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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Un couple particulier

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Je me prénomme Didier j’ai, aujourd’hui, 40 ans et je vis heureux depuis bientôt 20 ans, avec ma femme Jeanne. Jeanne a, quant à elle, 46 ans. Elle est ce que l’on peut appeler une belle femme, grande, bien en chair, avec des rondeurs là où il faut. Nous formons un couple moderne où la sexualité tient une grande place bien que, comme diront certaines personnes, elle ne ressemble pas à celle de monsieur ou madame tout le monde. Mais avant de vous narrer notre histoire, faisons un bond en arrière de 30 ans environ.     A la puberté je m’étais bien aperçu que mon sexe subissait une certaine métamorphose mais j’ignorais pour quelles raisons, parfois, il grossissait et devenait rigide.     Il a fallu une colonie de vacances pour que j’apprenne en voyant certains camarades de chambrée qui n’hésitaient pas à montrer leurs attributs et à se caresser devant les autres. Devant mon ignorance, ils m’initièrent à la masturbation qui, je l’avoue, me plut énormément et de retour chez moi, je continuais à la pratiquer de manière compulsive pendant toute mon adolescence. Bien entendu je lisais beaucoup de revues coquines et la vision de corps féminins dénudés, dans des postures obscènes, me faisait fantasmer. Bien-sur, il m’arrivait aussi de fantasmer sur des copines de lycée, les déshabillant mentalement et je me branlais en les imaginant soumises à mes caprices. Mais j’étais timide et mon physique n’avait rien d’un tombeur aussi je n’osais pas les aborder. J’étais donc puceau mais ce n’était pas grave, la masturbation me suffisait amplement.     Chez moi ma soeur et ma mère se promenaient souvent en petite tenue et même, quand le temps le permettait, elles n’hésitaient pas à se faire dorer, seins nus, dans le jardin. De ma chambre, discrètement, à l’aide de jumelles, je les espionnais et la vue de leurs tétons et des poils pubiens, surtout ceux de ma mère, qui débordaient de leur minuscule maillot de bain, me faisaient bander à mort.     J’étais en classe de terminale. Ce jour-là, à cette heure-là, comme chaque vendredi, j’étais en salle d’étude entre le cours de français et celui de mathématiques. Cette salle d’étude était surveillée par une jeune pionne, Mademoiselle Rainier. Je la croisais souvent dans les couloirs de l’établissement. Elle était petite, menue, habillée sobrement avec un physique quelconque elle passait inaperçue, elle était transparente. Quand je dis surveillée c’est un grand mot car, à notre âge, nous n’étions plus des enfants indisciplinés. Comme d’habitude je m’étais assis au fond de la classe sans voisins collatéraux et, sous la couverture d’un cahier scolaire, j’avais dissimulé une revue érotique. Bien entendu, je bandais et ma main était infiltrée dans la ceinture de mon pantalon. Du bout des doigts j’agaçais mon gland. Ce geste durait un dizaine de minutes puis l’envie de jouir me poussait à enfoncer ma main dans le slip et à me branler carrément.     Ce jour-là, sentant le plaisir venir, je levais les yeux vers l’estrade où se tenait Melle Rainier. Nos regards se croisèrent. Elle me regardait. Depuis longtemps? Je n’en savais rien mais, pris en flagrant délit, je décidais de jouer celui qui, sur de lui, n’avais plus rien à perdre et je continuais donc mes caresses. Puis, me dis-je, elle ne voit que mon bras bouger, elle n’est pas censée savoir ce que ma main fait dans mon pantalon. Je continuais donc à me branler en la regardant avec un léger sourire. A ma grande surprise elle soutint mon regard et esquissa également un sourire. Pour la première fois une femme s’intéressait à moi et en plus alors que je suis dans une position peu banale. Les yeux de Melle Rainier semblaient m’inviter à poursuivre. Mon dieu que c’était bon. Le plaisir montait inexorablement et, quand je vis une de ses mains disparaître sous le bureau, je me mis à imaginer ses doigts fouillant son intimité trempée. A ce moment j’éjaculais et Melle Rainier dut le deviner car elle passa une langue gourmande sur ses lèvres mais conserva un moment encore sa main sous le bureau. La jeune fille sembla être prise de tremblement puis la main réapparut et, me fixant toujours, elle se lécha les doigts.     Ce qui venait de se passer dépassait l’entendement. Du coup la revue érotique posée devant mes yeux, me semblait bien fade. La fin de l’étude arrivait. Je ne savais qu’elle attitude prendre. Je devrais l’aborder me dis-je? Mais toujours cette fichue timidité et je suis sortie de la salle sans rien dire et sans rien faire. Bon sang, quel idiot je fais.     Ce qui s’était passé m’obsédait. Plusieurs fois j’ai croisée Melle Rainier et chaque fois que j’essayais de capter son regard, elle baissait la tête. Peut-être était-elle aussi timide que moi. Je pris donc la résolution de lui écrire un mot et de le glisser dans sa boîte à lettres située dans la salle des profs.     Lorsqu’elle découvrit mon message voilà ce qu’elle a pu lire.     ’Chère Mademoiselle,     Depuis la semaine dernière je ne pense qu’à vous. Il m’a semblé que le spectacle que je vous ai involontairement offert ne vous a pas trop déplu et j’ai beaucoup aimé le vôtre. Depuis ce jour, toutes mes nuits sont hantées par votre image et je ne peux m’endormir qu’après m’être remémoré le souvenir de votre main glissée sous votre bureau et, vous devez vous en douter, qu’après m’être soulagé de la tension que de tels souvenirs peuvent engendrées.     Je ne sais quelle attitude adopter à votre égard et ma timidité maladive m’empêche de vous aborder aussi, je vous propose de nous rencontrer à la bibliothèque municipale mardi prochain à 15 h sachant que vous êtes disponible ce jour-là. Sachez que votre absence à mon rendez-vous, que je regretterais bien entendu, me fera comprendre que vous ne souhaitez pas aller plus loin que ce merveilleux moment que nous avons vécu. Amicalement, Didier M. ’    Le mardi, je l’ai attendue à la bibliothèque, jusqu’à 16 h j’ai espéré mais elle n’est pas venue et le lendemain je me suis retrouvé dans la salle d’étude en espérant qu’elle serait là. A sa place se tenait un pion. Nouvelle déception mais j’allais reprendre mes bonnes vieilles habitudes et fouillant mon cartable pour en sortir une revue érotique elle est entrée dans la salle, s’est dirigée vers le pion, lui a parlé quelques secondes, s’est dirigée ensuite vers moi et sans un mot, a déposé une enveloppe sur ma table et puis elle à quitté la salle.

    ’ Cher Didier M,     Je suis désolé de ne pas m’être rendue, malgré mon envie, à votre rendez-vous mais, comme vous l’avez si bien exprimé, ma timidité m’en a empêché. Même par écrit, comme je viens de le faire, j’ai bien des difficultés à me libérer et pourtant je suis obligée de le reconnaître, j’ai, moi aussi, beaucoup aimé ce qui s’est passé ce fameux jour et que depuis, mes nuits sont certainement aussi agitées que les vôtres.     Si vous le souhaitez encore, nous pouvons nous rencontrer ce soir, après les cours. Je vous attends donc au bar situé en face du lycée.     Votre obligée Jeanne R. ’

    A la lecture de ce mot mon coeur se mit à battre la chamade. Bien-sur, je vais y aller à ce rendez-vous. Je dois reconnaître que Jeanne, puisque s’est son prénom, au concours des personnes timides, a finement manoeuvré. Il est évident qu’à un rendez-vous, c’est plus facile pour celui qui attend que pour celui qui arrive. Tant pis, soyons fair-play.     Les deux heures de cours me semblèrent interminables. Je serais bien incapable de vous dire quels furent les sujets abordés. Je sors du lycée, traverse la rue, pénètre dans le café. Je fus surpris que, malgré sa timidité, Anne ai eu l’audace de me faire un signe de la main pour que puisse la repérer parmi la nombreuse clientèle. Elle avait choisi un coin discret, une sorte de box. Elle était assise le long du mur, sur la banquette en skaï, je pris la chaise en face d’elle. Pour se donner une contenance elle héla le garçon et me demanda ce que je voulais boire.
    - un diabolo menthe, s’il vous plait, j’ai très soif dis-je    - Deux, dit-elle à l’adresse du serveur puis en me regardant, j’ai très soif aussi.     Nous avons gardé le silence jusqu’à ce que nos boissons soient servies puis chacun de nous a avalé une gorgée. En reposant nos verres chacun de nous a essayé de parler, en même temps. Nous avons éclaté de rire. L’atmosphère de détendait.     - Allez-y dis-je.     - Non, répondit-elle, à vous.     - Voilà, commençais-je, c’est franchement gênant de parler de ça, mais si nous nous sommes rencontrés c’est pour justement en discuter n’est-ce pas?     - Je ne vous le fais pas dire et j’ai hâte de vous entendre.     - Et bien Voilà, redis-je, ce que vous avez surpris l’autre jour je le fais régulièrement. Ce que vous ne savez pas c’est que pendant cette heure d’étude, au lieu de réviser, je consulte des revues plutôt osées et, vous savez comment fonctionne un homme, ce genre de lecture a sur nous certains effets que seuls certains gestes peuvent apaiser.     - Contrairement à ce que vous pensez, je ne connais pas grand chose à la mécanique des hommes et vous, je le suppose, à celle des femmes mais je pense que les effets ne sont guère différents et que, pour nous soulager, la méthode diffère peu.     - Vous avez certainement raison, d’ailleurs, au même moment ou tout au moins le supposant, vous voyant agir de la même manière, il semble prouver que la gente féminine peut avoir les mêmes pulsions. A moins que vous ne soyez l’exception qui confirme la règle.     - Bien-sur je ne peux pas répondre au nom de mes consoeurs, mais je ne crois pas être un cas unique.     Sur ce, je me mis à parler de moi, de mon enfance, de mon adolescence et par des mots ou des phrases plus ou moins imagés mais jamais vulgaires, je lui fis comprendre que j’étais puceau, que ma sexualité se résumait à la masturbation, que j’aimais ça et que ça me suffisait.     Jeanne m’avait écouté avec grand intérêt sans m’interrompre.     - Donc, finit-elle par dire, si je vous comprends bien, vous pouvez vous passer des femmes!     - Non! Hurlai-je presque, pas du tout, j’aime les femmes, autrement pourquoi lirai-je des revues érotiques? Pourquoi aurais-je sollicité un rendez-vous auprès de vous? Non! Ce que je veux dire c’est que les plaisirs que je m’offre en solitaire m’apportent beaucoup de satisfaction sur le plan physique mais si les photos sur papier glacé qui alimentent mes fantasmes pouvaient être remplacées par des corps chauds et animés, en un mot si des femmes ou simplement une femme acceptait de partager l’existence d’un homme qui n’aime que la masturbation, je serais le plus heureux des hommes.     - Donc, en résumé, pour que vous soyez pleinement heureux il suffirait qu’une femme assiste à vos masturbations. Mais elle, qu’aurait-elle en échange?     - Je ne sais pas. Il doit bien exister des femmes qui, comme moi, ont une sexualité particulière. Des femmes qui, comme moi, ne trouve le véritable plaisir que dans l’autosatisfaction et qui alimentent leur libido par la vue d’hommes se caressant.     - Et, vous pensez que je puisse être ce genre de femme?     - Je ne sais pas. C’est à vous de me le dire. Je sais simplement que vous avez pris du plaisir en me voyant en prendre. Je ne me trompe pas n’est-ce pas? Vous avez bien eu un orgasme?     - Oui, Didier, je peux vous appeler Didier? Appelez-moi Jeanne. Oui, je l’avoue, j’ai eu un orgasme mais jusque là rien ne prouve que la masturbation puisse être le seul moyen par lequel je me procure du plaisir. Mais, pourquoi se voiler la face plus longtemps, vous aviez vu juste, je suis une de ces femmes pour qui la masturbation est une source inépuisable de plaisir. Moi aussi, mais chez moi uniquement contrairement à vous, je lis des revues osées dans lesquelles les hommes exposent leurs attributs virils en bonne forme et où ils ne les exposent pas seulement. J’aime d’ailleurs beaucoup les magazines gays car les hommes y sont généreusement gâtés par la nature. Il m’arrive parfois de prendre plaisir à voir une femme en train de se caresser.     - Jeanne, vous êtes merveilleuse.     - Rien que ça! Votre compliment me va droit au coeuret, pour vous récompenser, je vous autorise à venir finir votre diabolo-menthe, assis, à mes côtés.     Je me levais d’un bond, bousculant la table dans ma précipitation et allais m’installer aux côtés d’Anne.     - Et bien, cher Didier, quelle hâte! Pourquoi croyez-vous qu’un simple changement de place puisse constituer une récompense.     - Je pense que vous voulez montrer, par ce geste, que vous n’avez plus peur de moi et même, que malgré mes aveux, vous avez un semblant d’affection.     - Il y a un peu de ça mais c’est surtout à cause de vos aveux. Je suis content de connaître enfin un homme qui n’essaye pas de vous sauter dessus. Mais j’avais aussi envie de savoir, et j’en ai eu déjà une petite idée en vous voyant debout, si notre conversation avait un effet sur vous.     - Quel effet demandai-je innocemment?     - Et bien, mon cher Didier, ajouta Anne en portant son regard sur ma braguette, l’apparition d’une bosse au niveau de votre entre-jambe.     Effectivement je bandais et bêtement, par un reflexe idiot, ma main vint dissimuler cette proéminence.     - Voilà, dit-elle en riant, je vous retrouve dans la même position que vous étiez l’autre jour en classe.     Nouveau reflexe idiot, j’enlevais ma main.     - Non Didier, faites-moi plaisir remettez votre main. N’en avez-vous pas envie?     - Quoi, vous voulez que je... Ici... Dans le café?     - Oui, mais discrètement, derrière la table, comme l’autre jour au lycée. Vous en mourez d’envie, la preuve, votre bosse a encore augmenté de volume. Allez! Je vous promets une autre récompense, en attendant je vais vous parler de moi.     J’étais piégé mais Anne avait raison, j’en avais très envie. Je regardais devant moi, le petit muret du box me cachait des regards extérieurs. Je posais donc ma main sur ma braguette et mes doigts vinrent comprimer mon sexe.     - Voilà, reprit-elle, comme vous mon enfance se passa sans problème et il a fallu, à la rentrée scolaire en sixième, que je devienne pensionnaire. Nous étions par chambrée de 4, 3 filles de ma classe et une grande de 17 ou 18 ans qui servait de surveillante. Cette dernière faisait déjà très femme et elle ne prenait aucune précaution quand elle se déshabillait aussi pouvions nous admirer sa généreuse poitrine ainsi que la toison qui couvrait son pubis. Un matin, ma voisine de lit vint me trouver.     -Anne, me dit-elle, tu n’as pas entendu, hier soir, les gémissements que la grande émettait?     - Non répondis-je, elle était malade tu crois?     - Mais non gros bêta, pas des gémissements de douleurs plutôt des râles de plaisir, enfin, tu vois ce dont je veux te parler?     -....     Devant mon silence et mon air ahuri, ma camarade compris que je n’étais pas affranchie côté sexualité.     - Comment, tu ne t’ais jamais donné du plaisir?     Je lui avouais mon ignorance et elle m’expliqua comment, avec certains gestes sur une certaine région de notre corps on pouvait nous procurer de merveilleuses sensations. Bien que dubitative sur ces révélations, je me promis d’être plus attentive à ce qui pourrait se passer ce soir dans notre chambrée.     Le soir même, je fis un effort pour ne pas m’endormir tout de suite et, ma camarade avait raison, j’entendis de faibles gémissements du côté du lit de la grande fille. La faible lueur, due au clair de lune, me permit de distinguer son lit sur lequel elle était allongée. Je devinais, plus que je ne voyais, son corps débarrassé de son drap et couverture. Entre ses cuisses une de ses mains s’agitait. Je repensais à ce que ma camarade m’avait dit. Ainsi c’était vrai, on pouvait avoir du plaisir en se caressant le sexe. Au bout d’un temps relativement court, je vis son corps s’arque-bouter dans un râle un peu plus sonore, puis retomber inerte. A ce moment je tournais la tête vers le lit de ma camarade et là, stupeur, je la vis en train de faire les mêmes gestes que ceux de notre surveillante mais elle, je la voyais bien mieux, les genoux relevés, cuisses grandes ouvertes, la main active entre elles. J’entendais aussi un bruit ressemblant à des clapotis et, comme l’avait fait notre surveillante, son bassin décolla du lit alors qu’elle poussait un cri qu’elle essayait d’étouffer au maximum mais suffisamment bruyant pour m’inquiéter de savoir si notre surveillante ne l’avait pas entendu. Je me tournais à nouveau vers elle et là, surprise, je m’aperçus qu’elle regardait ma camarade puis elle dirigea son regard vers moi. Il me sembla qu’elle esquissait un sourire. Tout retomba dans le calme. Le plaisir qu’elles venaient de prendre semblait les avoir assommées mais moi, plutôt énervée, j’avais bien du mal à trouver le sommeil quand, à nouveau, j’entendis des gémissements. Elles vont remettre ça me dis-je mais non, c’était la quatrième camarade de chambre qui s’envoyait en l’air. Donc, de nous quatre, j’étais la seule à n’avoir jamais pratiqué la masturbation.     Jeanne fit une pose dans son récit. Ma queue, que je serrais toujours entre mes doigts, me faisait mal tant elle était tendue. Toujours par dessus le pantalon, je commençais un léger mouvement de branle. Jeanne regarda ma main bouger et me sourit.     - Je vois que mon histoire vous fait de l’effet me dit-elle.     - Je ne peux pas dire le contraire, répliquai-je, mais vous, dans tout cela?     - Vous ne le devinez pas? Si, je le suppose et bien oui, c’est ce soir là, quand toutes furent endormies, que je me masturbais pour la première fois et, croyez-moi, je n’ai pas été longue pour trouver les gestes et les endroits qu’il fallait pour arriver à l’orgasme et vu le plaisir que j’en ai retiré, j’ai su, dés cet instant, que ce ne serait pas la dernière fois.     C’en était trop, tant pis, au risque de me faire prendre, je fis glisser ma fermeture éclair vers le bas et ma main se saisit de ma queue par dessus mon slip.     - Didier, me dit Jeanne en me voyant faire, tu vas te branler là, devant moi et je vais adorer.     Anne m’avait tutoyé et surtout elle venait d’employer des mots crus. Cela m’excita encore davantage. Elle continua:    - Ta bite est grosse et dure, j’aimerai la voir.     J’accédais à son souhait et tirais l’élastique de mon slip vers le bas. Mon gland luisant apparut.     - Elle est belle ta queue et moi Didier, sais-tu que je mouille comme une folle.     C’en était de trop, un va-et-vient suffit à me faire gicler. Anne fouilla son sac et me tendit un kleenex.     - Sais-tu que tu es le premier homme que je vois éjaculer en vrai. C’est beau. En me regardant m’essuyer, Anne, ôta deux boutons de sa jupe au niveau de son pubis, qui se boutonnait devant et y glissa sa main. — Je sais, dit-elle, que tu aimerais voir ma chatte mais ici c’est impossible. Imagine-la seulement, ouverte et trempée, mon clito gonflé, mon doigt dessus. Laisse ta bite sortie, je vais jouir, je viens... Aaaah. Anne ressortit sa main et me montra ses doigts luisants. A mon tour je lui tendis un kleenex. — Didier, mon branleur de Didier, que dirais-tu si je t’invitais à manger ce soir. J’habite à deux pas d’ici. Bien entendu j’acceptais l’invitation. Pendant le trajet qui nous menait chez elle, elle m’expliqua que pendant toute l’année scolaire, chaque soir, la surveillante et sa camarade se masturbaient. Au début plus ou moins discrètement, puis en s’exhibant nettement et à la fin, elle partagèrent la même couche. Elles savaient que l’autre fille et moi savions, aussi, ne faisaient-elles rien pour se cacher et même elles semblaient apprécier notre rôle de voyeuse et sachant que leur exhibition allait nous obliger à nous masturber ce que nous faisions mais avec beaucoup plus de discrétion. Le plus étrange c’est que cela resta au niveau du non dit. Personne n’en parlait. Nous agissions d’un commun accord, chacun étant satisfait du rôle qu’il interprétait. C’est ainsi que le goût des plaisirs, dits solitaires, me vint et ne m’a plus quitté. L’année suivante je n’eus plus les mêmes camarades et les nouvelles étaient plus sages bien que je savais qu’elles se masturbaient, elles n’en firent jamais étalage. Nous arrivions chez Jeanne. Son studio ressemblait à un petit nid douillet, décoré avec goût. — Installes-toi, me dit Jeanne, je vais préparer un plateau repas. Je m’asseyais sur le sofa pendant qu’elle se dirigeait vers la kitchenette, hors de ma vue. Son récit me revenait à la mémoire et je rebandais. Je ne pus m’empêcher de comprimer ma bite à travers le pantalon. La voix de Jeanne me parvint. — Didier, si tu en a envie, tu peux prendre tes aises, nous ne sommes plus dans un lieu public. Je fus surpris par son injonction. Avait-elle le don de double vue car cette demande ressemblait bien à une invitation à reprendre mes caresses mais sans contraintes cette fois. Tant pis me dis-je, même si ce n’est pas le sens de sa demande j’en ai trop envie et puis ça la surprendra, agréablement j’espère. Je déboutonnais mon pantalon, ouvris ma braguette et baissant mon slip, je saisis ma queue. Jeanne revint dans le salon avec son plateau, me vit, me sourit. — C’est bien mon petit Didier, je vois que nous nous comprenons même à demi-mot. Elle posa le plateau sur la table basse puis, s’agenouilla à mes pieds. Elle regardait ma main qui faisait des va-et-vient sur ma tige. Elle semblait fascinée. — Parles me demanda-t-elle, expliques-moi tes gestes, dis-moi ce que tu ressens. — Tu vois Jeanne, je dégage mon gland au maximum, avec le doigt je prends la petite goutte qui perle et je l’étale sur toute la surface. Maintenant qu’il est bien lubrifié, je passe mon doigt à la base du gland puis je m’attarde sur le frein. Aaaah... C’est divin. Maintenant, je saisis ma queue, l’index sur le frein et le pouce à la base et je commence par de petits allers-retours. Aaaah... Je ne suis plus loin de l’explosion. Jeanne semblait subjuguée. Elle passa de la position à genoux à celle accroupie et écartant les cuisse, me montra son entre jambe qu’aucun sous-vêtement ne couvrait. La petite vicieuse l’avait certainement enlevée pendant qu’elle se trouvait dans la cuisine. — Gicles m’ordonna Jeanne, jouis! Mon branle s’accéléra et ses mots et la vision de sa chatte déclenchèrent ma jouissance. — Jouis Didier, oui, jutes bien. Une fois que j’eus repris mes esprit, tant cette jouissance m’avait secouée, je regardais Jeanne qui s’était assise sur le pouf non loin de moi. — Comment savais-tu que j’avais envie? — L’intuition féminine sûrement et puis peut-être parce que moi aussi j’étais excitée. Tous ces souvenirs évoqués, m’avaient chauffé les sangs. — Jet tu as enlevé ta culotte pendant que tu étais dans la cuisine? Tu voulais vraiment me faire craquer. — Pas seulement. Je peux bien te l’avouer maintenant, pendant que j’étais hors de ta vue, je me suis procurée une petite branlette. J’étais si excitée que je suis venue en moins d’une minute. — Ce n’est pas fair-play Jeanne, tu m’as privé du spectacle. — Mais c’était pour mieux recommencer mon petit. Tu sais, les capacités de jouissance de la femme sont nettement supérieures à celles de l’homme. Sous ma jupe, ma petite chatte est toute trempée, elle n’attend que mon doigt et tes yeux pour s’offrir les plaisirs qu’elle réclame. A mon tour je me laissais tomber aux pieds de Jeanne. Aussitôt sa jupe se releva et les cuisses s’ouvrirent. — Regardes Didier, regardes ma chatte. Une vraie chatte de branleuse. Vois comme mes lèvres sont développées et gorgées de sang, regardes ma fente qui baille et qui est pleine de mouille, admire mon clito qui bande comme une petite bite. Si je voulais, ton regard qui me fouille suffirait à me faire jouir mais, comme c’est la première fois pour moi qu’un homme va assister à ma jouissance, je vais me branler. Les doigts de Jeanne entrèrent en action avec une dextérité qui laisse supposer de nombreuses années de pratique. Je n’ai pas vu grand chose. Jeanne avait trop hâte de s’envoyer en l’air. Tout ce que je sais, c’est qu’au moment de l’explosion finale, elle serrait son gros clito entre le pouce et l’index. Mais ce que je n’avais pas pu voir cette fois-là me fut largement exposé durant la nuit qui suivit. Jeanne avait raison sur les capacités orgasmiques des femmes car elle a du jouir une dizaine de fois au moins. Les jours, semaines et mois suivant Jeanne et moi avons vécu de nombreuses aventures car nous nous étions aperçus que les plaisirs que nous retirions de la masturbation se trouvaient décuplés si nous accomplissions notre passion dans des lieux et situations insolites. Aussi, outre les petites branlettes que nous nous octroyons en classe nous avion pris l’habitude de fréquenter les jardins publics. Nos repérions un homme ou un couple d’amoureux, nous nous asseyions sur le banc d’en face et nous commencions par mimer les mouvements de la masturbation et, une fois sur deux nos vis-à-vis faisaient la même chose, alors nous ne mimions plus mais nous nous faisions jouir pour de bon. Lorsqu’il s’agissait d’un couple, alors que nous, nous nous faisions jouir individuellement, le plus souvent, ils se caressaient mutuellement. Généralement, après avoir pris notre plaisir et eux le leur, nous partions en ayant échangé un sourire complice, nous remerciant ainsi réciproquement, des plaisirs que nous avions pris. Nous fréquentions aussi les salles de cinéma. Là, dans l’anonymat de l’obscurité, c’était plus facile pour nous adonner à notre passion. J’ai eu mon bac et l’année suivante je me mis en ménage avec Jeanne. Un soir, alors que nous venions de nous faire jouir l’un en face de l’autre, nous étions allongés, repus et Jeanne me posa des questions sur mon adolescence car, curieusement, nos confidences étaient passées de l’enfance à l’âge adulte, occultant cette période. — Tu n’as jamais eu, me demanda-t-elle, quelques attirances pour des personnes de ton sexe? — Tu veux dire si j’ai eu des relations homosexuelles? — Oui, j’ai lu que les garçons avaient tous, plus ou moins, joués à touche-pipi avec des camarades. — Comme je te l’ai raconté, j’ai découvert la masturbation en voyant des copains la pratiquer mais à ce moment, bien que quelques-uns de caressaient mutuellement, moi j’en ai jamais éprouvé le besoin. — Dommage, expira Jeanne, j’aurai aimé que tu me racontes. Tu sais que, avant de te connaître, j’étais adepte des revues gays et de voir ces beaux gars se branler, voire même se sucer, mutuellement me mettait en transe. — Désolé de te décevoir quoique, peut-être, je me souviens brusquement d’une anecdote qui pourrait t’amuser. Pour mes études j’avais loué un petit appartement avec un colocataire. Il avait 2 ans de plus que moi et faisait ses études à l’université. Nous n’avions pas d’atomes crochus aussi, n’avions nous pas particulièrement sympathisé et nous n’avions donc pas étalé notre vie privée. Un soir qu’il faisait chaud, j’avais beaucoup de mal à trouver le sommeil et me rendis à la cuisine pour y prendre un verre d’eau. Mon coloc était sur le divan face à la télé, je ne voyais que sa tête qui dépassait. Sur la télé, des images de mecs nus qui étaient en pleine orgie, ils se branlaient se suçaient, s’enculaient. Je restais là, quelques minutes à regarder l’écran et bien que, je n’avais aucune tendance homosexuelle, je trouvais le spectacle plutôt excitant et je me mis à bander. Puis j’avançais un peu et là, j’aperçus mon coloc, entièrement nu, se masturbant. Sa queue était énorme, surtout en comparaison avec sa corpulence plutôt fluette. Il ne m’avait toujours pas entendu aussi, je pris la décision de le laisser finir et, moi même, je me saisis de ma bite pour la caresser. Soudain, il éjacula. Ce fut un véritable feu d’artifice autant par la quantité que par la force d’éjection. J’allais retourner sans bruit vers ma chambre quand, tournant la tête, il me vit. Arrêtes Jeanne! Comment veux-tu que je me concentre, depuis 5 minutes tu m’exposes ta chatte et tu la caresses. — C’est de ta faute Didier, ton histoire m’excite trop. Mais continue, il t’as vu et il sait que tu l’as vu, alors? — Par pudeur il s’est couvert le bas du corps avec la serviette de toilette qu’il avait eu la prudence d’amener afin d’essuyer son débordement de sperme et li s’est mis à bredouiller des mots que je ne compris pas. Je lui demandais de se calmer et le rassura en lui disant que chacun était libre de sa sexualité. Il me remercia pour ma compréhension t m’expliqua qu’il était certainement homo mais qu’il n’était jamais passé à l’acte aussi se contentait-il de film et de masturbation. Tout en parlant il gardait ses yeux sur mon bas-ventre. Il est vrai que je n’avais pas débandé. — Didier, me dit-il, je vois que le spectacle que je t’ai offert involontairement ne t’a pas laissé de glace. Je ne sais pas où vont tes goûts, nous nous parlons si peu mais, je ne t’ai jamais vu avec une fille, peut-être que toi aussi tu... — Non, rétorquai brutalement, je ne suis pas homo. Je lui expliquais alors comment je vivais ma sexualité. — Si, je comprends bien finit-il par dire, nos centres d’intérêt diffèrent mais nous faisons la même chose pour nous soulager. — C’est ça, acquiesçais-je, mais j’aimerai, si tu le veux bien, que tu me montres ton sexe encore une fois, j’ai plutôt été impressionné par ses dimensions. Mon coloc enleva la serviette. Son sexe apparut mais bien qu’au repos, sa taille était déjà hors du commun. — Bien-sûr dit-il, il n’est plus dans le même disposition que tout à l’heure. — J’ai peut-être une solution rétorquai-je, pour qu’il retrouve toute sa fierté. Je baissais mon caleçon, ma bite dressée apparue, je la saisis et commença à me masturber. Mon coloc me regarda et avança la main pour prendre ma queue. — Non, dis-je, pas touche, regardes seulement et branles-toi. Mon coloc parut déçu mais fit comme je lui avais dit. Je fus le premier à éjaculer aussi, pour le récompenser, je mis ma main sur sa bite, prés de la sienne, mes doigts avaient du mal à en faire le tour mais sa peau était chaude et douce. Il retira alors sa main et ce sont mes caresses qui l’ont fait jouir. Il me remercia, et avant de nous séparer, je lui ai fait comprendre que ce serait la seule et unique fois où nous aurions des attouchements. — Dommage commenta Jeanne, j’aurai aimé faire sa connaissance et pouvoir vous regarder, voir vos mains vous branler, vos queues se toucher, vos... Aaaah... Ca va me faire venir... Sors ta bite... Elle bande mon salaud... Aaaaah... Ca y est, je jouis. — Mais toi lui demandai-je après qu’elle fut remise de ses émotions, tu m’as laissé entendre que tu ne détestais pas voir des photos de femmes se caressant. N’as-tu jamais eu de relations avec des copines. — Non, avec des copines jamais! Peut-être parce que je n’ai jamais osé. La timidité je crois mais j’ai quand même une sorte de relation homosexuelle un peu spéciale, je ne sais pas si je peux... — C’est trop tard maintenant pour reculer, tu m’as mis l’eau à la bouche, tu dois aller jusqu’au bout. — Et bien, ça remonte à deux ans maintenant. C’était mi-juillet, mon père venait de mourir. Ma mère et moi avions beaucoup de chagrin aussi, durant toute la période des vacances scolaires, je décidais de rester avec elle. Ma mère paraissait inconsolable. Il est vrai que depuis qu’ils se connaissaient, ils vivaient une véritable passion amoureuse. Entre eux, il y avait une véritable communion physique qui n’avait jamais faiblie même après tant d’années et les bruits, qui me parvenaient régulièrement de leur chambre, témoignaient de leur parfaite entente charnelle. Durant le premier mois, ma mère ne supportait pas de dormir seule aussi avait-elle pris l’habitude de venir dormir avec moi. Les premières nuits pas de problème mais, tu me connais maintenant, rester deux nuits sans me caresser, c’était déjà beaucoup et dés la troisième, aussitôt après m’être assurée que ma mère dormait profondément, je me faisais jouir. De jour en jour, ou plutôt de nuit en nuit, je me branlais de moins en moins de discrétion et, ce qui devait arriver, arriva. — Ta mère se réveilla dis-je. — Pas tout à fait, répondit Jeanne, je m’occupais de mon bouton et tu sais maintenant combien il est sensible, qui était bien raide et je sentais la jouissance monter quand, à mes côtés, j’entendis des gémissements. J’arrêtais de me caresser et les gémissements continuaient. Pas de doute, ils provenaient de la bouche de ma mère. Je me tournais vers elle. — Jeanne, ma petite fille, n’arrêtes pas, continues tes caresses, jouissons ensemble. — Mais maman, répondis-je, que fais-tu? — Comme toi ma fille, ton père n’est plus là et mon corps à soif de jouissance. Depuis plusieurs nuits je t’entends de masturber, jusqu’à maintenant j’ai résisté mais aujourd’hui ce fut plus fort que ma volonté, mon sexe réclame sa part de plaisir. Jeanne tu veux bien n’est-ce pas, donnons nous du plaisir. Ma mère, pendant son monologue n’avait pas cessé de se caresser, et sentir ce corps chaud si prés de moi, me fit oublier qu’il s’agissait de ma génitrice, elle devenait une femme, n’importe quelle femme, avec ses envies, ses désirs et je repris ma masturbation. — C’est bon hein ma fille chérie. Tu aimes ça toi aussi n’est-ce pas. Tu le fais souvent? — Tous les jours ma petite maman. Oui j’aime ça et toi? — Souvent moi aussi, même si ton père me procurait de nombreux orgasmes, j’aimais me branler et ça depuis ma plus tendre enfance. — Ô maman, je suis bien ta fille. De quelle manière t’y prends-tu? — D’abord je pense à des trucs cochon, puis quand je sens mon sexe s’humidifier, je plonge un ou deux doigts dans ma fente puis je... Aaaaah et puis je... Et si je te faisais voir plutôt. Ma mère rejeta les draps vers le pied du lit et nous nous sommes retrouvés, allongées côte à côte, le bas du corps dénudé, jambes ouvertes, la main entre les cuisses. — Regardes-moi lança ma mère et laisses-moi te regarder. Pour ce faire, elle de mit à genoux face à moi, j’avais son minou très poilu prés de ma tête. Je sentais son odeur de femelle en chaleur. Un instant elle m’exhiba sa chatte en la maintenant ouverte avec ses doigts. Son clitoris pointait, long et raide. Puis ma mère se mit à se branler, proférant des mots sans suite. Son corps entra en transe puis de raidit d’un coup, un flot de cyprine s’échappa de sa chatte. Sa jouissance fut longue et intense, j’en étais ébahie. J’en oublié de me caresser et quand je repris ma masturbation, ma mère avait juste suffisamment récupéré pour me voir jouir moi aussi. On dirait que mon histoire te plait mon Didier adoré, tu bandes comme un taureau. — Comment veux-tu résister à ça ma branleuse de Jeanne. Je vous imagine, ta mère et toi, chattes dégoulinantes, clitos au garde-à-vous. Pendant que je me caresse, continues. — Presque toutes les nuits suivantes nous avons recommencé et les nuits où il ne se passait rien c’est que nous avions pris de l’avance dans la journée. Il suffisait qu’une de nous de montre un peu dénudé ou qu’elle prononce des paroles olé-olé pour que l’envie nous prenne et, dés que l’une parlait de se faire un petit plaisir, l’autre était partante aussi et nous troussions notre robe sur nos bas-ventres qui ne s’encombraient plus de sous-vêtement pour être plus rapidement opérationnels. Généralement le plaisir nous venait vite et cela pouvait se répéter 2 ou 3 fois dans la journée. Tu comprends pourquoi, ces soirs-là, nous étions sages bien que le matin, très tôt, bien reposées, nous nous laissions souvent aller à pratiquer notre passion. Ces révélations finirent par avoir raison de ma retenue et je lâchais plusieurs giclées de sperme. — Tu étais vraiment sous pression, conclut Jeanne. Je n’ai jamais vu une telle quantité de foutre. — Et ça dure toujours avec ta mère? — Oui et non. J’ai repris mes études à la rentrée et loin des yeux loin du sexe comme dit le proverbe. Au début on se téléphonait quotidiennement et il nous arrivait fréquemment de nous branler en le faisant. Chaque mois, quand je rentrais à la maison, après s’être embrassées et nous racontions quels plaisirs nous avions pris en nous masturbant et cela finissait par un tête-à-tête ou plutôt un chatte-à-chatte endiablé Puis chacun reprenant sa vie habituelle, moi, te rencontrant, ma mère trouvant, pendant mes absences, d’autres pôles d’intérêt, nos relations semi-incestueuses se sont calmées. Jeanne et moi reparlions souvent des relations qu’elle avait eues avec sa mère et à chaque fois cela m’excitait terriblement. Le jour où elle me la présenta, je la trouvais très belle et désirable et l’imaginant en train de se branler devant sa fille, je fus pris d’une érection spontanée. Ce soir-là, nous avons dormi chez elle et, le soir même, après nous être soulagés par une bonne masturbation pendant laquelle nous n’avons pas été avare de nos gémissements de plaisir, nous avons été discrètement écouter, à travers la porte de sa chambre, les râles de sa mère qui, n’avait pas pu résister à ses envies. J’ai essayais de convaincre Jeanne de la rejoindre et de m’accepter en spectateur mais elle n’a pas voulu. Mais, simplement le fait de l’avoir imaginé, nous a de nouveau excité et nous avons du nous soulager là, devant la porte de la chambre. Et voilà, cela fait maintenant que Jeanne et moi sommes ensemble. Notre amour pour la masturbation n’a jamais faibli. Après avoir terminé des études de sexologie, j’ai ouvert un cabinet de consultation. J’avoue que mes patients et patientes nous permettent, à Jeanne et à moi, de ne pas sombrer dans la routine. Bien rares sont celles et ceux qui, lorsque j’aborde le chapitre de la masturbation, n’osent pas en parler franchement et leurs confidences que j’enregistre, servent à alimenter notre libido. Maintenant, grâce à la miniaturisation des caméras, je suis arrivé à décider quelques patient(e)s, à passer à des exercices pratiques dans mon cabinet. Avec l’image et le son, Jeanne et moi avons de belles soirées de jouissances devant nous. Ah, j’oubliais de vous dire que la semaine prochaine, nous allons passer quelques jours chez la maman de Jeanne qui vient de fêter ses 68 ans. Jeanne, qui m’a confié que sa mère, malgré son âge, n’avait toujours pas abandonné la pratique de la masturbation intensive, elle projetait, pour égailler ses vieux jours, emmener avec elle, les enregistrements vidéo et sonores que nous possédons. Puis m’ayant avoué que depuis toutes ces années elle avait continué, sa mère et elle, à pratiquer leurs petits jeux et qu’il était temps que j’y participe. Enfin, il aura fallu que j’atteigne 40 ans pour assister à la scène que j’avais imaginée 20 ans plus tôt.
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