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Coutume familiale

Chapitre 1

Inceste
Coutume familiale
Première partie
Bonjour à tous, je m’appelle Alexandre, je viens d’avoir 18 ans et je vais vous raconter de quelle manière à eu lieu ma première relation incestueuse.
Nous sommes le 24 décembre, jour de Noël, toute la famille est réunie. La soirée se déroule chez Elise, qui est la plus jeune d’une fratrie de trois sœurs : ma mère, Hélène, 52 ans, Julia, 50 ans et donc Elise, 48 ans. Ma mère a deux enfants, ma sœur, 15 ans, et moi, tout juste 18 ans ; Julia, une fille unique de 19 ans ; Elise, deux garçons de 20 et 17 ans. Avec tous les cousins nous avons passé la journée à jouer ensemble à des jeux de société et à rigoler. Pendant ce temps nos parents avaient préparé le repas, la soirée et avait placé les cadeaux sous le sapin. À 20h tout le monde était prêt, bien habillé, bien coiffé et la soirée pouvait commencer. Chacun avait sa coupe de champagne à la main et le buffet apéritif se vidait à vue d’œœil. À un moment mes deux tantes viennent me voir. Nous commençons à parler de mes études et de différentes choses. Puis la conversation s’oriente vers mon anniversaire des 18 ans, que j’ai fêté il y a à peine un mois. À un moment Julia me demande avec un sourire et en baissant la voix :
 - Et alors, comment ça s’est passé ? - Euh, de quoi ? demandé-je, interloqué. - Et bien, à ton avis ?  - Je ne sais pas. De quoi tu parles ? - T’es pas obligé de faire l’innocent, on le sait nous, dit-elle en échangeant un regard avec Elise. - Euh non, vraiment, je ne sais pas de quoi vous parlez. - Avec ta mère, pour tes 18 ans... - Qu’est-ce qu’il y a avec ma mère pour mes 18 ans ? - Ta mère et toi vous n’avez pas fait l’amour pour tes 18 ans ? - Quoi ?! m’exclamé-je. Bien sûr que non. Pourquoi on aurait fait ça ? - Ah. Elle ne t’a rien dit alors ? - Euh non. - En même temps on savait qu’elle n’a jamais été vraiment portée sur le sexe,  dit Elise. - En fait, dans notre famille, depuis plusieurs générations nous avons une tradition familiale, commence Julia et m’éloignant un peu des autres gens. Chaque personne, dès qu’un de ses enfants a 18 ans, doit lui faire l’amour. Ainsi toutes les personnes de la famille ont appris à faire l’amour avec une personne expérimentée, ce qui permet d’être de meilleurs amants avec ses « vrais » partenaires sexuels. Moi, j’ai fait l’amour à Margaux l’année dernière.   - Et moi j’ai fait l’amour à Jules il y a deux ans et je le ferai l’année prochaine à Louis pour ses 18 ans.
J’étais sans voix, je ne savais plus quoi dire.

 - Je sais c’est un peu dur à imaginer et à comprendre, dit Julia. - Ce que je propose c’est que si Hélène ne veut pas lui faire et bien ce soit nous qui nous en occupions. - Très bonne idée. Mais laquelle de nous deux ? - Nous deux en même temps si tu veux, comme ça il découvre quelque chose et puis nous aussi, dit-elle malicieuse. - Avec plaisir. Est-ce que ça te vas Alex ? - Euh, oui, peut-être, sûrement, balutié-je, un peu décontenancé. - Très bien. Si vous voulez on peut faire ça cette nuit, au grenier ? Il y a un lit en bon état là-haut et les autres ne nous entendrons pas.  - Oui ce sera parfait, répondit Julia. Tu vas voir Alex, tu vas adorer. Allez, à tout à l’heure, me dit-elle en m’embrassant sur le bord des lèvres.
Elise fait de même en allant en plus passer sa main sur mon sexe qui a bien grossi dans mon pantalon. Puis je les regarde s’éloigner dans leurs robes moulantes, ce qui me fait encore plus bander. Il faut dire que mes deux tantes sont plutôt de très belles femmes. Julia a de longs cheveux blonds, tendant sur le roux, des yeux bleus, une paire de seins bien volumineux et un fessier ma foi très accueillant. Quant à Elise elle n’est pas en reste : cheveux courts noirs avec des mèches blanches dues à l’âge, des yeux marron et des seins et des fesses forts sympathiques, bien que moins gros que ceux de sa sœur. Et elles étaient toutes les deux encore très belles.
Au cours de la soirée les deux sœurs prennent un malin plaisir à venir se frotter discrètement à moi, parfois en essayant de toucher mon sexe, parfois en faisant exprès d’approcher leurs décolletés à quelques centimètres de mon visage. Je sens que l’attente jusqu’à cette nuit va être longue pour elles et pour moi. À table elles se sont mises exprès de part et d’autre de moi. Au début seules leurs jambes me caressent puis très vite des mains baladeuses viennent  exciter le contenu de mon caleçon. L’alcool aidant, le tabou de l’inceste disparait petit à petit en moi. Je me concentre alors sur le plaisir que me procurent les mains de mes tantes. Et j’essaie de leur rendre la pareille en glissant moi aussi mes mains sous leurs robes et en les doigtant. Après le repas et pendant l’ouverture des cadeaux c’est maintenant moi qui viens frotter mon sexe entre les fesses de mes tantes quand je passe derrière elles. Et elles ont l’air d’apprécier car elles se collent encore plus à moi quand je le fais. Je commence à bien aimer cette tradition.
Vers 2h du matin tout le monde décide d’aller se coucher. Je passe avant aux toilettes pour aller me branler afin d’évacuer toute cette tension sexuelle accumulée durant la soirée. Nous nous sommes donné rendez-vous dans 3h, je mets donc un réveil et vais me coucher.
Le réveil sonne 3h plus tard. Je me lève discrètement et monte à l’étage pour aller au grenier. Je bande déjà. Quand j’arrive dans le grenier mes deux tantes sont déjà là, allongées sur le lit, en robe de chambre très légères. Elles sont pressées de commencer semble-t-il.
 - Vient avec nous sur le lit, me dit Julia en se levant et en me prenant par la main.  - Je vois que tu es déjà en forme, remarque Elise en désignant mon caleçon dressé. - En même temps, vu comme vous m’avez excité tout à l’heure, il en redemande. - Et il ne va pas être déçu, ne t’en fais pas, dit Elise en m’enlevant mon caleçon. - J’ai toujours su que tu étais bien monté, fit Julia en prenant mon sexe dans ses mains et en commençant à me masturber. - Il faut dire que j’ai de quoi le stimuler, dis-je en caressant le corps de mes tantes. - Oh merci. En fait je te voyais nous reluquer quand tu étais plus jeune. Lorsque nous étions à la plage ou à la piscine souvent nous nous mettions seins nus et je voyais ton maillot augmenter de volume.  - C’est vrai. Mais vos seins sont si beaux et gros que vous deviez faire bander toute la plage.  - Oui sûrement. C’était même peut-être recherché. Et tu t’es déjà branlé en pensant à nous ?  - Oui souvent, avoué-je. Quand nous étions à la plage, ce que je faisais c’est que j’allais me branler et éjaculer dans l’eau. Ainsi je pouvais me branler tout en regardant vos seins magnifiques. Encore mieux qu’un porno. - Et aujourd’hui tu les as pour toi tout seul et tu n’es pas obligé de te cacher pour te branler dessus, dit Elise. - Et je ne vais pas m’en priver, dis-je en écartant sa robe de chambre et en léchant ses mamelons déjà tout dur.
Julia suit le mouvement et pose sa bouche sur mon sexe. Sa langue expérimentée danse sur mon membre. Je sens tout de suite la différence entre une fille de mon âge et une femme avec de l’expérience. Sa langue sait exactement où sont les zones les plus érogènes et comment les exciter. Tandis que je suce encore ses seins, Elise prend ma main et la pose sur sa chatte. J’y glisse mes doigts timidement, conscient que ces femmes mûres se sont déjà fait doigter par meilleur que moi. Mais elles me rassurent : « Tu es là pour apprendre. Ne t’inquiète pas si au début ce n’est pas parfait, on va te montrer comment donner du plaisir à une femme. ». Et leurs mains viennent guider mes doigts. J’en insère deux dans la fente humide d’Elise et mon pouce vient se poser sur son clitoris que je commence à exciter. La réaction ne se fait pas attendre et déjà ma tante soupir de plaisir. J’augmente le rythme de pénétration dans sa chatte ce qui la fait encore plus mouiller. Puis ma langue passe de ses seins à sa vulve rouge d’excitation. Je glisse un troisième doigt dans son vagin et commence à sucer ses lèvres et son bouton d’amour.
 - Oh oui, c’est bon de se faire manger la chatte par son neveu, dit-elle en se cambrant en arrière. - Et c’est bon de sentir l’intérieur des trous de ses tantes, dis-je en rigolant. - Elise je te conseille de venir goûter cette bite, tu vas te faire plaisir, proposa Julia à sa sœur entre deux coups de langue sur ma bite.  - Ah, Alex, je crois que tu vas devoir arrêter de me sucer, même si j’adore ça. Quand ma grande sœur me dit qu’une bite est bonne j’accoure immédiatement. Depuis la première queue qu’elle m’a proposé quand nous étions ado jusqu’aux dernières il y a quelques années de ça,  ça s’est toujours vérifié. - Les bonnes choses ça se partage. Y’en a qui partage avec leurs potes la dernière musique qu’ils ont découvert et moi je partage avec ma petite sœur les dernières bites que j’ai sucées. Et celle-là fait partie de ma top liste.  - Tu recommandais des mecs à ta sœur ? dis-je étonné. - Oui, dès qu’un mec était bon au lit je l’autorisais à baiser une seule fois ma petite sœur. En général ils étaient contents du voyage. Elle a même réussi à m’en piquer certain. - Et oui, certain mec préfèrent les filles qui prennent dans le cul.  - C’est vrai que je n’ai jamais voulu essayer la sodomie.  - Notre cher neveu pourrait te faire découvrir ça cette nuit si tu veux. Comme ça tout le monde apprend à tout le monde. - Je ne sais pas, je verrai. Mais pour l’instant vient lécher cette queue.
Je sors donc mes doigts de la chatte de ma tante et les lui fait lécher. Elle vient ensuite m’embrasser : « Hum, merci, c’était trop bon. ». Puis se place à côté de sa sœur entre mes jambes. Tandis que Julia joue avec mes boules et les gobe dans sa bouche Elise vient entourer mon gland avec la sienne. Sa langue suce mon frein pour que j’aie encore plus de plaisir. Puis elle descend sa bouche. Je ferme les yeux pour mieux ressentir ce tuyau de chair m’aspirer le sexe. J’aide son mouvement en appuyant sur sa tête et ma bite va jusque dans sa gorge. Elle reste quelques secondes dans cette position puis se retire en reprenant sa respiration. « Effectivement elle est bonne. » dit-elle en me souriant. Puis elle reprend mon sexe dressé dans sa bouche, ses deux mains venant en plus me branler. Elle augmente la cadence des va-et-vient, ses lèvres sur mon sexe font un bruit de succion qui m’excite de plus en plus. Elle enfonce ma queue dans sa gorge de plus en plus profondément. J’adore ça et lui appuie sur la tête pour aller encore plus loin en elle.
 - T’aimes ça quand ta tante te suce bien fort hein. - Oh oui j’adore, continue.
Elise est déjà retournée sur ma bite et la suce comme si sa vie en dépendait. J’alterne entre lui appuyer sur la tête pour sentir sa gorge serrée autour de ma queue et la relâcher quelques secondes pour qu’elle reprenne son souffle. Pendant ce temps Julia suce toujours mes boules telle une enfant avec un gros bonbon en bouche. Sa langue et ses doigts jouent avec comme une virtuose du piano. Ce traitement de rêve ne me permet pas de tenir bien longtemps et j’éjacule dans la bouche de ma tante plusieurs giclées de mon sperme chaud. Elle est obligée de fermer la bouche pour garder toute ma semence puis l’avale d’un coup. Elle tend sa langue vers moi et me regarde comme une fillette qui attend qu’on lui dise qu’elle a fait une bonne action.
 - Eh Elise, tu aurais pu m’en laisser ! - C’était tellement bon son sperme dans ma bouche, je n’ai pas voulu en rater une goutte. - Ouais bah j’ai bien remarqué.  - Aller mes tantes, arrêtez de vous chamailler. Allongez-vous toutes les deux sur le bord du lit plutôt.
Elles enlèvent chacune leur robe de chambre puis s’allonge. Je peux enfin découvrir leur deux corps totalement nus. J’ai à ma merci les deux corps de déesses de mes tantes. Leurs vulves offertes me font terriblement envie. Je m’agenouille donc devant leurs sexes et y glisse deux doigts. Avant aujourd’hui je n’avais jamais pensé à la perspective de faire l’amour à mes tantes. Cette idée n’était tout simplement pas présente dans mon esprit mais maintenant que j’avais gouté un peu à cet interdit moral je ne voulais plus et ne pouvais plus m’arrêter. Je voulais découvrir ce que ces deux femmes mûres pouvaient m’apporter. Je commence des mouvements doux dans leurs chattes et vais parfois gouter au bouton d’amour de l’une ou l’autre. Pendant ce temps mes tantes s’embrassent et se touchent les seins. Je glisse trois doigts dans leurs intimités et augmente petit à petit la vitesse de mes va-et-vient. Leurs gémissements de plaisir commencent à se faire entendre. J’excite leurs clitoris du mieux que je peux avec mes doigts ou ma langue et elles en redemandent. « Oh oui c’est bon Alexandre, vient me baiser, je n’en peux plus d’attendre. » me dit Julia. Moi non plus je n’en peux plus et j’accepte cette invitation sur le champ. Je me relève, redresse les jambes de ma tante et pose mon sexe dur sur sa chatte. Je fais de doux mouvements de va-et-vient sur ses lèvres et son clitoris afin de lubrifier au maximum mon sexe. «  Ne me fais pas attendre plus longtemps Alexandre, s’il te plait. Viens en moi. ». Les désirs de ma tante sont des ordres et je place ma bite à l’entrée de sa chatte. Sa respiration s’accélère tandis que je m’enfonce petit à petit dans son vagin. « Ouiii, je te sens en moi. La grosse queue de mon neveu est en moi. Baise-moi maintenant. ». Je m’exécute et commence à ramoner ma tante. A chaque coup de boutoir elle pousse un petit cri de plaisir. Sa sœur vient l’embrasser et sucer ses seins.
 - Vas-y baise bien ma sœur. Cette grosse salope qui baise son neveu. T’aimes bien ça Julia hein ? - Oh oui, j’adore... sa grosse queue... en moi... Mon neveu... me baise... et j’adore ça.  - Et toi, tu aimes ? - Ah ça oui. Si un jour on m’avait dit que je baiserai mes deux tantes et que ce serai aussi bon je n’y aurais pas cru. - Fait moi jouir... Alexandre... oh c’est bon...
J’accélère le rythme de mes va-et-vient. J’ai l’impression que ma bite la pénètre plus profondément chaque fois. Elise vient en plus frotter le clitoris de sa sœur. Julia ne tient pas longtemps et son orgasme est si fort que sa sœur doit venir lui mettre une main sur la bouche pour étouffer le bruit. Je retire mon sexe de sa chatte mais elle me retient : « Non, ne te retire pas tout de suite, je veux te sentir remplir mon corps encore un peu. Et vient là que je t’embrasse. ». Je me penche sur elle et nous nous embrassons plusieurs secondes puis elle me glisse : « Va faire jouir ma sœur maintenant. ».
Mais Elise a entendu et elle me pousse sur le lit. Elle se place à califourchon sur moi et dit, tout en m’embrassant : « C’est moi qui commande les opérations maintenant. ». Son regard tendre et autoritaire à la fois me fait fondre de désir et de plaisir alors qu’une de ses mains va vers son sexe pour aider le mien à y entrer. Je pénètre ma seconde tante qui a l’air de prendre autant de plaisir que la première : « Huummm ta queue... qu’est-ce que c’est bon ». Elise ondule son bassin au rythme et à l’intensité qu’elle désire. Mes mains sur ses fesses permettent d’encore plus l’enfoncer sur mon membre chaque fois. Et j’en profite pour aller toucher l’entrée de son anus avec un doigt. Elle sourit en me regardant, se penche sur moi et me dit : « Tu peux y aller ». Mon doigt s’enfonce alors d’une phalange puis de deux dans le trou de ma tante. Un deuxième doigt vient ensuite étirer ce trou en vue de la pénétration anale que je vais sûrement effectuer sur elle. Mais avant ça elle me chevauche toujours comme une cow-girl. Son bassin bouge comme si elle chevauchait un étalon. J’ai l’impression que ma bite est allée dans tous les recoins de sa chatte. Pendant ce temps Julia vient se mettre au-dessus de moi et me fait lécher ses deux gros seins. Ma langue vient lécher ses mamelons durs de plaisir. Je passe en même temps une main sur son sexe encore mouillé de mon sperme et y insère deux doigts. Elise qui sent que je partage mon plaisir augmente la cadence sur mon sexe. Qu’est-ce que c’est bon. Elle finit par s’arrêter et me dit : « Alexandre, vient m’enculer, on va montrer à Julia comme c’est bon le plaisir anal. ». Je m’exécute et passe derrière elle. A quatre pattes, son cul s’offre à moi et je vais en profiter. Je mets mon sexe à l’entrée de son anus et commence à y entrer. Mon gland écarte peu à peu l’étroite entrée. Je m’accroche à ses hanches pour avoir plus de force et mon gland finit par la pénétrer complètement. Ma tante pousse un petit gémissement de plaisir. J’enfonce alors mon membre dans son anus. Elle effectue quelques mouvements avec son bassin puis je prends le relais. J’encule ma tante et j’aime ça.      - Alors, ça te donne envie, demande Elise à sa sœur ? - C’est vrai que te voir te faire prendre de la sorte me fait assez envie, dit Julia, envieuse. - Ah, enfin tu te décides à sauter le pas. - Oui. Je pense aussi que c’est parce que ce sera avec Alex. J’ai peut-être plus confiance en lui qu’avec un autre. - Je suis ravie que ce soit moi qui te pousse à le faire, lui dis-je.  - Oui moi aussi, dit-elle en venant m’embrasser.
Elle en profite pour me masser les boules et masturber sa sœur en même temps que je la pénètre. Ceci m’excite et j’amplifie peu à peu la force de mes allers-retours. Je sens que ça excite Elise qui gémit de plaisir, ce qui m’encourage à y aller encore plus fort. Elle s’abaisse à chacun de mes coups de boutoir, si bien qu’elle finit avec le ventre sur le lit et les fesses bien relevées. Je la domine complètement et augmente alors l’amplitude de mes va-et-vient. Je veux détruire le magnifique cul de ma tante. J’y mets tellement de cœur qu’à un moment elle me demande même de ralentir. Ceci me permet de mieux apprécier et d’augmenter mes sensations. Mais bientôt je sens mon sperme qui arrive :
 - Est-ce que je peux... ? - Oui vas-y, éjacule en moi ! Ejacule dans le cul de ta tante !
Je continue encore quelques secondes puis mes jets de semence viennent envahir l’anus d’Elise.
 - Oh c’est chaud, c’est bon. Merci Alex, ça fait longtemps qu’on ne m’avait pas baisé comme ça. Je crois que je vais t’inviter plus souvent chez moi, fait-elle avec un clin d’œœil. - Avec plaisir.
Cette fois Julia ne veut pas rater sa part de sperme et elle se jette sur l’anus de sa sœur. Sa langue vient se délecter du précieux liquide qui sort peu à peu de ce trou. Elle enfonce même sa langue à l’intérieur pour en avoir plus, ce qui excite Elise, encore sensible de cette partie.
 - Allez Julia, arrête de t’occuper de mon cul et va plutôt te faire occuper le tiens.
Ma tante s’exécute et vient me présenter son magnifique fessier, encore plus gros que celui de sa sœur. Elise vient humidifier l’anus de sa sœur en le léchant à son tour et avec un peu de salive.
 - Détends-toi Julia, il faut que tu sois la plus ouverte possible pour que ça ne fasse pas mal quand Alex te pénètrera. - D’accord, je vais essayer. Mais je suis sûre qu’Alex sera très doux. - Oui Julia, je veux que tu prennes du plaisir pour ta première sodomie alors si ça te fait mal tu me dis. - D’accord.
Avant de commencer j’essaie de la détendre en massant et en embrassant ses fesses. Mes baisers descendent vers sa fente que je lèche puis je remonte jusqu’à son anus. Elise a humidifié ses doigts et masse ce petit trou. Elle fait des cercles, le tapote et y insère même un doigt. Une fois qu’elle a fini de détendre Julia je me place derrière ce magnifique cul. Je passe ma bite entre ses cuisses, sur sa vulve et finalement entre ses deux fesses que j’écarte. Je frotte mon sexe de bas en haut pour encore plus nous exciter.
 - Oui, c’est bon de sentir ta longue queue entre mes fesses, dit-elle. J’ai tellement hâte.
Je prends ça pour un signal de départ et je place mon gland sur l’entrée interdite de ma tante. Je pousse doucement et petit à petit mon gland commence à rentrer. Ma tante a les yeux fermés et la bouche ouverte de plaisir. Mon gland est complètement entré en elle. Je m’arrête pour que son petit trou ait le temps de s’agrandir encore un peu et de s’adapter à la taille de mon sexe. Puis je reprends ma lente pénétration. Son cul est bien serré autour de ma queue que je vois disparaitre centimètre par centimètre. Elise vient embrasser Julia et lui demande :
 - Alors, comment ça se passe pour l’instant ? - Je crois que je n’ai jamais senti un homme aussi profond en moi, dit Julia, la voix pleine de plaisir. Vas-y Alex, je veux te sentir me ramoner. Encule ta chère tante.
 Je ne me fais pas prier et commence à engager des va-et-vient dans son intimité. Au début l’amplitude est très faible, le temps que son petit trou se dilate un peu plus, puis je commence à faire quelques centimètres à chaque aller-retour. Julia gémit de plaisir.
 - Oh oui ! Oh oui ! Continue comme ça. - Tu aimes bien ça on dirait, ma petite salope de tante. - Oh oui j’adore. Je regrette tellement de ne pas avoir testé ça plus tôt. Mais je suis contente que ce soit toi qui me le fasses découvrir.
Avec ces encouragements mes va-et-vient se font de plus en plus engagés et c’est bientôt toute ma queue qui rentre et sort de son anus. Pendant que je m’occupe du cul de Julia, Elise vient s’occuper de son bouton d’amour. Elle passe une main dans la fente de sa sœur et la masturbe énergiquement. Ceci décuple les sensations de Julia qui gémit de plaisir à chacune de mes entrées en elle et dont l’orgasme arrive quelques minutes après. Son plaisir est tellement fort qu’elle ne peut plus parler et un orgasme anal intense l’envahit. Elle s’écroule sur le lit, prise de plusieurs convulsions de plaisir. Si bien qu’il lui faut une ou deux minutes pour se remettre de ce qu’elle vient de vivre. Alors elle m’attire à elle et m’embrasse fougueusement.
 - Alors sœurette, c’était bien ? - C’était merveilleusement bon. Alex, c’est un des meilleurs orgasmes que j’ai jamais eu ! - Ravi que ça t’aie plu. - Et comment ! Moi aussi je t’inviterai plus souvent. Mais quand tu ne seras pas là il faudra que je me trouve quelqu’un d’autres pour me baiser comme tu viens de le faire. - Je serai toujours là pour défoncer le petit cul de ma tante chérie. - Et moi alors ? - Toi aussi Elise, je vous prendrai par derrière toutes les deux. - Bon, maintenant tu peux me demander n’importe quoi Alex, je crois que je suis obligé de le faire.  - Vraiment ? Alors une branlette espagnole ? Je n’en ai jamais fait, mes copines ont toujours eu de trop petits seins.  - Va pour une branlette espagnole. Viens me faire sentir ta grosse queue faire l’amour à mes gros seins.
Je me mets donc à genoux au-dessus de ma tante et place mon sexe entre ses gros seins bien ronds. Elle m’enserre la queue avec et je commence à baiser ses seins. En avançant sa tête elle peut parfois sucer un peu ma bite. Je mets les mêmes coups de bassin que quand je baise une chatte et cela à l’air de plaire à Julia. Elise nous rejoint en se plaçant au-dessus du visage de sa sœur et en lui présentant sa chatte. Julia lèche immédiatement cette vulve offerte à elle pendant que je passe mes mains sur la poitrine d’Elise. Julia, elle, appuie sur ses seins pour former un beau trou que je peux baiser aisément. Le fait de baiser les gros seins de ma tante sur lesquelles j’ai très souvent fantasmés m’excite rapidement. Les deux sœurs s’en aperçoivent et elles veulent se concentrer sur mon éjaculation. Elise vient alors se placer derrière moi. Julia quant à elle commence à me masturber avec ses seins : elle les fait coulisser le long de mon sexe de plus en plus vite. Je sens ma semence monter et pour finir c’est Elise qui, de derrière moi, vient me branler énergiquement. Je ne tarde pas à gicler mon sperme sur le joli visage et dans la jolie bouche ouverte de Julia. Mes deux tantes lèchent alors mon sperme et s’embrassent entre elles. Puis je viens moi aussi les embrasser. Nous nous allongeons tous les trois sur le lit.
 - Alors Alex, comment trouves-tu cette tradition familiale ? - Absolument excellente. C’est seulement pour nos 18 ans ? Parce que je suis prêt à remettre ça chaque année s’il le faut, leur dis-je en les embrassant. - Oui, normalement c’est seulement à 18 ans. Mais on peut très bien recommencer hors du cadre de cette tradition en se disant que nous avons juste envie de prendre du plaisir ensemble. - Oh oui, j’ai tellement envie de sentir encore ta queue en moi. - Ne t’inquiètes pas, on se reverra bien assez tôt. - Ce ne sera jamais assez tôt pour moi. Mais allons nous coucher maintenant, avant que quelqu’un ne nous surprenne.
Après un dernier baiser plein d’amour nous regagnons chacun notre chambre. Jamais je ne pourrais oublier cette sublime nuit incestueuse qui m’a transformé pour toujours.
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