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Au couvent

Chapitre 7

Soeurs Jeanne, Louise et Angélique

Lesbienne
Pendant le temps libre de 13h à 15h, fréquemment est organisée une partie de ballon prisonnier à laquelle participent aujourd’hui, Jeanne et Louise. Au cours d’un difficile arrêt de ballon, Louise perd l’équilibre et tombe à la renverse ce qui fait remonter sa longue robe et dévoile ses jambes gainées de bas noirs soutenus par un porte-jarretelles. Jeanne qui se trouve à côté d’elle, remarque qu’elle n’a pas de culotte et aperçoit subrepticement son abondante touffe brune. Louise se relève rapidement et la partie continue. La récréation terminée, jeanne s’approche de Louise :
- « J’ai vu que tu n’avais pas de culotte ça m’a fait souvenir notre partie avec la mère supérieure et sœur Marie et ça m’a fait bander. Je bande encore. »
Louise ne se démonte pas et vérifiant qu’aucune autre sœur n’est trop proche d’elles, porte la main sur la robe de Jeanne au niveau de l’entrejambes.
- « J’ai envie de te sucer et de me faire prendre Jeanne. C’était trop bon chez notre mère supérieure. Maintenant je rêve d’une vraie queue »- « Il nous reste trois quarts d’heure avant le travail à la lingerie, viens dans ma chambre moi aussi j’ai envie de toi. »
Arrivées dans la chambre, Louise se jette littéralement sur Jeanne pour l’embrasser sur la bouche et commence à trousser sa robe. Lentement très sensuellement, la robe de bure est remontée au niveau du slip tendu par l’imposante queue de Jeanne dressée comme un pieu.
- « Comme je suis responsable de l’informatique, je regarde souvent en cachette des films pornos. Je me caresse. Depuis que mère Marie m’a surprise, elle vient me voir dans mon bureau et on se fait jouir en regardant les vidéos. J’aime beaucoup les parties hommes-femmes où le mâle fait jouir sa partenaire en la défonçant bestialement. C’est comme ça que j’ai appris ce qu’est une creampie. Je rêve de me faire remplir les deux trous par une ou plusieurs bites cracheuses. Aujourd’hui j’ai de la chance de t’avoir, tu vas me baiser et me remplir. Regarde, je mouille en en parlant. »- « OK moi aussi j’ai envie de toi, ta chatte nue de tout à l’heure m’a excité comme tu as pu le sentir. Je te veux à poil. Tu veux que je te baise la chatte ou le cul ? »- « Les deux, j’ai vraiment envie de ta bite mais rempli moi la chatte. Je remettrai ma culotte pour le travail à la lingerie et je laisserai ton foutre s’échapper dedans. De temps en temps tu viendras me caresser. »
Une partie endiablée se déroule dans la hâte car les deux sœurs sont de service à la lingerie dans peu de temps. Il n’en résulte pas moins que Louise et Jeanne se sont déshabillées mutuellement. Si Louise n’avait pas de culotte pendant la partie de ballon prisonnier, jeanne est totalement nue sous sa robe au risque, lorsqu’elle bande d’arborer une importante bosse sous sa robe. Louise avait très envie de sucer Jeanne mais c‘est cette dernière qui est la plus acharnée. Comme un animal en rut, elle pétrit le corps de sa partenaire, des seins dont elle pince et mordille les tétons aux cuisses et aux fesses qu’elle écarte pour mieux ouvrir l’œillet.
- « Penche toi en avant, je vais te prendre en levrette. Tu te branleras le clito pendant que je te fourrerai »
Les doigts de Jeanne reprennent les caresses du postérieure de Louise et c’est sans ménagement qu’elle lui pénètre le cul. Ce n’est donc pas dans la chatte mais derrière qu’elle videra son jus. »
- « J’ai tellement pris l’habitude de me pénétrer avec des objets de plus en plus gros que je n’ai pas eu mal au passage des sphincters mais puisque tu as choisi mon cul en premier, défonce-moi à fond. J’adore jouir du cul mais avec une vrai bite c’est merveilleux. Je n’oublierai jamais notre partie à trois avec Mère Marie. Oui, oui, continue, éclate-moi le cul ! tu as vraiment une bite merveilleuse »
Au bout d’un long ramonage, Jeanne sent l’orgasme monter, il prévient Louise et ça déclenche aussi chez elle une jouissance extrême qui lui fait émettre un puissant jet de cyprine mélangé d’urine. Après s’être retirée, notre trans se positionne entre les cuisses de sa partenaire et se met à laper le jus qui sort de la chatte et chercher son clitoris.
- « Oh oui jeanne ! fais-moi jouir une deuxième fois en bouffant mon con. »
- « Nous devons nous arrêter Louise, notre absence serait remarquée à la lingerie. Tu as été vraiment bonne, jamais je n’aurais pu imaginer qu’une nonne soit aussi salope. »- « Je crois pouvoir de retourner le compliment. Je suis sûre que nous aurons envie de recommencer. Mais tu sais, la mère supérieure est également une experte, tu as pu t’en rendre compte. C’est normal puisque c’est la cheffe !! »
Toutes les deux partent dans un fou rire qui clôt les ébats.
A la lingerie, nos deux coquines retrouvent quelques consœurs dont sœur Nadège que Louise a pratiquée après l’avoir soupçonnée de s’adonner à un plaisir solitaire et la jeune Angélique qui lui avait avoué qu’elle se caressait sur son lit.A voix basse, Louise s’adresse à Jeanne :
- « Tu vois la sœur avec un joli minois en train de repasser ? C’est sœur Angélique, une petite salope comme nous, je l’ai pratiquée une fois un jour où elle s’est confessée à moi en m’avouant qu’elle trouvait du plaisir à se caresser sous sa robe. Ensuite, c’est avec Mère Marie que nous nous sommes amusées. Malgré sa jeunesse, elle est vraiment bonne dans les jeux sexuels elle a une poitrine de rêve et une chatte énormément touffue dont les poils remontent derrière ses fesse. Tu devrais t’approcher d’elle. »

Intéressée, Jeanne s’approche d’Angélique et subrepticement, lui caresse les fesses.
- « Qu’est-ce qui vous prend Sœur Jeanne ? Votre geste bien que fugace me paraît délibéré et plutôt indécent. »
Angélique s’aperçoit que Louise les observe et lui fait un signe d’acquiescement en passant sa langue sur ses lèvres.
- « J’ai l’impression que vos connaissez bien sœur Louise, elle a observé votre attitude et semble l’approuver. »- « Oui sœur Angélique elle m’a dit que vous étiez très accueillante et que votre compagnie ne manquait pas de piquant. J’aimerais faire partie de vos connaissances intimes. »- « Vous savez, ce que vous appelez « connaissances intimes » se résume à une relation que j’ai eu avec Sœur Louise approuvée par Marie mère supérieur. Votre approche me semble assez directe. Souhaitez-vous que nous nous rencontrions en privé ? »- « J’en ai très envie ma sœur mais attention, je vous réserve une surprise que vous ne soupçonnez pas. »- « Vous m’intriguez Jeanne. Pouvez-vous m’en dire plus ? »- « Je préfère que vous en parliez avec Sœur Louise qui me connaît bien. »- « Très bien, j’ai hâte de savoir. Nous nous reparlerons après le dîner ce soir si vous le souhaitez. »
Le travail à la lingerie continue et se termine sans péripétie particulière. En quittant les lieux, Sœur Louise s’approche de sœur Angélique qui lui a fait signe.
- « Louise, Sœur Jeanne m’a parlé d’une surprise que je découvrirais si j’acceptais d’avoir un entretien intime avec elle. Elle préfère que tu m’en parles. »- « Oui c’est surprenant dans notre congrégation, mais le secret, c’est que Jeanne est transsexuelle. C’est la mère supérieure qui me l’a présentée lors d’une rencontre « intime » comme tu dis. Une aussi belle femme avec un telle poitrine dotée d’un membre masculin est particulièrement excitante et son ardeur dans une partie de plaisir nous a comblées. »- « Une trans donc avec une vraie bite ? »- « Oui, c’est la Mère supérieure qui me l’a faite connaître car elle s’était confiée à elle en expliquant que les relations sexuelles avec des femmes lui manquait et en demandant si sa situation n’était pas proscrite dans la communauté. Nous avons fait l’amour à trois. Nous avons vraiment goûté à autre chose qu’un gode en plastique. Je peux dire que j’ai une relation privilégiée avec notre Mère du fait de ma responsabilité informatique. Je lui ai appris à naviguer sur internet, nous regardons quelques fois des vidéos pornos, elle s’excite facilement et nous devenons de vrais salopes. Elle a saisi l’occasion de la confession de Jeanne pour me faire confiance et savoir ce que j’en pensais. Si ça te tente, il faut accepter son invitation. »- « Non seulement ça me tente mais j’en suis excitée par avance. »- « Tu ne vas pas me dire que tu mouilles en y pensant ? Fais-moi toucher. »- « Non, pas ici, une autre fois je vais essayer de retrouver Jeanne. »
Donc Angélique se met en quête de Jeanne. Bingo, elle la voit en promenade dans la cour du cloître Plongée dans son missel.
- « Sœur Jeanne j’ai parlé avec Louise et je peux dire que je suis impatiente d’avoir une rencontre intime avec vous. »
Angélique s’approche très près de Jeanne et vérifiant qu’elles ne sont pas à la vue des autres sœurs, lui passe la main dans son entrejambes.
- « Décidément Angélique tu as vraiment les mains baladeuses et un contact directe. Attention tu vas me faire bander. Je n’ai pas de culotte et cela risque de provoquer une bosse significative sous ma robe. »- « Moi non plus je n’ai pas de culotte, j’aime me caresser à tout moment quand je sens le désir monter dans mon ventre. J’ai hâte de découvrir votre corps. Vous m’avez demandé si je souhaitais que nous nous rencontrions en privé. C’est un vrai désir.- « Dans l’intimité tu pourras me tutoyer. Je t’attendrai dans ma chambre après la prière du soir »- « J’ai envie de t’embrasser Angélique »- « Non pas ici Louise à cette heure il y a quelques sœurs qui font leur promenade. Et tu me ferais bander encore plus. »
Pendant le dîner, Jeanne est loin d’Angélique mais ses pensées sont entièrement accaparées par l’imagination de sa rencontre après la prière et elle a des difficultés à contenir son érection.
Maintenant, c’est l’heure où la plupart des sœurs se retirent dans leur chambre.Toute fébrile, Angélique frappe à la porte de Jeanne. Cette dernière l’accueil avec un grand sourire. Elle a quitté sa longue robe noire et se présente dans une robe de chambre quasi transparente laissant deviner son soutien-gorge gonflé par son opulente poitrine et sa culotte. Elle a gardé ses bas soutenus par un porte-jarretelles ce qui la rend très excitante.Le premier contact donne lieu à un baiser fougueux sur la bouche. Les langues s’entremêlent, s’aspirent, se sucent dans une humidité extrême. Impatiente, Angélique caresse l’entrejambes de Jeanne qui ne tarde pas à laisser émerger sa queue du haut de sa culotte.
- « Déshabille-toi Angélique et montre-moi tes seins et cette chatte hyper-touffue dont m’a parlé sœur Louise. »- « Toi aussi jeanne montre-moi cette queue qui parait il a tant faite jouir Mère Marie et Louise. »- « Oui, elles étaient tellement avides d’une vraie bite en chair que je les ai ramonées à satiété. J’espère te faire plaisir à toi aussi mais avant, donne-moi ta chatte que j’enfouisse ma figue et ma langue dans tes poils cette vue m’excite au plus haut point. »
Les corps se joignent, les seins se frottent, ceux de jeanne son sortis de leur bonnet. Elle empoigne les fesse d’Angélique et descend sa bouche sur la toison déjà très mouillée.
- « Prends mon clito dans ta bouche Jeanne pendant que je me caresse les seins, je sens mes tétons se durcir comme s’il voulaient bander sous mes doigts. J’aperçois ta bite en érection extrême. J’ai trop envie de me faire défoncer. Fais-moi jouir une première fois et viens que je te suce en attendant ta pénétration. »
Angélique donne libre cours à un premier orgasme qu’elle sent monter et qui fait trembler son corps en s’accompagnant d’un puissant jet de cyprine.
- « J’adore ta mouille Angélique laisse moi la boire tellement elle est abondante. »- « Maintenant, viens sur ton lit Jeanne et baise moi. »
Jeanne qui vient de pénétrer sans ménagement sa partenaire, se déchaîne sur elle en lui pétrissant les fesses en caressant son orifice arrière d’une main et en pinçant un téton de l’autre.
- « Oui, c’est bon ! plus fort jeanne ! Caresse bien mon trou du cul et enfonce un ou plusieurs doigts. Le meilleur serait que tu m’encules et que tu jouisses dans mes entrailles. »- « Tu es trop mignonne, je vais le faire j’ai tellement envie de te baiser par tous les trous. »
Cela dit, Jeanne présente sa queue à l’entrée de l’œillet qu’Angélique a bien ouvert avec ses mains et la pénétrations est sans à coup.
- « Mais dis donc ma petite salope, pour ton âge, tu me sembles bien élargie » - « Dans nos parties ave la mère supérieur et Louise, elles utilisent souvent un gode de bonne taille et moi je me fais souvent jouir avec toutes sortes d’objets assez gros. »- « Attention Angélique je vais jouir ! »- « Vas-y remplie moi de ton sperme chaud ce doit être sublime. Je sens que je vais jouir du cul. »
Effectivement les deux salopes s’éclatent en même temps dans des râles de bêtes en furie.
- « Jeanne donne-moi ta bite qui doit être enrobée de sperme, j’ai envie de te sucer.Merci de m’avoir fait découvrir ton corps, tu as été merveilleuse. Nous devrons nous revoir. Si tu étais d’accord, j’aimerais devenir ton objet sexuel et ta soumise. « - « Tu vas un peu vite en besogne, tu sais bien que notre soumission est à la règle de la congrégation et à la vierge Marie. Nous en reparlerons. »
Sur ces paroles, nos deux religieuses se séparent. Il ne leur reste plus qu’à se confesser et demander le pardon via la mère supérieure !!
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