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La cousine de ma femme

Chapitre 3

Hétéro
Cette aventure aurait pu s’arrêter là mais je dois avouer que l’expérience avec Laura avait été vraiment exceptionnelle et plus le temps passait, plus l’envie de la retrouver m’obsédait. Le souvenir de sa peau douce, de sa poitrine si généreuse et de son vagin accueillant me revenait sans arrêt. Mais la distance et le fait d’être mariés tous les deux rendaient les choses impossibles.
Je commençais malgré tout à reprendre contact avec elle, pour des banalités. Quelques sms échangés pour prendre des nouvelles, d’abord rarement puis de plus en plus. Le fait de parler ensemble entretenait la conversation et au final on finit par s’écrire tous les jours. Elle arrivait à ses trois mois de grossesses et de temps en temps je la branchais sur le sujet. Elle finit par me dire que ses seins avaient à nouveau grossit, comme lors de sa première grossesse. Il ne m’en fallait pas plus pour glisser, pas très subtilement je l’avoue, à quel point ses seins étaient magnifiques et que s’ils avaient grossis, je me demandais comment ils étaient à présent. Elle me répondit que je verrais bien à Noel, soit 2 mois plus tard.
"Je verrais bien" ??? Cette phrase me fit bander presque immédiatement et entretint mon espoir de pouvoir profiter à nouveau de la belle Laura. Mais je savais bien comment ça se passait à Noël, avec toute la famille, c’était impossible qu’il se passe quoi que ce soit, et nous serions dans le sud que quelques jours, ce qui laisserait très peu de chance d’avoir une occasion de se retrouver seuls. Au mieux je pourrais effectivement furtivement observer sa poitrine, mais j’espérais bien plus que ca.
Le sujet était cependant lancé et je pris un malin plaisir à l’entretenir, parler de sa poitrine me plaisait et au final elle était flattée que j’y prête une telle attention et que je la qualifie régulièrement de jolie fille, de canon... Elle avait parfois des douleurs et je ne perdais pas une occasion de dire qu’un bon massage l’aiderait surement. Petit à petit nos conversations étaient plus osées, plus intimes, plus chaudes. Peut-être que ses hormones la travaillaient ou que ce petit jeu l’amusait autant que moi.
Je commençais à prendre plus de précaution également, vis à vis de ma femme et du mari de Laura. Si l’un d’eux tombait sur nos messages, je doute qu’il soit compréhensif. Nous effacions nos messages tous les jours et nous avons renommé nos noms dans nos contacts d’un commun accord, au cas où l’un se fasse prendre, que ça n’ébranle pas toute la famille avec un scandale. La situation lui plaisait visiblement suffisamment pour prendre ces risques.
Nos échanges étaient de plus en plus sexuels, et je ne lui cachais pas mon envie de profiter d’elle à nouveau, que sa poitrine et son corps entier me faisait rêver. Elle était flattée et répondait en me taquinant sur la grosseur de ses seins bien lourds, sur ses envies de plus en plus fortes de sexe que son homme ne parvenait pas à apaiser. Je commençais à tout savoir d’elle, de ses rapports avec son mari, de ce qu’elle aimait, de ses fantasmes. Le désir montait de plus en plus, aussi bien que pour elle, j’en étais sûr, mais je ne voyais toujours aucune possibilité de profiter de Laura et de son état d’excitation que j’entretenais le plus possible.
Jusqu’au jour où elle m’écrivit qu’une demande de formation qu’elle avait demandée venait d’être validée et se déroulerait quelques semaines plus tard sur Paris. Je ne sais pas depuis quand elle manigançait ça, et comment elle avait fait pour tenir sa langue jusqu’à présent, mais je fus fou de joie à l’idée qu’on allait surement pouvoir se revoir bientôt. Elle semblait très excitée aussi et nul doute qu’elle ferait tout son possible pour rendre cette rencontre possible. Je peux vous garantir que les sms échangés jusqu’à sa venue furent torrides !
Sa formation durait 3 jours. Elle avait donc deux nuits sur place dans un hôtel que sa boite lui avait réservé. J’aurais rêvé pouvoir passer une nuit entière avec elle, mais avec ma femme c’était impossible. De plus, pour éviter tout risque que Marine apprenne par après qu’elle avait été sur Paris, Laura l’appela et lui raconta l’obtention de sa formation et une opportunité de se voir. Elle précisa cependant que ça serait sans doute très compliqué le premier soir, où elle ne savait pas trop à quelle heure se finissait la formation et qu’il y aurait sans doute un resto avec les autres stagiaires. Marine fut ravie d’apprendre que sa cousine viendrait et l’invita évidement le deuxième soir. Je fis le surpris quand ma femme me raconta la bonne nouvelle.
Pour une nouvelle c’était une sacrée bonne nouvelle ! Laura n’avait aucune intention de sortir manger avec ses futurs collègues de stage le premier soir, mais bien de rentrer au plus vite à son hôtel pour que nous puissions tous les deux profiter de cette occasion de se voir. Tout était organisé et nous aurions deux heures devant nous avant que je sois obligé de rentrer avant que ça fasse trop louche. J’avais prétexté un rendez-vous un peu tardif qui risquait de durer un peu pour gagner du temps.

17h50 j’étais devant l’hôtel de Laura. Je dû attendre quelques minutes qu’elle finisse par arriver, le temps de revenir de son lieu de formation. Son sourire en disait long quand elle approcha, et sans hésiter, je l’embrassais à pleine bouche. Sa langue se glissait contre la mienne dans un long ballet passionné. L’attente avait rendu ce moment encore plus excitant. Je ne pouvais pas trop la détailler pour l’instant, il faisait frais par cette fin de journée d’automne et elle portait un long manteau. Bien vite nous montons dans sa chambre, relativement basique mais semblant très propre. Après tout, pour ce que nous comptions faire, il ne nous fallait rien d’autre qu’un lit.
Tout en s’embrassant avec fougue, nos vêtements tombaient à terre les uns après les autres, jonchant le sol de sa chambre. Elle finit en sous-vêtements, et moi également, allongés sur le lit, collés l’un à l’autre. Effectivement, sa poitrine débordait quelque peu de son soutient gorge et c’est avec un plaisir non dissimulé que je dégrafais lentement le sous-vêtement, prenant sur moi pour faire durer le plaisir, laisser chaque centimètre de ses seins volumineux apparaitre jusqu’à dévoiler ses tétons déjà tendus d’excitation. Une fois sa poitrine dénudée, je ne pus m’empêcher de presser ses seins l’un contre l’autre et de les caresser, les malaxer de mes mains. Quel bonheur de profiter à nouveau de son corps magnifique. Elle me demanda de faire doucement, sa poitrine étant plus sensible depuis le début de sa grossesse. Je me calmais quelque peu et entrepris un massage en règle de ses seins avec une douceur quelle semblait apprécier et qui contrastait avec la fougue des premiers instants. Ses tétons tendus et durs semblaient m’appeler et je me penchais pour venir sucer ses délicieux petits bouts de chaire, donnant des petits coups de langue pour les agacer gentiment.
Laura soupirait doucement, glissant sa main délicatement dans mes cheveux alors que mes lèvres restaient collées à ses seins, les tétant et les léchant avec envie. Mon désir s’enflammait et je quittais finalement sa poitrine pour revenir l’embrasser longuement, mes mains glissant sur son corps, ses hanches, son petit ventre, ses cuisses, remontant vers son petit string noir. Quelques instants plus tard, je faisais glisser le tissu le long de ses longues jambes jusqu’à la dévêtir entièrement. Je pris quelques instants pour la contempler avec un regard plein d’envie, une de mes mains glissant entre ses cuisses pour venir frotter son intimité délicatement. Elle mordillait ses lèvres sensuellement en me regardant faire. Elle semblait excitée et mes doigts rencontrèrent bientôt l’humidité de sa vulve alors que je la caressais. Après toutes ces semaines à se chauffer mutuellement, ce n’était pas étonnant que notre excitation revienne au galop.
Elle se décala vers moi, attrapant mon boxer et le faisant glisser pour dévoiler mon sexe déjà bien dressé. Je l’aidais à me déshabiller et nous voilà nus tous les deux, allongés sur son lit d’hôtel. Elle se redressa et vient caresser mon membre puis se pencha pour venir déposer des baisers, puis des coups de langues sur mon gland, me faisant frissonner. Quelques instants plus tard je gémissais de plaisir alors que ses lèvres coulissaient avec douceur le long de mon sexe qui disparaissait dans sa bouche. J’étais tellement impatient que je relevais mon bassin à la rencontre de ses lèvres pour la faire descendre le plus possible sur ma hampe. De mon côté mes doigts taquinaient son petit bouton et ses lèvres intimes qui étaient déjà bien mouillée.
Je ne résistais pas bien longtemps à l’envie de la posséder à nouveau. Je la fis basculer, l’allongeant sur le dos, venant me placer entre ses cuisses bien ouverte. Elle me fixa avec un regard qui en disait long : elle attendait ça autant que moi. Je plaçais ses jambes sur mes épaules, et guidait mon gland vers son vagin déjà luisant de mouille. Pas plus de préservatif que la première fois, mais de toute façon elle était déjà enceinte, ca ne risquait plus rien. Je poussais pour m’enfoncer en elle, poussant un râle de plaisir, sentant les parois de son vagin frotter délicieusement contre mon gland qui disparaissait en elle. Elle gémit de plaisir et en quelques mouvements j’étais planté au fond de son vagin. Je restais ainsi pendant quelques instants à profiter, mon sexe glissé dans son fourreau jusqu’à la garde, ses deux beaux seins tombant légèrement sur les côtés sous leur poids et son regard, ses beaux yeux bleus/gris me fixant.

J’entamais un lent mais ample mouvement de va et vient, profitant de chaque instant de ce moment tant attendu. Mes mains caressaient ses cuisses relevés et nous poussions tous deux de petits soupires de satisfaction. Progressivement le rythme s’accélérait et je voyais sa poitrine s’agiter sous les coups de bassin que je donnais, m’enfonçant toujours profondément en elle. Je finis par m’allonger sur elle, l’embrassant avec fougue, alors que mes mouvements se faisaient plus rapides et plus secs. Mes mains caressaient ses seins pendant la pénétration qui devenait de plus en plus vigoureuse. Nos respirations s’accéléraient et après quelques minutes de ce traitement, il devenait de plus en plus difficile pour moi de me retenir. Laura haletait alors que je m’agitais en elle frénétiquement.
Moi : Mmmm Laura... je sens que je vais jouir !Laura : Continue ! Ne t’arrête pas !
Je fis encore quelques va et vient avant de céder au plaisir, me répendant en elle en lâchant un long râle de plaisir. Son orgasme ne tarda pas lui non plus, son corps se crispa alors que ma semence chaude s’écoulait au fond de son vagin qui fut pris de contraction autour de mon membre. Elle poussa un petit cri retenu, terminant par un long soupire de satisfaction alors que je continuais mes mouvements pour faire durer le plaisir le plus possible, avant de finalement me laisser aller contre son corps, mon sexe encore plongé en elle.
Nous échangions un sourire ravis, emboités l’un dans l’autre...
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