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Je découvre de mon cul

Chapitre 1

Gay
La rencontre En ce mercredi quatorze mai tôt le matin, il fait beau et très bon. Je roule tranquillement les cheveux au vent sur l’autoroute A soixante et un déserte, elle vient d’être mise en service, personne ne l’utilise. C’est la première fois que j’utilise ma nouvelle voiture, une Cadillac cabriolet Eldorado Fleetwood de mille neuf cent soixante-cinq que j’ai d’acheté il y a presque deux ans et qui sort d’une restauration complète de dix-huit mois. Elle a quinze ans, mais elle roule super bien, je suis sur un nuage qui se déplace dans le ronronnement feutré de son gros V huit de sept litres. Cette voiture est étonnante, elle est équipée du Cruise Control, un système de régulation de vitesse inventé en mille neuf cent cinquante six par Cadillac, qui n’apparaîtra en Europe sur les voitures de luxe qu’une vingtaine d’années plus tard. Elle a aussi un système Cadillac qui permet de garder une station de radio tout au long du voyage, l’ancêtre du RDS. J’y vais cool au Cruise Control, maximum cent vingt kilomètres heure, elle a soif, très soif. Je viens de divorcer, je n’ai pas d’enfant, mon père vient de disparaître, me laissant un gros paquet de fric et des revenus locatifs très substantiels, il engrangeait au lieu de vivre. Je n’ai que trente deux ans, je compte bien profiter de la vie. Je viens de prendre un nouveau boulot dans une boîte d’informatique travaillant pour le CNES, je n’en ai plus besoin pour vivre mais j’ai besoin de m’occuper. Comme je n’ai pas de congés, j’ai pris un jour sans solde, ça ajoute un jour à ce week-end de l’ascension de quatre jours que je vais passer chez des amis au Cap d’Agde, Charles et Laurence. Je les ai rencontrés sur le parking de Carrefour Portet, ils étaient en panne de batterie avec leur magnifique Porshe Carrera, (plafonnier resté allumé). Elle, trente ans superbement foutue dans une robe minimaliste, ne cachant qu’occasionnellement ses fesses bronzées séparées par la ficelle de son string, lui, soixante ans, voire plus, bien conservé apparemment bourré de fric. Ça sent le mariage d’amour, elle aime l’argent. Il fait super bon, voire chaud, je n’ai mis qu’un vieux short de sport qui s’avachi un peu et un tee-shirt assez court qui m’arrive juste à la taille. J’ai fais un petit sac d’affaires, ma trousse de toilette, un short, un tee-shirt, et une paire de tennis, je vais dans le quartier naturiste d’Agde, pas besoin de fringues, surtout que la météo annonce un temps beau et chaud, juste de quoi couvrir mon cul si je vais chez les textiles. Je glisse ma main dans mon short pour me caresser la bite, je bande ferme, j’aime bien être dans cet état, sentir ma bite bien raide, vivre. Mais dans ma précipitation à vouloir partir le plus vite possible, je ne suis pas allé pisser et une envie soudaine se fait sentir. J’arrive à l’aire d’Ayguesvives et m’y engage. Elle est pratiquement vide, deux camions et un petit van. Je gare ma voiture juste à côté du van et recapote. En sortant, le remarque que mon short fait une grosse bosse au niveau du sexe. Je vais vers les toilettes en passant devant un groupe de cinq gamins qui discutent ferme et rient aux éclats. L’un d’eux me fait signe. –S’il vous plait monsieur, vous auriez du feu ?–Non, je ne fume pas, et vous ne devriez pas vous non plus, attendez au moins d’être majeurs.–Nous le sommes tous monsieur, tous nés avant avril soixante deux, nous avons tous dix huit ans révolus.–Très bien, mais ça n’empêche, vous ne devriez pas fumer.  Quand je m’éloigne, j’entends l’un d’eux. –A mon tour les gars, je le sens bien celui-là, vous avez vu la bosse sur son short ? Ma parole, mais il parle de moi, en quoi peut il bien me sentir, je commence à avoir des idées un peu spéciales. J’arrive devant trois pissotières, je m’installe sur celle du milieu et fais glisser mon short vers le bas et mettant l’avant sous mes couilles, il n’y a pas de braguette, ça le maintiendra en place. La ceinture un peu détendue glisse et dévoile les trois quarts de mes fesses, je veux voir si c’est mon imagination ou si le mec avait une idée derrière la tête. Avec mon tee-shirt arrivant tout juste à la taille, il ne peut manquer de voir mes fesses nues. Je pisse en arrosant le haut de la pissotière, je suis obligé de me reculer un peu. Un des jeunes hommes entre derrière moi, il se met à côté de moi. Ma bite s’est un peu ramollie, je n’arrête pas de la caresser pour qu’elle se redresse vers le ciel. Il sort sa bite sans vraiment la cacher, elle est très longue et assez épaisse, comme la mienne. Le mec fait glisser sa main dessus sans me regarder, sa bite se redresse lentement et devient raide en grossissant, une très belle bête qu’il masturbe ouvertement. Je ne me faisais pas d’idées, il veux jouer un peu avec moi. Cette vue m’excite, ma bite a des spasmes d’excitation.  Je ne suis pas homosexuel, je n’ai jamais eu le moindre contact avec un homme, mais j’ai souvent fantasmé sur le fait de caresser une autre bite que la mienne et pourquoi pas de la sucer comme je l’ai vu dans des films pornos, voire même aller plus loin si affinités. J’ai vu des films d’homosexuels, je me suis toujours demandé quelles sensation on éprouve quand une bite s’enfonce dans ton cul. Je descends un peu plus mon short pour dégager entièrement mes fesses et caresser ma bite plus ouvertement, je me masturbe carrément. Je me tourne un peu vers lui, il en fait autant en descendant lui aussi son short à mi-cuisses. Il tend sa main pour me caresser les couilles, je l’imite. De toucher les couilles d’un autre homme m’excite comme je ne l’aurais jamais cru. Sa main remonte vers mon sexe maintenant bien raide, je remonte moi aussi ma main sur sa bite devenue très dure. Je suis en train d’assouvir un de mes plus vieux fantasme, caresser la bite d’un autre homme, il y a longtemps que je pense à ça. J’ai déjà vu des hommes se faire une fellation dans des films pornos, je regarde son sexe dressé vers le ciel en le masturbant lentement. J’entends les autres arriver, ça m’excite encore plus. J’ai soudain une envie d’aller plus loin, je me penche en avant pour poser ma langue sur son gland décalotté. –Tu aimes sucer les bites hein ?–Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait, c’est la première fois que je pose ma langue sur une bite.–Arrête tes conneries mec, à d’autres. 
Je me redresse, le regarde droit dans les yeux, il me regarde et se rend compte que ce qu’il vient de me dire ne me plait pas du tout. –Si je te dis que c’est la première fois que je pose mes lèvres sur une bite, c’est parce que c’est la première fois. J’ai des fantasmes, mais je ne suis jamais passé à l’acte, c’est la première fois que je touche une autre bite que la mienne, je déteste que quiconque mette en doute ma parole. Salut mon gars, vas te faire foutre !! Je le lâche, repousse sa main, rentre ma bite dans mon short et le remonte complètement pour faire demi-tour. Au moment où je lui tourne le dos pour retourner à ma voiture, il m’attrape le bras. –Ok, ok, on se calme, je m’excuse, mais j’ai été étonné par ta réponse, tu me paraissais assez entreprenant. Vas-y, fais ce que tu as envie de faire, je suis à toi. Je le regarde de nouveau, je ne suis pas très enthousiaste, ce gamin m’énerve un peu, pour qui se prend-il putain, j’ai envie de lui donner une leçon. Mais l’envie de mettre cette bite dans ma bouche me tiraille, c’est peut être la dernière occasion d’assouvir mon fantasme. Je décide de mettre mon orgueil de côté. Je me penche de nouveau sur sa bite, cette fois c’est pour envelopper son gland avec mes lèvres. Il se laisse faire en posant ses mains sur ma tête. –Ne t’en fais pas, je te laisse faire, je ne veux pas te forcer en quoi que ce soit, juste te sentir bouger sur ma bite.  Je suis étonné, cette bite n’a ni goût ni odeur, elle est très propre. Lentement j’avance ma bouche le long de sa verge bien dure. Elle entre entièrement, je sens son gland toucher le fond de ma gorge, je sais qu’on appelle ça une gorge profonde et que c’est très apprécié des hommes quoi qu’on ne m’en ai jamais fait. Il doit aimer car je le sens se cambrer pour mieux m’offrir sa bite à bouffer. Je commence à prendre un pied d’enfer, je me rends compte que j’aime avoir une belle bite dans la bouche. Je fais tourner ma langue autour de cette superbe tige de chair et de son gland. Je commence des va et vient sur son membre quand je sens deux mains faire descendre mon short le long de mes jambes. Mon premier réflexe est de me redresser pour voir ce qui se passe, mais j’ai un tel plaisir à avoir cette bite dans la bouche que je me laisse faire. Je sais que ce sont ses copains qui sont derrière et qu’ils vont s’occuper de moi. Le short s’accroche sur ma bite raide, une main le dégage en douceur. Quatre mains me caressent les fesses, je commence à être de plus en plus excité d’autant que nous sommes dans un lieu public, que des personnes peuvent déboucher à tout moment et me voir penché sur la bite d’un gosse adossé à un mur. Une main s’empare de ma bite bien raide pour la masturber. Je pose mes mains sur ses fesses pour le plaquer encore plus contre ma bouche. Je trouve sa peau assez douce, je fais un peu bouger mes mains pour les caresser.  –Mes fesses te plaisent ? Je ne réponds pas, trop occupé à téter cette superbe bite. La main continue une masturbation en règle. Je suis au bord de jouir, j’accélère ma fellation, je suis pris dans une spirale de plaisir, je ne me contrôle plus. Je sens sa bite vivre dans ma bouche, se tendre petit à petit, je veux le faire jouir et tout avaler bien que ne l’ayant jamais fait, je ne sais pas comment je vais réagir. Toutes les femmes que j’ai aimées me l’ont fait, ça ne doit pas être si désagréable vu le plaisir qu’elles en tiraient. –Attention, je vais jouir, attention, ça va sortir, je vais te remplir la bouche, attention, c’est parti. Je continue de plus belle, je suis tellement excité que je ne sais plus ce que je fais, je veux qu’il éjacule dans ma bouche, je veux boire son sperme. Je sens mon sexe palpiter, je vais jouir, j’aspire la bite en lui titillant le gland et en l’enfonçant le plus possible jusqu’à presque m’étouffer. Soudain mon corps se crispe et ma bite se vide par terre. C’est à ce moment que je reçois une giclée au fond de ma gorge. Je suis surpris par la violence du jet, je manque de m’étouffer une nouvelle fois. Instinctivement, j’avale ce liquide chaud et crémeux, j’en éprouve un immense plaisir. Deux autres giclées suivent qui empruntent le même chemin. Je suis complètement dans les vaps, j’ai du mal à respirer, je ne sais plus ce que je fais, je sens mon short remonter sur mes fesses, des bras me redressent, je suis en face de cinq jeunes gamins de dix-huit ans. –Putain, que m’est il arrivé ?–Tu as pris ton pied et en plus tu m’a fais jouir comme ça m’est rarement arrivé. Tu as de l’avenir dans le métier si c’est vraiment la première fois.–Je peux t’assurer que c’est la première fois que je suce une bite, que je la fait jouir dans ma bouche et que j’avale ce qu’elle m’a donné, et je peux te dire que je recommencerai, ça m’a plu.–En plus, tu m’as complètement bouffé la bite, je sentais le fond de ta gorge, comment tu as fait ?–Je t’ai fait une gorge profonde, j’ai vu ça il y a trois ou quatre ans dans un film appelé « gorge profonde » avec Linda Lovelace.–C’est quoi une gorge profonde ?–Tu ne sais pas ?–Non, première fois que j’entends parler de ça.–C’est le fait d’enfoncer complètement la bite de ton partenaire dans ta bouche, jusqu’au larynx. Le partenaire jouit plus, je ne saurais t’expliquer pourquoi mais ce que je viens d’apprendre, c’est qu’il faut faire gaffe, tu es au bord de l’étouffement quand la bite touche ton larynx et éjacule.–Ça t’a plu de me sucer la bite ?–Oui, j’ai même adoré, j’ai aimé la sentir vivre dans ma bouche, surtout quand tu as joui, j’adore cette substance chaude et crémeuse.–Et tu aimerais recommencer ?–Oui, je te le répète, je recommencerai, je ne sais pas quand, mais je ferai en sorte que ça arrive le plus vite possible.–Tout de suite, ça te dirait ?–Il faut que j’arrive au Cap d’Agde avant dix-sept heures, je voulais arriver plus tôt et faire une surprise à mes amis mais pourquoi pas, qu’elle heure est il ?–Huit heures quarante-cinq, d’ici, il te faut à peine deux heures pour y aller, tu peux partir à quatorze heure quarante-cinq, six heures, ça te va ?–Oui, je pense qu’on aura fait le tour en six heures. Je sens deux mains faire redescendre mon short jusqu’à mes chevilles et me l’enlever, je suis de nouveau cul nu, deux autres mains font remonter mon tee-shirt pour me l’enlever, j’aide au mouvement, j’adore être à nu. Je me retrouve à poil devant les pissotières de l’aire de repos, deux mains me caressent les fesses, une autre s’empare de ma bite et la masturbe.  –Belle bite, on en mangerait. Je commence à perdre un peu le sens des réalités, je les regarde. –C’est bien beau tout ça, mais il n’y a que moi qui suis à poil, j’aimerai bien voir ce que vous avez dans vos frocs. Faites moi descendre tout ça à mi-cuisse ou on arrête tout. Ils me regardent médusés, mais le premier remonte son tee-shirt et fait descendre complètement son short. Je connais déjà sa bite, mais là, je vois son pubis lisse comme le mien. Les quatre autres l’imitent, je vois une série de belles bites raides dont une hors normes. Je viens vers eux pour poser mes mains sur leurs bites. Je tâte ces beaux membres en espérant pouvoir les faire se vider dans ma bouche. Je viens de découvrir une nouvelle facette de ma sexualité et que le sperme est très agréable au goût. Je compte bien en profiter au maximum. –Merci les gars, maintenant, nous pouvons passer à la suite. –Ok, on va s’occuper de toi. Ils se rapprochent et commence à me toucher, mais l’odeur du coin commence à me déranger un peu, je reprends mes esprits. –Ok, mais pas ici, ça pue trop.–Et en plus, tu n’aimerais pas être surpris par un mec qui entre ici pendant qu’on s’occupe de toi.–Je crois au contraire que ça m’exciterait encore plus, le danger m’excite, je suis un peu exhibitionniste.–Un peu, c’est un euphémisme, plutôt très exhibitionniste, tu avais le cul nu quand je suis arrivé et tu te masturbais ouvertement. –Oui, je dois dire que je l’ai fait exprès quand je t’ai entendu dire que tu me sentais bien au moment où je passais à côté de vous, je voulais voir si je ne l’étais pas fait des idées.–Et ce n’était pas le cas.–Non, tu es venu me présenter ta belle bite.–Et toi, tu montrais déjà ta grosse bite à qui voulait la voir. –Pourquoi tu m’as suivi ?–C’est toi qui m’a donné l’idée de te suivre quand j’ai vu la bosse au niveau de ton sexe, tu bandais sec, j’ai deviné qu’il y avait une grosse bite à l’intérieur du short. C’est vrai que ça pu ici, suis nous, nous connaissons bien cette aire. Deux des gamins sortent pour voir l’extérieur. –Allez, viens comme ça, il n’y a que nous et les chauffeurs qui dorment. Nous quittons les sanitaires, je suis toujours nu, j’ai juste mes tennis, je les suis au fond de l’aire, elle est beaucoup plus grande que je le croyais, il y a un petit bois au fond. Je suis bien à me balader à poil avec cinq gamins qui veulent s’amuser avec moi. Nous entrons dans le petit bois au moment où les deux camions frigorifiques démarrent, ça m’excite, je me demande si les chauffeurs m’ont vu. J’espère que mes compagnons vont se laisser aller et me faire jouir un maximum. Un des mecs a été prendre une table pliante ronde dans le van, je me demande bien pourquoi. Nous arrivons sur une petite clairière, deux des mecs viennent vers moi, je suis à poil au milieu d’eux, mais je prends de plus en plus de plaisir à cette situation pour le moins nouvelle pour moi, je bande comme un âne. Ils comprennent que ça me plait quand ils voient ma bite bien droite secouée par des spasmes sans que je n’y touche. Une multitude de mains glissent sur mon corps sans oublier mes fesses et ma bite. Elles finissent par me faire mettre à plat ventre sur la table pliante que le mec a installée, c’était donc pour moi. Elle est juste assez grande pour aller de mon pubis à mon cou. Ma bite pend sur un bord, les fesses bien dégagées et la tête sur l’autre bord. Je décide de me laisser faire, j’espère qu’ils vont s’occuper de moi et me faire jouir, je deviens leur jouet sexuel. Je suis à leur merci mais je ne fais rien pour l’empêcher, au contraire, j’attends avec une certaine impatience la suite des événements.  Des mains glissent sur mon dos, mes fesses, mes jambes, ils m’explorent. Soudain, les mains m’abandonnent, j’entends des mouvements de fringues, au bout d’une minute, il y a cinq mecs nus autour de moi. Je revois leurs belles bites, la plus petite est moyenne grosse, la plus grosse énorme avec un gland gigantesque, ils bandent tous plus ou moins. Une bite se présente devant ma tête, elle est bien raide, je l’engloutis dans ma bouche et commence une fellation d’enfer en lui agrippant les fesses pour le plaquer contre moi. Je suis à peine gêné par ses poils heureusement coupés assez courts. Des mains me caressent les fesses et finissent par les écarter. Je sens un doigt gras se glisser entre elles, il arrive sur mon anus pour le titiller, mon corps est électrisé par une violente décharge qui le soulève de la table. –Putain, il aime ça, je vais lui mettre bien profond, je vais lui dépuceler cette jolie rondelle brune.–Comment sais tu qu’il est vierge du cul ?–Il a dit qu’il n’avait jamais touché un homme, je présume que c’est la même chose pour son cul.–Ça se tient, mais il existe aussi les godes, il pourrait en avoir utilisé.–On va bien voir. Le doigt s’enfonce dans mon anus, je ne ressens aucune gêne, au contraire ça me plait, je donne un petit coup de rein en arrière pour faire comprendre que j’aime ça et qu’il peut continuer. Le doigt commence des va et vient d’abord lentement puis de plus en plus vite. Je sens mon sphincter devenir de plus en plus souple, le doigt glisse de plus en plus facilement, une onde de plaisir se diffuse dans mon corps. Il me quitte pour revenir accompagné d’un autre. Là, c’est un peu plus difficile, mais on sent que ces mecs ont de l’expérience, les doigts s’enfoncent doucement, laissant le temps au sphincter de s’habituer. Quand ils sont à fond, les va et vient recommencent, l’onde augment d’intensité. Je suis soudain ramené à la réalité quand je sens un jet de sperme m’inonder la bouche. J’avale tout avec délice, pour une première, je suis gâté. J’ai à peine fini de déglutir que la bite me quitte et qu’une autre tout aussi raide se présente devant mes yeux. Ils veulent tous que je m’occupe de leurs bites, je suis leur homme. Je commence par lécher le gland, celle là sent un peu plus fort que les deux autres. Soudain, je sens les doigts abandonner mon fion, un peu déçu, je me concentre sur la bite, j’aimais bien ces doigts qui allaient et venaient dans mon cul. Une main badigeonne mon cul d’une matière grasse. Je sens quelque chose de plus lisse et plus gros se glisser entre mes fesses, ce ne sont pas des doigts, je réalise que c’est le gland d’une bite bien raide qui se glisse entre elles. Il veut m’enculer, je veux bien qu’il m’encule, mais en douceur, je suis vierge du cul. Je libère la bite que j’ai dans la bouche. –Vas-y mec, mais fais attention, c’est la première fois, comme tu le disais, je suis puceau du cul, jamais rien ni personne n’a franchi cette barrière.–Ne t’en fais pas, je vais y aller en douceur, si tu ressens la moindre douleur, tu me le dis, j’arrête tout, je ne veux pas te dégoûter, on est là pour se faire plaisir, rien d’autre ok ?–Ok, vas-y, fourres moi ta bite dans le cul, je fantasme là-dessus depuis trop longtemps. Encore un fantasme que je vais assouvir, je vis une des plus belle journée de ma vie. Le gland arrive sur ma rondelle, il s’arrête quelques seconde et pousse de nouveau. Il l’écarte lentement, j’ai repris ma fellation, je veux avaler encore du sperme, j’aime beaucoup son goût, je commence à devenir accro. La bite pousse encore, je ressens une petite gêne, mais je veux qu’il aille jusqu’au bout. Le gland franchi la barrière de mon anus, mon sphincter se referme sur la hampe. La bite s’enfonce doucement dans mes entrailles, je la sens de plus en plus présente au fond de mon cul. Je suis de plus en plus ailleurs, c’est la première fois que j’éprouve un tel sentiment d’abandon, de don de moi-même et surtout un tel plaisir à le faire. Je n’aurais jamais penser tirer du plaisir avec mon cul et pourtant, je suis complètement ailleurs, mon cerveau a disjoncté, c’est mon cul qui dirige la manœuvre. J’ai envie de me laisser aller, de me donner entièrement sans aucune limite, jusqu’à la déraison. Je veux devenir leur objet sexuel qu’ils pourront utiliser à leur guise.  Je donne mon corps à des gamins qui vont en tirer du plaisir sans savoir si je vais en éprouver moi même. J’adore cet acte de pénétration, être possédé par un corps étranger bien vivant qui s’enfonce en moi. Je comprends mieux le bonheur des femmes quand elles font l’amour avec un homme. J’aime cette sensation d’être possédé, vulnérable, soumis à la volonté d’un autre, pour son plaisir et peut être le mien. L’onde de plaisir augmente encore, elle se répand maintenant de la tête aux pieds, encore une première, c’est décidément la journée des découvertes. J’en éprouve une sensation de bien-être et de béatitude que je ne connaissais pas, je me donne encore plus à cette bite en reculant le plus possible mon cul. Quand je sens le pubis du gamin sur mes fesses, sa bite n’ira pas plus loin, elle est complètement enfoncée, elle reste un court instant immobile. J’aime sentir mon sphincter ouvert et mon rectum occupé par ce morceau de chair dur et bien vivant. Je réalise tout à coup que mon cul est la zone la plus érogène de mon corps, nul contact avec une autre partie de mon corps ne me donne autant de sensations et de plaisir.
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