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Cours très particuliers

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
En septembre, Bac en poche, j’intègre un BTS d’assistante de direction. Je me rends compte rapidement que je ne comprends pas grand chose en économie. Début octobre, vu mes notes, mes parents me proposent de prendre des cours particuliers. Je demande à mon prof d’éco qui accepte de me recevoir à son domicile le mercredi après-midi de 14 à 16 heures.
Le mercredi, je me rends chez lui, il m’invite à m’installer dans la cuisine. Il me demande pourquoi je veux prendre des cours particuliers, je lui explique que les 2 premières notes que j’ai eues sont lamentables et que je ne comprends rien à cette matière. Il me dit que j’ai bien fait de ne pas attendre la fin de l’année scolaire pour tenter de remédier à mes lacunes. Il s’assoit à mes côtés et reprend les cours qu’il a déjà faits en les commentant et en me posant des questions destinées à vérifier que j’ai bien compris. Pendant les 2 heures de cours, il est très proche de moi et je sens à plusieurs reprises ses doigts frôler mes cuisses et ma poitrine et sa cuisse se coller à la mienne, mais je pense que c’est involontaire. Et pourtant, en le quittant, je remarque une bosse au niveau de sa braguette.
Le mercredi suivant, après m’être installée, il me propose quelques petits exercices, pour vérifier mon niveau. Puis il se lève et me dit :— Résolvez ces petits exo, je reviens dans quelques minutes. En effet, une vingtaine de minutes plus tard, il revient, s’assoit près de moi et me dit :— Alors, qu’avez-vous pensé de ces exo ?— Les 2 premiers, je crois que j’ai compris et aussi le 4ème, mais les autres …. Il se rapproche de moi, regarde ce que j’ai fait et me dit :— Le 1er, c’est bon, le 2ème il faudrait terminer, quant aux autres …. Vous semblez avoir de grosses lacunes !En même temps, je sens sa main se promener sur ma cuisse et remonter du genou vers mon ventre. Je retire immédiatement ma jambe, il me dit :— Vous savez, vu votre niveau, vous n’êtes pas prête d’obtenir de bonnes notes, je pourrais bien sûr vous aider, si …..— Si quoi ?— Si vous le vouliez vraiment et si vous y mettiez du vôtre ….— Comment ça, si j’y mettais du mien ?— Eh bien, je pourrais vous noter très positivement si vous étiez gentille avec moi, donnant, donnant, vous comprenez ?J’ai très bien compris, le vieux cochon propose de me caresser, voire plus, en échange de quelques bonnes notes. Sa main s’est posée à nouveau sur ma cuisse, heureusement que j’ai mis un jean ! La main est remontée m’emprisonner et me pétrir un sein. Que faire ? Prendre une décision sans attendre ! C’est pas le problème qu’il me saute, quoique que ça serait la 1ère fois pour moi avec un vieux (il a au moins cinquante ans) et je suis pas sûre d’aimer ça et puis est-ce que ça en vaut la peine ? Oui, mais que dire à mes parents ? Il a compris que ça me pose un problème, il ajoute :— Tu sais, je serai très gentil avec toi, je t’expliquerai tout ce que tu ne comprends pas, tu auras de bonnes notes, et tu garderas l’argent que te donnent tes parents pour payer les cours, en échange il te suffit simplement d’être câline avec moi.En même temps sa main est passée sous mon tee-shirt, il caresse mes seins à travers mon sous-tif et je dois bien avouer que ses caresses commencent à m’exciter, il ajoute :— Tu es très mignonne, tu me plais beaucoup, on pourrait passer de bons moments ensembles !Il est de taille moyenne, légèrement enveloppé, cheveux poivre et sel, avec des lunettes, l’air sévère, en résumé : c’est pas un don juan, et quitte à faire ça avec un prof, j’aurais préféré le prof de sport ! Enfin, c’est pas non plus pour sortir avec lui !Tant pis ! Je lui dis que j’accepte sa proposition, mais que je veux de très bonnes notes. Il me dit :
— Tu les auras, maintenant, caresse-moi, j’ai tellement envie de toi ! Sa braguette est déjà ouverte, je passe la main et découvre un sexe gros et dur ! Effectivement, je lui fais un effet certain ! Je sors l’engin, gros engin, gros et long, une belle bite, bien bandée ! Je ne m’attendais pas à ça et comme je suis un peu coquine, le cours commence à m’intéresser !J’entreprends de le masturber lentement. Il défait les attaches de mon jean et sa main atteint mon entrecuisse, j’écarte les cuisses, il écarte mon slip et atteint mon minou déjà mouillé, qu’il pénètre de ses doigts sans plus attendre tout en chatouillant mon clito. Je mouille de plus en plus. Sa bite a encore augmentée de volume et de longueur, n’ayant pas une grande expérience des grosses queues, je la trouve impressionnante ! Il lèche ses doigts mouillés de ma cyprine et me dit :— Tu mouilles bien dis donc ! Caresse-moi doucement, serres bien ma verge dans ta main, fais la coulisser de haut en bas, humm, c’est bon, j’ai de plus en plus envie de toi, tu vas voir quand je vais te la mettre dans ta petite chatte, je vais te remplir.Tout en le caressant, je me surprends à penser que j’aimerais bien qu’il me remplisse la chatte, ça doit être bon d’être fouillée par un pareil engin ! Par contre je ne voudrais pas essayer dans mon petit trou, il me déchirerait ! Je continue mes allers-retours en serrant le plus fort possible, il gémit, il a retiré mon sous-tif et me malaxe les seins à pleines mains, puis il se lève et me dit :— J’aime beaucoup les seins lourds et fermes comme tu as, allez viens ! (Il m’emmène dans une chambre), — Mets-toi à poil, j’ai trop envie de te prendre !J’ai un peu la trouille, je comprends que je vais y passer et maintenant cette grosse queue me fait peur, va t’elle pouvoir s’insérer dans ma petite chatte ? En même temps, je suis très excitée à l’idée d’être empalée par ce gros chibre ! Nous sommes nus, il me demande de m’allonger sur le lit, se couche sur moi en écartant bien mes cuisses, je lui dis :— Mais vous n’avez pas mis de préservatif ? — Pas besoin, je ne suis pas malade, t’es malade toi ?— Non bien sûr, mais ça serait mieux.— Non je n’aime pas ça, tu prends la pilule j’espère !— Oui.— Alors pas de problème, tu vas me sentir gicler dans ton ventre !Je replis mes jambes, genoux vers ma tête, il est toujours aussi raide et gros, il cherche l’entrée, j’attrape son membre et le guide sur ma vulve en lui demandant de me pénétrer lentement, je sens son gland forcer ma vulve puis avancer doucement dans mon vagin, j’ai l’impression qu’il va me déchirer mais c’est très bon, il me fait mal, mais les douleurs font vite place au plaisir et mes gémissements lui font comprendre que j’apprécie énormément cette pénétration, quelques minutes après il est tout au fond, je gémis de plus en plus fort, j’ai jamais eu un truc aussi gros dans le ventre et en même temps je sens que je ne vais pas tarder à venir. En effet il commence à me pilonner lentement et quelques secondes suffisent pour que j’atteigne l’orgasme, je devrais dire les orgasmes, car ça ne s’arrête plus, il accélère le rythme et je crie de plaisir tellement c’est bon. Enfin, je le sens se raidir, sa bite me semble avoir encore grossie et il se vide à grosses giclées tout au fond de mon ventre en continuant à me limer, son sperme ressort de mon vagin et j’ai un dernier orgasme juste avant qu’il ne se retire.Nous reprenons nos esprits, il me dit :— Ca a été ? Je ne t’ai pas fait mal ?— Non au contraire, c’était merveilleux !— Il t’a bien baisée le vieux, hein ? Prête à remettre ça ?— Quand vous voulez Monsieur, c’était tellement bon, j’ai encore des spasmes ! Il pose la main sur mon ventre et m’embrasse sur le front.— T’es une bonne petite, tu m’a bien fait jouir, la semaine prochaine, tu mets une jupe, pas de sous-tif, t’en as pas besoin, tu me suceras en arrivant pour me calmer, je te ferai l’amour après t’avoir donné ton cours, viens vers 13h30 que j’ai le temps de profiter de ton corps.— Le problème, c’est que je ne sais même pas si les jupes que j’ai me vont encore, je ne porte que des pantalons.— Bien, je vais prendre tes mesures, et je commanderai ce que j’ai envie que tu portes, tu te changeras en arrivant, et il n’y aura pas de problème. Tu es d’accord ?— Oui bien sûr, mais ça va vous revenir cher tout cela !— C’est pas grave, j’ai les moyens, et puis ça me fait plaisir, c’est pas tous les jours qu’on baise une petite poupée de 18 ans, avec un corps comme le tien, surtout quand on en a 53.— Je comprends.— Au fait, tu peux m’appeler par mon prénom, c’est Roger.Le vendredi, TP d’éco, le lundi le prof rend les copies, avec un 17 pour moi, j’en conclue que les cours particuliers sont bénéfiques !
Le mercredi suivant, j’arrive chez mon prof qui m’invite aussitôt à me changer dans la chambre. Les vêtements qu’il a achetés sont posés sur le lit : une jupe courte plissée rouge, un petit haut blanc, très moulant, des bas dim-up noir (qui tiennent tout seuls) et une paire de chaussures noire à talons. Pas de sous-vêtements. C’est la première fois que je mets des bas et des talons, ça fait drôle, j’ai l’impression que je vais me casser la figure, pourtant quand j’étais petite je m’amusais à mettre les talons hauts de ma mère !Une fois changée, je le rejoins dans la cuisine, il me regarde, me toise, sourit et me dit :— Tu sais que t’es particulièrement bandante en jupette, t’as de belles jambes, approche. Je vais vers lui, il passe sa main entre mes cuisses, remonte lentement, atteint mon sexe et pénètre mon intimité de ses doigts, il dit :— Rien pour gêner la progression, pas de petite culotte et pas d’horrible collant, voilà qui est agréable ! Puis à travers le tissu du petit haut qui ne cache rien, il mordille mes tétons qui entrent en érection et se mettent à durcir, il s’aperçoit que je commence à mouiller, il me dit :— Petite cochonne, ça te plait de te faire triturer, tu l’attends cette grosse bite, elle t’a manquée pendant la semaine, avoue que tu y as rêvée !— Oui j’ai rêvé que vous me preniez dans la classe, j’écartais bien les cuisses pour vous recevoir, j’étais toute mouillée, je me suis masturbée pour me calmer. Mais c’est surtout quand je vous ai vu en cours que j’ai pensé à votre grosse queue !— Et t’aurais aimé que je t’enfile devant tes camarades hein ? Bien petite cochonne, des pensés lubriques pendant les cours, ça mérite une fessée ça ! Couches-toi sur mes genoux !J’avoue que je ne suis pas très fière, j’ai un peu peur, je me couche néanmoins sur ses genoux, il me caresse les fesses et me dit :— Tu as un superbe cul, de belles fesses rebondies, douces et fermes, certainement très agréables à faire rougir un peu. En disant cela, ses doigts se promènent dans ma raie entre mes fesses et il trouve mon anus qu’il pénètre d’un doigt. Ne trouvant pas de résistance, il m’en met un second, il fouille un peu et m’en met un troisième. Il dit :— Ton sphincter semble se dilater bien facilement, tu as l’habitude de te faire sodomiser ?— Oui, dis-je dans un râle, un peu honteuse d’avouer ces choses personnelles.— Tu aimes ça alors !— Ben, oui !— Tu jouis quand on t’encule ?— Oh oui ! Enfin pas toujours, mais si c’est bien fait, oui !— Et moi qui te prenais pour une petite fille sage, j’avais presque honte du marché que je t’ai proposé, en fait tu n’es pas une petite cochonne, tu es une vraie petite salope, tu aimes le cul ! Soit dit, heureusement qu’il y a des femmes comme toi ! Je vais donc envisager de te mettre ma grosse verge dans ton petit cul, mais il faut prévoir des étapes de dilatation. Tu vas aimer, tu verras. Je me dis "merde, il va m’enculer le salaud, pourvu qu’il me déchire pas !"Puis il retrousse ma jupette et me claque les fesses une bonne dizaine de fois en me traitant de petite putain, salope, chienne, etc. Je crie, il continue, il me fait mal, je lui dit que c’est trop douloureux, il arrête enfin et me dit, en me montrant qu’il bande comme un taureau :— Désolé, je me suis laissé emporter, ça m’a tellement excité de penser que j’allais prendre ton petit cul, mais ne t’inquiètes pas je te préparerai avant pour qu’il n’y ait aucun danger. Puis il m’emmène dans une autre chambre (la chambre conjugale dit-il) qui comporte une armoire dont les portes sont des miroirs, il me dit :— Retrousse ta jupe et regarde la couleur de tes adorables petites fesses. Il a vraiment frappé fort, j’ai les fesses toutes rouges avec la marque de ses mains. Il ajoute :— Tu vois, c’est comme ça qu’on punit les vilaines petites filles qui ne sont pas sages ! Une bonne fessée ! Bon, maintenant tu vas me sucer ! Il baisse son pantalon et son slip et s’allonge sur le lit conjugal. Il me dit :— Mets-toi à genoux, perpendiculaire à moi, de façon à ce que je puisse te regarder me sucer et retrousse ta jupe sur ton dos afin que je puisse voir ton cul dans le miroir, tu écarteras un peu les cuisses pour que je vois aussi ta fente. Je me mets comme il dit et je prends son dard dans la main, entre temps il a débandé, sa bite est plus courte mais pratiquement aussi grosse que bandée, je pose mes lèvres sur son gland que je titille avec ma langue passant et repassant sur le méat, je le masturbe légèrement avec une main et caresse ses boules avec l’autre, il m’a mis une main au cul et m’enfonce un doigt dans l’anus pendant que son autre main vient se poser sur mes cheveux, sa bite commence à reprendre vigueur, elle a maintenant une belle taille et la consistance du béton, j’ai du mal à l’enfourner tellement elle est épaisse, j’y parviens tout de même en pensant que je fais le plus facile, j’aurais certainement plus de mal pour recevoir sa visite dans mon petit trou ! Je commence mes allers-retours sur cette énorme hampe de chaire, d’abord lents, puis plus rapides, essayant de l’introduire le plus loin possible au fond de ma gorge, il ne bouge pas, il me laisse la maîtrise de la fellation, mais il m’encourage par des "suces salope, lèche moi la bite" ou "allez, p’tite pute, pompes mon jus de couilles".Je m’aide beaucoup de ma langue sur son gland, je sens plusieurs fois ses muscles se crisper, mais il parvient à se retenir, je décide d’accélérer le rythme de mes va-et-vient en lui malaxant toujours les boulles, quelques minutes après je sens ses muscles se crisper, sa main appuyer sur ma tête, sa bite trembler et il explose dans ma bouche en râlant de plaisir, il m’en met au moins une dizaine de giclées, un sperme bien épais, un sperme de jeune homme, étonnant, j’en ai plein la bouche, et ça dégouline, je le regarde, je ne peux pas parler, il maintient sa bite au fond de ma bouche, il récupère et quelques instants après approche sa bouche de la mienne et m’embrasse en récupérant une partie de son sperme avec sa langue. Nos langues s’entremêlent, j’avale ce qu’il me reste de sa semence, il me dit :— Tu es une championne de la pipe, tu aimes ça, je pense qu’on ne m’a jamais sucé comme ça ! Tu ne peux pas imaginer comme je suis heureux que tu ais des lacunes en éco !— Merci ! Mais sans vouloir gâcher ce moment merveilleux, j’ai peur que nos ébats laissent des traces sur le lit conjugal !— Le dessus de lit devait justement être porté au pressing !C’est la première fois qu’il m’embrasse avec la langue !Il se rhabille, je rajuste ma jupe et mon petit haut et nous allons dans la cuisine pour le cours. Il s’assoit près de moi et me délivre son savoir sans arrêter de caresser mes seins, mes cuisses et ma foufoune. Le cours terminé, il me prend la main et la pose sur sa braguette pour me montrer combien il a envie de moi ! Puis il m’emmène dans la chambre et se déshabille, je veux retirer ma jupe quand il me dit :— Reste habillée, c’est un de mes fantasmes de prendre une fille en jupe plissée rouge.— Vos désirs sont des ordres Monsieur.— Oui, tout ce que tu veux, c’est t’empaler sur ma bite !— C’est aussi un de mes fantasmes de m’empaler sur votre bite !Il me pousse sur le lit, relève ma jupe pour dégager mon ventre, se couche sur moi, j’écarte les cuisses, il positionne son gland sur ma vulve et d’un coup de reins me pénètre de plusieurs centimètres. Surprise, je pousse un cri de douleur qu’il prend pour du plaisir. Il me dit :— T’aimes ça p’tite pute, tu te sens bien avec ma queue dans la chatte, tu te sentiras encore mieux quand tu l’auras dans le cul ! Un autre coup de reins et il est tout au fond de moi, je gémis de douleur et de plaisir, je croise mes jambes sur son dos, je suis totalement offerte, j’attends ses assauts, je lui dis :— Je te sens bien là, tu m’as bien prise, baises-moi, fais moi jouir, je suis une salope, j’aime ta queue, vas-y défonce-moi ! Défonce ta p’tite pute !Il grogne et entame une série d’aller-retour, allant tout au fond de mon vagin, qui m’arrache des gémissements et des cris de plaisir. Pendant qu’il me pilonne, j’attrape ses couilles pour les malaxer. Je sens les contractions dans mon ventre et lui dis :— Je viens, tu me sens ? Je vais jouir, ah, c’est bon ahhhhhhaa !Il arrête de me fourrer, m’embrasse dans le cou et me dit :— Oui je t’ai senti, t’as bien aimé, tu ne regrettes pas de te faire sauter par un vieux !— Au contraire, j’adore, tu me baises bien, ce sera bon de t’avoir dans mon cul !Il s’allonge sur le lit et me demande de venir sur lui.Je m’agenouille au-dessus de son pieu, je place ma vulve juste sur son gland et je descends sur sa hampe, mon vagin engloutissant sa bite lentement, il a mis ses mains sur me hanches et me regarde m’empaler sur son énorme dard. Le fait de sentir cette verge me pénétrer me fait mouiller de plus en plus, mes soupirs et gémissements s’enchaînent et s’enflamment, lorsque je l’ai entièrement engloutie, impossible de retenir le violent orgasme qui me monte dans le ventre et les cris de jouissance qui l’accompagnent, que c’est bon l’amour ! Il entame alors une série de coups de reins, son gland cogne contre mon utérus et je jouis à nouveau à plusieurs reprises.Il s’arrête me dit :— J’aime bien comme ça, toi aussi apparemment !— Oui c’est bon, tu me fais bien jouir !Je vais te prendre en levrette, tu vas te mettre devant ce fauteuil, tu poses tes mains sur le coussin, tu écartes tes jambes et tu cambres bien ton cul, voilà comme ça, très bien. Il retrousse ma jupette et me pénètre aussitôt, sans forcer, je suis toute mouillée et toute ouverte. Il pose ses mains sur mes hanches et entame une série de va-et-vient puissants, immédiatement je reprends mes gémissements, mes soupirs et mes cris, impossible de m’en empêcher ! Il arrête de me limer, se penche un peu et attrape mes seins qu’il palpe avec insistance, en me pinçant les tétons, puis en gardant ses mains sur mes seins, il reprend ses aller-retour, quelques minutes après il décharge dans ma petite chatte en râlant comme un lion, me déclenchant un nouvel orgasme, pendant que ses mains se crispent sur mes seins, il attend plusieurs minutes avant de ressortir de ma grotte et me dit :— Je suis tellement bien dans toi que j’aimerais y rester toute une nuit. Ce à quoi je réponds :— Toute une nuit avec toi, j’adorerais, tu me prendrais toute la nuit, ça serait bon, hummm !Il ajoute :— Il est presque 17h, le cours a duré longtemps aujourd’hui ! La semaine prochaine on dilate ton sphincter et je t’encule, OK ?— D’accord.— Je m’occupe de tout.

Le vendredi, après le TP, le prof me dit :— Mlle D. vous viendrez me voir après le cours s’il vous plait. A la fin du cours, j’attends que mes camarades sortent et je vais au bureau pour savoir ce qu’il me veut.— Vous vouliez me voir Monsieur ?— Oui, tu as dis que tu accepterais de passer une nuit avec moi. Samedi ma femme part avec une amie, elle ne revient que dimanche soir, peux-tu t’arranger pour coucher chez moi ?— Oui, bien sûr, je dirai à mes parents que j’ai une soirée chez une amie et que je coucherais chez elle, mais il faudra que je rentre le dimanche pour midi. — C’est parfait tu peux arriver vers 18 heures ?— D’accord. Il me passe la main aux fesses par-dessus mon jean et me dit :— Allez, va rejoindre tes camarades, à demain soir, j’ai déjà envie de toi, qu’est-ce que je vais te mettre, je vais te faire hurler de plaisir ! J’éclate de rire et lui répond :— Prétentieux !Le samedi soir, à 18 heures, j’arrive chez mon prof qui m’invite aussitôt à me changer dans la chambre. Il me dit :— Tu mets les vêtements qui sont sur le lit, par la suite, au cours de la soirée, tu en passeras d’autres. Ne te poses pas de questions, ce sont des fantasmes que tu vas m’aider à réaliser. En effet, des vêtements sont posés sur le lit, un chemisier noir en soie, une jupe plissée noire très courte, un jupon blanc avec le bord en dentelle, un petit tablier blanc de servante, un porte-jarretelles noir en dentelle, une paire de bas résilles et les chaussures noires à talons.Il rentre dans la chambre, je suis nue, il m’embrasse, caresse mes fesses et mon minou, soupèse mes seins, s’assoit sur le fauteuil et me regarde passer le porte-jarretelles, enfiler les bas, essayer d’attacher les bas en ajustant les jarretelles, c’est une première pour moi et ce n’est pas évident, il veut m’aider mais ses mains et ses doigts s’égarent, je parviens enfin à les attacher, j’enfile le jupon et la petite jupe, le chemisier, le tablier et les chaussures et je suis prête. Il me dit :— Voilà, c’est bien, regarde comme tu es belle ! Il me fait tourner devant le miroir, le chemisier ne cache pas vraiment mes seins, la dentelle du jupon dépasse de la jupe sur laquelle est attaché le tablier. Ces vêtements sont si courts qu’ils laissent voir les jarretelles et le haut des bas, j’imagine que les putes doivent être habillées de cette façon pour attirer les clients !— Tu es parfaite, super bandante, tu vas voir ce qu’on va te mettre !— Comment ce que vous allez me mettre, vous n’êtes pas seul ?— Non, ma femme est partie avec une amie, son mari était seul, il se serait ennuyé, je l’ai invité pour la soirée, tu verras il est très gentil.— Mais c’était pas prévu, je ne peux pas rester habillée comme ça devant quelqu’un que je ne connais pas, j’ai l’air d’une pute !— Non tu n’as pas l’air d’une pute, tu as l’air d’une belle jeune fille habillée sexy pour faire plaisir à ses amis et les exciter, tu vas voir on va passer une bonne soirée, allez viens ! — Votre ami va me prendre aussi ?— Oui, bien sûr, pourquoi ça te gêne ?— Ben, je le connais pas !— Et moi, tu me connaissais avant que je te saute ? Non, hein ? Alors arrête de faire ta mijaurée. Tu aimes la bite et on va t’en donner. Tu n’a pas envie de mon phallus dans ton minou ?— Si, bien sur ! — Alors suis-moi et tais-toi ! En désespoir de cause je le suis, il m’emmène dans le salon et me fait entrer, je vois un homme brun, la quarantaine, de bonne taille, d’apparence musclé, que je reconnais aussitôt (je l’ai eu comme prof en seconde), il me toise et sourit, je deviens rouge comme une pivoine, j’ai honte de me présenter dans cette tenue. Roger fait les présentations, il dit :— Paul et Anne, mais vous vous connaissez peut-être.— Oui dit Paul, j’ai eu nôtre charmante Anne comme élève en seconde je crois.— Oui Monsieur en seconde.— Je vois avec plaisir que tu as fait ton chemin depuis. Roger reprend :— Anne a honte d’être habillée ainsi, c’est moi qui ai choisi ses vêtements, qu’en penses-tu Paul ?— Anne est très jolie, habillée très sexy et très agréable à regarder, pour tout dire, elle me fait déjà bander !— Comme tu l’as compris, j’entretiens avec Anne des rapports privilégiés, mais j’ai omis de lui dire que tu serais présent ce soir et du fait qu’elle est timide, elle est un peu gênée, c’est pourquoi je te demande d’être particulièrement aimable avec elle.— Je ne lui ferai que du bien, promis, tu n’as pas changé Anne, tu es toujours aussi jolie, tu en faisais tourner des têtes et pas que celles de tes camarades !— Donc vous vous connaissez, les relations n’en seront que plus faciles. Soulève ta jupette Anne pour montrer à Paul ce qu’il n’a encore jamais vu.Honteuse, j’attrape le bas de ma jupe et du jupon et les relève jusqu’à ma taille. Paul dit :— Pas de petite culotte ! Très bien ! Tu as un très joli minou Anne, il donne envie de le manger, tourne-toi s’il te plait. Oh, tes fesses sont magnifiques, elles donnent envie de les caresser, de les prendre, je me souviens, tu étais toujours en pantalon mais tu avais le plus beau cul de la classe et peut-être même du lycée !— Tu peux la caresser, dit Roger, elle aime ça !— Et cerise sur le gâteau, porte-jarretelles, bas et seins nus sous le chemisier ! Tu es super bandante ! Il passe ses mains sur mes seins par l’échancrure du chemisier, me chatouille les tétons, il me demande d’écarter les cuisses, caresse mon minou, me met un doigt, pétrit mes fesses, passe un doigt dans ma raie, s’arrête sur ma rosette dans laquelle il l’insère.— Magnifique, elle est vraiment magnifique !— Ravi qu’elle te plaise ! dit Roger, puis il ajoute : — Anne, nous allons prendre l’apéritif et tu vas nous servir dans le salon, tout est prêt, il te reste à remplir les verres. Paul retire le doigt qu’il m’a enfoncé dans le cul. Je leur demande ce qu’ils veulent boire, whisky coca pour Paul, whisky pur pour Roger. Je m’accroupis pour servir les verres, mais Roger me dit :— Ah non, pas accroupie, tu gardes les jambes bien droites et bien écartées et tu te penches en avant pour servir, le but de cette tenue de soubrette c’est que tu nous excites au maximum en nous montrant tes fesses, ta raie, ta rosette et ta fente d’un côté, tes seins de l’autre, c’est pour cela que tu ne portes pas de culotte, ni de soutien-gorge. Tu profiteras de notre excitation par la suite lorsqu’on te prendra. Si nous sommes trop excités, nous te demanderons de nous faire une petite gâterie, voire un peu plus ! Tu bois quoi ma belle ?— Je vais boire un jus d’orange avec des glaçons.— Très bien, sers nous et ajoute des glaçons. Bien sur positionnes-toi pour qu’on profite de la vue. Merci ma belle.Ils sont tous les deux assis sur le grand fauteuil, devant la table basse, je me mets le plus près possible de la table dans la position que Roger m’a dit, mes fesses ne sont pas très éloignées de leur visage, aussitôt, deux mains se posent sur mes jambes et remontent vers mes fesses et ma minette. Roger dit : — Regarde Paul, on dirait un bijou dans son écrin, le couvercle est représenté par la jupette et le jupon, les côtés sont délimités par les jarretelles, le coussin est formé par les bas, et au centre le bijou que l’on peut enfiler par l’un ou l’autre de ses chatons, eux-mêmes entourés de deux magnifiques globes bien fermes, la nature est bien faite tout de même ! Paul dit :— Tu es un poète Roger, il est vrai que ce spectacle est vraiment magnifique ! Je ne m’en lasserais pas mais elle me fait terriblement bander, j’en peux plus !— Saute là si tu veux, mais pas par le cul, il faut la préparer d’abord, ou demande lui de te faire une pipe, elle suce très bien.— Je voudrais simplement la prendre par la chatte en levrette et tirer un coup, je peux ?— Bien sur, mets-toi en position Anne, Paul a les couilles pleines, il a envie de se vider. Je me retourne, il a déjà sorti sa queue, beau morceau, pas comme celle de Roger bien sur, moins épaisse mais presqu’aussi longue ! Je m’agenouille et le prends en bouche, quelques aller-retour me font comprendre qu’il est prêt à exploser, je lui passe un préservatif et je me mets en position, mains posées sur la table basse, jupe et jupon retroussés, cul bien cambré, jambes écartées, Roger regarde en souriant et dit :— Magnifique ! Paul place sa bite contre ma vulve et me pénètre lentement, je gémis un peu et me crispe pour lui montrer que j’aime, il m’agrippe les hanches, termine sa pénétration et commence à me limer à grands coups de reins, je ne suis pas assez excitée pour jouir mais je remue bien mon cul pour qu’il se soulage rapidement, ce qui ne tarde pas, il jouit en poussant un long râle animal et se retire aussitôt, je me retourne, l’embrasse sur les lèvres et lui dis :— Merci Paul, c’était bon ! Il n’a pas mis 5 minutes pour décharger !— C’est moi qui te remercie, excuses-moi d’être venu si vite, j’avais tellement envie de toi !— Envies refoulées depuis des années et qui réapparaissent ! dit Roger.— Certainement, et je n’en savais rien, mais après avoir vu ses charmes si joliment offerts, je n’ai pas pu me retenir ! Il retire le préservatif, le jette dans la poubelle et revient s’asseoir, Roger me fait asseoir entre eux, sort sa bite et me dit :— Ca m’a bien excité de te voir prendre quelques coups de queue ma chérie, allez suce maintenant ! Je me penche sur lui, le prends en bouche, et commence une série de va-et-vient sur sa hampe qui durcit rapidement et prend sa taille habituelle. Pendant que je le pompe et que je lui caresse les boules, il discute avec Paul, ils parlent du lycée et de leurs collègues et j’en apprends de bonnes ! Mais je ne dis rien, on ne parle pas la bouche pleine !Roger m’a attrapé un sein et me maltraite le mamelon, quant à Paul, il est entrain de me doigter la chatte. Roger demande à Paul :— Tu nous ressers un verre Paul, s’il te plait ? Anne et moi sommes occupés, ressers là également, merci. Elle suce vraiment bien, tu verras dans un moment ! Je ne vais pas tarder à lui inonder la gorge ! En effet quelques minutes plus tard je sens les sursauts annonciateurs de la montée du plaisir et il explose dans ma bouche. Lui aussi est super excité, je ne peux pas contenir tout son foutre, ça déborde. J’essuie le trop plein avec une serviette. Il m’embrasse et me dit :— T’es vraiment une championne de la pipe ! Les deux hommes sont calmés, ils me caressent la chatte et les seins, l’un d’eux me masturbe, s’ils continuent ils vont me donner envie ! Nous terminons nos verres, Roger dit à Paul :— Tu veux te la faire une nouvelle fois avant le diner ?— Non, après.— J’ai prévu un repas froid, style buffet, ainsi on pourra la prendre quand on en aura envie, si elle n’est pas déjà en mains bien sur !— Pourquoi ? On pourrait se la faire à deux aussi.— Ah oui, c’est une bonne idée ! — Avant de diner, nous allons commencer à lui préparer l’anus, viens ma chérie, regarde c’est un plug, il se glisse dans l’anus, on peut le porter plusieurs heures tout en travaillant, en faisant les courses, en se promenant ou même au lycée ! A l’extrémité il y a un socle qui reste à l’extérieur de l’anus et permet de le retirer facilement. Le socle est orné d’une pierre imitant le diamant, c’est un bijou pour ton magnifique petit cul. Je te l’offre, tu pourras ainsi préparer ton anus le mercredi. Mets-toi à genoux sur le fauteuil et écarte bien tes fesses. Il me met un peu de lubrifiant en me massant la rondelle et en me plantant le doigt dans le cul pour qu’il pénètre bien, puis il m’insère le plug qui rentre sans aucune difficulté. Il dit :— J’aurais dû prendre la taille au-dessus, ton sphincter se dilate sans problème. Paul demande : — Il fait quel diamètre ?— 30 mm, j’aurais dû prendre 40mm, mais c’est plus lourd à porter. On verra plus tard, en attendant tu gardes celui-là, que tu mettras pour mes cours ! Rien que de savoir que tu l’as dans ton cul, ça sera super ! Pour te préparer à nos assauts, je vais t’engoder. Il me montre le godemiché, c’est un gros engin avec un aspect veineux rappelant un pénis au comble de l’érection, avec des testicules à l’extrémité et une ventouse qui permet de le fixer où l’on veut. Il est de couleur chocolat, ça me rappelle des souvenirs. Paul demande :— Il est gros celui-là, tu crois qu’il va rentrer ?— Oui sans problème. Il ajoute du lubrifiant, dans mon anus et sur le gode puis il place l’extrémité du gland sur ma rondelle et appui pour en forcer l’entrée, il me dit :— Aide-moi en poussant comme si tu étais constipée, et si je te fais mal dit-le ma chérie, n’hésite pas. Je pousse, Roger aussi, je sens le gland s’insérer lentement dans mon anus, au début ça va, mon sphincter se détend et laisse passer l’intrus mais tout à coup je ressens une douleur, je préviens Roger qui stoppe la progression du gode et me dit :— Le gland est presque rentré, quand il sera passé, le reste rentrera tout seul.En effet, Roger recommence à pousser et le gland passe, la hampe suit, je sens le gode me remplir, c’est bon, le plaisir a pris le pas sur la douleur. — J’ai l’impression que mon cul va exploser, mais c’est très bon, continue ! Roger entame quelques allers-retours pour me détendre et je commence à apprécier cette nouvelle présence, Roger a compris, il augmente le rythme, je gémis de bonheur et atteins rapidement l’orgasme.— C’est pas comme une vraie bite mais c’est bon quand même !Roger maintient le gode planté entre mes fesses et dit :— Paul, ouvre son chemisier qu’on voit ses seins et prend là en photo de profil, avec ce gode dans le cul et cette tenue de soubrette, elle est super bandante. Je dis :— Non pas de photo, ça je veux pas !— Tu nous ennuies, c’est juste un souvenir, tu ne vas pas nous faire tout un foin pour une photo ! Puis il ajoute :— Bon maintenant qu’il est rentré et que le passage est fait, tu vas le garder dans le cul pendant le repas, nous te servirons à manger pendant que tu t’habitueras au volume. Pour Paul ça ira, pour moi il faudra te dilater un peu plus.— Il est tout au fond là ?— Oui tout au fond,— Ca fait drôle d’avoir ce truc qui bouge pas, coincé dans mon cul, c’est vraiment pas comme une bite ! Roger ajoute :— S’il le faut j’ai un autre gode un peu moins long mais aussi gros et gonflable, son diamètre est extensible.Ils me servent et nous mangeons en discutant. Le repas pris, Roger dit :— Alors, voyons le résultat.Je me libère du pieu qui me transperce, et me penche pour leur montrer mon entrée dilatée. Roger dit : — Bien, un trou béant s’offre à notre vue, je pense qu’on va pouvoir t’enculer sans problème ma chérie, pour te donner un ordre d’idée, mets ton doigt dans ton cul ! Je le mets, effectivement, mon petit trou est nettement élargi !— Ca va se refermer quand ?— Dans un jour ou deux, d’ici là t’auras pas de problème pour aller aux toilettes ! Il faut que je prenne une autre photo de ce gouffre qui va avaler nos bites ! Ne t’inquiètes pas Anne, je t’enverrai ces photos sur ton mail ! — Tu m’énerves avec tes photos !Paul et Roger se déshabillent, sortent leur bite et s’assoient sur le fauteuil. Je m’agenouille entre eux, prend une bite dans chaque main et les suce tour à tour jusqu’à ce qu’ils durcissent. Roger dit à Paul : — Quand tu es prêt, tu la prends pendant qu’elle me suce !— OK, c’est bon pour moi, dit Paul. Il s’agenouille derrière moi, pose son gland sur ma rosette bien dilatée et pénètre entre mes reins sans difficulté, je sens bien sa queue s’enfoncer en moi, c’est bon, je la sens vibrer entre mes fesses, en même temps il attrape mon minou et chatouille mon clito. Je prends le dard de Roger en bouche, mais lorsque Paul commence à me pilonner, je ne peux plus le garder et je me contente de le masturber. Je gémis de plus en plus fort et lorsque j’atteins l’orgasme, je ne peux m’empêcher de crier. Paul se retire sans avoir jouis et Roger le remplace aussitôt. Il me pénètre sans difficultés non plus, je comprends rapidement pourquoi, je sens sa queue grossir et s’allonger pendant qu’il me lime, il ne bandait pas à fond lorsqu’il m’a prise, c’est une sensation très agréable et j’atteins rapidement un nouvel orgasme, ce qui n’arrête pas Roger qui continue de me limer à la même cadence, mes orgasmes ne s’arrêtent plus, mon ventre me fait mal à cause des contractions ininterrompues, mais c’est vraiment bon, j’aimerais que ça dure toujours. Je sens la verge de Roger grossir encore et quelques secondes plus tard il décharge sa sauce à grandes giclées dans mes entrailles en râlant comme une bête. Il reste en moi quelques minutes en m’embrassant dans le cou et triturant mes seins, le temps que sa bite dégonfle, il me dit :— Ca a été pour toi ? Tu as bien pris ton pied ? Je te reprendrai comme ça, tu es bien serrée, c’est très agréable.— Oh oui c’était super, je t’ai bien senti décharger dans mon cul !Paul n’attend pas, il me remet la sienne aussitôt, d’un seul coup de reins il est au fond et il entreprend un ramonage intensif du conduit, qui m’amène quelques minutes plus tard un nouvel orgasme. Il continue à me pilonner jusqu’à ce qu’à son tour il explose. J’ai toujours mal au ventre, mais mes amants m’ont bien faite jouir. C’est agréable d’avoir deux hommes ! Mais c’est fatigant !Roger me prend par le cou et dit :— C’est bien ma chérie, tu nous as comblé ! Et il m’embrasse.— Vous m’avez comblé aussi tous les deux !— On va laisser reposer nos outils pendant que Paul va nous servir un rafraîchissement et que tu vas aller passer une autre tenue ! Allez, viens ma déesse ! Il me prend par la taille et m’emmène dans la chambre. Il est nu, au repos sa verge pend entre ses jambes, il voit mon regard et me dit :— Pas de souci, je te la remettrai tout à l’heure, la nuit n’est pas finie ! Il prend une poche et en sort une jupe courte écossaise, droite devant et plissée derrière, un chemisier blanc entièrement transparent, un porte-jarretelles en dentelle blanche et des bas blancs à couture. Il ajoute :— Déshabille-toi, tu ne gardes que les chaussures. Il met les vêtements de soubrette dans un sac. J’enfile les bas, ajuste les jarretelles et y attache les bas, je passe le chemisier et la jupe, toujours pas de soutif ni de culotte ! Je n’aurai pas besoin de les retirer ! Il me regarde et dit :— Parfaite, regarde comme tu es belle dans le miroir, tu vas encore nous faire bander ma chérie ! Le chemisier ne sers à rien, c’est comme si j’en avais pas, la jupe est très courte, comme l’autre elle laisse voir les jarretelles et le haut des bas ; plissée derrière, elle fait bien ressortir la cambrure de mes reins. Je lui dis :— Tu aimes bien m’habiller comme une pute !— C’est une tenue sexy de jeune fille que tu portes. La tenue suivante, ça va être autre chose ! — Il y en a beaucoup de tenues ?— Quatre mais j’en garde une pour mercredi prochain, tout les deux ! Allez, viens montrer à Paul tes nouveaux vêtements ! Je rentre dans le salon, la télé est allumée, ils ont mis un film X, Paul me regarde et sourit :— Tu es super sexy, relève ta jupe … tu n’as toujours pas de culotte, tu vas finir par t’enrhumer ! dit-il en m’attrapant un sein et en posant l’autre main sur ma chatte. Roger dit :— Ma petite Anne, tu t’assois entre nous deux, de façon à ce que tes orifices soient parfaitement accessibles, on regarde le film en te tripotant pour se remettre en forme. Pendant ce temps, je vais t’enfiler ce gros godemiché dans la chatte, il est gonflable et on pourra en agrandir le diamètre si besoin est, pendant que Paul te plantera un gode plus petit dans le cul, qu’on remplacera par la suite par un plus gros, afin que tu t’habitues à te faire prendre simultanément des deux côtés. — Et vous allez me prendre comme ça ? Tous les deux en même temps ?— Oui, tu verras comme c’est bon ! Vu la grosseur de mon sexe, je prendrai ton minou et Paul t’enculera.Roger m’enfile le gode gonflable dans le minou sans difficulté, Paul fait de même entre mes fesses, la présence de ces 2 objets m’entraine quelques douleurs et des gémissements. Roger commence à gonfler le gros gode. Plus il le gonfle, plus je sens l’enveloppe m’écarter les chaires et plus je gémis. Quelques minutes plus tard la pression devient si forte que je lui demande d’arrêter le gonflage, je vois cet énorme engin entre mes cuisses et je m’imagine le morceau qui a pénétré dans ma petite chatte, j’ai peur. Alors, chacun d’eux s’amuse à effectuer quelques allers-retours, mes gémissements sont de plus en plus forts, Roger dit :— Ma parole, mais elle va jouir cette petite pute ! T’aimes ça petite salope, être fourrée par les 2 trous !— Non, j’ai mal, je dois m’habituer à ces 2 pieux qui me défoncent avant de jouer avec ! — Oui habitue-toi bien, pour t’aider on va t’en mettre un plus gros dans le cul. Malgré mes protestations, ils me font mettre à 4 pattes, Paul retire le petit gode pour le remplacer par le gros, celui avec les testicules qu’ils m’ont mis tout à l’heure pour me préparer. Il l’enduit de lubrifiant et l’introduit lentement dans mon petit conduit. Les 2 godes se touchent rapidement, j’ai mal, je recommence à gémir, Roger me demande comment ça va, je lui réponds que c’est très douloureux, que je me sens totalement remplie et que j’ai l’impression que mon ventre va exploser ! Il dit :— On stoppe les allers-retours pour que ton ventre s’habitue au volume. Et quelques minutes après :— Allez, je crois que c’est bon, les passages doivent être faits, on va lui retirer les godes, mais avant une petite photo souvenir, avec les 2 godes bien enfoncés et la jupette retroussée sur le dos, ça va être super érotique ! On en fait une aussi une avec ma bite dans sa bouche, les trois orifices occupés ! Il rit et ajoute :— Une aussi pour Paul puis je dégonfle le gode de ton minou.— Oui, merci, faites vite toutes les photos que vous voulez et dégonflez ce monstrueux engin.Après plusieurs photos, dont une avec les deux bites dans la bouche, enfin seulement les glands, le reste ne risquant pas de rentrer, ils me libèrent enfin. Je n’ai jamais vu ma chatte autant dilatée. Je leur dis que j’ai mal au ventre et au cul et que je veux me reposer un moment. Roger me demande d’écarter les cuisses et prend des photos de mes orifices dilatés, n’importe quoi pourvu qu’ils me laissent un moment tranquille. Je demande :— Quelle heure est-il ?— T’inquiètes pas, on a tout le temps, il n’est que 21h30.— On a la nuit devant nous renchérit Roger. Ils parlent un moment de leurs amours et de leurs conquêtes, parfois au sein même du lycée, d’autres profs ou des conseillères d’orientation. Puis Paul me dit :— Tu as un petit ami Anne ?— Oui.— Il est dans ta classe ?— Non, à l’IUT.— Il sait ce que tu fais ce soir ?— Non, bien sûr !— Il n’aimerait pas ?— Je ne crois pas, non !— T’as déjà fait l’amour avec lui ?— Oui.— C’était bien ?— Pas super, il a très peu d’expérience.— Tu ne lui fais pas profiter de la tienne ?— Je ne préfère pas, j’ai peur qu’il me prenne pour une pute et qu’il se demande qui m’a appris tout ça, je préfère passer pour une jeune fille sage !— Oui, je comprends. Roger dit :— Bon, la jeune fille sage, ça va mieux ta chatte et ton cul ? On peut envisager une visite groupés ?— Oui, mais faites attention, prenez-moi doucement, regarde : mes grandes lèvres sont toutes enflées. Roger donne les directives :— On va prendre la jeune fille sage sur le lit conjugal, ce sera agréable avec les miroirs, on se verra mieux !Arrivés dans la chambre aux miroirs, Roger s’allonge sur le lit et sans plus attendre m’invite à m’empaler la chatte sur son dard, une fois sa queue bien au fond il me demande de m’allonger sur lui tout en gardant sa bite au fond de ma chatte, puis Paul s’accroupit et me pénètre lentement le cul, quelques petites douleurs, le souffle coupé sur le moment, lorsqu’il a passé le sphincter, du fait de l’espace réduit par le proche voisinage de la bite à Roger, mais rien de comparable avec les godes. Bien sûr je sens bien les deux sexes qui me remplissent totalement le ventre, l’un contre l’autre, ils ne bougent pas et la situation commence à m’exciter, je leur dis :— Alors les mecs, vous jouez aux cartes ou vous me tirez ? Paul se met en action, de très petits coups de reins, très vite j’ai le ventre et les reins en feu, c’est vraiment bon, je sais déjà que je vais venir rapidement, je commence à gémir de plaisir et ça s’entend de plus en plus, Roger se met également à donner des coups de reins et je comprends mieux l’expression "être prise en sandwich" chaque action d’un partenaire est aussitôt amplifiée par l’action de l’autre ! Et avec deux sexes dans le ventre, le plaisir est multiplié. C’est une première pour moi, mais c’est réellement super, j’adore, je commence à jouir et à crier de plaisir. Ils ont compris qu’ils pouvaient se lâcher et c’est à grands coups de reins qu’ils me prennent maintenant. Je crie ma jouissance et leur demande de ne pas arrêter, de continuer à me prendre comme des bêtes, de défoncer ma chatte et mon cul en feux, je ne suis plus qu’un sexe rempli de bites. J’ai mal partout à force de jouir. Je crois que je vais défaillir. Ils continuent à me bourrer un bon moment pendant lequel j’enchaîne orgasme sur orgasme, mais tout a une fin, ils sont si excités qu’ils ne peuvent se retenir plus longtemps et presque en même temps, ils inondent mes entrailles de leurs puissantes giclées en râlant. Je comprends alors que Paul n’a pas, lui non plus, mis de préservatif ! Mais c’est tellement bon que je ne peux pas lui en vouloir.Mes amants restent un moment en moi, comme s’ils étaient collés, Roger profite de l’accalmie pour faire quelques photos grâce aux miroirs. Puis Paul se retire de mes fesses, je me relève et ma chatte et mon cul se transforment en torrents de sperme. Ca dégouline sur mes cuisses, sur mes bas et sur le lit, il y en a partout ! Paul dit :— Excuses-moi ma petite Anne, dans l’excitation je n’ai pas mis de préservatif.— Aucune importance, et puis c’était bien plus agréable au naturel ! Roger dit :— C’était super, il y a vraiment longtemps que je n’avais pas jouis aussi fort, Anne, non seulement tu es belle mais en plus tu es une sacrée baiseuse, tu aimes vraiment ça. S’il sait s’amuser, ton mari sera un homme comblé ! Paul renchérit :— Je crois que je n’ai jamais pris autant de plaisir que dans ton petit cul ma chère Anne, je n’aurais jamais pensé cela quand je bavais sur tes fesses en cours il y a quelques temps !— Merci mes chéris, mais c’est grâce à vous deux si on a pris un tel pied, moi non plus je n’avais jamais jouis aussi fort ! Je crois que je vais devenir accroc à la double pénétration, il me faudra deux maris pour me combler ! Roger dit :— Je propose un petit rafraîchissement au salon, il est aussi possible d’aller se nettoyer dans la salle de bain, Anne tu es pleine de sperme, pour une jeune fille sage ! Tu peux aller prendre une douche si tu le souhaites. Je me regarde dans un miroir, relève ma jupette que j’ai toujours, je vois mes orifices béants qui dégoulinent de foutre, mes jarretelles sont décrochées, mes bas sont tombés, l’un au genou, l’autre à la cheville.— Allez, va te refaire une beauté ma chérie, une douche chaude et ça ne se verra plus, après nous irons laver nos instruments. Nous avons tout notre temps, il est 22h45. Laisse tous tes vêtements dans l’autre chambre, je t’en donnerai d’autres après ta douche. Ca t’ennuie si on te regarde te doucher ?— Non, vous connaissez déjà tout de moi ! Du coup, nous nous douchons tous les 3 ensembles, ils me lavent, je les lave. Après nous être séchés, nous allons au salon prendre un verre. Roger me dit :— Ma petite Anne, tu n’as pas froid comme ça ? Pour entrer dans son jeu, je réponds :— Si justement je mettrais bien quelque chose sur mes épaules !— Alors viens avec moi. Nous allons vers la chambre "vestiaire", il sort un paquet et dépose les vêtements qu’il contient sur le lit.— Voilà ma chérie, habilles-toi !Je découvre les nouveaux vêtements qui me sont destinés, en fait il s’agit de sous-vêtements et de vêtements de nuit, un ensemble complet en dentelle rouge et noire, il y a un soutien-gorge seins nus, un porte-jarretelles, une petite culotte et un string, les deux ouverts, une nuisette transparente et un déshabillé également transparent. A ces effets, s’ajoutent deux paires de bas résilles à couture, une paire noire et l’autre rouge, des cuissardes en cuir noir, brillantes à talons aiguilles et une paire de mules en plumetis rouge et noir. Je demande à Roger ce qu’il veut que je porte.— Tu mets les bas rouges, le soutien-gorge, le porte-jarretelles, le string, les cuissardes et le déshabillé. Quand je suis prête, je me regarde dans le miroir :— Cette fois-ci, j’ai vraiment l’air d’une pute !— Puisque tu y tiens, oui, tu as l’air d’une pute ! Mais tu n’en es pas une, vas voir Paul pour lui montrer comme tu es belle. Paul me dit :— Tu es superbe Anne, approche, il vérifie que le string est ouvert, pince mes tétons et caresse mes fesses. Roger arrive avec l’appareil photo et prend quelques clichés de sa "petite putain préférée".— Allez ma chérie, on va te reprendre en double, moi dans ton cul, Paul dans ta chatte. Il s’allonge sur le lit et me demande de m’asseoir sur sa bite, je m’accroupis, il tient son gland contre ma rosette et je m’empale sur sa bite, je sens son gland pénétrer mon anus, j’enfile cette hampe dans mon petit trou qui ne fais aucune résistance et laisse passer l’intrus ! Lorsqu’il est profondément ancré en moi, je m’allonge dos sur Roger qui prend mes seins dans ses mains. J’écarte mes cuisses et laisse ma chatte grande ouverte pour recevoir la verge de Paul, qui prend quelques photos de ma chatte béante et de la bite qui se trouve dans mon cul. Cette fois encore, lorsqu’ils se trouvent tous les deux dans mon ventre, mon excitation est à son comble et lorsque Paul commence ses allers-retours, je ne peux m’empêcher de gémir, gémissements qui vont crescendo avec la vitesse du ramonage ! Roger dessous ajoute quelques coups de reins, pour moi c’est aussitôt l’apothéose et comme d’habitude j’enchaine les orgasmes. Mes deux amants me pilonnent un long moment, si bien que j’ai mal partout, au ventre, aux seins, j’ai l’impression que mon cul et ma chatte sont des plaies béantes, je n’arrête pas de jouir et je suis heureuse quand ils me remplissent à nouveau de sperme en râlant. Ils reprennent leurs esprits puis ils se retirent de mes orifices qui dégoulinent de foutre. Je les remercie de m’avoir procuré autant de plaisir. Eux aussi ont aimé, Roger a particulièrement apprécié la prise de mon cul en double ! Il me propose de me nettoyer et de retirer les vêtements souillés. Je remplace les bas rouges par les noirs, les cuissardes par les mules, le string par la petite culotte fendue et le déshabillé par la nuisette.— Voilà, dit Roger, en prenant quelques photos, tu nous as bien fatigués, on va aller se reposer, chacun notre tour, nous te ferons des petits câlins, tu vas tout d’abord passer un moment avec moi puis tu iras rejoindre Paul et demain matin on te reprendra à deux avant que tu ne rejoignes ta famille. Il me prend par la taille et me dit à l’oreille :— Viens ma chérie que je te bouffe le cul !
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