- « Tu as vu maman comme elle est belle aujourd’hui. Je comprends les copains qui la trouvent bandante »- « Qu’est-ce qui te prend Julien, tu ne vas pas fantasmer sur ta prof de Français ? C’est vrai que c’est une belle femme qui peut paraître aguichante »- « Toi qui fais souvent des réflexions et donne ton appréciation sur les présentatrices de télé, habillées très court avec des décolletés plongeant, particulièrement à la météo, elle devrait être à ton goût. »- « Là n’est pas la question, c’est ta prof pas une présentatrice de télé. Plonge-toi plutôt dans les corrections qu’elle t’a apportées. »La soirée se passe normalement. Pendant qu’elle suit sa série préférée à la télé, Annie reçoit un SMS sur son portable.C’est Jacqueline.« Madame Lassalle, cet après-midi aurait pu être mémorable. J’avais l’impression que je pouvais te transformer en une vraie chienne. Je me branle en pensant à toi. Il faut absolument que nous nous revoyions chez toi oui chez moi. Bise sur ta chatte. Jacqueline. »Annie répond immédiatement :- « Oui petite salope, notre baise a été écourtée, mais dès que je peux, je te fais signe. En attendant, recueille ta mouille dans un récipient chaque fois que tu te fais jouir et porte moi ton jus discrètement après demain à l’occasion de la prochaine leçon de Julien. Je serai là. Je te pince les tétons. »Elle envoie un deuxième message :- « Quand tu viendras, ne mets pas de soutien-gorge, laisse tes tétons pointer sous ton pull moulant et pas de culotte. »Réponse :- « Mais j’ai cours avec ton fils, n’as-tu pas peur que ça l’excite et le distrait ? »Re :- « Ne t’inquiète pas, j’en fais mon affaire. « Julien s’est retiré dans sa chambre soi-disant pour travailler mais en fait, la venue de sa prof l’a émoustillé et lui a rappelé la séance de la veille. Il regrette de n’avoir pas pu garder les photos prises à la hâte. Il aurait bien aimé se branler en les regardant. Il se contente de surfer sur le net pour trouver une femme ressemblant à Jacqueline. Surprise ! au détour des pages il tombe sur une femme ressemblant étrangement à sa mère dans des dessous qu’il lui a vu porter dans la salle de bains lorsqu’elle se préparait à sortir. Le visage flouté ne permet pas une réelle identification. Plusieurs photos présentant la dame dénudée laissent voir une chainette que Marie porte occasionnellement à la cheville droite. Sidéré, Julien est persuadé qu’il s’agit de sa mère. Un corps parfait qu’il n’a jamais eu l’occasion de voir dans toute sa nudité avec une poitrine de rêve et une abondante toison pubienne. Cette chainette n’est-elle pas un signe d’appartenance à la communauté lesbienne ?Julien refuse de croire à cette pensée. Néanmoins si ce corps doit être celui de sa mère, il lui vient une pensée incestueuse. Pour employer le vocabulaire des garçon, elle est bandante et effectivement il sent sa queue le démanger en grossissant. Prenant son courage plein de désirs il appelle sa mère. - « Maman tu peux venir un instant je suis dans ma chambre. »- « Tu sais Julien si c’est pour ton travail, je m’avoue un peu incompétente, mes années de Fac sont bien loin. »- « Non, il ne s’agit pas de ça. Regarde sur l’écran. Ça ne te dit rien ? »
Annie surprise devient toute rouge une fraction de secondes et réussi à balbutier quelques mots. - « Non, cette photo est très belle, la femme aussi mais pourquoi veux tu que ça me dise quelque chose ? »- « Regarde elle semble te ressembler, regarde sa lingerie fine et surtout la chainette à sa cheville comme la tienne. »- « Oui, je vois bien mais tu sais, un soutien-gorge, un string, un porte jarretelles et des bas comme tu vois, on en trouve dans tous les magasins de lingerie y compris dans les grandes surfaces. Je vois que tu es excité par ta découverte. »- « Oui c’est très bandant, j’ai cru découvrir le corps de ma mère. »- « Et le corps de ta mère t’exciterait ? »- « Bien sûr ! surtout qu’il m’est arrivé d’avoir des rêves érotiques où je te caressais mais j’essayais à chaque fois d’effacer ça de mon imagination même si je constatais que j’avais éjaculé dans mes draps. Regarde, en ce moment, les images et ta présence me font bander à mort. »- « He bien mon fils tu es doté d’un sacré gourdin. « Sévèrement burné » comme dirait un acteur de porno »- « Maman suce-moi, j’ai envie. »- « Quoi ? Mais Julien, tu dérailles tu te rends compte de ce que tu viens demander à ta mère, je ne suis pas une de tes copines. Que tu me dises que le corps de ta mère t’excite, ça fait plaisir mais de là à imaginer ce que tu souhaites tu vas un peu vite. »- « Je suis persuadé que tu en as envie. Allez, suce-moi. » La mère devenant incestueuse se penche vers la queue de son fils et l’embouche directement sans préalable. - « Déshabille-toi, je veux voir tes seins comme sur les photos, montre-moi ta chatte puisque je te donne ma bite. » - « Caresse-moi maintenant que tu m’as excitée en me disant que je te faisais envie. Je vais me laisser baiser, je suis tout émoustillée par mon fils. Mets-moi ta bite dans la chatte, ramone-moi. » L’excitation de Julien est au paroxysme et il n’arrive pas à freiner la monté de l’orgasme. « Maman je ne tiens plus je vais éjaculer. »- « Ne te retiens pas, lâche tout dans mon con mais continue à me baiser pour me faire jouir. » A l’orgasme de Julien, succède celui de sa mère. - « Tu peux te retirer Julien, la partie est terminée même si j’aurai l’occasion de me branler en pensant à cette découverte que tu viens de faire. A voir ton envie de sexe, ce qui est normal à ton âge, je me demande si tu ne fantasmes pas aussi sur mademoiselle Jacqueline avec ses tenues aguichantes. »« Si, elle me fait bander elle aussi. Mais dis-moi, cette petite chaine à ta cheville droite est-ce que ça veut dire que tu es aussi gouine ? »- « Tu as deviné, oui j’aime aussi les femmes et je peux dire passionnément, bestialement. »- « Tu es donc une espèce de salope ? »- « En d’autres temps, je t’aurais flanqué une paire de gifles mais comme tu m’as faite jouir, tu en es dispensé. »- « Si tu es gouine, peut être que mademoiselle Jacqueline te plairait ? Tu m’as bien dit que toi aussi tu trouvais que c’était une belle femme et qu’elle pouvait paraître aguichante. »- « Oui tu as raison, j’ai eu l’occasion de la voir de très près cet après-midi quand nous avons discuté chiffons, que je lui ai montré ma dernière parure déshabillée. J’ai vu qu’elle semblait la caresser en la touchant. J’aurais eu envie de lui sauter dessus. Nous avons amorcé une discussion à caractère lubrique qui m’a bien excitée et je pense elle aussi. Si tu n’étais pas arrivée à ce moment-là, je ne sais pas ce qui se serait passé. Mais peut-être n’aime-t-elle pas les femmes.Bon, arrêtons là cette discussion, je reviens à la télé. »Maintenant, Julien sait que sa mère va sur les sites pornos même si elle ne l’a pas avoué. Il sait aussi qu’elle va se branler en pensant à leur partie d’il y a un instant. Elle l’a avoué. Une idée lui vient subitementt « Je vais installer ma webcam wifi dans sa chambre je verrai comment elle peut être salope en solitaire. »Après s’être assuré qu’Annie est bien assidue à son feuilleton qu’elle a repris en replay, il s’introduit dans sa chambre et en s’étirant, place la webcam sur le haut de l’armoire face au lit en occultant la petite lumière qui indique que la caméra est en fonctionnement.Revenu près de son ordi, il s’assure du champ couvert par l’objectif et que le zoom fonctionne bien.Un peu plus tard, il est alerté par un bip sur son ordi. En consultant son écran de contrôle il aperçoit sa mère de dos, tournée vers le lit. Elle se déshabille lentement en se caressant comme si elle faisait un striptease. Complétement nue, elle se touche la chatte, Y entre presqu’une main entière. Elle doit mouiller car elle se suce les doigts. Elle s’approche sur le coté du lit en fer forgé, caresse la boule du pied de lit et s’empale dessus. Elle remue pour se faire du bien puis ressort pour ensuite bien écarter son trou arrière et se sodomiser. La sensation doit être forte car Julien aperçoit le puissant jet de cyprine probablement mêlé d’urine qui arrose le drap. La scène est tellement bandante que le fils incestueux ne peut résister à se masturber énergiquement.Après de multiples pénétrations, Annie est terrassée par un violent orgasme qui la fait crier de plaisir.Julien saisit l’occasion pour s’approcher la chambre de sa mère. - « Maman tu vas bien ? J’ai cru t’entendre crier. »- « Non Julien ce n’est rien, tu as dû confondre, je toussais et me raclais la gorge »- « Est-ce que je peux venir te voir ? »- « Si tu veux mais j’allais me coucher » En entrant, Julien porte son regard sur la boule du lit et il ressent un nouvelle érection. Sa mère est effectivement couchée le drap remonté par pudeur jusqu’au menton. - « Maman tu m’as dit que probablement tu te branlerais en solitaire en pensant à notre partie de tout à l’heure. Tu veux bien me monter, regarde, je bande en y pensant »- « Nom mon Julien, je voudrais que notre aventure reste un excellent souvenir mais comprends-tu que c’est de l’inceste ? Nous attendrons que les circonstances nous occasionnent à recommencer. »- « Bon je respecte ton souhait mais ôte-moi d’un doute. C’était bien toi sur internet ? »- « Oui, je te l’avoue mais c’est ma liberté de femme seule. Je me suis inscrite pour faire des rencontres, la plupart sont restées à l’état d’échanges de courrier ou de vidéos. C’est là que j’ai fait mon apprentissage de gouine. Voilà je n’ai plus de secret pour toi j’espère que tu ne me juges pas mal. »- « Non, je n’ai pas à te juger d’autant que tu m’as donné du plaisir. Accepterais-tu de me donner l’adresse du site où j’ai vu ta photo, je ne l’ai pas gardée et si tu me donnes ton pseudo, nous pourrons échanger virtuellement. »- « Je te l’enverrai dans un mail. Mais il faut me promettre de le garder pour toi. »- « Promis. J’ai une autre demande à te faire. »- « Dis toujours. »- « Après-demain quand Jacqueline viendra, j’aimerais voir tes talents d’aguicheuse lesbienne et voir si elle mordra à l’hameçon. »- « Eh bien julien, tu vas être comblé. C’est déjà fait. »- « Tu as essayé de la séduire. »- « Oui. C’était cet après-midi pendant ton absence, nous n’avons pu nous défoncer, tu es arrivé trop tôt. Mais elle m’a l’aire très salope. »- « Comme toi. »- « Tu me l’as déjà dit. »- « Nous en reparlerons après-demain avant sa venue. Maintenant, il est temps d’aller dormir. »
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