Couvent de Sainte Claire Pauline est une aspirante religieuse depuis de nombreux mois. De parents pieux, la jeune fille aux cheveux d’or s’est naturellement dirigée vers la vie recluse. Les prières du soir terminées, elle commence à se déshabiller. Sans voir qu’une silhouette vient de se glisser dans l’encadrement de la porte entrouverte par le vent, Pauline lève sa robe dévoilant sa culotte de coton blanc, avant de revêtir la tennue d’Eve.Toujours observer par sa soeur de couvent, qui finit par s’en aller de peur de se faire voir. Le lendemain, alors qu’un court temps libre est accordé aux religieuses, Pauline est convoquée par la mère supérieure du couvent. En entrant dans la chambre de la mère supérieure la jeune religieuse fait un signe de respect en disant: -Vous voulez me voir Mère Supérieure ?-Oui Pauline, je veux voir avec vous vos motivations pour rester dans ce couvent. -Je suis ici pour offrir ma vie à Dieu dans le sacrifice et le service Mère Supérieure. répond Pauline solennelle. -Je vois : montrez moi le dévouement pour rester dans notre couvent. Pauline sait ce qu’il va se passer, ses amies du couvent plus âgées lui ont expliqué le protocole ou toute religieuse en devenir doit laver les pieds de la mère supérieure en signe de dévotion et de service à la religion. La jeune femme prend un linge qu’elle trempe dans l’eau tiède qui a été préparée à cette occasion. Ses mains lavent alors les pieds de l’abbesse. Pauline fait alors de son mieux pour montrer son sacrifice et son service qu’elle veut offrir aux autres. Allant même jusqu’à masser les pieds de la mère supérieure avec une huile de confection naturelle. -Remonter le long de mes jambes. Ordonne la mère. Pauline obéit, montant jusqu’aux cuisses de la mère supérieure. La jeune novice remonte le long des jambes de Mère Elisabeth qui lui dit alors après que la novice lui a lavé les jambes. -Allonge-toi sur le lit ! La novice se sent frissonner, sa respiration se fait plus lente, comme si elle cherchait à savourer chaque seconde de ce qu’elle vit. Au fond d’elle Pauline sait que ce qu’elle fait est un blasphème à sa prise d’habit, toutefois, se sentir ainsi frissonnante de désir lui fait oublier que cet acte est tabou. Mère Elisabeth lui caresse l’intérieur des cuisses jusqu’à remonter au genoux de Pauline. Allant jusqu’à la culotte de coton blanc, glisse deux doigts le long du tissu puis se penche sur la jeune novice, les deux femmes s’embrassent, leur baiser et court mais rempli d’amour avant que la mère supérieure ne laisse sa coiffe de religieuse glisser sur ses cheveux sombre. Elisabeth embrasse, lèche les lèvres de Pauline avec amour et tendresse. Cela en ayant sa main sur l’un des seins de la novice, qui s’assied alors, laissant la Mère Supérieure du couvent lui enlever son voile. Les mains de la mère cinquantenaire, se pose sur la jeune novice, Pauline sent alors la douceur des mains d’Elisabeth sur ses joues avant qu’elle ne lui embrasse les lèvres. Puis descend doucement sur le cou de la jeune femme pour déposer sur le cou de cette dernière de nombreux baisers amoureux. La novice sent son cœur battre plus fort quand son amante retire le long chapelet de son coup et se penche à nouveau sur elle. Pauline se sent partir dans un doux lieux d’érotisme, les doigts de mère Elisabeth entre alors dans sa culotte venant lui caresser ce fruit défendu. Leurs bouches entrouvertes mélange leurs souffles brûlants et désireux, la novice ne peut se retenir de gémir sous les caresses de son amante lui faisant comprendre que ce n’est pas la première fois que la religieuse s’offre aux plaisirs saphiques. Après l’avoir embrassée, mère Elisabeth passe deux de ses doigts sur sa langue pour les humidifier et vient caresser l’entre-jambes de Pauline. Accélérant petit a petit sans lacher la bouche de la novice qui ressent en elle une folle envie érotique. Glissant sa langue dans la bouche de Pauline Elisabeth continue de jouer avec ses doigts sur ce joli fruit qui s’humidifie de plus en plus sous les gémissements de la novice. Après un doux moment de cet instant sensuel, mère Elisabeth se redresse sur ses genoux. Aidant Pauline à retirer sa robe de novice en la faisant passer par-dessus elle. Puis mère Elisabeth se penche sur son amante pour lui embrasser la poitrine, les épaules tout en passant dans le dos de Pauline ses mains afin de lui retirer son soutien-gorge. La novice, seins nus, s’allonge sur le dos. La mère supérieure s’allonge à ses côtés et dit avant de continuer à lui embrasser les seins. Priez la Sainte-Vierge Pauline, afin qu’elle vous guide vers le plaisir. Oui ma Mère. Souffle Pauline, qui sent l’entre-jambes de la mère supérieure caresser son abricot toujours enfermé dans sa culotte sur ses cuisses. Alors qu’en gémissant la novice entonne un “Je Vous Salue Marie”, sa main glisse dans la culotte de mère Elisabeth pour lui caresser les fesses. Mais la prière est coupée par les lèvres douces de son amante qui vient lui enfoncer sa langue dans sa bouche. Puis Pauline sent que son amante se redresse pour glisser ses mains de part et d’autre de sa robe de religieuse pour la retirer. La jeune novice l’observe, d’un geste doux et sensuel Mère Elisabeth enlève son soutien-gorge pour offrir une douce vue de ses seins lourds. D’un geste presque maternel, elle glisse ses doigts dans les cheveux de Pauline qui entre-ouvre ses lèvres pour saisir le téton saillant dans sa bouche. Jouant avec eux de sa langue alors que la main de la mère supérieure se pose derrière sa tête pour l’écraser contre sa poitrine. La novice se sent alors pousser un peu pour qu’elle s’écarte de Mère Elisabeth qui lui embrasse alors les lèvres. Puis Elisabeth saisit le poignet de son amante pour emmener la main de Pauline entre ses cuisses. La jeune novice en profite pour lever le visage et prendre en bouche l’un des seins de son amante. Alors que la mère supérieure fait des va et vient avec son bassin sur les doigts de la jeune fille. Le souffle d’Elisabeth se fait plus chaud avant qu’elle se penche sur le corps de Pauline qui retire ses doigts de la culotte de son amante. Les lèvres de la mère continuent sa descente vers l’entre-jambes de la novice, alors que ses mains saisissent les poignets de Pauline pour les clouer sur le lit. Cette dernière se laisse faire la langue brûlante d’Elisabeth entre ses seins. La mère supérieure continue à descendre le long du corps de Pauline jusqu’à lui caresser la culotte avec sa poitrine. La jeune novice sent alors des doigts délicats lui retirer sa culotte. Puis glisser sur son abricot vierge de pilosité, mère Elisabeth alterne alors entre baisers brûlants et coup de langue habile. Les yeux mi-clos, Pauline pose son regard sur la mère du couvent. Elle sait qu’elle n’est pas la première à profiter de ce traitement particulier. Alors que le visage d’Elisabeth est collé à son abricot, la novice laisse son visage partir vers l’arrière, ne pouvant retenir un gémissement de plaisir coupable alors que deux doigts glissent entre ses lèvres intimes. Pauline finit par jouir sous les caresses de son amante qui se redresse sur les genoux pour caresser ensuite ce corps nu. La mère supérieure se met alors sur le dos, la novice s’approche alors d’elle…
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