Le matin du jour venu pour son cours de Français avec Mademoiselle Jacqueline, Julien relance sa mère sur les rapports qu’elle a avoué avoir eu avec la prof. - « Alors maman est ce que vraiment tu t’es gouinée avec Jacqueline ? »- « Oui, mais c’était très cout, trop cout. Je te l’ai fait comprendre mais la partie a été interrompue par ton arrivée. »- « Cet après-midi, trouve un prétexte pour l’inviter dans ta chambre et te satisfaire. Tu expliqueras que je serai en retard et ce soir tu me raconteras. »- « Je ne sais pas si elle succombera à la tentation ayant peut être peur de ton arrivée imminente. » - « je serai dans le garage, je t’enverrai un SMS au bout d’une demi-heure environ et tu me diras si je peux réapparaître. » - « Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Tu pousses ta mère à se gouiner avec ta prof de Français et qu’est-ce que ça va t’apporter ?- « Je pense que ça va énormément m’exciter quand tu me raconteras et que peut être j’aurai une récompense. »- « Tu ne crois pas que ton esprit sera complétement perturbé en imaginant ce que nous faisons toutes les deux et que ta leçon d’aujourd’hui sera grandement compromise ? »- « Nous verrons bien. Mais pense à une tenue aguichante. Pas de soutien-gorge, pas de culotte, des bas et un porte jarretelles. »- « Comme je suis en ce moment sous ma robe d’intérieur. Tu demandes à ta mère de faire la pute. Tu n’es vraiment pas sérieux et tu empiètes sur mon domaine privé. »*15h Julien qui surveillait l’arrivé de sa prof. Alerte sa mère. - « La voilà, je file au garage. »Répondant à la sonnerie de la porte d’entrée, Annie ouvre.- « Bonjour mademoiselle Jacqueline. Julien vous prie de l’excuser il aura une bonne demi-heure de retard. Est-ce que ça vous gêne dans votre emploi du temps ? »- « Non, pas du tout, je n’ai pas cours à la Fac cet après-midi. »Jacqueline glisse à l’oreille d’Annie en lui caressant les fesses : « j’ai ton cadeau »- « Viens dans ma chambre en attendant. »Arrivées dans la chambre, Jacqueline sort un petit bocal de son sac.- « Tiens ce que tu m’as demandé. Dix éjaculations depuis avant-hier, je n’ai pas arrêté de me branler en pensant à notre expérience écourtée. J’avais vraiment envie de toi. Enlève ta robe et donne-moi ton corps. Couche-toi sur ton lit. Je vais te badigeonner les seins et la chatte avec ma mouille »- « Toi aussi déshabille toi, viens sur moi, prends mon clito entre tes dents et mordille-le jusqu’à ce que je jouisse. Branle-toi la chatte, viens en 69. J’ai envie qu’on s’éclate de plaisir. Essayons de jouir en même temps. »Une petite musique annonce un message sur le portable d’Annie.
- « Continue de te branler, tu vas me donner ton jus. Je regarde mon message.C’est Julien qui me dit qu’il arrive dans dix minutes. Encore une fois, il faut qu’on écourte. Tu m’as faite mouiller un max mais je n’ai pas joui. Il faut qu’on programme une bonne baise sans être dérangées. »- « Oui, moi j’ai joui. Tu viendras chez moi, nous serons tranquilles. Vite, rhabillons-nous, je dois changer d’occupation. »A son retour, Julien trouve les deux femmes entrain de papoter dans le salon.- « Bonjour mademoiselle. Toutes mes excuses pour ce retard. Allons dans ma chambre, c’est mon bureau, mes affaires sont là-haut avec mon ordinateur. »- « Voulez-les vous que je vous monte un café ? un thé pour Jacqueline ? »- « Oui, vous êtes bien aimable madame. »Subrepticement Annie Lassalle fait signe à son fils pour lui faire comprendre que tout s’est bien passé.- « Vous préférez la chaise dactylo ou la chaise normale ? »- « Peu importe, mettons-nous au travail. »- « Quel travail ? » interroge Julien en souriant. « Vous êtes très aguichante comme toujours. J’adore vos tétons qui pointent sous votre pull. Vous n’avez pas de soutien-gorge ? »- « Non et pas de culotte non plus mais restons sages, ta mère va monter le café. »- « Vous le faites exprès, vous commencez à m’exciter. »- « Voilà le café. Je vous laisse travailler je ferme la porte car je vais à la télé, le son pourrait vous déranger. » - « Elle est sympa ta mère, elle aussi est aguichante dans sa tenue mais il est vrai qu’elle est chez elle. »- « Vous la trouvez aussi aguichante que votre collègue madame Lancel ? Vous avez presque failli m’avouez que vous étiez également gouine. »- « Je n’ai rien avoué du tout. Je t’ai dit que tu entrais dans mon intimité la plus profonde. Mais nous sommes mal partis mon petit Julien, nous devons travailler. »- « Est-ce que vous avez remarqué que ma mère avait une chainette à la cheville droite ? »- « Oui et alors ? »- « Alors, je vous verrais bien vous gouiner avec elle. Je sais qu’elle est aussi lesbienne. Je bande rien qu’en y pensant. » La main de Jacqueline se pose sur l’entrejambe de son élève pour constater qu’effectivement il est en érection.- « Tu n’es pas sérieux. Ote toi ces idées de la tête. Je t’ai prouvé que j’aimais aussi une queue bien virile. »- « Oui c’était merveilleux, un élève qui baise sa prof. Je pense que ça vous a plu. Mais revenons à ma mère. Dites-moi franchement si elle vous plait. »- « Tu es incorrigible avec tes questions. Je te réponds oui, tu es content ? et on n’en parle plus. Au travail ! »- « Avant, je veux vous montrer quelque chose sur mon ordi. »Dans un premier temps, Julien ouvre le site où il a trouvé les photos de sa mère et les fait défiler lentement.- « Est-ce que vous trouvez cette femme émoustillante ? »- « Oui. C’est un test ? Elle a un beau corps de belles formes j’aime bien sa touffe très fournie. Comme vous dites, vous les garçons, elle est bandante. Et alors ?- « C’est madame Lassalle. »- « Ta mère ? »- « Eh oui. Elle m’a avoué s’être inscrite sur ce site pour des échanges écrits, des vidéos et peut être des rencontres. »- « Elle t’a raconté tout ça, comme ça. Vous avez des échanges très libres. »- « Oui même plus que ça mais regardez maintenant. »- « Qu’est-ce que tu veux dire « plus que ça »« Plus tard. Regardez. »Julien ouvre alors la vidéo prise par sa webcam. Images et son.- « Mais qu’est-ce que c’est que ça Julien. C’est ignoble. Des images volées. Petit salaud pervers. Et ta mère est au courant ? »- « Bien sûr que non, comme vous. Je vais l’appeler pour lui montrer. »- « Attends un peu, je veux en voir plus. C’est ignoble mais ça m’excite. Je sens que je mouille sur mes cuisses. Caresse-moi. »- « Maman, tu peux monter ? »- « Oui, j’arrive. »Jacqueline a retroussé sa jupe jusqu’en haut de ses bas, Julien a la main sur sa chatte quand sa mère ouvre la porte.- « A ça alors ! Qu’est ce qui se passe tous les deux ? Tu as vu ta tenue Jacqueline, tu as presque la chatte à l’air. Et pourquoi pas la poitrine ? Julien a l’air de te caresser. »- « Approche Marie. Regarde à quoi s’amuse ton fils avec sa webcam. » Le tutoiement soudain des deux femmes ne surprend pas Julien puisque c’est le langage de la vidéo. Jacqueline reste les cuisses découvertes avec effectivement la chatte à l’air pendant que Marie s’approche de l’ordi pour visionner les images. Julien force le son.- « C’est la deuxième fois que je te promets une paire de gifles Julien mais cette fois tu vas y avoir droit. » - « C’est trop tard Marie. Moi aussi j’ai été offusquée. Je trouve cette attitude de ton fils inqualifiable. Il mériterait une bonne correction. Mais regarde comme c’est excitant de se revoir en action. »« Et toi Jacqueline tu te laisses tripoter par ton élève ? »« Oui, c’est la deuxième fois, il m’a baisée ou plutôt je me suis laissé baiser le jour où tu étais absente. Il m’a bien faite jouir. Il est vraiment très performant. »- « Je sais. »- « Comment tu peux savoir ? »- « Moi aussi j’ai succombé, je me suis laissé baiser. »- « Tu baises avec ton fils ? »- « Oui sans me culpabiliser tellement c’est bon de se faire baiser par son fils. C’est lui qi m’a provoquée mais je ne regrette pas. De temps en temps j’ai envie d’une vrai bite qui crache.- « Moi aussi Marie je suis comme toi mais sucer des chattes, des culs de femmes, boire leur mouille et bouffer des seins, m’envoie au septième ciel. En attendant on pourrait profiter de ton fils. Il bande comme un taureau. » - « Mettez-vous à poil toutes les deux, je vais vous ramoner dur. Je vous enculerai tour à tour, je sais que vous aimez ça. »- « Marie tu m’as dit que tu adorais l’uro. Je veux que tu me pisses dessus pendant que Julien va me fourrer. »- « Vous allez prendre dur mes salopes. Par qui je commence ? »- « Par moi Julien tu baises si bien ta mère. »Une véritable orgie se déroule dans des gémissements incessants ponctués de vocabulaire on ne peut plus ordurier.Après l’extase des deux femmes, elles s‘échangent le foutre de Julien qu’il a déversé dans la bouche de sa prof.Reprenant ses esprits, Annie s’adresse à Jacqueline :- « Ma chère Jacqueline, il va falloir reprendre votre rôle de préceptrice de Français mais il nous faut prendre un nouveau rendez-vous car je doute que ni vous ni Julien ne soyez en état de vous concentrer sur le travail. »- « Vous avez raison madame Lassalle. Je propose mardi prochain à la même heure 15 h. »- « C’est bon pour toi Julien, tu n’as pas cours à cette heure ? »- « Non, c’est bon. »- « Je vais donc vous laisser en vous remerciant pour cet agréable après-midi. » En raccompagnent Mademoiselle Jacqueline hors de la présence de Julien, Marie lui murmure à l’oreille - « Merci pour le cadeau de ta mouille, recommence pour la prochaine fois, je veux me l’injecter dans la chatte et le cul. Mets la dans un petite bouteille que je m’enfilerai en pensant à toi. Ou que tu m’enfileras. »
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