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Un cours très spécial à l'université

Chapitre 1

La prof prend trop les choses à coeur

Voyeur / Exhibition
La prof de science doit donner des cours d’éducation sexuelle.Je n’en reviens pas de ce que nous demande l’éducation nationale. En tant que prof de science, je dois maintenant donner des cours d’éducation sexuelle…J’ai potassé les cours que l’on nous demande de donner. Je dois dire que c’est assez gênant de parler de ça devant une bande de grands gamins.Surtout que ce qu’on me demande est assez particulier, comme il y a eu une recrudescence de filles en cloque sur le campus, il faut que je fasse un cours sur « comment mettre un préservatif ».Quand je vois la bande d’étudiants que j’ai, ça fait peur.
Je suis allée pour la première fois dans un sex-shop pour acheter un godemiché. C’est fou les formes et les tailles qu’ils ont. Je ne sais lequel prendre, le modèle le plus représenté est vraiment très réaliste avec une longueur de 15 cm. Mais comme la salle de cours est grande, je préfère prendre la taille supérieure soit un gode de 17 cm avec une ventouse à la base.J’en profite pour acheter quelques boites de préservatifs car je compte bien faire passer à cet atelier tout le monde, filles et garçons. Par les temps qui courent, c’est plus prudent.C’est le jour du cours, je n’en mène pas large car certains de mes étudiants ont une tête de plus que moi.Une fois qu’ils se sont tous installés, je prends la parole :
— Je vous demande un peu d’attention, suite à la recrudescence sur le campus de filles qui se sont retrouvées enceintes, le recteur a décidé qu’un cours sur la façon de mettre un préservatif sur l’organe masculin s’impose. Je vais donc vous faire une démonstration et ensuite à tour de rôle, vous viendrez au pupitre pour vous exercer !
Bien entendu, des gloussements et des rires s’élèvent, un brouhaha de paroles s’élève.
— un peu de silence s’il vous plait ! Je sais que certains d’entre vous n’ont pas attendu pour tester la chose mais c’est ainsi. Vous passerez par ordre alphabétique !
J’aurais dû tester l’exercice chez moi, car le dessus du bureau est si abimé que la ventouse n’adhère pas sur le bois. J’essaie plusieurs fois, bavant sur la ventouse mais rien n’y fait.Bien entendu, les rires et les moqueries fusent quand, tenant à pleines mains la hampe de la verge en silicone, je m’escrime pour la faire tenir.Je suis si énervée que les mots sortent de ma bouche plus vite que je ne l’aurais voulu :
— Je voudrais bien vous y voir !
C’est encore pire qu’avant, ils et elles se foutent carrément de moi mais je vais bien les calmer.
— Puisque c’est comme ça, je veux un volontaire pour servir de tuteur !
Le silence s’impose quelques secondes puis doucement et de plus en plus fort, j’entends les filles scander :
— Olivier… Olivier… Olivier… OLIVIER !— Bon Olivier, tes fans t’ont désigné, viens sur l’estrade.
Sans se démonter, il se lève de sa chaise et s’approche de moi avec lenteur. C’est un grand gaillard bien charpenté. Quand il m’a rejoint, je lui demande :
— Je ne veux pas te forcer, il faut que tu soies d’accord.
Il opine du chef et me demande ce qu’il doit faire.
— Tu t’étends sur le bureau et tu descends pantalon et slip.
Le sourire aux lèvres, il me regarde puis tourne la tête vers ses camarades.
— J’espère que vous apprécierez mon dévouement… Surtout les filles, s’esclaffe-t-il avant d’obtempérer à ma demande.
Je pige vite pourquoi les filles ont scandé son nom, la chose flasque qu’il a entre les jambes est presque aussi grosse que le gode qui traîne sur le bureau.Mais je ne vais pas me dégonfler. Pour poursuivre, il faut qu’il bande mais quand je lui demande de se branler, il refuse tout net en me rétorquant :
— D’habitude, je laisse faire les filles !
Que puis-je faire d’autre que de me dévouer, je ne vais quand même pas demander à une fille de venir le branler sous mes yeux ?Je me saisis donc de ce tuyau mou et commence à le caresser, à le serrer entre mes doigts. Mais je ne sais pas si c’est le trac de bander devant du public ou si il est comme ça naturellement, il lui faut un temps fou pour qu’un frémissement d’érection ne se dessine. Le silence c’est fait à nouveau dans la salle avec de temps en temps quelques mots d’encouragements.
— Encore un peu d’efforts.— Il préfère avec la bouche.— Avec les deux mains, c’est plus efficace.— Vous avez besoin d’aide ?
Et bien d’autres conneries du genre…Il me faut bien 5 minutes avant d’obtenir enfin un chibre bien raide. Mais quel gourdin !!!Dire qu’il faut que ça soit pendant mes cours que je tombe enfin sur un homme bien monté !Je continue à branler de bas en haut de ma main droite ce fut si massif que mes doigts n’arrivent pas à l’encercler pendant que je reprends la parole :
— Bien, maintenant que vous avez bien rigolé, on va voir ce que vous savez faire, je vais vous monter puis ce sera à votre tour !
Je sens quelque chose d’humide et de poisseux me couler sur la main, son pré-sperme suinte du méat mais je n’ai pas le temps de réagir qu’il éjacule violement maculant mon haut de longues trainées blanchâtre.C’est du délire dans la salle, voilà qu’ils applaudissent maintenant ! Je suis rouge de honte et ne sais plus ou me mettre. Mais je prends sur moi et continue le cours.
— Voilà pourquoi il faut mettre un préservatif. On peut avoir une queue de cheval et le tempérament d’un lapin !
Les rires passent dans mon camp, j’ai marqué un point.
— Bien, reprenons… Puisque mon modèle est toujours au garde-à-vous, je vais vous montrer comment mettre un condom sur un pénis ! Une fois sortie de sa protection, vous le posez sur le gland, le réservoir à l’extérieur et vous le déroulez le long de la verge ! Regardez comme je fais.
Je déchire l’enveloppe, prends le préservatif d’une main et redresse le gourdin d’Olivier de l’autre. Je pose la capote sur le prépuce et commence à la dérouler mais je me rends compte du problème que je rencontre…Je n’ai acheté que des préservatifs de taille standard qui correspondent au gode que j’ai acheté. Mais pour Olivier, il faudrait la taille XXL ! J’ai les plus grandes difficultés à lui passer la capote. Je suis obligée de la prendre à deux mains pour pouvoir l’étendre et la dérouler sur une partie de son sexe car la longueur du condom ne suffit pas à couvrir la totalité de cette hampe magnifique.
— Comme vous le voyez, si votre partenaire n’a rien prévu, les filles, à vous de prévoir et donc d’avoir des capotes de différentes tailles car comme avec Olivier, vous risquez un déchirement du préservatif s’il est trop fougueux et de vous retrouvez en cloque malgré les précautions. Bon ! Maintenant ça va être à vous !
Je n’ai jamais vu mes élèves réagir aussi promptement pour venir faire des travaux pratiques. Les filles se bousculent à qui sera la première à chapeauter ce beau champignon. Je vois que les premières ont déjà de l’expérience et en profitent pour entretenir la forme d’Olivier. Une caresse par ci, un tâtonnement des bourses par là. Je dois même réfréner les ardeurs de Lucie qui le prend en bouche.
— Eh ! Arrête-ça tout de suite, ce n’est ni le jour, ni le lieu !
Mais il faut que je la tire en arrière car elle ne veut pas lâcher le bâton de glace avec ses belles boules.Les dernières à passer sont les plus prudes. Il faut que je les force. Je dois même prendre leur main pour la poser sur ce pieu dressé. Elles essaient de glisser le préservatif des deux mains et je les aident en dressant à la verticale cet obélisque de chair ou pulse du sang plein de fougue.Olivier n’y tient plus de tous ces attouchements et délivre de nouveau un foutre bien épais.Maintenant, c’est au tour des garçons, ils ne se bousculent pas pour faire « l’exercice demandé ».
— Allons messieurs, un peu de courage, ne jouez-pas les femmelettes !
Il n’y a qu’Aloïs qui s’approche du bureau et prend en main la flamberge qui a baissé la tête après avoir donner pour la deuxième fois son obole au peuple.Sans aucune gêne et on dirait avec une pratique consommée, il redonne de la vigueur d’une main ferme et rapide au jonc vigoureux d’Olivier avant de sortir de sa poche un préservatif. Il le sort de son emballage avec assurance et le déroule sur toute la longueur de la hampe puissante.
— Vous voyez, on reconnait le bon ouvrier à ses outils et à chaque boulon, il faute trouver l’écrou qui y correspond.
Les autres garçons ne veulent pas passer pour des lavettes devant les filles et se prêtent de mauvaise grâce à cet exercice. Je ne sais pas si c’est le fait de faire ça à un homme plus viril qu’eux qui en plus se fout un peu de leur gueule devant leur maladresse. Et aussi sous les yeux des filles qui rigolent comme des bossues mais ces grands dadais toujours promptes à faire le bordel sont pour une fois un peu « éteints » quand la sonnerie de fin du cours se déclenche.
— Bon Olivier ! Je te remercie de t’être dévoué, j’en suis pour aller me changer à la fin du cours. J’espère que vous avez bien profitez du cours, Mesdemoiselles et Messieurs. A mercredi.
Olivier, tu peux te servir de l’évier pour te nettoyer un peu.Tous les élèves sont sorti, je referme la porte pour un peu d’intimité et retire mon haut pour passer sous l’eau les taches de sperme.Je suis juste à coté d’Olivier en train de se savonner la verge toujours en érection. Il me regarde et me propose :
— Si vous devez encore faire d’autres cours, je veux bien aller chez vous pour que vous vous entrainiez pour ne pas avoir d’autres problèmes pendant le cours.— Mais qu’est ce que tu crois ? Allez, va rejoindre tes copains !
Il croyait que j’allais lui céder, ce petit con ! Il ne doute vraiment de rien !Bien que… Quand je repense à ce qu’il a entre les jambes, est-ce que j’aurai un jour l’occasion de retrouver un tel étalon ??? À réfléchir……………………………
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