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Coups fourrés pour l'élection du BDE

Chapitre 1

Fight the patriarcat !

Lesbienne
Tous mes remerciements à Darksad pour ses conseils et son expertise sur la vie en grande école, qui m’ont grandement aidé pour écrire ce texte.
La campagne pour l’élection du BDE avait commencé sur les chapeaux de roue. Pas question de perdre du temps, on était prêtes et motivées.
Dans notre école, la Haute Ecole de Business et d’Action Marketing ou HEBAM, la campagne pour élire le bureau des élèves commençait le 15 octobre et le scrutin avait lieu le 15 novembre. Un mois pour faire ses preuves, un mois intense où on se dépensait sans compter.
Moi j’étais une première année et je découvrais encore le fonctionnement d’une Grande École, et plus particulièrement celle de l’HEBAM. Je me serais sans doute abstenu de participer à la campagne, mais je m’étais retrouvé plus ou moins forcé de m’engager dans la liste de Nathalie et il y avait une bonne raison pour ça :
Tout le premier mois de septembre, j’étais encore dans ma période d’émerveillement d’avoir intégré l’HEBAM après deux années horribles de travail 18 heures par jour, sept jours sur sept en prépa. En comparaison, cette première année d’école de commerce était en rêve où je me la coulais douce. Mais cet émerveillement se transforma rapidement en cauchemar le jour où en sortant toute contente d’un cours de marketing, je sentis le prof me mettre la main au cul. J’étais outrée. Lui souriait en me caressant le derrière. Je restais stupéfaite, sans rien dire, me contentant de rougir. Quand je retrouvais mes esprits, je filais hors de la salle de cours, j’espérais que ce n’était qu’un malentendu ; mais il recommença la fois suivante me disant même : « Ça te dirait de venir boire un verre ? Je te mettrais une bonne note, si t’es sage… » Je m’enfuis à nouveau. Et comme je m’étais déjà fait quelques amies, je me confiai à elles, leur demandant conseil sur la façon dont je devais réagir… toutes m’incitèrent à en parler au BDE, le Bureau Des Élèves. Même si le rôle du BDE n’est pas d’assister les étudiants, leurs représentants ont une place au Conseil d’administration de l’école, une plainte venant du BDE aurait beaucoup plus de poids que si j’allais voir moi-même la direction pour faire valoir mes griefs
Mais, même si je trouvais le comportement du professeur inadmissible, mon indignation avait peu à peu été remplacée par la peur de me faire mal voir du directeur et des professeurs de l’école. Au final, j’aurais préféré laisser couler, mais Nathalie expliqua que je ne pouvais pas laisser passer ça. Qu’il était intolérable que ce genre de pratique subsiste alors qu’on était à l’ère de #Metoo et de #balancetonporc.
J’arrivai au BDE accompagnée de Nathalie. Il se situait au premier étage, une grande pièce avec pas mal d’ordinateurs, des divans, une grande télé, un baby-foot. Je transpirais, j’étais mal à l’aise, je craignais de paraitre ridicule aux yeux du BDE, et c’était la dernière chose que je voulais, car les membres du BDE ne sont pas seulement ici pour aider les étudiants dans leurs démarches administratives et organiser des fêtes ; ils s’occupent aussi des deals entre l’HEBAM et les entreprises. Et pour l’HEBAM, on ne parle pas de petites PME, mais de sociétés cotées au CAC40. Chaque année, ils ont un nombre de stages sous la main qu’ils peuvent distribuer à leurs amis et à eux-mêmes. Ça évite d’envoyer des lettres de motivations, et c’est souvent les stages les plus intéressants. Ça n’a rien d’étonnant, car beaucoup d’anciens de l’HEBAM travaillent dans ces importantes sociétés. Être au BDE c’était être en contact avec ces DRH, voir certains de ces dirigeants. Bref, c’était les cadors de l’école.
« Bonjour, dis-je d’une voix timide.
— Salut ma jolie, moi c’est Philippe. T’es une petite nouvelle ?
— Oui, heu, je m’appelle Estelle, j’ai un problème avec un prof. Je sais pas si je dois vous voir ou…
— Et c’est quoi ton problème ?
— Eh bien, il m’a mis la main aux fesses et je… heu…
— Ah, ça doit être Marc.

— heu, c’est Monsieur Muillet. Mon prof de Marketing.
— C’est ça… Marc. Il aime bien toucher le cul des étudiantes. Alors, c’est quoi ton problème avec lui ?
— Euh… C’est-à-dire, je crois que… enfin, je veux dire que, ce qu’il fait, ben… »
Alors que je bredouillais de plus en plus, Nathalie vint à mon secours. Elle était furieuse :
« Non, mais comment ça, “quel est son problème ?” Il y a un prof qui claque les fesses des étudiantes, vous le savez, et vous ne faites rien pour l’en empêcher ? Vous vous foutez du monde ou quoi ?
— Alors d’abord du calme la grande. Marc est un des profs les plus cotés, vous savez que l’ESAC essaie de le débaucher depuis des années ? Il a publié “Marketing, D.A.S., et cible réelle” c’est une des bibles du marketing. Alors les fesses des étudiantes devant lui, il peut les claquer, les pincer, ou les caresser… Il est ici chez lui. Et je dirais même que c’est un honneur qu’il leur accorde. Mais si Estelle est trop coincée et que ça la dérange, elle n’a qu’à éviter de remuer du cul devant lui. »
Un type plus grand et plus massif arriva. Je le reconnaissais, c’était Vincent, le président du BDE, je ne savais vraiment plus où me mettre.
« Qu’est-ce qui se passe ? demanda-t-il.
— Cette pimbêche s’est fait claquer les fesses par Marc.
— Et on demande des excuses publiques ! Et s’il ne le fait pas, on exigera son renvoi ! cria Nathalie.
— Je vois. Écoutez-moi bien vous deux. Si Marc vous plaque la main aux fesses, vous souriez. Si Marc veut que vous veniez dans son bureau pour le sucer, vous dites oui. Comme ça, vous apprendrez peut-être à utiliser vos bouches à quelque chose d’utile.
— Attendez, c’est une blague ? demanda Nathalie.
— Vous savez, j’ai un stage pour Total pour la fin d’année. Comme c’est dans le domaine du pompage, vous pourrez venir dans mon bureau vous entraîner, et je verrais si vous êtes à la hauteur.
— Ok, ça suffit. On a assez supporté vos conneries. »
Nathalie tourna les talons et partit. Je la suivis immédiatement. J’avais été humiliée, je voulais me cacher loin d’ici. Mais Nathalie, elle, était furax. Elle se dirigeait droit vers l’administration. Je tentais de la dissuader :
« Mieux vaut oublier tout ça. C’est juste des cons et…
— Et, des cons qui ne devraient pas être ici. »
Quand on arriva à l’administration, Nathalie commença à se plaindre du BDE. La responsable de formation semblait l’écouter sans se sentir le moins du monde concernée :
« Le BDE est élu par les étudiants… Si vous n’aimez pas ses membres, ne votez pas pour eux. »
Quant aux critiques sur Marc :
« Mais… Mesdemoiselles, on ne va pas écouter tous les caprices des étudiantes. Ou alors, à la moindre mauvaise note que donne un prof, on sera débordé. Si votre plainte est sérieuse, passez par le BDE et on avisera alors. »
Quant aux menaces de déballer sur twitter le mauvais comportement des profs et élèves, il nous fut répondu :
« Vous faites comme vous voulez. Mais si vous entachez la réputation de l’École, la direction et surtout les anciens de l’école ne vont pas apprécier. On est tous très solidaires les uns des autres… »
C’était une menace à peine voilée. Les élèves de l’HEBAM sont présents dans toutes les grosses boîtes et sont souvent en position pour mettre le veto à une embauche. Même pour les stages, on devra se contenter de postes minables s’ils nous ont dans le nez… Et les notes que nous mettraient les profs seraient sans doute particulièrement sévères. Si Nathalie twittait ne serait-ce qu’une fois en disant du mal de l’HEBAM, un nombre de portes phénoménales se refermerait sur nous. Je voyais à sa tête qu’elle allait crier qu’elle n’en avait rien à foutre, et que ce n’était pas une façon de traiter les élèves… Je la tirais par la manche pour lui faire « non » de la tête.
Elle hésita, mais elle ravala sa colère et son indignation en envisageant les perspectives assez sombres qu’entraîneraient ses actes si elle se laissait aller à son impulsivité. Elle finit par dire :
« Très bien. S’il faut que le BDE intervienne pour que vous agissiez, alors sachez que cette année le nouveau BDE ne laissera plus rien passer des comportements sexistes. »
C’est ainsi qu’a germé l’idée de créer notre liste pour le BDE. Et comme j’en étais l’élément déclencheur, j’étais contrainte de me retrouver dessus. Nathalie voulait même que j’en sois présidente et tête de liste. Que je sois le porte-étendard… en gros, moi qui au départ souhaitais régler cette affaire discrètement, je me trouvai propulsée en avant… Je réussis toute de même à la dissuader de me nommer en tête de liste en lui démontrant qu’elle serait bien plus apte que moi à exercer le poste de présidente. Mais je me retrouvais quand même n°2, ce qui signifiait vice-présidente. En dehors de nous deux, il y avait 14 autres membres, 14 filles plus précisément. Nous en étions fières, car les deux listes concurrentes étaient très majoritairement masculines et les quelques meufs présentes chez eux n’étaient éligibles à aucun poste important.
Notre état d’esprit était au top, nous étions quasi sûres de gagner. Presque toutes les filles de l’école allaient voter pour nous, tandis que les votes des mecs se répartiraient entre les deux autres listes. Même s’il y avait un peu plus de mecs que de filles dans l’école, quelque chose comme 60% - 40%, le vote féminin serait décisif. Sans compter que si la participation n’était pas toujours très élevée, beaucoup d’étudiantes se déplaceraient pour voter pour une cause noble et morale comme la nôtre. Nous avions un nom « #NousAussi » et un logo, une femme montrant ses muscles, cela promettait l’empowerment pour toutes les étudiantes, et une menace pour tous les porcs.
Notre concurrent le plus sérieux était la liste « Play Hard » qui comprenait près de la moitié du BDE actuel, dont l’actuel président. Leur logo était un lion rugissant.
La troisième liste était constituée de beaucoup de premières années et s’appellait « l’HEBAM BOUM » avec un logo d’une explosion d’un tonneau de bière.
Traditionnellement, après l’élection, une partie de la liste perdante intégrait le BDE avec des rôles de subalternes. On confiait à ces membres les tâches ingrates comme la tenue du vestiaire pendant les soirées, ou de faire le ménage après les fêtes.
Le 13 octobre, alors que nous étions en pleine réunion dans une des salles de la fac qui était prêtée pour un mois aux listes candidates, une section des mecs de la liste « Play Hard » débarquèrent pour nous intimider :
« Vous savez ce que vous ferez quand vous aurez perdu, bande de gouines ? Ça dépendra de vous en fait, on vous laissera le choix entre laver nos urinoirs ou laver nos bites. »
Bien sûr, Nathalie entra immédiatement en fureur en entendant de genre de remarques machistes :
« Lorsqu’on aura gagné, c’est vous qui ferez le ménage et on vous habillera de tenue de filles, vous porterez des talons aiguilles, du beau maquillage et du rouge à lèvres et des strings. On va vous apprendre ce que c’est que la charge mentale. »
Ce fut sur ce genre de menace que la campagne débuta. Nous étions remontées à bloc, et les flyers pour notre première soirée avaient été distribués. Les filles du campus semblaient enthousiastes à l’idée de venir à une soirée qu’on leur présentait comme safe, où elles n’auraient pas à avoir peur de se retrouver dans une chambre d’étudiant inconscientes et baisées parce qu’elles auraient trop bu. Et bien sûr, on allait faire payer les mecs très cher pour entrer. Comme il y aurait pas mal de filles, ils seraient attirés comme des mouches et on n’allait pas se priver pour les faire raquer. On avait aussi pas mal de sponsors, c’était assez facile de les trouver, beaucoup de marques étaient ravies d’être associées à une liste qui soit dans l’air du temps et luttait contre le sexisme. Du coup, on ne déboursa presque rien de nos poches.
En tout cas, tous ces préparatifs étaient épuisants. Nathalie était quasi constamment sur mon dos. Alors, lorsqu’en fin d’après-midi j’avais fini ma journée de cours et mon travail comme listeuse, je n’avais qu’une envie : rentrer dans mon dortoir. Mais voilà qu’en sortant la tête de la salle réservée pour notre liste, je vis Nathalie arriver dans ma direction. Vite, je refermai la porte. Si elle m’apercevait, elle voudrait passer la soirée à revoir un projet sur lequel on avait déjà passé plus de dix heures… J’avais d’autres choses de prévues…
Il y avait un placard à balais au fond de la salle et je me cachai dedans. Quand Nathalie ouvrit la porte et demanda :
« Il y a quelqu’un ? »
Je me tus. Elle se mit alors à râler tout bas :
« Elles peuvent pas éteindre la lumière en partant… ? C’est pas écolo ça. »
J’entendis le clic de l’interrupteur, et tout de suite après une autre voix :
« Ne ferme pas ! J’ai un fichier à récupérer sur un des ordis. »
C’était Valérie. Par la porte du placard entrouverte, je pus voir sa tête brune et son petit corps énergique. Une vraie boule d’énergie toujours prête à se mettre en colère.
« Bon, alors tu fermeras derrière toi, et n’oublies pas d’éteindre en partant.
— Évidemment ! Tu me prends pour qui ? Comme si j’allais oublier ! »
J’entendis Nathalie partir, et Valérie se mettre devant un des ordinateurs. Je ne sortis pas, je ne tenais pas à expliquer à ma co-listeuse pourquoi je me cachais dans un placard, je préférais attendre deux minutes qu’elle finisse de récupérer son fichier.
Sauf qu’au bout de cinq minutes elle n’était toujours pas partie. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien foutre ? Ce n’est pourtant pas compliqué de faire un copier-coller vers sa clef USB. J’entrouvris un peu plus la porte, elle était devant l’écran de l’ordi en train de respirer fort. Soudain la porte de la salle s’ouvrit à nouveau, je vis Valérie rapidement attraper la souris et se mettre à cliquer.
À la porte se trouvait une autre listeuse : Amandine, une jolie blonde avec un sourire charmant.
« Nathalie m’a dit que je te trouverais ici.
— Ouais et alors, répondit Valérie assez maussade. Qu’est-ce que ça peut te faire ?
— J’avais envie de te voir.
— C’est bon, tu m’as vu, tu peux repartir. »
Loin d’être irritée par les propos de Valérie, Amandine se rapprocha d’elle avec toujours son mignon sourire.
« Qu’est-ce que tu fais toute seule dans la salle, le soir...?
— C’est pas tes affaires ! Mais si tu veux savoir, je récupérais un fichier que j’avais oublié.
— Vraiment, c’est tout ?
— Oui, pétasse.
— Alors pourquoi ton visage est tout rouge.
— Parce que tu m’énerves. »
Amandine était maintenant juste à côté de Valérie, elle posa sa main sur la souris.
« Voyons un peu cet historique, mmm… ça à l’air intéressant ça… »
Je l’entendis cliquer deux ou trois fois et deux secondes plus tard, j’entendis sortir des haut-parleurs :
« Oh ! Ah ! My god! Fucking slut, lick my pussy! I will make you my bitch, get on your knees and lick me like a good little whore. OH ! OH ! MY GOOOOOD ! »
Et d’autres bruits de jouissances. Valérie et Amandine se battaient pour le contrôle de la souris. Valérie cria : « T’es folle ! Baisse le son, imagine que quelqu’un passe…
— Justement, c’est pour ça que tu regardes du porno ici… t’aimes ça, risquer de te faire surprendre en train de te masturber, t’es une exhibitionniste ma cochonne.
— Ta gueule !
— Tu sais comment me faire taire, embrasse-moi.
— Je t’ai déjà dit que tu m’intéresses pas.
— Rappelle-toi le mois dernier.
— C’était la dernière fois, je te l’ai dit. »
Malgré ses protestations, je pouvais voir qu’Amandine était en train de caresser le visage de Valérie et que celle-ci le laissait faire. D’ailleurs Amandine finit par poser ses lèvres sur celles de Valérie pendant que derrière elles le porno lesbien continuait :
« Now, look at my big toy. I’m gonna fuck you deep and strong, slut.
— Oh no! It’s too big! Ooooooh !! »
J’entendis Valérie finir par s’écarter de la bouche de son amie dans un bruit de langue et concéder :
« Disons qu’aujourd’hui, c’est la dernière fois…
— Bien sûr, au moins jusqu’à demain…
— Laisse-moi fermer la porte. »
Pendant qu’Amandine s’éloignait, Valérie coupa le porno. Merde, j’étais vraiment coincée. Ces deux gouines allaient faire des trucs dégueulasses, et moi j’étais cachée dans un placard à balais.
Amandine plutôt que de revenir vers Valérie après avoir fermé la porte, s’arrêta à un bureau
« Tu m’aimes ? demanda-t-elle. »
Valérie s’était rapprochée.
« Je t’aime pas, je te baise juste. »
Dit-elle juste avant de l’embrasser à pleine bouche, je pouvais facilement entendre les bruits moites qui survinrent quand leurs deux langues se mélangèrent. Valérie tint la tête blonde d’Amandine tandis que les mains de celle-ci s’étaient posées sur les fesses fines de Valérie. Leur étreinte se relâcha et Valérie se précipita pour détacher les boutons du chemisier d’Amandine. Une fois retiré, elle s’empressa de lui retirer son soutien-gorge pour se mettre à lui lécher ses gros tétons.
Je me demandai ce qui pouvait bien les pousser à faire ça. Pour un homme je comprends, mais une femme ? Quel besoin de peloter les seins d’une autre ?
Amandine prenait un plaisir évident à se faire mordiller les nichons par la bouche rapace de sa copine. « Oh, je commence à mouiller, ma cochonne.
— Et moi alors, qu’est-ce que tu crois… »
Ce fut Amandine qui se baissa pour déceinturer le pantalon de Valérie, dessous elle portait une culotte rouge.
« Oh, t’as gardé la culotte que je t’ai offerte. Tu sais que…
— Tais-toi et lèche-moi, salope. »
Amandine retira vite la culotte et commença à fourrer sa langue dans la fente humide de Valérie. Je la vis se raidir, puis gémir sous les coups de langue qui lui étaient prodigués.
« Oh, c’est ça, lèche mon petit minou, il est tellement humide… »
Ses tétons pointaient alors que ses mains étaient posées sur la chevelure d’Amandine, lui pressant le visage contre son abricot. Quand ses jambes se mirent à trembler, elle s’assit sur le bureau, ayant visiblement du mal à tenir debout. Elle continua à exercer une pression sur la tête d’Amandine, ne souhaitant pas qu’elle arrêtât une seconde de lui brouter la chatte.
Elle avait maintenant les jambes écartées, la tête de la lesbienne entre ses cuisses. Ses mains se posèrent sur ses nichons pour se caresser. Moi-même, j’étais un peu « émue ». Et je remarquai que mes mains étaient passées dans ma culotte. Je ne me souvenais pourtant pas l’avoir fait, une impulsion inconsciente sans doute. Valérie gémissait de plus en plus fort quand Amandine se rejeta soudain en arrière. Valérie rugit : « Qu’est-ce que tu fais sale pute ! Finis-moi !
— Sois pas égoïste, tu sais ce que je veux moi aussi…
— Salope !
— Autant que toi, ma furie. »
Valérie en colère sauta du bureau et poussa Amandine sur une chaise, je la vis arracher la culotte de son amie et foncer tête la première sur la chatte juteuse. Je l’entendis laper comme une chienne qui boirait à une écuelle. Elle semblait vouloir gouter à la fraise sucrée comme si elle était en manque. Amandine émit de petits : « Oh ! » que je trouvais irrésistible. Mes doigts étaient maintenant bien enfoncés dans ma fente ; j’étais captivée par le spectacle. À tel point que ma tête poussa la porte de l’armoire provoquant un petit grincement. Valérie était trop occupée par son activité pour le remarquer, mais Amandine jeta immédiatement un coup d’œil dans ma direction. Je me reculai précipitamment, priant pour qu’elle ne m’ait pas vu les épier. Fort heureusement, je l’entendis de nouveau pousser ses petits cris de chienne en chaleur ce qui prouvait qu’elle n’avait rien dû voir d’anormal.
J’haletai au fond du placard… Ce n’était pas que je sois soudainement devenue lesbienne, mais l’excitation des deux nanas, leur sans-gêne, leur comportement impudique et audacieux, tout cela me rendait toute chose. Je crois que même la plus hétéro des filles devant ce spectacle était obligée de s’imaginer en train se faire dévorer sa petite chatte.
« C’est bon, t’as eu ton compte ? finit par demander Valérie
— T’as été une super gouine, maintenant va chercher ce qu’il y a dans mon sac. »
Je me rapprochai de nouveau de la porte pour voir Valérie sortir un énorme gode du sac d’Amandine, et en y prêtant plus attention, ce n’était pas un simple gode, mais un godemiché double, l’un collé à l’autre. Je ne comprenais pas trop l’utilité… jusqu’à ce que je le visse en action.
Valérie se coucha sur le sol et enfonça un bout dans sa chatte, Amandine la rejoignit et enfonça l’autre bout dans la sienne. Elles placèrent leurs jambes en ciseaux et commencèrent à donner des coups de bassin, à se toucher et à crier. C’était torride, elles furent rapidement en sueur, leurs seins étaient durs, j’entendais le bruit de leur chatte spongieuse. Et quand l’une donnait un coup, le gode s’enfouissait encore plus dans le con de l’autre. C’était tellement sale, ces deux femmes se baisant comme des porcs.
Pourtant je ne pouvais pas m’empêcher de regarder ce spectacle vicieux, ma main se remit à glisser vers le bas, à caresser ma cramouille, je commençais à être humide… mais moins qu’elles… je voyais le gode couvert de leur mouille. C’en fut trop pour l’une d’elles. J’entendis Valérie crier :
« OOOOHHH !!! »
Elle se rapprocha d’Amandine pour l’embrasser, leurs deux langues se mélangèrent. Valérie prit le gode en main et commença à pilonner la chatte de son amie. En peu de temps, elle aussi atteignit l’orgasme.
Les deux dépravées rirent en se rhabillant, leurs visages illuminés par leur séance de baise. Valérie récupéra sa clef Usb et quitta la pièce le sourire aux lèvres, Amandine la suivit juste après, éteignit derrière elle et ferma la porte.
Je quittai enfin le placard, j’étais la seule à ne pas avoir atteint un climax. Mais après tout, je ne tenais pas à jouir face à un spectacle aussi désolant. Je me dirigeai vers l’interrupteur et rallumai la lumière. Deux secondes plus tard, la porte s’ouvrit, c’était Amandine.
« Alors cochonne, on se rince l’œil ? »
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