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Couvre-Feu

Chapitre 8

Dernier chapitre !

Orgie / Partouze
Je pose mes lèvres sur son petit trou. Enfin, depuis le temps que je souhaitais goûter. Trop longtemps il m’a fait de l’œil, trop longtemps je l’ai vu se balancer devant moi sans que je ne puisse le toucher, le malaxer et le prendre ! Maintenant, il est à moi, j’en prends possession avec ma bouche avant de le prendre avec mon sexe. Ma bouche travaille dessus, mes lèvres passent dessus puis c’est au tour de ma langue de le faire ! Je tourne autour de son petit trou, je joue avec. Ma langue, son anus. J’arrête de travailler avec mes doigts dans son vagin, je les sors et je prends comme nouvelle demeure son clito. Je pose trois doigts dessus, je veux la faire venir. Son orgasme clitoridien doit m’aider pour la suite.
Je laisse ma langue sur son fessier et je me concentre sur son clito. Quelques secondes suffisent pour lui tirer ce fameux orgasme. L’excitation est à son comble. Son corps répond présent à mes doigts, je le sens se raidir et se contracter.
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ne t’arrête pas !! » « Encore, encore, oui, encoooooooore » « Oh c’est bon, vas-y, ouiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Étape 1, validée ! L’orgasme clitoridien est une réussite. Je me redresse, je la laisse reprendre ses esprits avant de réattaquer, mais cette fois seulement sur son petit trou. Je regarde devant moi, j’en étais resté à ma femme branlant mon ami. Ce n’est plus le cas, je vois maintenant ma femme ramasser tout le sperme qu’elle a sur le visage avec son doigt pour porter le tout à sa bouche. Ma femme est en train d’avaler le sperme, le jus de mon ami qui la regarde avec admiration telle une belle coquine dans les films pornographiques qu’il regarde sûrement seul chez lui en se branlant. Il approche son sexe, luisant de jus et plus aussi droit qu’avant, au-devant de ma femme pour lui signifier de lui nettoyer. Chose qu’elle accepte, après deux-trois passages en bouche et quelques coups de langue, son sexe est comme neuf. Tout propre et prêt à resservir.
« Tu comptes les regarder encore longtemps ou tu comptes prendre mon cul ?! »
Hein, je ne m’attendais pas à ça, la copine de mon ami me fait sortir de mes pensées.
« Je compte prendre ton cul et m’en occuper ! »« Alors vas-y, il t’attend ! »
OK, tu veux que je m’occupe de ton cul, je vais m’en occuper. Pas de soucis. Sans attendre, je pose mon index sur son petit trou. J’exerce une légère pression sur celui-ci, qui s’ouvre sans difficultés. Mon doigt entre tellement facilement, c’est improbable. Sans l’humidifier, mon index coulisse tout seul dans son fondement. Cette femme est vraiment incroyable, on dirait une fille tellement prude, tellement timide et pourtant, la voici à quatre pattes devant moi, cambrée avec un doigt entièrement entré dans son cul. Mon index est totalement rentré dans son cul. Je fais de légers va-et-vient, mais très peu de temps car, ça aussi, elle l’accepte. Je fais sortir mon index de son trou pour le faire entrer à nouveau. Sans soucis. Je doigte son cul, mon index joue avec son anus. Une nouvelle fois sorti, je présente maintenant mon index et mon majeur. Deux doigts, je me dis que ça devrait être un peu plus compliqué. Mais rien du tout, c’est tout aussi simple de rentrer dans son cul. Elle accepte mes doigts sans broncher. Je l’entends même commencer à gémir, à pousser de légers cris de plaisir et augmenter sa respiration. OK, pas de soucis, tu les acceptes. Je fais des va-et-vient de plus en plus rapides mais surtout de plus en plus puissants.
« Hum... Oui » « C’est bon, continue... doigte-moi le cul ! » « Ne t’arrête pas » « Mets-en trois, vas-y, il est prêt ne t’inquiète pas. »
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je sors mes deux doigts pour en glisser trois. Je passe juste avant un petit coup dans son vagin pour récupérer de la mouille et lubrifier mes doigts. Lubrifiés, je les présente à son anus. Ses deux mains se présentent sur chacune de ses fesses. Elle écarte ses fesses légèrement.
« Vas-y, mets-les-moi. Je suis prête ! »
Mes doigts sont à l’entrée de son anus. Toujours sans difficulté aucune, j’entre en elle, mes trois doigts coulissent tellement facilement. Même sans lubrifiant naturel, je suis sûr que son cul aurait gobé mes doigts. Je joue avec son anus, je fais coulisser mes doigts de haut en bas. Je les bouge à l’intérieur. Ses gémissements se font de plus en plus entendre. Nous restons comme ça quelques minutes quand je décide de retirer mes doigts et d’y présenter mon gland. Je m’approche de son cul, mon sexe droit comme une barre en métal. Je pose mon gland sur son anus déjà ouvert par le passage de mes doigts. Sans attendre, son petit trou m’accepte et me gobe. Mon gland est désormais dans son cul ! Enfin !
Je pose mes mains sur ses hanches comme pour lui signifier que les choses sérieuses vont commencer. Je pousse doucement mon bassin vers l’avant faisant ainsi entrer mon sexe de plus en plus en elle. Je le vois disparaître entre ses deux fesses petit à petit puis totalement. Je suis en elle, je suis en totale possession de son cul. Mon sexe est à l’intérieur de son cul. Je ne bouge pas, je savoure ce moment quelques secondes. Je savoure ce moment où je ne vois plus mon sexe mais à la place je vois un fessier totalement ouvert et percé par mon sexe ! Que c’est bon et incroyable !
Mes mains en place sur ses hanches, ma bite à l’intérieur de son cul, me voilà prêt. Sans attendre plus longtemps, je fais bouger mon bassin, d’avant en arrière. C’est mon moment. Je suis en train de baiser la copine de mon pote, je dirais même plus, je suis en train d’enculer la copine de mon pote devant lui. J’avais rêvé de l’enculer mais pas devant lui. Le faire devant lui me plaît encore plus, prendre possession de sa copine est incroyable. J’accélère mes gestes, j’accélère mes coups. Plus rapides, plus puissants et plus profonds. Je veux qu’elle se souvienne de moi, de notre fois, de cette fois où j’ai pris possession de son cul. Limite à lui redonner envie de le faire avec moi et qu’elle ne veuille le faire qu’avec moi. Je donne tout, je veux être le meilleur coup de sa vie en termes de sodomie. Son cul est à moi. Je la prends, on entend claquer, on l’entend gémir, pousser des cris dans la chambre mais je suis sûr qu’à l’étage et dehors on l’entend. Aucune retenue dans ses cris. Je me lâche aussi, je gémis.
« Oh oui, ton cul est tellement bon ! » « Prends-le, défonce-moi » « Je vais le défoncer, je vais éclater ton cul !! » « Oh oui, vas-y ! Défonce-moi comme la chienne que je suis. » « Je vais te défoncer, ton cul va prendre ce soir ! Je ne vais pas le lâcher. »
Je continue mes coups dans son cul. Je la tiens fermement par les hanches. Je la laboure, son petit trou n’est plus aussi petit. Mon sexe ne fait que ça, entrer, sortir, coulisser, claquer au fond d’elle, mes couilles sur ses fesses. Je suis tellement à fond et concentré par ce que je fais que je ne me suis pas rendu compte de ce qui se passait autour de nous. Mon ami est venu se présenter face à sa copine mais elle ne veut pas le sucer.
« Passe en dessous de moi et viens me prendre aussi ! Prends mon sexe et laisse-lui mon cul, je le veux dans mon cul mais prenez-moi à deux. »
Oui, elle souhaite être prise par deux hommes, par son homme et son ami ! Mais j’ai ce que je voulais, je garde son cul et elle veut que je lui prenne le cul. Son homme se glisse en dessous d’elle comme il le peut. Je sens ses jambes se présenter contre les miennes, je ne bouge pas d’un poil car j’ai la position parfaite pour m’insérer en elle. Quelques secondes suffisent pour que je le sente présenter sa bite à l’entrée du vagin de sa copine. La paroi est fine, je sens son sexe glisser à l’intérieur. Nous voilà, tous les deux à l’intérieur. Nous sommes, mon ami et moi, en train de prendre sa femme tous les deux. Nous nous lançons tous les deux, nos sexes glissent en elle. Elle gémit non-stop, elle n’arrête pas. Nous sommes décalés pour la prendre, ce qui fait qu’elle gémit tout le temps sous chaque coup de bite qu’elle prend. Nous restons ainsi quelques minutes. Je veux changer mes mains de position. Je passe de ses hanches à ses seins. Mes mains sont désormais posées sur sa poitrine, ce qui fait qu’elle s’est redressée laissant une place. Mais quelle place. Je n’ai pas changé mes mains pour rien. Ma femme est venue se présenter face à son amie. Le dernier morceau du puzzle se présente à notre trio.
Ma femme se présente mais pas de n’importe quelle façon, elle se présente en se mettant assise sur le visage de mon ami. C’est-à-dire que mon ami, allongé sur le dos à baiser sa copine qui est sur lui à quatre pattes en train de se faire sodomiser par moi-même, vient de voir ma femme s’asseoir sur son visage, lui présentant son vagin. Il comprend très vite ce qu’il doit faire. La lécher.
Nous finissons cette partie de baise, de découverte quelques minutes plus tard en jouissant tous à quelques minutes d‘intervalle. La suite de la soirée, de la nuit devrais-je dire, car nous avons fini à 5h45, se termine à discuter de ce qu’il vient de se passer entre nous quatre. Nous échangeons jusqu’à 7h tranquillement puis nous allons nous coucher. Mes amis, ma femme et moi dormons tous ensemble. Nous aménageons un lit par terre. Je peux vous dire qu’il y a des mains baladeuses sous la couette et que les couples se déforment. Ma femme avec mon ami et sa copine avec moi-même, le tout en étant tous les deux face-à-face.
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