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Ma cousine ou ma soeur

Chapitre 1

Inceste
Ceci est un fantasme dont j’ai toujours eu envie et même si je sais qu’il ne se réalisera jamais, j’ai simplement toute la vie devant moi et j’ai encore de l’espoir pour le futur... ! J’espère que la lecture vous plaira Wink
Je m’appelle Lucas, j’ai 17 ans et je suis un petit pervers. Non, loin de là, l’idée d’harceler les filles, mais juste pouvoir les mater un peu…Tiens, d’ailleurs, en y repensant, je me souviens très bien avoir maté ma petite cousine de 16 ans qui adorait notre relation...
Ma cousine est, sérieusement, une bonasse, elle a déjà les formes d’une étudiante dans une taille moyenne. On s’est rencontré, lors du déménagement de mon oncle et de ma tante, n’ayant pas de places, on avait décidé de les accueillir chez nous. Ma sœur (dont je vous parlerai plus tard) était assez mécontente de devoir partager sa chambre avec ma cousine, du coup, elle est venue dans ma chambre. Je ne sais pas comment vous dire à quel point j’ai pu la mater, tellement elle était formidable : des fines jambes qui soutenaient un magnifique cul avec, à l’avant, une belle poitrine qu’elle tentait de cacher et un visage angélique auquel personne ne pouvait résister. La famille les avait accueillis pendant une semaine et je vais essayer d’en expliquer les détails... Ah, oui et pour détail, ma cousine s’appelle Émilie.

1er Jour :
Mes parents accueillirent la famille, moi je saluai une jeune fille toujours aussi majestueuse. Elle me fit la bise et souriait toujours autant, même si elle semblait distante avec ma sœur qui faisait peur à tout le monde de par son caractère. Il était assez tard et nous décidâmes de passer à table.Après le repas de famille, Émilie décida de prendre sa douche, mais malheureusement, je voulais y aller aussi alors, étant galant, je lui ai laissé la priorité, ce qui l’a fit sourire et elle me chuchota :
« Je te revaudrais ça... ! » Suivi d’un clin d’œil assez coquin de la part d’une cousine qui n’a pas eu de petits amis depuis une décennie !
Et j’avais déjà une idée de la surprise que j’allai avoir. Une trentaine de minutes plus tard, Émilie arriva dans ma chambre en une tenue plus que sexy, qui me fit une bosse assez voyante dont j’essayai de dissimuler un peu car malgré ma perversité envers ce bout de femme, j’étais assez timide. Au lieu de tenter de la peloter ou que cela dégénère, j’ai préféré me restreindre à siffler et à partir prendre une douche pendant qu’elle allait regarder la télé.
Ma sœur, de 19 ans, qui est une sale peste, répandit mon caractère de "porc" à ma chère Émilie, qui réagit d’une toute autre manière. Une fois douché, je me faufilai dans les draps soyeux de mon double-lit en attendant ma princesse. Il me fallut attendre quelques minutes avant de l’entendre courir et venir vers moi avec un peu de colère et de gêne, comme si elle me boudait.N’y comprenant rien, je lui ai laissé ma place et suis allé de l’autre côté du lit. J’ai tenté de m’approcher d’elle, mais elle se retourna aussi sec et me dit de la laisser tranquille.Je rétorquai :
« Mais pourquoi ma chère cousine ? Tu ne devais pas me rendre la pareille ?– T’es qu’un gros pervers, j’espérais pouvoir être réconfortée par un homme et non un porc ! »
Je la vis pleurer quelques larmes. Que devais-je faire ?
Si je l’avais touchée, elle le prendrait d’une toute autre manière et cela serait encore plus catastrophique, mais si je la laissais, cela signifierait que je me foutais d’elle et elle me laissera, pour toujours, dans sa liste d’ennemis jurés.Je décidai de la réconforter :
« Émilie, tu es ma cousine, tu es plus que tout pour moi, jamais je ne voudrai te trahir ! »
Ces mots ont résonnés dans nos têtes, je venais de lui déclarer une flamme qui ne devait pas s’allumer à cet instant. Je ne savais plus quoi dire, mais elle sécha ses larmes et se retourna pour dormir, en étant un peu soulagée d’avoir entendu ce qu’elle souhaitait, c’est à dire de l’amour. Elle me désirait secrètement (ce n’est que plus tard que je le saurai), mais pas sexuellement, elle voulait sortir avec moi comme un jeune couple. La différence d’âge m’embêtait un peu, même cela n’avait aucune influence sur nos sentiments. C’était juste au niveau de la morale de mes parents et des autres que je me souciais, qu’allaient-ils penser de moi ?Pleins d’idées à la tête, j’eus du mal à trouver le sommeil...

2e Jour :
Le réveil fut assez calme, vu que c’était les vacances, personne ne faisait de bruit pour ne pas réveiller les autres. Je m’approchai tout doucement d’Émilie et je lui susurrai un léger mot : "Désolé"À peine dit cela qu’elle se retourna et je la vis avec son visage d’ange, très défiguré, elle voulait me tuer pour ne pas l’avoir assez réconfortée. Je me réveillai subitement et je la vis, au-dessus de moi, à contre-fourche sur mon ventre.Elle a dû sentir mon érection matinale et me sourit assez en montrant ma forte bosse. Cependant, je la retournai du côté du lit, car j’avais du respect pour elle, après tout, je l’aimais sincèrement et je n’allais pas commencer aussi brutalement la matinée ! Elle me regarda plus sérieusement, avec un froncement des sourcils et tenta de me faire rappeler la scène d’hier. Et j’ai repensé à mon cauchemar et c’est là, que je lui dis mes sentiments avec plus de convictions :
« Chérie... ! »
Elle ne me laissa pas le temps de parler, puisque celle-ci décida de poser son doigt juste dessus pour me dire de ne pas réveiller les autres.
« Je veux rester auprès de toi et, qu’importe ce que tu fais aux autres, j’espère juste pouvoir avoir l’homme de ma vie !– Mais tu le trouveras un jour, surtout vu ta beauté ! »
Elle s’étendit sur moi et je l’a consolais un peu. Elle était forte, mentalement, mais j’adorais jouer mon prince charmant.
« Tu sais, Lucas, je l’ai déjà trouvé !– Ah bon et c’est qui ? Dis-je, tout en faisant l’hypocrite.– Toi mon chéri... ! »
Et elle me fit la bise avant de se lever et de descendre prendre le petit déjeuner.Je me lève aussi et je vais chercher dans ma tirelire 50€ pour la petite surprise que je lui réserve cet après-midi. Je pars la rejoindre et elle m’accueille avec du "Benco" – oui, je connais Camping, je ne le nierais pas – qui est ma marque préférée..Je lui proposai de déjeuner en cette belle journée ensoleillée, ce qu’elle ne refusa pas; Je l’a vois avec ce pyjama qui cachait tant bien que mal ses formes.Elle s’installa en face à face devant moi, séparés par nos bols. Une fois fini, nos parents avaient enfin décidé de pointer leur nez. Et on a juste rangés nos affaires avant de se rhabiller. Dans la salle de bain, Émilie me matait autant que moi et pourtant, je n’avais rien à envier, j’étais un peu gros, mais grand aussi, avec un visage amaigri et mes bijoux de familles étaient toujours aussi fiers ! Elle s’approchait souvent avec son petit cul pour me chauffer et telle la souffrance de Prométhée, je dus endurer cela pendant deux bonnes minutes. Sans quoi, j’avais fini de m’habiller et elle aussi, je lui dis :
« Parce que tu m’as trop chauffé, je vais devoir te calmer ! Cet après-midi, on ira à la piscine ! »
Elle semblait très enthousiaste. J’ai juste prévenu ses parents que j’allais l’emmener avec moi, puisque ma sœur avait prévu de partir toute la semaine à la mer. Même si je n’avais pas de voitures, je connaissais les transports de bus.Une fois préparés, on emprunta un arrêt et on prit le bus direction la piscine, plus d’une fois elle tenta de me chauffer, mais je devais rester calme : « D’autres personnes nous regardent, Émilie, je ne vais pas pouvoir tenir comme ça ! ». Et au lieu de la calmer, elle continua de plus belle... Je dus me résigner à lui prendre la main et faire le rôle du petit ami pour qu’elle puisse être enfin sereine.
Et c’est avec large sourire que nous allions au guichet pour demander 2 tickets, mais elle dit que les vestiaires des filles étaient fermés. Émilie, dont les yeux pétillaient après cette annonce, me regarda et faisait sa tête de chien battu afin de convaincre la dame de partager la cabine avec moi. Elle devait avoir la soixantaine et elle comprit très vite que nous étions cousins/cousines et nous expliqua :
« Vous savez, à votre âge, j’aimais, moi aussi, quelqu’un de ma famille et personne ne voulut l’accepter. Mais j’ai envie de vous donner cette chance, alors profitez bien ! »
Je ne pus me résoudre à la remercier milles fois. Émilie, qui espérait être dans la même cabine que moi, était surveillée et a donc dû aller dans une cabine toute seule et elle était un peu déçue de ne pas me voir nu.
J’étais le dernier à aller dans l’eau – je ne sais pas comment elle a fait, mais elle était pressée de me voir – et c’est avec un beau plongeon raté que je la rejoignis. Elle m’enlaça tendrement et essaya de m’embrasser. Mais j’avais une bonne astuce : Comme elle avait les jambes autour de ma taille, je pouvais plonger, en l’entraînant, ce qui l’empêcha de m’embrasser. Ça, c’était en théorie, car elle avait réussi à me voler un petit kiss, elle continua de plus belle en serrant sa forte poitrine contre moi et cela m’excitait à haut point.
Puis nous avons décidé de faire les sérieux et de faire quelques longueurs.
15 minutes avant la fermeture, le surveillant passa nous demander de sortir, on en avait un peu marre de nager et on avait besoin de se reposer. Dans les douches, on était tous seuls, mais encore une fois, je voulais la faisait languir en me retournant. Mais moi non plus je en pouvais pas l’admirer et pourtant, c’est ainsi que je pouvais l’avoir. Elle finit par se frotter et rejoindre les cabines, malheureusement elle prit mes affaires et se cacha dans sa cabine. Je dus aller la voir et la suppliai :
« S’il te plaît, ma chérie, rends-moi mes affaires !– Mmmh, d’accord, mais tu devras les chercher dedans... ! »
Avec un certain mécontentement, j’ai tenté de négocier autrement.
« Si tu me les rends maintenant, je te revaudrai ça, ce soir ! »
Cela n’est pas passé à l’oreille d’une sourde et elle me laissa la cabine, alors qu’elle partit en boudant avec cette même bouille angélique.Elle m’aimait, magnifique et je m’en voulais de l’avoir vexée. Elle devait penser que je n’avais pas confiance en elle et du coup, je me suis promis de lui faire plaisir. Je resaluai la vieille dame qui nous reconnut et qui me fit un clin d’œil.
On se prépara à prendre le bus, et malheur : La pluie s’abattit ! Comme un gentleman, j’avais un parapluie dans mon sac et je le déployai puisque l’abri était déjà bondé. Elle voulait à la fois s’éloigner et s’approcher de moi, tant elle m’aime et tant elle veut me faire comprendre la méchanceté que je lui provoque. Alors pour la première fois, c’est moi qui avais décidé de lui prendre la main et elle ne s’en plaignait pas. Pendant tout le trajet, je lui serrais la main.
Elle était au bord des larmes, tant elle ne savait pas quoi faire. Arrivés à la maison, tout le monde s’inquiétait de nous voir dans cet état et ils nous appelèrent, désormais : "Les tourtereaux", puisque je n’avais toujours pas lâché la main de ma chérie, tant je voulais me faire pardonner. Un plat de croquemonsieurs nous attendait et on dévora tant la faim nous guettait. Puis alors qu’elle alla s’asseoir dans le canapé rejoindre les autres je la pris et lui fis un clin d’œil. Puis je m’exclamai : « Émilie et moi, on est trop fatigués, on va dormir, donc bonne nuit ! ». Sur ce, je me dirigeai vers ma chambre, tandis qu’elle alla dans la salle de bain se préparer. Elle ne s’avait pas ce que j’allais faire, mais moi, je mis juste un pyjama court, alors qu’il pleuvait encore depuis tout à l’heure.
Je vis une beauté arriver, elle était dans une tenue très sexy, le même bikini qu’à la piscine, mais en plus serré. Ses seins allaient partir tant c’était provoquant, elle voulait tout mettre en valeur car elle pensait que j’allais la sauter, mais ça ne sera pas demain la veille.Je lui dis de se mettre sur le ventre sur le lit, elle s’exécuta et elle ferma les yeux. Pendant ce temps, je partis chercher de l’huile pour massage et j’en étalai sur son doux dos, je remarquai les traces de bronzage que laissaient son bikini et elle ne s’en soucia pas.Elle me demanda si elle pouvait se mettre sur le dos et avec un peu d’hésitation, j’ai accepté. Et c’est alors qu’elle se retourna pour me montrer ses énormes seins et une partie de sa toison qui naissait. C’était un calvaire pour débander et elle le remarquait beaucoup trop pour faire semblant de gémir à chaque fois que je lui caressais les seins, elle savait que j’y prenais un plaisir fou et c’est en lui faisant un massage des plus divins que je la remerciai Mais au moment où elle voulut passer la main vers mon caleçon, je l’arrêtai.Elle me regarda, transpirante de plaisir, désirante et m’attrapa pour m’embrasser. Cette fois-ci, parce que personne ne nous regardait, je lui renvoyai son baiser. Cela dura 5 minutes avant de se décider à dormir, fatigués par cette journée.
Une heure après, un orage retentit, Émilie et moi l’avions entendu et elle avait peur des orages. Du coup, elle s’est retournée et m’a regardé, j’ai pris l’initiative de la prendre dans mes bras et l’enlaçai autour de moi. Elle aimait ce moment et moi je ne savais que dire :Je lui fis un baiser et l’enlaçai un peu plus et ce, jusqu’au lendemain matin.

3e Jour :
Un réveil assez surprenant puisque c’est encore elle qui m’a réveillée et elle s’était, encore une fois, mise au-dessus de moi. Je ne voulais pas refaire la même erreur qu’hier, du coup, je l’ai prise et je l’ai rapproché de ma tête. Je lui volai un bisou, elle était en chaleur et elle voulait me présenter autre chose.Quelque chose que je voulais voir moi aussi, mais pas maintenant. Du coup, je lui fis signe d’arrêter, elle comprit que je ne voulais pas brusquer les choses et du coup, on s’embrassa de nouveau.

Tout le monde se réveilla et se leva simultanément, personne n’avait pu dormir avec l’orage de la nuit précédente; D’ailleurs, ce matin, il faisait un peu gris, et comme il me resta encore de l’argent, j’en profitai pour dire que Émilie et moi allions aller au cinéma. Elle me regarda avec un sourire malicieux et me remercia de la demande quelques instants après. Mon oncle voulait avoir une discussion avec moi :
« Lucas, je sais que tu en baves pour ma fille... ! »
Je voulus dire quelque chose, mais une force m’en empêcha.
« Mais je voulais juste te demander de prendre soin d’elle, elle n’a jamais eu de petit ami ! Sois un homme et protège-la !– Tonton, je l’aime de tout mon cœur et jamais je ne la tromperai ! Je veux la chérir comme personne, c’est ma princesse et je ne veux pas la perdre ! »
En disant cela, je ne me rendis pas compte que toute la famille m’avait entendu, y compris Émilie. Et cette dernière s’approcha de moi, en larmes, pour me serrer dans les bras. Plutôt que de polémiquer, mes parents nous ont simplement souhaité une bonne après-midi, avec un petit supplément auquel mon père rajouta : « Tu n’as qu’à aller lui offrir un petit resto à côté du ciné ! ».
Moi et ma chérie, sommes montés nous habiller et on s’est embrassés, je lui pris la tête puis descendis vers ses hanches auquel mes mains se baladèrent en direction de ses fesses. Elle fut un peu surprise, mais s’approcha encore plus de moi. Une légère érection se fit sentir et elle voulut d’avantage. Mais j’ai remonté vers sa tête pour lui partager un merveilleux french kiss. Il était l’heure de partir, mais ma tante, inquiète du mauvais temps, préféra nous conduire pour l’après-midi. Dans la voiture, c’était un jeu de regard; tellement de regards que ma tante nous demanda d’arrêter ou sinon il ne pourrait plus cligner des yeux. Tout le monde rigola, tant c’était drôle et tant cela aurait pu être vrai !
Je commandai, avec ma princesse, un repas au KFC juste en face du ciné. Émilie, comme à chaque repas, décida de se mettre face à moi. Elle commençait à me faire du pied et on discuta du film qu’on allait regarder :
« Alors Émilie ? Tu voudrais regarder quoi ? Un film d’action ?– Oh non, je me verrais bien un film d’amour... !– Donc, un film d’aventure, si j’ai bien compris ! » Lui souriais-je.
Elle me fixa et prononça parfaitement : "Film d’amour" et je me résignai à lui renvoyer son léger mouvement de pied, tout en acceptant. Ma chérie semblait être satisfaite de son emprise sur moi et me narguait un peu. C’était quand même moi, le banquier de l’aprèm’ !
Arrivés au guichet du ciné, Émilie me serra la main tellement fort que j’avais un peu de mal à parler, mais je réussis à demander 2 places pour voir 500 Jours Ensemble, un film très émouvant..., pour une fille ! Et elle se prélassa autour de moi pendant les moments forts du film, c’est à dire tout le temps pour elle.
J’avais la plus belle femme du monde dans mes bras et je n’allais quand même pas m’en plaindre. Du coup, c’est avec courage que je lui demandai ce qu’elle souhaitait ce soir :
« Tu pourrais me refaire un beau massage ?– Oh non, je préfère un jeu... !– Bon d’accord, mais c’est moi qui définirai les règles ! »
J’acceptai par un léger baiser et on termina la fin du film en se prélassant et d’ailleurs, le film passa trop vite à nos yeux.À la sortie, la mère d’Émilie nous attendait, elle était contente de voir sa fille si épanouie puisqu’elle nous voyait main dans la main, avec amour et compassion.
Arrivés à la maison, j’ai eu envie de préparer le repas avec mes parents pour fêter notre relation. Du coup, Émilie me rejoignait aux fourneaux pour offrir une aide plus qu’attendue. Je l’admirais un peu trop car mon oncle me fit remarquer que j’allais me couper un doigt si je continuais à ne pas faire attention.
Une fois que nous avions fini de cuisiner, on alla se doucher en attendant la fin de la cuisson. Émilie me laissa passer en premier puisqu’elle s’était souvenue que je l’avais laissé en première.Je décidai d’aller me faire un petit jacuzzi tout seul, mais alors que j’étais tranquillement dans la baignoire-jacuzzi, ma cousine entra, un tournevis à la main et un peignoir qui ne cachait que ses sous-vêtements.Elle me fixa, et se précipita de fermer à clé la porte pour me rejoindre, elle aussi nue. Jusque-là, j’avais pu résister, mais ça a fait déborder le vase, elle s’incrusta et je pus la peloter. Ma bite de 14 cm était au garde à vous, ma cousine le remarqua et la fixait énormément.
« Tu peux la toucher, si tu veux ! » La rassurai-je.
Ni une ni deux, elle se précipita à branler ma queue pour observer l’effet que je lui donnais. Alors que j’allais jouir, je demandai à Émilie de sortir de la baignoire et de se mettre à genoux. Chose qu’elle fit assez lentement, mais elle avait envie de ma bite.Mais c’est en lui présentant ma bite à sa bouche qu’elle comprit ma demande, j’allais lui demander une pipe. Et elle se débrouilla plutôt bien pour une première fois, elle suçait divinement bien.
Après quelques minutes, je lâchai tout en elle. Elle fut surprise, mais avala, à mon grand étonnement, tout mon foutre. Après avoir repris mon souffle, on se sécha et on alla manger, Émilie et moi jouions du regard et elle était si impatiente pour ce soir que mes parents risquaient de ne pas apprécier.
Cette fois-ci, ma mère voulait que l’on reste ici, ce que l’on fit sans rechigner, même si Émilie était déçue de devoir attendre encore un moment. Elle était très gentille et s’assit sur moi, afin de comprimer ma verge entre ces fesses. Pendant tout le long du film, elle allait me faire subir les meilleurs massages avec ses fesses sur mon pieu.
Au bout d’un moment, je signalai, en remontant, que j’étais fatigué et que, comme par hasard, Émilie aussi ! On se précipita sur le lit et on s’embrassa langoureusement, elle se déshabilla et alla directement sous les draps, en espérant m’attendre. Je m’y précipitai, de même et lui suçai les seins, tendrement; je les malaxai, les tirai un peu, les re-suçai.Elle y prit, elle aussi, du plaisir, je descendis vers son ventre que j’embrassai pour aller vers son mont de vénus, une fente couverte d’un pubis très bien entretenu et qui me plaisait énormément.
Je la doigtai un peu tout en la suçant, je passai devant un gros bouton et elle réagit : « Oh oui, oh, oh, oh, ça fait trop du bien, mmh, tu me fais rêver... ! ». Je continuai d’avantage et je passai ma langue sur son anus, puis je revins sur sa chatte. Elle adora ce moment et elle atteignit son premier orgasme grâce à mon cunnilingus. Je remontai pour l’embrasser et, c’est désormais elle, qui descendit pour me sucer. Elle s’y prenait mieux qu’en sortant de la baignoire, elle me branlait lentement, puis rapidement, tétait le bout, avalait tout d’un coup. Bref, on y prit notre plaisir et je ne pus me retenir, c’est à ce moment que ma petite cousine me complimenta :
« Elle est grosse ta bite, mon chéri, j’aimerais bien que tu me la mettes dans ma chatte, s’il te plaît... ! »
J’étais obligé de refuser car je n’avais pas envie de la rendre enceinte. Elle me comprit, mais je lui proposai une branlette espagnole. Elle décida donc de me faire sortir du lit et de positionner mon pieu devant son énorme poitrine et elle me branla sans difficultés. Elle suçait en même temps, c’est sur cette image que j’éjaculai fortement sur le visage de ma cousine qui essuya tout et qui m’entraîna dans le lit pour m’embrasser et, enfin, s’enlacer dans l’amour incestueux que nous partagions...
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