Alors que Luc s’apprête à partir jouer au tennis comme tous les dimanches matins, Sophie stoppe son cocu au pied de l’escalier. - Changement de programme, cocu. Tu restes ici, et tu remontes travailler dans ta chambre. Nous avons de la visite cet après midi. Je t’avais fait une promesse, et je tiens toujours mes promesses. Une fois encore, Luc échafaude dans sa tête plusieurs possibilités. Il soupçonne sa Maîtresse de recevoir plusieurs amies, peut être même pour déjeuner, et devoir les servir nu et se faire humilier. Mais il est loin de s’attendre à ce qui va arriver.Après le déjeuner, nu, avec sa Maîtresse, elle ne le laisse pas remonter et lui donne l’ordre d’aller se mettre à genoux au milieu du salon. - Je t’avais fait une promesse, celle de te faire participer quand mon amant me baise. Je tiens toujours mes promesses. Tu vas aimer, c’est comme dans les pornos que tu regardais en cachette avant que je supprime ton accès adulte au wifi. Tu n’auras que le son, mais comme ce seront les cris de plaisir de ta femme, ça compensera. Sa Maîtresse revient avec deux paires de menottes et un bandeau pour les yeux. Une fois les poignets menottés dans le dos, et les chevilles immobilisées, elle lui place le bandeau sur les yeux. - Deux précautions valent mieux qu’une, avec un vicelard comme toi. Tu ne pourras pas te caresser par dessus ta cage et tu ne pourras pas te rapprocher de l’escalier pour essayer de mater. Et pas de saleté par terre, si non tu devras les nettoyer avec ta langue. Quand Sophie ouvre la porte, ce n’est pas une, mais deux voix d’hommes qu’il entend. - Bonjour Maître, bonjour Monsieur - Regarde comme elle est sexy, remonte ta jupe pour lui montrer ton petit cul. Luc n’entend plus que des frottements et des bruits de succion, avant de sentir deux caresses dans ses cheveux par deux mains différentes, comme on caresse un chien. - On monte, dit l’un d’entre eux. Je suis sûr que chaude comme tu es, tu n’as qu’une seule envie c’est de te faire démonter par deux grosses queues. Le cocu n’en croit pas ses oreilles, cette fois ci son amant black est venu avec un ami pour la partouzer. C’est pour ça, qu’elle lui parlait de film porno.Très vite le cocu va pouvoir imaginer la scène en entendant les cris et les paroles de sa femme.
- Ouiiiii, continuez Maître comme c’est bon, allez y, plus fort, démontez moi, ouiii… encore plus fort, défoncez la chatte de votre salope, Et il entend les claques sur les fesses de sa femme qui à chaque fois émet un cri de plaisir, ainsi que le gargouillis de sa chatte gluante à chaque coup de boutoir. C’est trop pour lui, il sent sa nouille couler sans discontinuer, et ce n’est pas fini. - - Ohhhh ouiii Maître par le cul aussi, vous savez comme j’aime me faire enculer. Traitez moi comme votre pute, fessez moi. C’est si bon, je ne peux plus m’en passer. Pas trop fort au début, vous savez que je suis encore un peu serrée mais ouvrez moi en grand. Et ce sont des hurlements incessants, des cris d’orgasmes - Vas y maintenant, prend la par la chatte, pendant que je m’occupe de son cul. Le cocu comprend que sa femme est prise des deux côtés, comme dans les films pornos. Il se pisse dessus. Impossible de se retenir.Ce sont des hurlements de jouissance encore une fois. Il ne compte plus les orgasmes de sa femme, surtout que les deux hommes échangent encore une fois leur place. Cela doit faire quatre ou cinq fois. Il n’est plus en capacité de compter. Puis tout devient calme pendant un long moment, avant d’entendre des pas dans l’escalier. - Mais ce n’est pas possible, regardez, dit sa Maîtresse. Il s’est même pissé dessus. Avant ce soir, tu vas devoir tout nettoyer avec ta langue, je t’avais prévenu. Le cocu sent un des deux hommes s’approcher lui. - Ouvre la bouche, lui dit une voix qu’il identifie comme le Maître de Sophie. Plus large que ça, lopette. Il manque de s’étouffer quand il sent un sexe masculin forcer ses lèvres. Il a du mal à laisser passer le gland. Comment est ce possible d’être aussi large ? Comment est ce possible que la chatte et l’étoile de sa femme acceptent un aussi gros diamètre sans être déchirées ? Comment est ce possible que la bourgeoise qu’il croyait connaître puisse autant jouir, et avoir un tel langage. Il n’en revient toujours pas. Il se dit qu’un jour, il partira et ne reviendra pas, et tant pis si il perd tout. - Nettoie bien lopette. Tu as l’honneur de gouter à ma semence pour la première fois et tu vas reconnaître le miel de ta femme. Ca va te rappeler des souvenirs. Lèche partout. Tu vas devoir t’habituer. La prochaine fois, je viendrai dans ta bouche avec interdiction de recracher. Faut aussi que tu participes à la fête de temps en temps ! Luc mesure réellement sa déchéance, surtout qu’une fois partis, sa Maîtresse tient sa promesse. Les chevilles libérées, et le bandeau enlevé, elle le laisse nettoyer avec sa langue le mélange d’urine et de sperme qu’il a répandu sur le sol, avant de l’envoyer dans sa chambre, sans oublier de le fesser avant qu’il monte. - Tu peux sortir ou rester dans ta chambre. Je veux être tranquille et pouvoir me reposer, je ne veux plus te voir jusqu’à demain. Alors que Sophie ne s’y attend plus, quand elle rentre le week-end suivant de chez une amie, elle trouve une lettre de son cocu sur la table. Elle s’aperçoit aussi que tous les souvenirs de son mari ont disparu. Elle comprend qu’il a quitté la maison, avant même de lire la lettre.A la lecture, elle est surprise par le premier paragraphe dans lequel il reconnaît ses tords et lui demande pardon. Il lui dit qu’il part à tout jamais et qu’il assume toutes les conséquences de son départ. Il lui laisse la maison et accepte de lui verser une pension pour qu’elle puisse continuer à garder son niveau de vie et que leur fille puisse continuer ses études. Il lui demande juste de ne pas l’empêcher de voir Justine si elle le souhaite.La séquence avec son Maître black a été l’événement de trop.Sophie n’est pas mécontente. Elle va enfin pouvoir se consacrer totalement à sa vie de soumise, à son Maître et à ses amis blacks. Elle ne s’imagine pas encore à quel point elle va devenir une soumise totalement dépravée.
