Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 174 J'aime
  • 2 Commentaires

Coups fourrés pour l'élection du BDE

Chapitre 5

Un vrai Pandémonium

Orgie / Partouze
Résumé :

Après avoir subi un comportement toxique d’un professeur et de membres du BDE (bureau des élèves), Estelle décide avec l’aide de Nathalie de créer une liste pour remplacer l’ancien BDE. Hélas, leur campagne démarre assez mal, entre sabotage, humiliations et photos volées, leur campagne n’est pas pour l’instant un grand succès. Et quand ce n’est pas la liste ennemie, c’est un coup bas d’une des filles. Amandine n’ayant pas apprécié une gifle, elle profite de la « Mousse Party » pour laisser Amandine nue et ligotée dans la salle de réserve après l’avoir laissé en chaleur grâce à ses talents de lesbienne experte.

Pendant cinq longues minutes je fouillais les étagères sans rien trouver. Je commençais à croire qu’Amandine m’avait menti, et qu’il n’y avait rien pour me libérer de mes liens. Un mec allait entrer me voir les mains ligotées dans le dos et abuser de moi comme il en aurait envie. Mon esprit se mit à passer en mode panique, qu’est-ce que je devais faire ? Bloquer la porte et attendre que tout le monde soit parti ? Mais après, je serais toujours nue sur le campus… Et si un des membres du BDE passait par là et me trouvait seule, non seulement il me baiserait, mais il y avait toutes les chances qu’il ramènerait ses potes pour que je vive le pire gang bang de ma vie… J’avais entendu une rumeurs selon laquelle certaines filles pour obtenir une faveur du BDE avaient accepté de leur servir de pute, et qu’une fois qu’ils en avaient fini avec elles, ils les passaient au karcher pour retirer les multiples centimètres de croûte de sperme incrusté sur leur peau. C’était un cauchemar que je ne tenais vraiment pas à vivre…
Mon œil aperçut soudainement un reflet métallique dans le coin de la salle.
Je me précipitai dessus, c’était une paire de ciseaux. J’essayai de les prendre d’une main pour couper la corde, mais mes poignets étaient trop étroitement liés pour me permettre de m’en servir. Je changeai de méthode, je trouvai des haltères et parvins à coincer les ciseaux entre deux anneaux de poids, je me tortillai pour m’allonger latéralement et me mis à scier la corde.
C’était lent et fatigant. À tel point que je finis par me demander si les ciseaux n’étaient pas complètement émoussés, mais je poussai un soupir de soulagement quand je sentis un peu de mou entre mes poignets. Ayant retrouvé espoir, je m’acharnai à limer la corde, et un quart d’heure mes liens tombèrent à terre.
Je remis enfin mes vêtements. Mais avant de remettre ma robe, mon regard tomba sur un bâton de relais… Amandine avait un peu coupé mon excitation en me laissant seule et démunie dans ce local, mais j’étais encore en état de frustration et rien que de me rappeler le toucher d’Amandine sur mon corps suffit à me remettre dans un état de bouillonnement avancé. Si je prenais le bâton et l’enfonçais dans mon minou… avec dix petites minutes…
Non ! je devais m’occuper de la « Mousse Party » et vérifier que tout aille bien. Nathalie comptait sur moi, et j’étais déjà super en retard, je pouvais même entendre la musique indiquant que la fête était commencée. En regardant ma montre, je me rendis compte que je me trouvais coincé dans cette réserve depuis plus d’une heure. Si j’étais en manque, ça attendrait ce soir ; je n’étais pas une chienne, j’étais capable de me contrôler. Et peut-être qu’entre temps, je pourrais retrouver Amandine et…
Sur ce fantasme un peu honteux, j’ouvris la porte, et le son de la sono déferla sur moi. Puis ce fut la mousse, le gymnase en était rempli… ma première pensée fut qu’on en aurait pour des heures à tout nettoyer. Il devait y avoir deux ou trois mètres de mousse couvrant tout. Impossible de savoir s’il y avait du monde. C’était anormal. Le niveau de mousse aurait dû être bien plus bas, et les filles n’auraient pas dû lancer le départ de la fête alors qu’on ne voyait rien. C’était dangereux et irresponsable, quelque chose avait déconné.
Je m’avançai dans la mousse, j’entendais des bribes de conversation et des cris festifs. Je frôlai même quelques personnes. Visiblement, y avait du monde. C’était toujours ça, au moins on évitait le flop. Raison de plus pour me rendre au plus vite au niveau de la machine à mousse et régler le problème. Mais je me rendis vite compte que s’orienter dans ce gymnase était bien moins facile qu’il n’y paraissait. On n’y voyait pas à plus d’un mètre et je devais écarter la mousse avec mes bras pour éviter de trop en avaler. Du coup, je me perdis au milieu du gymnase. En réfléchissant un peu je me dis que je n’avais qu’à suivre les murs et je finirais bien par tomber sur la machine. J’allais droit dans une direction dans le but de trouver une des parois. J’avançais à une allure modérée pour éviter de tomber, mais je m’écroulai quand même quand un mec me rentra dedans. Il ne s’excusa même pas et dit à la place :
« Hey toi, t’es vachement jolie ! » Il semblait saoul. « Allez viens, danse avec moi.— Plus tard, là je dois trouver la machine à mousse. »
Je ne voulais pas le repousser trop brutalement, mais lui par contre fit preuve de moins de tact. Il me saisit par la taille et voulut se mettre à danser un slow, c’était un peu gênant. Surtout quand ses mains descendirent sur mes fesses et que sa bouche tenta de m’embrasser.

Je le repoussai en lui donnant une petite balayette pour le faire chuter. Bourré comme il l’était, ce fut un jeu d’enfant. La mousse le recouvrit rapidement, et je me remis à avancer vers le mur.
Mais avec les quelques pas de danse que j’avais esquissés, je me trouvais à nouveau perdu, ne sachant plus dans quelle direction je devais m’orienter. Et puis j’avais la tête un peu ailleurs, je pensais à Amandine, je me rappelais sa délicieuse chatte, et je me sentais prête à tout lui pardonner pour qu’elle me touche à nouveau. Ma tête tournait autour de ce genre de pensées quand mon pied cogna contre quelque chose. Je baissai le regard pour remarquer un corps, puis en y portant plus d’attention je distinguais même deux corps, l’un sur l’autre, et en pleine activité.
Je restais pétrifié, ne sachant comment réagir. Devais-je m’éclipser poliment ? J’étais tentée de le faire, mais mince, je ne pouvais pas non plus laisser un couple copuler en plein milieu du gymnase, j’étais une des responsables de l’organisation de la fête et ça… ce n’était ni prévu, ni autorisé.
« Oh Estelle, c’est toi ?
Le corps en dessous était celui d’une femme, et leur mouvement de copulation éloignant la mousse, je pus distinguer un visage ; c’était Hélène ?
« Alors tu nous mates ? t’as raison, c’est trop fun. Là… c’est euh… tu t’appelles comment déjà.— Moi, euh… Frédéric.— Ouais Frédéric. Qu’est-ce que je voulais dire. Oh ! Oh ! »
Merde, ces deux-là aussi semblaient bourrés comme des coings. Pourtant, boire de l’alcool ici présentait son lot de difficultés, rien que de trouver le buffet était une gageure. En tout cas, ma présence ne les gênait absolument pas pour baiser comme des lapins. Je les regardais comme hypnotisée, j’avais toujours trouvé Hélène vraiment jolie avec son physique un peu bimbo, et ce n’était pas étonnant qu’elle ait autant de succès auprès des mecs, et en voyant son visage se transcender à chaque coup de queue martelant sa bonbonnière, je compris pourquoi ils voulaient tous se la taper. Ça devait être si grisant de pouvoir donner autant de plaisir à une fille en se contentant de la matraquer, de la voir s’abandonner à ses sens avec une telle volupté. Je me mordillais la main tellement je trouvais ça beau et sexy. Un autre mateur se posta derrière moi, un mec. Il me posa la main aux fesses et commença à me caresser au rythme des coups de queue que recevaient Hélène. Leur baise impudique avait de quoi donner des idées et je serais peut-être restée plus longtemps à recevoir des caresses, mais le mec déclara tel un rustre :
« Quand t’auras fini, je pourrais prendre ta place ? »
Deux choses auraient dû me choquer : qu’il parle d’Hélène comme si elle n’était qu’un jouet sexuel, et qu’il demande la permission au type et non à la première concernée.
Mais ce qui m’offusqua réellement fut qu’il souhaitait fourrer Hélène et pas moi.
Vexée, je laissai le couple à sa fornication et repartis. Je commençais à avoir un peu de mal à garder l’équilibre. Toute cette mousse commençait à me rendre folle. Je parvins enfin au mur, lequel ne me semblait pas bien droit. Posant la main dessus, je remontai le long du gymnase. Quand quelqu’un passa devant moi à grande vitesse et s’éclata la tête contre le mur.
« Hey, ça va ? » demandais-je.
Ma voix semblait pâteuse et distordue.
« Hein ? euh ouais.... Ouah t’es trop jolie, je suis sûr que je te connais. »
Sa remarque sur mon physique me toucha en plein cœur et je le trouvais immédiatement adorable.
« Je m’appelle Estelle.— Oh Estelle ! C’est super comme prénom, moi c’est Richard. Dis ça te dirait de bai… de danser avec moi ? »
Je le regardais et non seulement il était d’une gentillesse absolue, mais aussi un joli garçon. Je me sentais légère, et j’avais bien envie de faire quelques pas de danse avec lui… Il me prit par la main et s’enfonça dans la mousse, il se mit à agiter les bras en l’air et je fis de même. Il se rapprocha rapidement pour poser les mains sur mes hanches. Je lui rendis la pareille en posant mes mains sur son cul et le rapprochant encore plus de moi. Je pouvais sentir une bosse bien dure à son entrejambe, c’était vraiment marrant. Dans mon esprit un petit remords me démangeait cependant, n’étais-je pas censé faire quelque chose de plus important que de me déhancher contre un mec mignon ? Mais je n’arrivais pas à me rappeler quoi...
« Tu danses trop bien.— Toi aussi.— Ouais on s’entend bien, hein ?— C’est vrai. »
Et prenant ça comme une invitation, il m’embrassa. Sa langue entra dans ma bouche et se mit à me jouer avec la mienne. Je le laissai agir librement et fermai les yeux. Ses mains se posèrent sur moi, sur mes fesses et sur mes seins. Je me mis à glousser sous l’avalanche de sensation torride.
J’étais électrisée au contact de sa peau et de ses caresses. Je ressortis ma langue de sa bouche, je trouvais ça tellement drôle d’être embrassé par un inconnu, j’avais la tête légère, et une envie de sexe très pressante. Je l’embrassai en retour avec vigueur, le poussant sans même m’en rendre compte jusqu’à ce qu’il se cogne contre un mur. C’était la chose la plus drôle que j’ai vue. J’explosai de rire, et il se mit à rire lui aussi.
« Attends, y a un endroit plus sympa. » Le tenant par la main je le conduisis jusqu’à la réserve ou une demi-heure plus tôt j’avais déjà eu une relation avec Amandine. Je fermai la porte derrière moi et il ne perdit pas de temps. Il baissa son pantalon puis son slip. Sa queue était raide comme un piquet et bien tentante. Il me dit : « Hey, Heu… Christelle.— Estelle, le corrigeais-je. Même si moi aussi j’avais déjà oublié son prénom.— Vas-y, suce-moi ! J’ai trop envie de ta bouche. »
Je m’agenouillai devant lui, ça tombait bien, j’avais du mal à tenir debout. Je lui mignonnai sa queue, elle était bien sexy, très excitante. Pas très grosse pour être honnête, mais je m’en fichais pas mal, j’avais juste envie d’avoir une queue dans ma bouche, de la sentir palpiter sous ma langue, et elle convenait très bien pour ça. Je la pris dans ma bouche comme une championne, toute entière du premier coup. Je me sentais tellement décontractée et bien. Je dévorais cette queue, salivant amplement et effectuant d’amples mouvements de tête.
Malgré le volume de la musique, je pouvais entendre le mec pousser des ahanements montrant qu’il appréciait immodérément de se faire reluire la queue. Mais c’était bien insuffisant pour moi, je sortis, le chibre de ma bouche, lui prodiguai un petit bisou et exigeai :
« Maintenant, il est temps de me baiser. »
Je me relevai et me dégageai de ma robe corolle pour me retrouver en sous-vêtement, je lui offris un petit strip-tease ; je glissai lentement ma culotte le long de mes jambes pour révéler mon trésor à la toison taillé, puis retirai mon soutien-gorge et pressai mes seins l’un contre l’autre, telle une pute cherchant à attirer un client.
Il se rua sur moi comme un taureau sur le toréador. Il me souleva pour embrocher ma chatte chaude de sa corne dure comme de l’ivoire. C’était si bon, son piston coulissa en moi comme dans du beurre, il haletait sous l’effort physique, et moi j’haletais sous le plaisir. Il me défonçait comme une bête, sans penser à quoi que ce soit si ce n’est de fourrer ma petite chatte le plus vigoureusement possible.
Mais il ne tint la position plus de trois minutes, ses bras faiblirent et je redescendis contre son corps en sueur. Comme une vraie chienne, je lui dis :
« Alors, c’est tout ce que t’as ton slibard ? — Oh, tu vas voir ce que tu vas prendre, salope ! »
Il me poussa dans un coin où se trouvait un cheval d’arçon, et me plaqua dessus. Je me retrouvai allongé sur le ventre, sans qu’aucun de mes membres ne touche le sol, par contre ma chatte était bien ouverte, facilement abordable et gouttait de cyprine avec impatience.
Il s’enfonça en moi, profondément, je poussai un cri. Je me fichais carrément qu’on puisse m’entendre, il commença les va-et-vient, me prenant sauvagement. Son rythme s’accéléra, tous ses muscles étaient de la partie. Ses mains sur mes épaules me tiraient vers lui quand il s’enfonçait en moi. Je me régalais. C’était la meilleure baise de ma vie et je n’arrivais pas à croire que c’était avec…
Avec qui déjà ?
Mince, je connaissais même pas ce type ! Pourquoi lui je lui permettais de me baiser comme si j’étais une salope à qui il suffisait de dire "T’es belle" pour la niquer ? Je continuais malgré tout à crier, ses coups de reins étaient brutaux et efficaces, comme s’il n’était qu’une bête agissant par pur instinct de conquête et de reproduction…
Merde, il n’avait même pas mis de capote.
Il éructait des « Hun ! Hun ! Hun ! » chaque fois qu’il prenait possession de ma boîte à jus. Car ma mouille coulait comme une rivière, j’avais un besoin de bite irrépressible.
Et ça ne me correspondait pas du tout, depuis quand j’étais une assoiffée de queue ?
Soudain, il donna une poussée encore plus violente que les autres, il me fit jouir sur le coup alors qu’il restait le visage béa au-dessus de moi, en train de se vider de son sperme par giclée, me fourrant de sa crème sans bouger, ses muscles tendus m’écrasant les épaules. Moi, je poussai le cri le plus aigu de ma vie, et cette sensation d’avoir l’antre rempli de jus me parut merveilleuse.
Quand il finit par se dégager, des blocs de semence coulèrent de mon cornet. Il se redressa, déclarant benoîtement :
« Wah ! c’était top. » Puis il commença à se rhabiller.
Moi je me saisis d’un maillot marqué numéro "un" pour absorber tout le foutre dégoulinant de ma chatte. J’étais gênée, malgré l’énorme soulagement de me retrouver bien baisée, qu’est-ce qui m’avait pris d’accepter de coucher avec un inconnu ? Amandine m’avait fait perdre la tête, mais pas à ce point…
« Bon, j’y retourne, dit, t’as pas un 06 ? Si ça te tente qu’on remette ça. »
Par politesse je lui donnai, et alors qu’il repartait, je restais en pleine réflexion, quelque chose n’allait pas. Je n’étais pas la seule à avoir été prise de frénésie sexuelle. Le premier type que j’avais croisé avait tout de suite voulu m’embrasser, puis j’avais vu Hélène et un mec en pleine copulation à même le sol… Ce n’était pas normal, et vu que je reprenais mes esprits ici, ça voulait dire qu’il y avait un problème dans le gymnase… LA MOUSSE ! Il devait y avoir quelque chose dedans. Je devais arrêter ce désastre au plus vite.
Mais si je traversais le gymnase sans précaution, je risquais de perdre à nouveau la raison et de me transformer en grosse salope.
Cherchant dans les étagères, je récupérais un masque de plongée et une batte de baseball. Le masque filtrerait l’air et m’empêcherait d’absorber de la mousse, et la batte filtrerait les mecs trop lourds. J’ouvris la porte et m’aventurai dans le gymnase. La musique était toujours aussi forte et c’était de la vieille disco. Soit on avait mal choisi la fille chargée de faire le DJ, soit il lui était arrivé quelque chose à elle aussi. Je suivis les murs. Remontant aussi vite que possible vers la machine. Arrivé au premier coin, je tombai sur un couple baisant sauvagement.
Le mec défonçait l’utérus de la fille en levrette sans se préoccuper de pouvoir être surpris. Je reconnus Kerri, une étudiante noire américaine et ultra-féministe. Mais en ce moment, elle n’avait rien d’une militante, mais plutôt d’une chatte en chaleur poussant des miaulements indignes d’elle. Je donnais un coup sur la tête du mec qui s’effondra. Kerri regarda son amant s’effondrer, mais loin de retrouver ses esprits, elle se posa à califourchon sur le mec et commença à le chevaucher comme une furie.
Je devais vraiment me presser ! Mais voilà qu’un mec se présenta devant moi :
« Hey toi, t’as pas envie de baiser ? »
Il n’avait déjà plus de pantalon, je lui donnai une violente poussée de batte et il s’écroula par terre. Je poursuivis mon périple, et cinquante mètres plus loin, j’arrivai au niveau de la machine à mousse.
Je la débranchai et coupai la musique. À la place de la disco tonitruante, un autre genre de musique fit son apparition, c’était un concert de gémissements, de râles, et de cris de plaisir. Derrière le nuage opaque de mousse se déroulait une orgie infernale, la plus grosse baise que l’HEBAM ait connue. Rien que d’entendre tous ces étudiants qui prenaient leurs pieds, je me sentis excitée, mais je ne devais pas perdre de vue mon but. Je courus ouvrir les portes de sortie pour que la mousse commence à se déverser à l’extérieur, et la vision qui s’offrit à moi fut celle d’un vrai pandémonium, partout des couples baisaient, et parfois plus que des couples. Placée sur la longue table devant normalement servir au buffet, je pouvais voir Hélène une queue lui fourrant la chatte et une autre dans sa bouche et un autre mec se masturbant par-dessus. Contre un mur, je vis Amandine qui avait la main dans la culotte de Marie, celle-ci gémissait salement, et se montrait douce comme un caniche quand elle suça le doigt de sa partenaire trempée de sa mouille. Kerri avait abandonné son partenaire assommé, et avait trouvé une fille qui lui léchait goulûment la chatte malgré le sperme qui en dégoulinait...
Il y avait d’ailleurs quantité de filles hors de notre liste, qui étaient souvent à moitié dévêtue en train de forniquer avec des mecs eux aussi quasiment tous à poil.
Je vis les filles et les mecs reprendre peu à peu leur esprit dans le gymnase, la plupart cherchant leurs vêtements. Certaines filles tentaient de se cacher le visage pour ne pas être reconnues. Je cherchais Nathalie du regard, mais impossible de la trouver, je l’appelai au téléphone, elle décrocha immédiatement.
« Allô ? Estelle ? La fête se passe bien ? Je suis un peu occupée là, mais je te fais confiance pour…— On a un gros problème Nat ! il faut que tu rappliques immédiatement— Je vais faire ce que je peux. »
Elle raccrocha. J’étais assez contente qu’elle ne se soit pas retrouvée dans ce bordel, au moins elle aurait la tête claire pour prendre les bonnes décisions.
Quand elle arriva, une demi-heure plus tard, il ne restait plus que nous, les filles de la liste. Les autres étaient reparties, assez fâchées pour la plupart. La réaction des mecs était moins outrée, beaucoup allèrent même jusqu’à nous remercier, trouvant qu’on avait organisé la fête la plus réussie de l’année.
Nathalie nous avait fait fermer le gymnase à clef et nous avait réunis dans le local de notre liste.
« Ça fait pas de doute, ce qui s’est passé dans ce gymnase n’est pas naturel. Et j’aimerais bien savoir la cause de ce bordel ! Estelle, tu t’es bien chargé de la vérification du produit moussant ?— Heu… j’ai euh… »
Merde, je n’en avais pas vraiment eu le temps… j’avais été "distraite" par Amandine lorsqu’elle m’avait emmené dans la pièce de stockage pour me baiser. Le rouge me monta au visage alors que je devais avouer ma faute et révéler comment au lieu de me montrer digne de confiance, j’avais préféré servir de salope à ma colistière.
« C’est un sabotage… » intervint Amandine, me sauvant la mise. « Quelqu’un a dû ajouter un produit dans le fabricateur de mousse.— C’est bien possible, admit Nathalie, mais qui ? L’une de vous a vu un des membres de "Play Hard" s’approcher de l’installation ?— Non, » répondit Anne qui était chargée de surveiller les portes du gymnase, « Je n’ai pas bougé de mon poste de tout le matin, et aucun de ces bâtards ne s’est approché.— Ça ne peut vouloir dire qu’une seule chose, » affirma Amandine. « Il y a une traîtresse parmi nous. »
Les filles trouveront-elles la traîtresse ? Et quel sort pourra-t-il lui être réservé ? Cette orgie infâme restera-t-elle sans conséquence majeure ? Estelle va-t-elle vouloir se mettre en couple avec Amandine malgré son sale coup ? Valérie apprendra-t-elle qu’Amandine l’a trompée ? Des réponses au prochain chapitre, alors abonnez-vous, et si vous avez aimé, likez ! »
Diffuse en direct !
Regarder son live