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Couvent de Sainte Claire

Chapitre 2

La perversion d'une religieuse

Lesbienne
Mère Elisabeth passe ses doigts dans les cheveux de Pauline avant de la coller contre sa lourde poitrine. La jeune novice lui embrasse alors les tétons et la peau de ses seins.

-Vous êtes habile Pauline, je suis certaine que vous deviendrez plus tard une très bonne religieuse de notre couvent. Dit Mère Elisabeth en souriant.

Heureuse de ce compliment, Pauline saisit les seins de son amante, avant de lentement descendre le long de la peau nue de Mère Elisabeth. Le visage de la novice, toujours sur la poitrine de la religieuse, prend son sein pour lentement frotter l’abricot de la mère supérieure, et la caresse ainsi durant de longs instants. Puis Pauline se redresse pour que sa supérieure du couvent puisse retirer sa culotte. Cette dernière vole dans la chambre alors qu’elle s’allonge sur le dos la jeune fille au-dessus d’elle. Pauline glisse le long du corps nu de la mère supérieure et se retrouve avec sa bouche sur l’abricot d’Elisabeth. Avant que la novice ne glisse l’un de ses doigts dans l’abricot de son amante, puis de lui déposer deux baisers brûlants entre ses cuisses. Mais au fond d’elle la mère supérieure veut offrir et non recevoir, Elisabeth prend alors les poignets de Pauline pour l’allonger sur le dos. Puis sous les gémissements de la novice, elle fait de petits mouvements de bassin sur la vulve de Pauline. La jeune religieuse pose ses mains sur les seins de la mère supérieure en les malaxant, alors qu’une langue avide se glisse dans sa bouche.

Les deux amantes se caressent ainsi durant de longues minutes, Elisabeth continuant à caresser leur deux intimités l’une contre l’autre. La mère supérieure accélérant progressivement, les mains de Pauline lui pétrissant sa poitrine avec envie. La jeune novice finit par poser ses mains dans le dos d’Elisabeth et la colle contre elle pendant que la mère supérieure continue de lui caresser l’abricot avec le sien. Puis Pauline reçoit sur le front un baiser maternel, elle sourit alors avant de prendre en bouche le sein offert de la mère.

    Trois jours plus tard, mère Elisabeth est dans son bureau, la Bible posée sur celui-ci, elle fait face à sœur Marie-Ange. Lui demandant d’enquêter sur les agissements d’une novice. Étonnée, soeur Marie-Ange dit:

-Je ne comprends pas très bien ce que vous attendez de moi ma Mère.
C’est simple sœur Marie-Ange il suffit…

Religieusement la nonne écoute la mère supérieure avant de s’incliner et sort du bureau.

Pauline laisse son doigt glisser sur la page de la Sainte Bible pour la tourner, sa prière est coupée par l’arrivée de sœur Marie-Ange.

-Puis-je faire quelque chose pour vous sœur Marie-Ange ? Questionne la novice.
-Je viens de la part de mère Elisabeth.
-Oh… Répond Pauline en comprenant qu’elle doit obéissance à la sœur, ce qui n’est pas pour lui déplaire après tout.
-Je viens surtout car vous avez succombé au charme de l’érotisme.
-Je sais, hélas, cela veut-il dire que je dois quitter le couvent ? s’inquiète-t-elle alors.
-Non ma soeur, mais vous devez prier. Je vais vous accompagner dans votre prière. Dit sœur Marie-Ange en s’asseyant à ses côtés.

Leur livre de prières sur les cuisses, les deux religieuses murmurent leurs prières, en se jetant de temps à autres des regards discrets. La prière finie, sœur Marie-Ange lève son regard et observe Pauline qui fait de même. Puis la religieuse souffle.

Que Dieu me pardonne. Elle attire alors la novice contre elle, et leurs lèvres se rencontrent. S’embrassent, les lèvres entrouvertes, leurs souffles brûlants se mêlent l’un à l’autre.

Pauline se laisse aller, s’offre à la religieuse qui lui prend le visage entre ses mains. Et l’embrasse tendrement, de nombreuse fois, lui caressant la peau, alors que leurs bouches ne se quittent que pour soupirer leur plaisir Pauline retire le voile de sœur Marie-Ange. Les deux femmes continuent leur effeuillage tout en s’embrassant. Leurs mains avec des doigts de fées délassent les cordons qui retiennent la coiffe de leur partenaire. Leurs regards se croisent, échangeant le profond érotisme qu’elles ressentent en elles. Marie-Ange fait tomber le haut de son habit de nonne, dévoilant sa poitrine enfermée dans un soutien-gorge de coton blanc. La religieuse allonge Pauline sur le lit, se colle à elle en lui léchant les lèvres. Leurs corps s’entremêlent, se caressent, la novice sent la main douce de la religieuse contre ses fesses lui caresser ces dernière avec une certaine envie.

Pauline observe son amante presque possédée par l’esprit de l’érotisme. Elle lui embrasse tendrement le ventre alors que la novice d’un habile geste de la main fait sauter le soutien-gorge de Marie-Ange qui remonte le long de Pauline pour l’embrasser de nouveau sur les lèvres. La nonne jette l’ultime vêtement qui retient sa poitrine et le fait voler dans la pièce, avant de lever les habits de Pauline jusqu’à lui dénuder ses seins et les prendre en bouche. La religieuse se met à faire des va et vient de plus en plus rapide. Profitant d’un moment entre deux baisers pour se redresser et retirer sa coiffe de nonne,suivit de Pauline qui fait la même chose.

-Viens par là. Murmure de nombreuses fois Marie-Ange en faisant s’asseoir la novice ce qui lui permet alors de l’aider à retirer l’habit blanc.

La nonne passe ses doigts sous les lanières du soutien-gorge de Pauline et dénude les seins de la jeune femme avant de se coller contre elle. Puis se lève devant son amante qui l’aide à retirer la culotte de coton, nue Marie-Ange s’intéresse alors plus à la novice en se penchant pour lui retirer à son tour l’habit religieux. C’est donc habillée uniquement de sa croix que Pauline s’allonge sur le dos, la religieuse s’écrasant sur elle dévorant ses lèvres. Tout en faisant de grands mouvements de bassin, leurs intimités se frottant l’une à l’autre jusqu’à la jouissance, mais la religieuse n’en a pas fini, elle descend son visage sur la nudité de Pauline. Une fois entre les cuisses de la novice, la religieuse se met à lui caresser l’abricot avec sa paume. Lui prend les poignets et l’accompagne pendant qu’elle se redresse, Marie-Ange s’allonge sur le dos. Voyant son amante remonter à quatre pattes sur elle. Le baiser qu’elles s’échangent est subtile, tandis que Pauline se retrouve alors le visage entre les cuisses de la religieuse. La croix en bois qu’elle porte au cou tambourine contre sa poitrine nue, il ne faut que quelques secondes de caresses buccales pour sentir la jouissance silencieuse de Marie-Ange dans sa bouche. Cette dernière met quelques secondes à se redresser. Pour ensuite s’allonger sur le ventre permettant ainsi à Pauline de déposer ses lèvres sur les deux fesses de la nonne. Descendant doucement jusqu’à pouvoir lui lècher l’abricot le nez de la novice collé contre le petit trou de Marie-Ange. Qui se mord les lèvres avant de gémir, honteuse de ressentir ce plaisir interdit par l’Eglise.

Pauline continue d’alterner entre les fesses et l’abricot de la religieuse avec excitation. Alors que Marie-Ange jouit sous ses doigts qu’elle a mis entre ses jambes Pauline la suit dans cette jouissance…
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