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Un couple modèle

Chapitre 6

Mère et fille offertes à leur Maître et à ses amis

Trash
Soumise Sophie est à genoux au milieu du salon, face à la porte d’entrée, les yeux baissés, et les mains dans le dos. Elle attend son Maître.
Dès le lendemain du départ de la maison de son mari, elle n’a pas attendu pour prévenir son Maître et sa fille, de la bonne nouvelle. Elle est désormais disponible pour Lui et ses amis, sept jours sur sept, de jour comme de nuit. Son Maître l’a félicité et lui a promis pour aujourd’hui une grande fête. Sophie se dit que c’est elle qui sera à la fête. Quand à sa fille, elle a sauté de joie au téléphone en annonçant à sa mère que désormais elle rentrerait tous les week-ends et passerait toutes les vacances avec elle.
Quand son Maître arrive, ce n’est pas un, mais deux amis blacks qui l’accompagnent. Trois hommes pour elle, une grande première.
Avant de commencer, son Maitre enclenche une caméra sur pied.

-      J’ai même pensé à garder un souvenir de cette fête. Si tu es obéissante et sage, je te donnerai une copie de la vidéo pour que tu puisses les montrer à toutes tes amies. Si tu veux, je peux leur envoyer sans te demander ton avis.
Sophie ne dit rien. Son Maître sait qu’elle est toujours obéissante, mais il la menace de révéler son comportement au cas où. Sa soumission augmente d’un cran. Ce n’est pas le dernier de la journée.
-      Alors, c’est elle, ta salope ? Elle est canon, tu ne nous as pas menti.
-      Et vous avez pas tout vu, elle a chaud au cul en permanence. Elle a de belles tétines très sensibles à disposition. Elle adore quand on joue avec.

Son Maître prend ses deux tétines entres ses doigts et les martyrisent jusqu’à la faire geindre. Sophie ne résiste jamais quand son Maître lui tord les bouts, les pincent, lui claque les seins.

-      Je t’ai autorisé à geindre ?
-      Non, Maître
-      Tu sais ce que ça coute de me désobéir ?

Son Maitre la fait mettre à quatre pattes, l’enjambe et la coince entre ses jambes, avant de lui claquer les fesses avec vigueur. Les fesses écarlates, elle crie.

-       On peut même pas lui mettre une culotte dans la bouche, elle est tellement salope qu’elle a toujours le cul à l’air, dit son Maître, en oubliant de leur préciser qu’elle n’a plus le droit d’en mettre. Vas y Yanis, sers toi de sa bouche. Avec ton diamètre, on ne va plus l’entendre.

En effet, même si les vingt cinq centimètres de son Maître ne sont pas battus, ses copains dépassent aussi les vingt.

-      Elle aime ça, se faire fesser, et se faire chauffer un peu plus les fesses. Allez y, elle est à vous.

Pendant que Yanis se fait pomper, son autre copain la prend de l’autre côté.

-      Elle est trempée cette salope, ça dégouline le long de ses cuisses.
-      Quand tu vas te servir de son cul, elle va t’arroser de cyprine, lui rétorque son Maître.

Les deux amis sont aussi endurants que son Maître. Pendant plus d’une heure, ils alternent leur place et à chaque fois Sophie jouit plusieurs fois. Sophie est surprise que son Maître ne l’ait pas encore touchée.

-      Je t’avais dit que ce serait une grande fête, je vais t’offrir un premier cadeau.

Pendant que Yanis s’allonge par terre, Son Maître lui demande de s’empaler sur son pieu, avant de lui appuyer sur le dos et de se pencher en avant.

-      Tu vas connaître ta première double.  Avec nos deux queues tu vas exploser.

Son Maître appuie sa queue sur son petit trou déjà bien élargi. Il rentre avec précaution, sans forcer. Elle est totalement ouverte. L’un et l’autre se synchronisent et Sophie hurle de plaisir sans discontinuer,  comme une folle.
Son Maitre laisse sa place à son copain, avant de recevoir un appel téléphonique très bref. Sophie est en transes, elle n’y fait même pas attention, pas plus quand son Maître va ouvrir la porte pour accueillir une jeune femme qui porte un loup en dentelle afin d’être moins reconnaissable sur le film. Elle est plus que sexy. Sa jupe n’est pas plus longue qu’une large ceinture laissant visible la moitié de ses fesses et sa chatte épilée. Montée sur de hauts talons, ses seins sont à peine voilés par un crop top noir, totalement transparent. Ses tétons pointent effrontément au bout de ses deux poires. Heureusement, elle a garé sa voiture juste devant la maison.  

-      Regarde ta salope de mère se faire prendre par les deux trous par deux queues black. Elle n’arrête pas de hurler depuis au moins vingt minutes, elle est hystérique.

Son Maître vient devant elle, avec Justine qui se pend à son cou, les deux jambes passées autour des reins, et les mains du Maître sous ses fesses prêtes à la laisser descendre sur sa queue. Sophie réalise que la jeune femme qui va absorber dans son intimité la queue du Maître, est sa fille. Cette image lui déclenche un nouvel orgasme.

-      Regarde ma salope, ta fille, ma petite salope est venue à la fête. C’est une vraie fête de famille, elle va même être sur la vidéo.

Le Maître décide d’apprendre à Justine d’attendre que le Maître décide de la prendre devant sa mère. Il la repose à terre à quatre pattes.

-      Embrasse ta mère avant de me pomper. Tu vas nous montrer que tu es digne de ton Maître.

Justine prend le visage de sa mère, en sueur, pour l’embrasser très longuement et jouer avec sa langue, avant de se relever à genoux et de pomper le Maître à quelques centimètres du visage de Sophie.        

-      Tu as de qui tenir ! Toi aussi, tu es une sacrée pompeuse de bite, petite salope. Arrête de me bouffer la queue, tu vas me faire jouir. A quatre pattes, je vais te faire gueuler comme ta mère. Dommage que tu sois encore trop serrée du cul pour te prendre par derrière.  Je vais te défoncer ta petite chatte.

Le Maître frotte sa queue sur la fente de Justine pour l’humidifier avant de s’enfoncer en douceur.

-      C’est bon de s’enfoncer dans une chatte pas encore totalement dépucelée. T’es encore bien serrée, mais ça va pas durer avec tous les coups de bite que tu vas prendre.

Une fois démarré, il accélère de plus en plus ses allers retours, encouragé par Justine qui comme sa mère dans ces moments là utilise tous les mots orduriers qu’elle connaît     

-      Oui Maître défoncez moi la chatte avant de me défoncer le cul. Défoncez votre petite salope, défoncez votre petite pute, mettez moi sur le trottoir, encoooore, encoooore . Ouiiii, c’est bon je jouis…

Il laisse Justine reprendre ses esprits. Les cris de sa fille lui ont déclenché un ultime orgasme, toujours prise par les deux blacks. Quand ils se retirent, deux « flocs » résonnent, puis un troisième quand le Maitre se retire de Justine.
Quand les deux femmes « reviennent à elles », la bouche de Justine est à quelques centimètres de celle de sa mère, mais ni l’une ni l’autre n’a la force de bouger malgré l’envie qu’elles ont de s’embrasser.
Après quelques minutes et plusieurs verres d’alcool, le Maitre indique à Justine de se mettre à quatre pattes devant le visage de sa mère.

-      Regarde, soumise, l’œillet de ta fille comme il est encore fermé. On dirait celui d’une vierge. Enduit le avec ta langue de la  semence qui coule de sa chatte et ouvre le avec le bout de ta langue. Travaille le. Je compte sur toi pour m’offrir son pucelage. Si tu n’y arrives pas, tu seras sévèrement punie. Et c’est moi qui m’en chargerai. C’est ta fille qui m’a demandé de devenir son Maître. Je ne l’ai pas forcée. Elle est encore plus chaude et plus salope que toi. Sur le trottoir, vous allez faire un sacré duo.

Justine jambes écartées, à quatre pattes, se cambre pour poser les épaules sur le sol avant d’ouvrir ses fesses à deux mains  et de venir à la rencontre de la bouche de sa mère. Une scène au delà de la pornographie, qui brise tous les tabous. L’une et l’autre y prennent du plaisir sans se cacher, avant que le Maitre leur demande d’arrêter et donne l’ordre à Sophie d’enduire un doigt avec sa propre crème pour forcer l’œillet de sa fille. Justine feule de plaisir et réclame à sa mère un deuxième doigt.

-      Quand je te disais que ta fille est encore plus salope que toi, je ne me trompais pas lui dit Halim, avant de lui tendre un rosebud.
-      Enfile ça dans l’œillet de ta fille. Elle le portera en permanence pour l’habituer au plaisir anal.
-      Et toi petite salope, tous les soirs, tu t’en serviras pour assouplir ton trou à bites, sans te faire jouir. La prochaine fois, je te dépucèlerai. Tu ne pourras plus te passer de ma queue de ce côté là.

Halim ordonne à Justine de se mettre à quatre pattes, jambes écartées pour montrer son rosebud.  Sa mère, dans la même position, Justine va être aux premières loges pour la voir se faire baiser par les deux blacks, et voir la queue de leur Maître appuyer sur son petit trou jusqu’à la perforer. Entre deux cris de plaisir, les deux femmes se roulent pelle sur pelle.
 
Une fois seules, mère et fille épuisées, décident de monter au premier étage pour se doucher. Une fois encore, chacune laisse l’autre la laver en douceur. Les sexes et les fesses de Sophie sont rougies par le frottement des queues et laissent encore échapper des filets de mouille et de sperme.  Nues, elles redescendent pour diner, elles sont affamées avant de remonter et de s’écrouler ensemble dans le lit de Sophie. Comme la fois précédente, elles s’endorment dans les bras l’une de l’autre.
Au réveil, c’est Sophie, cette fois ci, qui se réveille la première. Sa fille qui dort encore dans ses bras, une jambe passée entre les siennes, sa cuisse contre sa fente, elle n’a pas envie de se lever. Elle caresse les fesses de sa fille pour la réveiller à son tour. Les deux femmes se câlinent avant de se lever.

-      Tu te rends compte, lui dit Sophie. On dort ensemble dans le même lit, mère et fille, quand on se douche on se caresse intimement, au réveil ce sont des câlins et sans parler quand je te lèche le petit trou, et quand tu me lèches la chatte et que tu avales ma crème mêlée au sperme de notre Maitre … C’est pas un peu trop ?
-      Tu peux aussi ajouter que l’on partage le même Maître, lui répond sa fille. Sans compter les mêmes bites black,  et que l’on se fait fesser ensemble, que je suis à poil sous mes jupes comme toi, et tout ça de plein gré. Sans être forcée. Je m’en fiche des tabous et des bonnes manières, j’en suis même fière. Et si on me demande pourquoi j’ai la chatte rasée, pourquoi je suis à poil sous ma jupe et pourquoi mes fesses sont zébrées quand j’aurai reçu le fouet, je serai fière de dire que c’est mon Maître.
 C’est Lui qui m’a demandé de mettre un loup pour cacher mon visage sur la vidéo qu’il a faite. Mais si on me connaît bien, ce ne sera pas difficile de me reconnaître.  J’ai voulu, et je dois assumer. Tu sais, sur les vidéos de certaines soirées de médecine, c’est pas mieux, parfois c’est même pire. Maintenant que nous ne sommes que toutes les deux dans cette maison, je me servirai de ma chambre comme bureau pour réviser le week-end et les vacances et pour faire bonne figure si la famille vient, mais je partagerai ton lit toutes les nuits. Je n’ai plus envie de dormir seule. J’aime trop quand on est nues pour s’endormir l’une contre l’autre comme deux gouines.
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