Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 135 J'aime
  • 3 Commentaires

Coups fourrés pour l'élection du BDE

Chapitre 4

Mousse party et chatte en furie

Lesbienne
Résumé :
Chapitre 1 : Après avoir subi un comportement toxique d’un professeur et de membres du BDE (bureau des élèves), Estelle décide avec l’aide de Nathalie de créer une liste pour l’élection du nouveau BDE. Lors d’une soirée de précampagne, Estelle se retrouve accidentellement cachée dans un placard et voit deux listeuses, Valérie et Amandine, s’en donner à cœur joie.
Chapitre 2 : Estelle gifle Amandine qui cherchait à profiter de son voyeurisme pour l’embrasser. Plus tard, alors que la liste des filles organise une soirée, les membres du BDE lancent des boules puantes pour gâcher la fête. Plus grave, ils se sont débrouillés pour mettre en ligne des photos humiliantes d’Estelle.
Chapitre 3 : Décidé à se venger, un groupe de filles veut déclencher un incendie lors de la fête organisée par le BDE au Red Groove. Mais c’est l’échec. Amandine et Valérie sont capturées, et comme contrepartie à leur tentative de destruction, elles sont forcées de danser dans une cage et de se comporter lubriquement.


Lorsque je me réveillai, mon corps était encore endolori par la nuit que j’avais passée à recevoir des décharges électriques dans la cage du Red Groove. Et ce n’était pas la sonnerie de mon réveil qui m’avait sorti du sommeil, mais la sonnette de la porte. Quelqu’un se moquait bien de mon besoin de quelques heures de sommeil supplémentaires ce dimanche. Alors que je me levais, la sonnerie fit place à des coups.
« Ouvre la porte Estelle, c’est urgent ! »
J’ouvris, c’était Isabelle qui toquait, sans même attendre d’invitation, elle entra dans mon studio tout en s’expliquant :
« Il s’est passé quelque chose hier, de grave. Nathalie est dans tous ses états. »
Isabelle avait les yeux grands ouverts. Elle était un peu peureuse et s’affolait facilement. Elle avait beaucoup hésité à rejoindre notre liste, craignant que s’opposer au BDE actuel puisse lui nuire. Mais lorsque je lui avais raconté mon histoire, comme le professeur avait cherché à abuser de moi, elle nous avait rejoints. Je ne croyais pas que ce soit complètement par solidarité, j’avais vu sa tête quand je lui expliquais la façon dont cette raclure de prof m’avait touché les fesses et fait des avances. C’était évident qu’elle avait la trouille que cela puisse lui arriver et elle voulait à tout prix éviter ça.
« C’est affreux, Nathalie n’a pas voulu me dire exactement le problème, elle veut d’abord avoir tous les éléments. Elle a dit que je dois te ramener à l’école et fissa ! Heureusement tu es déjà prête, enfin je crois… »
Elle regarda ma tenue, je portais toujours les vêtements de la veille, n’ayant pas eu la force de me changer avant d’aller me coucher.
« Ouais, c’est bon, je te suis. »
Arrivée dans la salle de réunion, toutes les filles de notre liste étaient au courant d’une partie des événements de la veille. Ça n’avait rien de surprenant, quantité de vidéos de moi et de Valérie dans la cage circulaient sur l’intranet de l’école. Nathalie avait donc organisé une réunion pour avoir nos explications. Valérie commença à se justifier, mais s’embrouilla au bout de deux phrases, je pris la relève :
« Nous n’avions pas le choix, on était victime de chantage.— Comment ça ?— Eh bien… On a essayé d’allumer le feu au Red Groove.— Quoi !! mais vous êtes cinglées !— Il fallait bien leur faire payer d’avoir saboté notre soirée.— Et voilà le résultat… Comment on va expliquer que…— Il faut exclure ces deux dépravées ! »
C’était Marie qui venait de crier ça. J’avais remarqué qu’elle était sur les nerfs depuis le début de cette réunion de crise. Ça ne me surprenait pas trop, c’était une catho intégriste, du genre à aller à l’église le dimanche. Du coup pas étonnant qu’elle ne veuille pas se retrouver dans une liste avec des danseuses lesbiennes. Je devais mettre les points sur les i.
« J’avais pas le choix ! La cage était électrisée, si on ne faisait pas ces cochonneries, on prenait des coups de jus. »
Je vis qu’elles me regardaient toutes avec un air dubitatif.« C’est pas comme si on avait pris le moindre plaisir à tout ça ! Dis-leur toi, Valérie.— C’est vrai, répondit-elle mollement. — Vous voyez…— Ça ne change rien, répliqua Marie. On a fait une liste parce qu’un prof t’a mis la main aux fesses et quand on te voit sur ces vidéos, les nichons à l’air devant tout le monde… en train d’embrasser une autre fille et bien…— C’est des conneries ! interrompit Nathalie. Estelle n’a pas voulu qu’un prof lui touche les fesses, c’est un abus d’autorité. Tandis qu’elle peut bien danser topless si c’est son choix… enfin… c’était pas vraiment son choix, mais… Mais l’important c’est de coller à nos idéaux, aucun prof ou élève n’a le droit de nous toucher sans notre permission… Pour ce qui est de l’incident au Red Groove, vu que Valérie et Estelle ont voulu provoquer un incendie, nous ne porterons pas plainte pour la diffusion des vidéos, mieux vaut passer cette histoire sous silence… Vous êtes d’accord toutes les deux ?— Ouais.— Oui, répondit aussi Valérie.— Bien je crois que nous sommes toutes d’accord, et il est trop tard pour reculer de toute façon. Je vois aussi que certaines d’entre vous sont à cran, alors profitez de ce dimanche pour vous reposer, et demain soyez prête pour notre prochaine animation. Je veux que tout soit parfait. »
Notre animation consistait en une « Mousse Party » dans le gymnase. On avait loué un canon à mousse, du produit moussant et de la grosse sono. À ceux qui craignaient que notre liste puisse paraître terne et ringarde, nous allions leur prouver le contraire !Notre plan était simple, on allait mettre de la super musique et se relayer pour danser toute la journée. Toute l’école était invitée, l’activité serait filmée et ça démontrerait qu’on pouvait être féministe et aimer faire la fête. On avait sorti nos plus belles robes, et on prouverait que notre liste apporterait à l’HEBAM un côté festif et sexy à l’opposé du machisme corseté de la liste « Play Hard ».
Le lendemain matin, j’étais une des premières sur place. Je devais m’occuper de l’organisation et de l’installation des machines. Pour faire des économies, nous avions juste loué le matériel. J’étais persuadée que nous pouvions tout monter et tout mettre en marche sans aide extérieure. Les semaines précédentes, j’avais potassé la documentation et j’étais capable de faire fonctionner de la machine à mousse. Nathalie pourrait me seconder, sauf le matin où elle était occupée par ses cours, les autres personnes qui avaient la possibilité de m’épauler étaient Amandine et Marie. Ce qui était gênant. Marie m’évitait, elle me prenait pour une dévergondée de la pire espèce (dans son esprit j’étais sûre qu’elle m’associait au mot "salope") et moi j’évitais Amandine, entre la claque que je lui avais mise, et la nuit passée à me frotter contre sa copine… j’avais des raisons de penser qu’elle pouvait avoir une dent contre moi.
Je fus tout de même obligée de me rapprocher d’elle, car sur le panneau central, l’aiguille indiquant que le niveau de produit moussant dans la réserve hydraulique était légèrement trop haut. Ça n’avait rien d’inquiétant, mais c’était anormal. Je me rapprochai du réservoir où se trouvait justement Amandine, et lui demandai :
« Tout va bien ici ?— Non, j’ai l’impression que tu me fuis depuis tout à l’heure.— Je veux dire, il me semble que le taux de volatilité est un peu trop élevé par rapport à ce qui est indiqué dans le manuel. »
Amandine ignora mon inquiétude en se rapprochant de moi, et me toucha la joue :« T’as un problème avec moi ou quoi ? Je vois bien que tu t’éloignes chaque fois que je suis là.— Euh… d’accord, c’est vrai. Je sais que tu sors avec Valérie, et t’as sans doute mal pris ce qui s’est passé au Red Groove. Mais tout ça, c’était contre ma volonté, je te le jure !— Ouais j’imagine… parce que t’es une vraie hétéro qui n’aime pas les filles, hein ?— Ben…— Pourtant tu nous mates quand je fais des bisous à Valérie, et dans les vidéos on voit bien que t’aimes poser tes mains sur ma petite-amie… Alors qu’est-ce que je dois comprendre ?— C’est… ce sont des coïncidences… vraiment je te le jure. J’avais pas le choix, je…— Ouais, c’est ce que disent toutes les petites hétéros bien sages, quand elles sont surprises dans les bras d’une lesbienne. "C’est la faute à la méchante lesbienne !" Mais toi, on te voit sur vidéo, et quand tu embrasses Valérie, et que tu lui pelotes les nichons y a personne qui te force.— Si ! Et si tu veux pas me croire, tant pis ! Qu’est-ce que tu veux que j’y fasse...— Y a quelque chose que tu pourrais faire. Je suis en colère contre Valérie par ta faute, elle m’a quasiment trompée.— Je suis désolée pour ça…— Alors je voudrais rétablir l’équilibre… ce que t’as fait avec ma copine, faudrait que le fasse aussi avec moi— Hein !? C’est pas possible, je suis désolée, mais je suis vraiment pas lesbienne.— Mais tout ça c’est ta faute. C’est à cause de toi qu’on a créé cette liste : pour te défendre. Quand sur l’intranet les mecs ont posté cette photo dégueulasse de toi aux toilettes, c’est pour te défendre que Valérie a lancé le plan d’incendie. Et quand elle t’a proposé de risquer son avenir pour toi, t’as pas dit non. T’as juste voulu te venger. T’en pas marre d’être toujours responsable de conneries et de jamais assumer ?— Je…— Alors viens avec moi. »
Amandine me prit le bras et m’entraîna plus loin dans le gymnase, jusqu’à une réserve où se trouvaient des ballons, des plots, des maillots et d’autres matériels sportifs.
Amandine éteignit juste après m’avoir fait entrer : « On va rester dans la pénombre, ce sera plus facile pour toi. »
Elle me poussa sur un tatami. Et je n’osai pas la repousser, c’est vrai que j’étais responsable de beaucoup de bêtises, et de l’humiliation qu’avait subie sa petite amie. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fit une timide tentative pour entrer dans ma bouche. Je l’entrouvris et elle s’engouffra dedans, sa langue caressant la mienne. Au même moment, ses mains passèrent sous ma robe et me caressèrent les seins. Je frissonnai, ses mains titillèrent mes tétons et j’ouvris complètement la bouche. Elle colla ses lèvres contre les miennes.
J’avais beau répéter que je n’étais pas lesbienne, que les filles ne m’attiraient pas, dans cette situation, ma chatte commençait à mouiller.
Amandine arrêta de m’embrasser pour me susurrer à l’oreille : « Je vais te faire l’amour longuement et avec passion, tu vas voir que t’as pas besoin de bite pour grimper au rideau.— Mais… j’ai pas fait l’amour avec Valérie, c’est…— Oublie Valérie, un de ces jours on se fera peut-être un plan à trois, mais là, nous ne sommes que toutes les deux. Alors tu peux arrêter de faire la dure, et te laisser aller entre mes mains, petite salope… »
Ses mains dégrafèrent l’arrière de ma robe et je me retrouvai quasiment nue, en petite culotte et soutien-gorge. Puis, ses mains expertes défirent d’un claquement de doigts le clapet et elle fit disparaitre le soutif, elle pétrit mes seins avec une dextérité sans pareil, elle glissa lentement sa main droite dans ma culotte. Son index s’introduisit dans ma fente humide et son pouce me caressa le clitoris. C’était une virtuose, aucune hétéro ne pouvait rester insensible à son toucher. Je me cabrai sous des doigts aussi agiles.Elle arrêta de m’embrasser, et descendit lentement sa langue le long de mon corps. Commençant par me lécher le cou, puis déclenchant un long gémissement de ma part lorsqu’elle me suça les tétons, elle remplit ensuite mon nombril de salive, puis elle arriva sur ma chatte. Ses dents frôlèrent mon bouton d’orge, me crispant de plaisir. Quand sa langue commença à me lécher, ses coups de langue me donnèrent l’impression de faire chauffer mon corps à cinquante degrés !
Je commençais à être jalouse de Valérie, qu’elle ait une telle experte rien que pour elle, qui lui prodiguait ces délices tous les jours et toutes les nuits…
Mon plaisir devenait de plus en plus fort, de plus en plus intense, j’étais au bord de l’orgasme… quand elle stoppa net ! Immédiatement je suppliai :
« Non ! N’arrête pas ! Continue, s’il te plaît, fais-moi jouir.— T’inquiète pas pour ça, petite cochonne, je vais te faire grimper au septième ciel. Mais avant, il est temps que tu me rendes la pareille. »
De sa main, elle retira une petite culotte rouge en dentelle de sous sa robe.
« Comment ça ? Qu’est-ce que… qu’est ce…— Ne fais pas l’idiote, c’est à ton tour de me brouter le minou.— Mais… mais je ne suis pas lesbienne…— Ça te dérange pourtant pas quand je m’occupe de toi, petite chienne.— Mais…— Bon, très bien, je vais jouer à la méchante lesbienne qui force les sages petites hétéros puisque c’est ce que tu veux. »
Elle alluma la lumière et se déplaça dans la pièce de stockage remuant les étagères, pendant que je regardais ses fesses comme si j’étais un mec. Je la trouvais si sensuelle, si irrésistible, elle m’excitait plus que tous les garçons que j’avais rencontrés, et la vérité était que son minou me faisait envie. Tout son corps me faisait saliver, mais j’étais hétéro et c’était impossible que…
« Voilà ce que je cherche ! »
Amandine revint vers moi, elle se pencha et agrippa mes bras, je la sentis passer une corde autour de mes mains, me ligotant fermement.« Voilà maintenant, tu es une hétéro victime d’une gouine sans scrupule. Tu peux me lécher la chatte sans craindre de perdre tes convictions…"
Alors que j’étais allongée, elle plia, ses genoux au-dessus de ma tête. Sa fente déjà juteuse m’arriva sous le nez. J’obéis à son ordre sans me poser plus de questions, tirant la langue pour me délecter deson abricot. Elle avait les poils de chatte en forme de cœur, très jolie… Et à ma grande surprise, je n’éprouvais aucune répugnance. Il est vrai que déjà hier, alors que la nuit semblait interminable et que j’embrassais Valérie, lui suçait les seins, je m’étais habituée. J’avais surmonté mon dégoût d’être intime avec une femme. J’avais appris à me laisser porter par les sensations, et à simplement profiter du corps d’une autre belle fille.
Et avec Amandine je me réalisai que, malgré mes idées reçues, non seulement je n’avais aucun mal à lécher une femme, mais j’en raffolais. Elle était si belle, si douée, douce et à la fois sûre d’elle que j’avais envie d’être à sa botte, de la servir et de la déguster aussi complètement que possible. Je léchais avec application, enfonçant profondément ma langue, me réjouissant des gémissements de ma dominatrice, me régalant du jus qui suintait de sa foufoune.
Puis soudain j’entendis :
« Estelle, t’es là ? tu… OH MON DIEU !!! »
Je reconnus immédiatement ce cri strident et cette invocation du père éternel, c’était Marie.
« Qu’est-ce que vous faites !?— Tu ne vois pas ? répondit Amandine. Je me fais gouiner la chatte pas cette chère Estelle.— Mais c’est immonde ! Arrêtez ça !— Je t’assure que j’ai pas à me plaindre, et vu son appétit à me brouter, ma petite soumise doit se régaler.— Mais… La fête va commencer dans deux minutes ! Isabelle est paniquée, c’est elle qui est en charge maintenant et…— Vous allez très bien gérer ça. Maintenant tu veux bien partir ? On n’a pas fini et Estelle a encore besoin de pas mal d’entraînement pour devenir une bonne gouinasse.— Mais…— Cela dit, tu peux rester si tu préfères, j’ai très envie de voir ce qui se cache sous ta petite robe, si tu es rasé de près ou…
Marie rougit fortement et partit en claquant la porte derrière elle.
« Ne t’en fais pas, me rassura Amandine. Elle ne va en parler à personne, coincée comme elle est, rien que dire "chatte" ça lui brûle la langue. Et à propos de langue, recommence ton travail. »
En disant cela, elle me pinça les seins. Cela déclencha un spasme jusqu’au tréfonds de mon intimité. C’était à croire que j’aimais qu’elle me soumette, qu’elle joue à la méchante lesbienne. Je mis d’autant plus d’ardeur à lui brouter la chatte, enfouissant ma langue bien au fond de sa fente et la tortillant pour lui donner plaisir.
Et puis l’arrivée de Marie avait décuplé mon excitation, j’avais été surprise totalement nue, servant d’objet sexuel à une lesbienne. Et la façon dont Amandine avait renvoyé la petite catho, son assurance, son courage. J’étais complètement sous son charme prête à tout pour lui donner le plaisir qu’elle voudrait.
Elle ne restait pas inactive, se caressant le clito et n’hésitant pas à frotter sa chatte contre mon visage. Très rapidement, je fus couvert de son abondante mouille.
« Petite cochonne, tu te régales hein ?— Oh Oui !— J’en étais sûre. »
Et je continuais bien sûr, les mains ligotées dans le dos, ma seule option était de lécher. C’était la première fois que j’étais aussi vulnérable devant une autre personne. Cela me donnait envie d’être à sa botte, de devenir complètement dépendante d’elle.
« Oh ! »
C’était Amandine, je compris bien vite le sujet de son petit cri. Sa cyprine goûtait de sa chatte chaude et trempée, elle avait joui grâce à mes coups de langue, je me sentais fière.
Elle se leva de mon visage.
« Ta langue n’est pas si mal, quand tu ne l’utilises pas pour dire des bêtises, petite cochonne. »
Elle pointa son téléphone dans ma direction et ordonna :
« Dis ouistiti ! Je prends toujours une photo des petites hétéros qui m’ont brouté ma chatte. »
Voulant toujours lui faire plaisir, je souris, sentant que sa mouille couvrait toujours mon visage. Elle prit sa photo puis remit sa culotte en dentelle. Moi, après avoir avalé toute sa mouille, je demandai : « Et moi ?— Toi quoi ?— Et ben… j’ai pas.... tu sais… jouis.— Et alors ? »
Je la regardai un peu surprise, tout d’un coup elle se montrait bien cruelle.
« T’es hétéro, non ? tu ne veux quand même pas qu’une femme s’occupe de ta petite chatte ?— Mais…— Je suis pas du genre à forcer une autre gonzesse.— Ça me dérange pas, je veux bien être lesbienne !— J’en suis pas sûre, et puis j’ai du travail aujourd’hui, je dois m’occuper de la fête. »
Elle ouvrit la porte, non seulement elle me laissait frustrée et en chaleur, mais elle allait aussi me laisser nue les mains ligotées dans le dos ! « La corde ! Je suis attachée ! — Ah c’est vrai. Ça, c’est pour la claque que tu m’as mise il y a une semaine... tu croyais que j’avais oublié ?— Oh... je suis désolée, je n’aurais pas dû. S’il te plait, Amandine, ne me...— Tais-toi ! J’ai vu un cutter sur l’étagère, je suis sûr que tu t’en sortiras. »
 Elle sortit, laissant la porte ouverte. Alors que je la vénérais presque, je n’arrivais pas à croire qu’elle me jouait ce tour-là. J’étais en colère contre elle, une rage incroyable. Mais derrière cette rage, je savais être prête à tout pour qu’elle recommence à me traiter comme une esclave. Je n’avais toutefois pas le temps d’analyser plus complètement mes sentiments, je me précipitai pour refermer la porte de la tête, espérant que personne ne vienne ouvrir. Si un mec bourré passait et me trouvait dans cette situation, je ne pouvais pas espérer finir sans un gros dépôt de sperme dans la chatte. Il me fallait espérer qu’ils soient trop occupés par la fête pour jeter un œil à cette salle.
Estelle parviendra-t-elle à se libérer avant qu’un intrus la surprenne ? Est-elle devenue complètement lesbienne ? Voudra-t-elle une revanche sur Amandine ? La « Mousse Party » va-t-elle se dérouler correctement ? Retrouvez la réponse à ces questions prochainement en vous abonnant, et si vous avez aimé, merci de mettre un like !
Diffuse en direct !
Regarder son live