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Un cours très spécial à l'université

Chapitre 4

L'élève devient le maître.

Avec plusieurs femmes
La prof de science doit donner des cours d’éducation sexuelle. 4
Agnès penche la tête et tel un oiseau de proie, sa bouche grande ouverte se précipite sur mon gland cramoisi. Sa langue brûlante roule de gros patins sur le bout de ma tige. Elle descend maintenant avec lenteur pour m’offrir une gorge profonde comme je n’en ai rarement connu. Tel un boa avalant sa proie, ma verge disparaît après quelques reptations de ses mâchoires sur ma hampe comme dans une gaine de velours et bientôt ses lèvres touchent mes couilles.
Suite :Elle arrive même à sortir la pointe de sa langue et venir titiller mes bourses. Une femme d’expérience, assurément. Je me mets à remuer mon membre, terriblement excité, et jubilant d’avoir à mes pieds mes deux professeurs, un rêve que je croyais inaccessible. M’imaginer être « Le Mâle dominant» me donne la chair de poule. Je grimace et me retiens de me vider dans sa bouche.
Pour détourner mes pensées, j’ordonne à Sylvie de se coucher sur la table. Mes mains parcourent son corps, caressant ses seins qui me faisaient tant fantasmer en classe. Je pose ma main gauche sur son jardin secret que je titille de mes doigts, il est déjà trempé, l’œuvre d’Agnès sûrement...
Je continue mon exploration de son intimité, me penchant pour embrasser sa chatte trempée, puis léchant son petit bouton gonflé de plaisir, la faisant vibrer de toutes les fibres de son corps.Ses gémissements montent crescendo, de plus en plus rauques. J’explore aussi de ma langue son anus et ses fesses, ça n’a pas l’air de lui déplaire. Son corps est parcouru de mouvements de plaisir.
— Ne t’arrête surtout pas, mauvais élève, continue, ooouuuiii c’est bon !!!
Ses fluides corporels s’écoulent autour de ma bouche. Elle a les yeux révulsés et semble être en train de perdre conscience. Ma verge, elle, commence à me démanger et me rappelle à l’ordre, Agnès va finir par arriver à ses fins.
— Ah que c’est booonnn ! J’en peux plus Agnès, je vais cracher !
Comme si elle n’attendait que ça, elle accélère sa fellation, et je lâche jet après jet dans sa bouche avant de réussir à sortir ma lance de ce traquenard. Je continue à me vider, mais l’étranglement de ma verge par l’anneau serré à sa base fait que pour passer ce cap, la pression doit être plus forte. Comme une rivière dont le courant augmente quand les rives se resserrent l’éjacula quitte le méat avec une puissance folle, propulsant mon sperme à plus d’un mètre.Agnès, après avoir dégluti pour ne pas perdre une goutte de ma semence, récupère ce qu’elle peut sur son visage avec ses doigts avant de les porter à sa bouche et de commenter, un sourire aux lèvres :
— Olivier, ton jus d’amour a bon goût, tu sais ! Viens...
Je vois les bretelles de son soutien-gorge qui supportent son opulente poitrine. Agnès vient se coller contre moi, caresse mon cul puis ma verge qui ne peut débander. Je la plaque contre le mur et l’embrasse, soulève le petit top blanc, retire le dernier rempart et commence à téter et lécher ses seins magnifiques, l’autre main dans sa culotte à la recherche de son clitoris. Son visage habituellement sévère de prof de maths rayonne de plaisir.Je lui retire sa culotte et découvre une chatte immense qui contraste avec celles de mes quelques petites copines. Sa vulve bombée met en valeur de grandes lèvres pendantes de couleur rosée. Sans perdre de temps, je lui fais subir le même sort que Sylvie et elle gémit aussitôt que je commence à la lécher puis je passe à l’offensive et la pénètre d’un doigt que je fais tournoyer dans sa chatte.
Elle me susurre :
— Tu sais aussi bien te débrouiller avec tes doigts que ta langue. Ne t’arrête pas jusqu’à ce que j’aie un orgasme... oh ooouuuiii, comme ça, aaaahhhh !
Je suis en train de lui dévorer la chatte une nouvelle fois, mais cette fois-là, mon doigt est dans son cul, puis je varie avec deux doigts dans le vagin en lui léchant son petit trou de balle de prof. Elle finit par jouir de nouveau.
— C’est à mon tour de te donner du plaisir maintenant, m’assure-t-elle. Laisse-moi t’étendre sur le sol.
Elle me chevauche aussitôt, coinçant ma verge entre nos deux corps. Je l’attire à moi pour l’embrasser, introduisant ma langue dans sa bouche pour y trouver la sienne.
Agnès ondule du cul, faisant rouler son bassin, et j’en profite pour redresser ma teub jusqu’à ce que je me trouve entièrement planté en elle. On dirait qu’elle ne l’a même pas remarqué, mais quand ses muscles vaginaux commencent à entrer en action, c’est moi qui ai des difficultés pour me retenir. Telle une cavalière sur son gentil petit destrier, elle passe de la marche, au trot, puis au galop, on dirait que mon piston la comble totalement. Mais à ce rythme-là, je risque de lui balancer tout mon foutre dans quelques secondes ! Son vagin fait pression sur ma verge et la comprime comme une trayeuse. Je suis en train de me faire littéralement traire de mon sperme, la sensation est incroyable.
Heureusement, Sylvie vient détourner mes pensées, revenant au rabe en me donnant sa vulve pour un petit cunni. Je me remets à l’ouvrage sur sa petite chatte au goût poivré qui contraste avec celle d’Agnès, dégustant sa petite moule charnue déjà toute trempée de mouille. Ma langue râpeuse reprend possession de sa minette d’amour. Je m’applique à en écarter tout doucement les lèvres, résolu à faire durer son plaisir pendant de longues minutes en bon élève. Quelle photo ça ferait pour les copains !!!
Je la lèche avec passion, son clito entre mes lèvres pour le suçoter vigoureusement. Ses hanches glissent sous mes mains et son derrière s’écrase sur mon visage, jouissant avec une intensité renouvelée, ses jambes serrées autour de ma tête. La chatte de Sylvie coule sur ma langue. Le Ru se transforme en torrent de montagne déchaîné qui se déverse dans ma bouche. Je me désaltère à sa source, sa cyprine coule sur mon visage.
— Oui, je jouuuiiisss !!! Aaahhh !
Tout son corps se contracte, mais je continue mon petit cunni jusqu’à ce qu’elle ne tremble plus et se détende. Elle se relève enfin et d’autres lèvres viennent m’embrasser d’un baiser mélangé de sa cyprine, puis elle me lèche entièrement le visage. Je reprends enfin conscience en entendant Agnès.
— Putain ! Mais tu vas jouir, merde ! Ton sexe semble tellement à l’aise dans ma grotte, mais moi, je veux ton sperme !
Comme un élève pris en faute, je cède finalement à sa demande orale et physique, tout mon corps se raidit et je lâche le gouvernail. C’est une libération quand ma semence se déverse en plusieurs jets dans cette chatte survoltée. Je ne suis plus qu’un phallus, le temps n’existe plus. Je suis aveugle et sourd, dévasté par la puissance de l’orgasme.
— Oui Olivier ! Continue comme ça... surtout, ne t’arrête pas ! Je sens ton foutre tellement chaud et épais. Mais je suis sûre que tu as encore de la réserve...

Mais malgré l’anneau, mon tuyau baisse un peu de la tête, gardant pourtant un diamètre inusité. Alors Sylvie, me regardant droit dans les yeux, s’agenouille et prend ses seins à pleines mains, les soulève et coince mon sexe entre eux où il disparaît complètement, faisant se toucher ses mamelons durcis et sensibles et commence une branlette espagnole.
Je pose mes mains sur sa tête, accompagnant doucement chaque aller-retour entre ses seins de ma verge de nouveau ragaillardie, sa langue venant régulièrement toucher le bout de mon gland turgescent quand elle se penche pour lécher mon sexe.
Mon esprit est déconnecté, mon corps mène sa vie propre, il n’y a que mon cerveau reptilien qui domine encore mes bas-instincts. Sylvie relâche ses seins et saisit mon sexe redevenu si dur par l’action de l’anneau entre ses petites mains et l’enfonce dans sa bouche en écartant ses mâchoires au maximum.
Contrairement à Agnès, elle salive comme une démente et une couronne blanchâtre se forme sur ma hampe. Mon gland glisse sur sa langue, butant contre son palais jusqu’au plus profond de sa gorge. Elle serre les lèvres et commence un va-et-vient d’une lenteur exaspérante, enduisant mon membre d’une salive de plus en plus abondante et épaisse qu’elle finit par lui couler sur le menton et se répandre sur ses seins qui balancent mollement au rythme de sa fellation.
Quand enfin elle me sent frémir, elle dépose un baiser tendre sur la tête de mon sexe, rendant hommage à mon stoïcisme avant de me demander, elle aussi, de m’étendre et de me chevaucher. Elle me branle énergiquement une dernière fois pour s’assurer que toute ma vitalité est concentrée dans ces quelques centimètres de chair. Elle prend ma queue à pleine main et tapote plusieurs fois l’entrée de sa chatte avec mon gland hypertrophié. Tchac, tchac, tchac... puis braque ma trique sur sa cible et en bonne cavalière, monte en selle et vient s’empaler directement sur ma hallebarde dressée en son honneur.
A suivre...
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