, alors que sa fille semble n’être pas aussi gênée.
-      Tu m’avais cachée ça, salope. Ta fille est encore plus vicieuse que toi. Si je lui avais demandé de te lécher, elle n’aurait pas hésité.
Arrivées à la maison, Justine imite sa mère en se mettant à genoux dans le salon.
-      Vous êtes aussi salopes l’une que l’autre. Quelle famille ! Viens ici, tu vas me montrer tes talents, lui dit le Maître assis sur le canapé.
A quatre pattes, Justine vient entre les cuisses du Maître et déboucle son pantalon avant de plonger les mains et de sortir sa queue. Un oh ! Sort de sa bouche quand elle découvre  la taille et le diamètre du pieu.  Justine prend la queue du Maître dans sa bouche et commence à le pomper. Elle arrive à peine à ouvrir la bouche assez largement pour absorber le gland. Elle obéit à chaque ordre, alors que sa mère les yeux baissés ne peut s’empêcher de lever les yeux par moment pour regarder sa fille lécher son Maître
-      Regarde ta fille salope, elle est douée. C’est toi qui lui as appris ? Encore plus vicieuse que toi.-      Relève toi et viens t ‘embrocher sur ma queue, face à ta mère, qu’elle te voit jouir.
Justine s’embroche centimètre après centimètre. Trempée, c’est encore difficile. Elle n’a jamais été autant ouverte par un tel pieu, même si son copain black est bien monté mais beaucoup plus fin et moins long. Justine sent le plaisir monter à chaque centimètre, ses lèvres intimes écartées au maximum. Elle n’a jamais été aussi remplie. Une fois assise sur les cuisses du Maître, il lui dit de patienter pour que sa chatte s’habitue avant de la faire monter et descendre de plus en plus vite, aidée par ses mains sous ses fesses.  Elle ne tarde pas à exploser. Sa mère attend son tour, à moins que ce soit une fessée pour elle.
-      Viens là salope, viens nettoyer les saletés de ta fille sur ma queue.
Sophie obéit en silence. Elle lèche la queue de son Maître en essayant d’oublier que la crème blanche qui l’enduit est celle de sa fille.
-      Regarde ta mère petite salope, tu vas voir comme elle aime la fessée.
Allongée sur les cuisses de son Maître, Sophie reçoit une fessée magistrale. Ses fesses sont, une fois encore, rouge écarlate, mais Halim, la connaissant bien, stoppe avant qu’elle jouisse. Sophie grogne de frustration.
-      Je vais oublier tes cris, salope, tu sais que tu n’as pas le droit. Viens t’embrocher sur ma queue. Tu t’arrêteras quand je t’aurai rempli de semence.
Sophie s’embroche et commence ses montées descentes sans l’aide du Maître qui a attrapé ses tétons pour les maltraiter, et qui lui claque les fesses pour l’encourager. Il sait que ce sont des « arguments » qui augmentent ses orgasmes. Elle jouit deux fois sans aucune pudeur devant sa fille à genoux, avant d’entendre son Maître grogner et sentir ses jets fouetter ses parois intimes pour une troisième jouissance. Elle a tout oublié de ses réserves et s’écroule sur Halim, épuisée.Elle ne réagit même plus, y compris quand le Maître fait signe à sa fille
-      Tu sais ce qu’il te reste à faire
Justine totalement décomplexée s’approche à quatre pattes. Halim lui prend la tête pour appuyer sa bouche sur la chatte de sa mère dont coule la semence.
-      -Aspire bien le mélange avec la cyprine de ta mère, nettoie là. Tu peux la faire jouir avec ta langue.
Excitée comme jamais, elle aspire le jus qui coule et lèche sa mère qui la laisse jouer avec son clitoris. Sophie jouit sans s’y opposer.Le Maître reparti, les deux femmes épuisées montent se coucher sans aller se laver, elles n’en ont plus le courage. Sophie prend la main de sa fille et l’entraine dans son lit. Elles s’endorment dans les bras l’une de l’autre jambes imbriquées, chattes collées l’une à l’autre.Le lendemain au réveil, elles sont dans la même position. Les deux femmes se regardent sans bouger. Alors que Sophie s’apprête à parler, sa fille lui met le doigt sur les lèvres pour lui demander de l’écouter.
-      Je n‘ai aucune honte. J’ai même beaucoup aimé te lécher et te faire jouir. J’ai adoré sentir ta langue sur mon minou. Ce matin, j’ai même envie de recommencer. Je n’ai plus d’interdit avec toi. Ce sera notre secret.
Sans attendre, elle embrasse sa mère sur la bouche, et la force à accepter de jouer avec sa langue. Contre toute attente, sa mère répond fougueusement au baiser de sa fille. Sophie se penche sur le sexe de sa fille et se met en position de 69. Elles se donnent du plaisir en se léchant mutuellement avant d’introduire deux doigts dans le minou de l’autre. Le clapotis provoqué par les allers retours de leurs doigts les amènent à la jouissance. Elles partent prendre leurs douches ensemble se lavant mutuellement, y compris intimement. Sans réfléchir Sophie passe ses doigts dans la raie de sa fille. Elle tourne sur son œillet qui semble encore vierge. Sa fille insiste un peu plus sur la rosette de sa mère, plus souple car ses amants et surtout leur Maître aime rentrer par la petite porte. Sorties de la douche, Justine lui demande si elle peut me poser une question très intime.  Avec le sourie, Sophie lui répond qu’au point où elles en sont, elle peut tout.
-      Tu t’es déjà faite sodomiser ?-       Notre Maître, si c’est aussi le tient dit « enculer ». C’est grossier mais rien que de le dire, je suis excitée. Oui, et j’aime ça. Mais il faut que l’homme soit doué et surtout très doux pour rentrer, surtout la première fois. Notre Maître est très doué pour me faire jouir par la petite porte mais tu es beaucoup trop serrée pour lui. Il faut t’habituer avant. -      Et tu m’aiderais ?
Sophie la regarde avec un sourire, et n’ose pas lui répondre. Elle sait qu’elle va revenir sur le sujet.
-      Il faudra que l’on parle de cette journée avec Lui, dit Sophie à sa fille. Une seule fois, cela ne t’engage à rien et cela nous a permis de faire sauter des tabous. Je ne regrette rien, bien au contraire. Mais le vivre en permanence, c’est plus difficile que tu ne le penses. Etre cul nu sous ta jupe, tu feras comment si tu dois te changer dans un vestiaire collectif quand tu fais du sport ? Les marques sur tes fesses et tes cuisses, tu répondras quoi à tes copines ?
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