Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 13 J'aime
  • 1 Commentaire

Couvre-Feu

Chapitre 11

Découverte à 3...

Avec plusieurs hommes
Je suis prêt à prendre ce cul, son cul. Mon ami qui est toujours à quatre pattes sur son canapé, totalement nu devant nous semble à l’aise dans cette situation. Il n’a pas l’air d’être gêné. On dirait qu’il a déjà fait ça, or d’après ses dires, c’est bel et bien sa première fois. Tant mieux pour moi, tant mieux pour mon ami et moi qui allons pouvoir en profiter !
Je suis derrière le canapé, proche de l’angle, toujours à regarder mon ami se faire branler. Si quelqu’un m’avait dit un jour que je serai dans cette situation, je pense que je ne l’aurais pas cru. Je suis en tee-shirt, pantalon enlevé, caleçon baissé à hauteur de mes chevilles. Je suis prêt à passer à l’action également. Mon sexe est dur, droit prêt à l’emploi également. Je crache sur mes doigts, sur mon index et mon majeur. Je mets de la salive dessus. Je les porte à hauteur des fesses qui se présentent à moi. J’écarte les deux globes avec mon autre main pour laisser apparaître son trou.
Un petit trou qui n’a pas beaucoup servi comme dirait un expert de l’anal. Mais à ma grande surprise, ce petit trou est tout propre, pas de poils visibles. Monsieur a dû se raser pour l’occasion et se préparer, car il n’y a rien à redire à ce sujet. Tant mieux, ce sera plus simple et sûrement moins douloureux pour lui lors de la pénétration. Je pose mes deux doigts pleins de bave sur le haut de son trou, je laisse couler le liquide sur celui-ci. Je me baisse légèrement et me place à hauteur de son trou pour y laisser couler une nouvelle fois de la bave, mais cette fois directement de ma bouche. Mes doigts récupèrent la bave et remontent le tout sur son trou.
Je me place à côté de lui, je pose un genou sur le canapé pour être un peu mieux placé pour venir le travailler au corps. Mes doigts sont toujours proches de son cul, mais je compte bien jouer avec avant de le prendre. Je récupère la bave, ma bave et je fais tourner mes doigts, comme une langue sur un clitoris, je les fais tourner sur anus. Je frotte doucement et lentement au début, car rien que le fait de poser le bout de mes doigts l’a fait frissonner. Je tourne toujours mes doigts, mais cette fois en appuyant légèrement sur son trou en passant. Comme pour le prévenir que je vais avancer dans cette étape. Les secondes passent, mon ami qui se trouvait debout à se faire branler est maintenant assis sur le bord du canapé à nous regarder.
Je suis donc le seul, désormais, en action dans la pièce. Je continue à jouer avec mes doigts, mais je retire mon majeur pour ne laisser que mon index. Une simple préférence pour commencer à l’introduire, plus de dextérité avec ce doigt. Mon index étant en place devant son trou, je crache une nouvelle fois sur son trou, je laisse couler ma bave jusqu’au contact de mon index. Une fois celui-ci établi, je commence une légère pression. Le bout de mon doigt est en train de rompre sa dernière protection. Je le vois, mais surtout je le sens, mon doigt coulisse doucement, mais sûrement à l’intérieur de ses fesses. Ma première phalange est quasiment entrée. Quelques secondes suffisent pour que celle-ci le soit totalement. Ça y est, ma phalange est en lui.
Imaginez-vous cette scène, deux de mes amis sont nus devant moi, un assis sur le rebord du canapé, le sexe droit suite à une fellation et une branlette que mon autre ami lui a faite. Cet autre ami, est nu lui aussi, mais à quatre pattes sur son canapé, chez lui avec un de mes doigts dans son cul. Quant à moi, je suis positionné derrière lui, un genou sur le canapé, le sexe droit, à lui doigter le cul. C’est totalement incroyable comme scène. Incroyable.
Je laisse mon bout de doigt à l’intérieur pour le laisser reprendre ses esprits, mais surtout pour qu’il s’habitue à avoir quelque chose en lui. Après une trentaine de secondes, je commence à nouveau à bouger le doigt. Cette fois-ci, je le bouge, mais pas de façon circulaire. Je le bouge d’avant en arrière comme le mouvement d’une pénétration, mais vraiment très légèrement. Quelques millimètres. Je fais ça de façon lente et douce, je ne veux pas le bloquer. Il ne bouge toujours pas, il ne dit rien. Il n’a pas l’air de ressentir de douleur et c’est tant mieux, car ce n’est pas le but. Je laisse couler de la bave toujours sur mon doigt, j’accentue mon geste et de ce fait la pénétration également. Elle se fait de plus en plus grande et profonde.
Mon ami ne dit toujours rien, mais je le vois bouger de plus en plus, a-t-il une gêne, une douleur ? Je ne sais pas...
— Tu as mal ? Lui dis-je. — Non non, ne t’inquiète pas. — Ça te dérange mon doigt ? Tu as une gêne ? — Non, si je bouge c’est parce que je veux que ton doigt rentre du mieux possible et pour être tout à fait honnête, ça commence à me faire quelque chose d’avoir ton doigt dans mon cul... — Je peux continuer et accélérer mon geste alors ? — Oui tu peux et je pense même que tu peux essayer avec ta bite si tu y vas doucement !
Quelle surprise, il veut déjà que j’essaye avec mon sexe. J’attends encore un petit peu pour le laisser mijoter et ce ne sera que meilleur d’attendre, car il sera mieux préparé. Surtout plus dilaté. Mon doigt toujours en lui continue son avancée, continue de s’aventurer toujours plus profond entre ses fesses. Je suis quasiment en lui, il ne reste que quelques millimètres avant que la base de mon doigt ne vienne percuter l’antre de son cul. Je ne bouge pas pendant quelques secondes. Je le prépare du mieux possible pour la prochaine étape. La pénétration. J’attends encore un petit peu puis je retire mon doigt en le faisant coulisser doucement. Je suis proche de la sortie. Me voilà sorti de son petit trou, je récupère mon doigt, ma main, ma gestuelle.
Je me relève, je me mets à l’aise, j’enlève mon caleçon toujours existant sur mes chevilles. Je le jette un peu plus loin et je retire mon tee-shirt. Me voilà également nu comme mes deux amis devant moi. Je me place derrière celui que je viens de doigter. J’approche mon sexe de son cul. Je reprends de la bave sur mes doigts et je viens mettre le tout sur mon sexe. Il brille de mon liquide buccal. Je continue quelques instants puis je viens en mettre à nouveau sur son entrée. Une fois fait, j’approche mon gland de son petit trou pour déjà avoir un contact entre mon sexe et son cul. Chose faite. C’est étrange comme situation, mais pas dérangeant je trouve pour ma part.
Je laisse mon gland posé entre ses fesses, je pose une de mes mains sur sa hanche pour le tenir comme je le fais avec ma copine et je pose l’autre main sur mon sexe pour le maintenir à l’entrée. Je commence légèrement à pousser à l’aide de mon bassin et de ma main, mon sexe pour exercer une petite pression pour introduire mon gland. Je vois ses fesses s’écarter pour laisser mon sexe entrer. Je coulisse doucement, j’ai le temps donc je fais les choses bien. Mon sexe s’introduit petit à petit dans le cul mon ami qui a l’air de m’accepter sans trop de douleur. Je laisse couler un peu de bave sur la moitié de mon sexe, sur la rondelle de son anus. Tout se passe bien. Je continue mon avancée, je rentre doucement, lentement. Me voilà, ça y est, je suis en lui. Mon sexe est entré entre ses fesses. Je ne bouge pas, je laisse ma bite en lui le temps d’un instant.
Mon ami qui est assis sur le canapé vient de se laisser glisser sur une place du canapé, une place légèrement sur sa gauche, pour être au plus de notre ami à quatre pattes. Je comprends où il veut en venir. La situation pour laquelle il a accepté que l’on vienne aujourd’hui, ce matin, c’est pour une seule chose : qu’on le sodomise pendant qu’il suce. La fellation seule, c’est fait. La sodomie seule, c’est en cours, mais on va dire fait. Maintenant il ne reste qu’une seule chose, sucer pendant qu’il se fait sodomiser.
Je le laisse se préparer et se proposer. Il s’installe, son bassin est placé sous la tête de notre ami. Il est en place, moi de même toujours à planter dans son orifice. Notre ami baisse son visage, vu de derrière, il se dirige tout droit vers la bite tendue qui se présente à lui. Je n’en loupe pas une miette. Au vu de la réaction que mon ami a, je comprends qu’il est en train de se faire sucer. C’est exactement ça, il ne faut que quelques secondes pour que j’aie la confirmation en voyant la tête de mon ami bouger de haut en bas. À mon tour de pratiquer, je commence à bouger mon bassin d’avant en arrière. Mon sexe coulisse doucement entre ses fesses. Je reste à ce tempo quelques instants puis je commence à accélérer le rythme. Je ne mets pas plus de force, mais je commence à donner plus de vitesse à mon geste, à ma pénétration. Sa tête bouge toujours de haut en bas, mais j’entends son souffle s’accentuer. Il respire de plus en plus fort, la raison que j’ai trouvée à ce changement c’est qu’il est en train d’apprécier ce qui se passe. Il doit aimer se faire prendre le cul pendant qu’il suce une bite.
Nous restons plusieurs minutes dans cette position, je ralentis, j’accélère, j’accentue mes mouvements, ma pénétration tout en le tenant par les hanches. Pour être tout à fait honnête, je le prends comme si je prenais ma copine. Je me sens bien comme ça et j’apprécie fortement la situation. Les secondes défilent et je ressens enfin la jouissance arriver. Je me sens prêt à me vider en lui. Quelques mouvements de va-et-vient me suffisent pour me laisser aller dans son cul. Je me vide. Je sens sortir cinq, six jets. Je reste bien planter en lui, au fond de son cul pour me laisser aller. Je reste comme ça un instant avant de sortir. Je vois son anus bien dilater, il s’est formaté à mon sexe.
De son côté, mon ami est toujours raide comme un piquet. Je le connais, nous avons déjà vécu des choses ensemble et je sais qu’il ne va pas tarder à venir lui aussi. Quelques minutes suffisent pour qu’il se lâche dans la bouche de notre ami. J’ai le temps de remettre mon caleçon le temps qu’ils finissent tous les deux. Nous nous habillons tous, nous nous préparons.
Nous finissons cette matinée tous les trois à discuter de ce qu’il vient de se passer, à échanger autour de la situation. Nous nous dirigeons vers la porte pour sortir, nous nous disons au revoir. Mon ami qui vient de se faire sucer se retourne vers notre hôte et lui dit :
— Bravo, tu as respecté le pacte que vous nous avions tous les trois. La prochaine sortie que nous allons faire avec nos copines, tu seras le bienvenu si elles acceptent. Nous allons leur expliquer la situation, leur décrire cette matinée et nous verrons bien si elles ont envie d’un partenaire en plus ou pas.
Diffuse en direct !
Regarder son live