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Le cours brûlant

Chapitre 1

Hétéro
La cloche de l’école vient de retentir, annonçant enfin l’arrivée de la pause. Tous les étudiants de l’école en profitent pour relaxer, bavarder entre eux ou griller une cigarette. Les cours auxquels j’assistais cet avant-midi n’étant pas dans l’usine, je ne porte pas mes grosses bottes et une chemise à carreaux en flanalette... La blouse de satin verte menthe que je prote arrêtant en-haut du nombril me va à ravir, ne pesant plus que 125 livres pour 1,75 mètres. J’aime provoquer le regard des nouveaux arrivants en dévoilant mon ventre musclé accueillant un joli anneau d’argent. Leurs yeux d’adolescents se posent sur ma peau couleur pêche, à l’aspect doux et à la fermeté d’un fruit mûr. Mes cuisses longues font valser les courbes de mes hanches à chaque pas. Mes cheveux châtains bouclés se promènent dans mon cou, des boucles souples et soyeuses tombant en cascade. Tant bien que mal, les petites barrettes de chaque côté de ma tête essaient de les maintenir, mais quelques mèches rebelles tombent malgré tout sur mes joues roses et les encadrent. À chaque nouveau pas, mes souliers à talons carrés retentissent, avertissant mon arrivée comme des valets annonçant l’arrivée d’une reine. D’un air sure de moi et de mes capacités de séduction, je me rends lentement à ma case. Cette dernière ouverte, j’y dépose mon cartable. Les lumières éclairent légèrement les cases, des murmures envahissent leslieux à basse intensité, comme dans un endroit sacré. Bizarrement, je n’entend plus ces bruits tellement ils me sont devenus familiers.
Tout à coup, un grand bonhomme taillé au couteau aux cheveux bruns et courts arrive par-derrière, me prenant par la taille avec ses mains robustes. Sa main droite frôlant mon cou afin d’en éloigner mes cheveux, son souffle chaud vient effleurer mes cellules nerveuses lorsqu’il vient déposer ses lèvres humides dans le creux de mon cou mince, avec toute la douceur et la tendresse du monde. Curieuse, je me retourne afin de savoir s’il s’agit bel et bien de mon étalon. En voyant son visage illuminé, mon coeur chavire. Il a un visage si beau, symétrique, une bouche humide et pulpeuse, de grands yeux bruns qui m’observent remplis de promesses, une peau douce comme du velours. Mes mains ne peuvent résister à l’envie de caresser ses cheveux souples et raides. Il me rapproche de lui doucement et souffle à mon oreille qu’il s’est ennuyé de moi et qu’il a envi de me baiser.... Hummmmmmm je ne dis pas non a sa proposition. Sa voie me fait fondre tellement elle est sensuelle. Nos regards se croisent pour se fondre l’un dans l’autre. Il approche ses lèvres des miennes, les pressent légèrement comme pour les entrouvrir. Nos deux langues se confondent alors, ne formant qu’un seul amas de chair rose se débattant avec passion. Ses lèvres tâtent les miennes à nouveau, mes lèvres sucent et mordillent les siennes avec ferveur. Son torse musclé frôlant mes seins doucement, mes mamelons sont aussi durs que du bois. J’ai envie de lui. Je sens son coeur sous son chandail battre au même rythme que le mien, son souffle chaud dans mon cou me fait frissonner. Toutes les cellules de mon corps sont en éveil. Il caresse ma taille fine de ses doigts agiles. Il me fixe et je soutiens son regard avec arogance. Sa main droite vient frôler mon visage comme le ferait un vent d’été. Ses bras forts viennent se refermer dans mon dos, sa tête accotée dans mes cheveux les sentent. L’heure de nous quitter est arrivée, nous devons nous rendre à nos cours. Je n’en ai pas le goût et lui non plus. Ce que je désire à cet instant, c’est le goût de son épiderme, sa peau contre la mienne, son boutoir me labourant le ventre. Nous attendons que les regards de nos confrères ne nous contraignes plus à se cacher.
Lorsqu’il n’y a plus un bruit, nous nous dirigeons avec fébrilité vers le local de l’association étudiante dont je fais partie. Je cherche avec empressement la clé dans les poches de mes shorts, les mains de mon amant cherchant déjà à déboutonner ma blouse afin d’y voir une partie de ma peau lui étant réservée à l’instant. La porte enfin ouverte, nous entrons, priant pour que personne ne nous ai aperçus et ne viennent voir ce que nous faisons. Ce cher enfant, avec son ardeur habituelle, se dépêche d’ouvrir ma blouse afin d’empoigner un de mes seins. Ses lèvres s’attardent à nouveau dans mon cou, mais avec empressement. Ôtant son chandail avec une avidité de fauve, je m’attardes légèrement à la bosse déjà grosse qui jahies entre ses jambes. Mes mains habiles se promènent tout le long de son torse, mes lèvres dévorant ses pectoraux à grandes bouchées. Elles descendent dans le bas du dos et pressent délicieusement le derriere ferme et musclé de mon adonis...Il détache mon soutien-gorge et se met à me sucer les seins.... Il les dégustnet, les tatesnt et les lichent....... Ses mains se baladent sur mon dos, ma taille, pour terminer sur la fermeture-éclair de mes culottes courtes, qu’il fait glisser avec facilité. Ma petite culotte de dentelles humide suivent par la même occasion. Nue, il me serre par la taille d’un bras et tasse les objets sur la table de l’autre. Il m’y dépose tandis qu’il descend ses vêtements rapidement. La tête de son monstre me sourit, il sait qu’il va aller s’engouffrer dans ma chatte chaude bientot. Maxime relève mes jambes perlées pour les accoter sur ses épaules. Déjà il s’affaire à avancer et reculer en moi, un mouvement si bon et mal à la fois. Il m’arrache quelques gémissement lorsqu’il pousse plus fort et plus profondément sous mes ordres. J’adore ressentir le contact de sa queue dure contre la paori de mon tunnel chaud... Il accélère le pas, il m’a si excitée qu’il glisse dans mon ventre comme dans du beurre. Sa queue vient me cogner à une telle vitesse que l’orgasme ne peut se faire attendre bien longtemps. La sève de mon chéri cognant contre ma paroi à une grande intensité déclenche chez-moi une explosion de bonheur envahissant toutes les extrémités de mon corps couvert de sueur. Mon amant, en sueur également, me relève afin de toucher mon visage, embrasser mes lèvres trempées avec passion et me serrer dans ses bras. Je m’entends lui dire je t’aime, et lui me réponds la même chose. Nous nous rhabillons lentement, sans nous presser, sans nous brusquer. Avant de se quitter, une dernière étreinte, une seule, mais aussi passionnée qu’une quinzaine réunies. Ce baiser fut lent et long, comme si nous nous quittions à jamais.
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