Les seins de la femme de mon ami sont tellement bons également, je ne les vois pas, mais dans cette posture à les malaxer, les toucher, les prendre en pleine main... je les trouve à mon goût ! Une poitrine généreuse qui me faisait de l’œil à chaque fois que je la voyais et maintenant qui est mienne le temps d’une soirée ! Je compte savourer tous ses attributs cette nuit, je ne veux laisser aucun centimètre de sa peau sans le découvrir au moins une fois. Je continue de jouer, de fouiller son intimité avec ma langue pendant qu’elle joue toujours de ses doigts sur son bouton. Mais je sens et surtout j’entends que c’est bientôt la fin pour elle. Ses gémissements se font entendre de plus en plus, de plus en plus fort, mais également de plus en plus rapides. Je ne cesse mon travail et le résultat que je souhaitais arrive. Elle se lâche, elle se laisse aller au plaisir. Je finis par un dernier coup de langue sur son bouton pour l’achever, chose réussie. Objectif atteint ! Elle se laisse aller au fond du canapé, elle se vide de son énergie et de son plaisir, ses jambes ne tiennent plus comme tout le reste de son corps. Ses jambes tombent, le canapé retient ses cuisses et tout son corps suit ce mouvement. Elle est couchée sur mon canapé, nue entièrement, les cuisses ouvertes à savourer ce moment. Si j’étais peintre, je l’aurais prise comme modèle à cet instant. Je me redresse, je la fixe, je ne la quitte pas des yeux, car je veux profiter de ce spectacle sans en perdre une miette comme si j’avais payé mon ticket. Me voilà debout devant elle, dans la même tenue qu’elle. Comment vous dire, je suis aussi nu que mon amie, mais je suis également aussi excité ! Je suis debout, devant, mais également dur et droit, mon sexe est à l’horizontale, en attente d’action. Je la laisse reprendre ses esprits, elle a un peu de mal. L’excitation devait être forte et le plaisir trop dur à gérer. Je me tourne en direction du salon, je ne vois plus personne près de la table et des chaises. Ma femme et mon ami ne sont plus là où je les avais quittés. Je m’avance, je jette un œil près du salon, mais toujours rien. Je continue d’avancer vers la cuisine quand je vois la porte des escaliers pour aller vers la chambre ouverte. Je vais vers cette porte, je m’apprêtais à descendre quand un son venant d’en bas m’interpelle. La réponse à ma question vient de m’être donnée par ma femme ! Ce bruit, je le reconnaîtrais entre mille, c’est ses gémissements quand elle se donne soit en levrette, soit quand elle est dessus à chevaucher la personne ! Je reste planté là à écouter, à essayer de deviner ce qu’il se passe en bas. Je l’imagine à quatre pattes dans notre chambre à bien accueillir notre ami entre ses cuisses derrière elle, à lui présenter une vue directe sur son fessier et son sexe que j’imagine brûlant à ce moment. Mon sexe, toujours droit et fier, n’en peut plus. Il faut vraiment que je passe à l’action pour me soulager. Je pose ma main sur mon sexe, je commence à me branler tout doucement, je fais de lents va-et-vient. Je profite, je laisse mon imagination faire le travail à ma place cette fois. Mais je me fais reprendre et sortir de mon monde imaginaire. Mon amie qui était sur le canapé a repris des forces et m’a rejoint sur le bas de la porte. « Ne te fais pas du bien tout seul voyons, il y a bien assez de monde ici pour te le faire ! » me dit-elle avec son grand sourire. Elle me prit par le sexe, elle posa sa main dessus et me tira comme si on se donnait la main. Je la suivis, mon sexe entre ses doigts et on prit la direction d’en bas, vers la chambre. Après avoir descendu les quelques marches qui nous séparent du sous-sol, nous voici tous les deux devant ma chambre. La porte est ouverte en grand. Je suis devant la porte de ma chambre, le sexe dur entre les doigts de mon amie à observer ma femme chevauchant mon ami allongé sur mon lit qui lui tient les hanches et ses seins. Cette scène est incroyable ! Mon amie reprend sa marche toujours en me tenant par le sexe, mais cette fois dans la direction de mon lit. On s’y approche assez rapidement, elle me regarde : « Allonge-toi comme mon chéri et laisse-toi faire ! » OK, pas besoin de le dire deux fois, je m’exécute et en moins de temps qu’il faut pour le dire, me voici allongé à côté de mon ami dans la même position que lui. Nous sommes tous les deux nus, allongés l’un à côté de l’autre sur mon lit, mais nous faisant chevaucher par la femme de l’autre !! Sa femme n’a pas pris beaucoup de temps à se mettre sur moi et à insérer mon sexe dans le sien. Je la laisse faire, je laisse ses hanches faire le travail sur mon sexe en chaleur, la seule chose que je fais, prendre ses seins en main !
Les secondes passent, les minutes défilent à nous faire chevaucher par ses feux femmes. Nous sommes devenus leurs objets du désir à ce moment. Ma femme et son amie sont complices, elles se regardent, elles se touchent, elles se caressent. Elles en viennent même à s’embrasser pendant que mon ami et moi sommes en train de les pénétrer ! Elles commencent à reprendre nos rôles, mon rôle. Celui qui gère la situation. Mais je ne peux qu’observer ce jeu, elles sont tellement belles, tellement sexy. Je profite de cet instant, mais je sais ce que je veux, et où je veux aller ! Je pose mes mains sur les hanches de mon amie et je couche sur moi. Le contact de sa poitrine sur mon torse est ouf, incroyable ! Sa poitrine me vend du rêve, vraiment. Je la retourne et c’est elle maintenant qui se retrouve sur le dos, nue à côté de son homme. Mais je n’en ai pas fini, je me penche vers ma femme cette fois-ci. Je la récupère également. Elle s’arrête et me suit. Je la pose également sur le dos à côté de son amie. Mon projet, ma vision des choses va se mettre en place. Je reprends la main de mon amie et la relève vers moi, je lui fais comprendre les choses. Elle se met à quatre pattes au bord du lit, son fessier vers l’extérieur du lit dans ma direction et sa tête dans la direction des cuisses de ma femme. Dans ma tête, je veux prendre le cul de mon amie à quatre pattes, qui elle va lécher le sexe de ma femme allongée sur le dos devant elle pendant que celle-ci sucera mon ami à genoux à côté d’elle qui jouera avec ses seins et son bouton. Voilà ce que je souhaite mettre en place. Les choses se mettent en place d’une telle facilité, comme si les trois autres personnes arrivaient à lire dans mon esprit, arrivaient à visualiser mes idées. Je suis debout face à mon lit, le sexe dans ma main à me branler face à ces trois personnes. Mon amie est à quatre pattes, m’offrant une vue sur son fessier et son sexe. Elle fait face à ma femme, elle qui commence à ouvrir ses cuisses pour laisser entrer le visage de sa copine, la bouche de sa maîtresse sur son sexe. Ma femme qui se trouve sur le dos est à hauteur du bassin de mon pote, à hauteur de son sexe. Elle tourne son visage pour trouver le sexe de mon ami et le prendre en bouche. Nous y sommes, mon projet, ma position à quatre se réalise grâce à l’aide de ma femme et de mes amis. Ma femme se fait lécher, doigter par son amie. Elle se laisse faire, occupée à sucer, à avaler le sexe de son amant du soir. Que demander de plus, elle se fait lécher et doigter son vagin pendant qu’elle s’amuse avec sa langue sur ce nouveau sexe. Le tout, pendant que mon ami la titille en lui pinçant les tétons, en malaxant sa poitrine. Elle ne peut pas demander mieux, ou si, il faudrait que quelqu’un lui prenne son petit trou... Pour ma part, je suis occupé à autre chose. Je souhaite jouer avec un petit trou aussi, mais pas celui de ma femme, celui de ma nouvelle aventure du soir. Son cul me fait tourner de l’œil à chaque fois que je le vois, donc ce soir, il va être à moi. Un cul bien rond, en forme, mais pas trop en chair. Juste ce qu’il faut pour le prendre en main ou le claquer. Un cul comme on les aime, un cul qu’on aime défoncer.
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